Bon, la routine, les lieux et les persos sont De J k Rowling. Moi je fais juste les utiliser!

Si vous voulez la suite, je veux de review! Laissez moi savoir si vous aimé mon histoire, ça prend quoi. 2 minutes dans le top pour dire « c'Est cool continue » ou sinon « J'aime pas vraiment ça, je sais pas si tu peux le changer » Vous voyez ça m'a pris moins de trente seconde écrire les deux phrases!

Réponse au reviews :

Mae : Merci, ç'est quand même 30 000 mots, ça a du te prendre quelque temps ; ) j'espère que ce chapitre te plairas autant que les dix précédents.

Liline : Merci de tous coeur! Laisse moi savoir ce que tu penses de se chapitre !

Juliepotter : Ma plus fervente revieweuse! Merci encore pour ton assiduité dans les 10 premiers chapitres! Ce chapitre est plus smooth, mais il est cute... Du moins, je crois ; ). J'attends avec impatience ton prochaine review! ;)

Brunoca : Merci beaucoup. J'espere moi aussi que beaucoup la lise et restent silencieux! Bonne lecture et donne moi ton appréciation !



Fin du chapitre 10

Alors que tout le monde se réjouissait, la porte de la grande salle vola en éclats. Toutes les chandelles s'éteignirent laissant un éclairage à peine suffisant pour distinguer des silhouettes. Ils virent deux formes avancer dans la pièce en titubant, pointer une arme vers la table des professeurs et tirer. Les deux silhouettes tombèrent en même temps que deux personnes sur le podium des professeurs. Lorsque les chandelles se rallumèrent, tous virent McGonagall morte sur sa chaise et Gabriel agonisant par terre dans son sang, après avoir intercepté la flèche destinée à Dumbledore.



Début du 11

Roman arlequin et aspiration déchue

Les visages des élèves exprimaient tous à la fois la terreur de l'incident qui venait de ce produire, mais aussi de la rage quand à la perte de leur professeur. Un cri déchirant traversa le grand hall quand, Grégoire accouru pour prendre Gabriel sans ses bras. Il s'était toujours dit que Poudlard serait un endroit sur pour lui et ses compagnons... Mais aujourd'hui, la personne de qui il était le plus proche, son copain... Son amour, était en train de mourir au bout de son sang. Harry couru à leur rencontre suivi de Ron. Ce dernier lança un Wingardium et ils transportèrent le corps jusqu'à l'infirmerie. Tous les professeurs sauf Rogue et Dumbledore amenèrent la dépouille du professeur de transmutation. Les préfets quittèrent avec leurs élèves laissant la grande salle atrocement vide. Seul les deux aurors restantes, Draco, Hermione, Dumbledore et Rogue restaient dans la pièce et s'approchaient des deux asseyant, visiblement mort. Ils étaient les deux face contre terre alors il était impossible de les reconnaître. Tous les regardèrent, ne sachant pas trop comme réagir. Draco fut celui qui prit l'initiative. Il tourna le premier des deux corps. Il s'agissait d'une femme, mais il ne pu la reconnaître. C'est Hermione à côté de lui qui hoqueta et tomba à genou.

-Non ! C'est impossible... Pourquoi elle ? Pourquoi elle a fait ça ?

Draco ne comprenait pas ce qui se passait. Il examina en détail la femme à ses pieds... Grande, avec des boucles brunes, elle avait sur elle un sarrau de médecin mais dans sa poche on voyait des instruments de dentiste. C'était la mère d'Hermione.

Il prit Hermione dans ses bras et essaya de la réconforter. Elle s'agrippa à lui comme un bébé sur son biberon. Le jeune blondinet s'arrangea pour qu'elle soit dos au corps qui gisaient par terre, du moins, pour le temps qu'elle reprenne un peu sur elle. Lorsque Sybile tourna l'autre corps, ce fut son tour de se raidir.

« Soit fort pour Hermione, Soit fort pour Hermione, Soit fort pour Hermione »

Il ravala les sanglots, mais il ne pouvait empêcher les larmes de couler. Devant lui, à ses pieds, au côté de la mère d'Hermione, gisait ça propre mère... Narcissa Malefoy

Mme. Pomfresh se reposait tranquillement dans son infirmerie. La majorité des gens blessés étaient guéris ou endormis et elle en profitait pour s'adonner à sa passion, la lecture de roman moldus à l'eau de rose. Le livre qu'elle lisait aujourd'hui relatait l'histoire d'une jeune moldus qui aimait un beau moldus, mais lui en aimait une autre. Elle s'épongea les yeux alors que l'héroïne venait de dégringoler une falaise alors que le moldus de sa vie lui avouait enfin son amour. Elle s'imaginait soigner cette jeune femme alors que l'élue de son coeur l'attendait de l'autre côté de la porte. Elle avait un faible pour toutes les histoires romantiques où le héros survivait et aimait éternellement l'héroïne. Elle poussa un soupire de tristesse, se rappelant que les histoire d'amour à grand déploiement, ce n'était pas à l'école qu'elle en trouverait. Elle allait tourner la page que la porte devant elle s'ouvrit de manière très violente. Le jeune Harry et son ami Ron entrèrent suivi d'un corps flottant et d'un auror en larme.

-Non ne meurt pas ! Tu dois survivre ! Je t'en supplie.

Elle déposa son livre et accouru vers les trois comparses. Harry pris la parole à bout de souffle d'avoir couru.

-Il y a eu... Attaque dans la grande salle... McGonagall morte... Gabriel mourrant... Sauvez le !

-Amenez le sur ce lit là ici.

Elle courut chercher une potion qui arrêterait l'hémorragie. Quand elle revint, elle vit Grégoire à genou au côté du lit de son petit ami. Il lui tenait la main et lui demandait de ne pas mourir. Au moment qu'elle donna la potion à Gabriel, elle se retourna et dit à Harry et Ron,

-Sortez s'il vous plait, j'ai beaucoup de travail à faire. Mr. Potter... Je veux dire Grégoire, je vais tout faire en mon possible pour le sauver. Il est possible qu'il soit déjà trop tard, mais s'il reste ne serait-ce qu'une parcelle de chance qu'il vive, il vivra !

Elle venait de réciter mot pour mot la phrase que le docteur moldus venait de dire dans son livre. Elle soupira de soulagement et se mit au travail. Enfin elle l'aurait son histoire romantique !



Hermione avait cessé de pleurer, mais elle ne lâchait pas la main de Draco. Ce dernier continuait de verser des larmes. Dumbledore après un examen sommaire des deux femmes à ses pieds se tourna vers les jeunes gens.

-J'ai une bonne et une mauvaise nouvelles pour vous. Tout d'abord, vos deux mères sont vivantes. Elles sont très faibles, mais bien vivantes.

Draco essuya ses larmes et Hermione le regarda incrédule.

-Leur état léthargique est un effet secondaire du sort qu'elles ont reçu. La mauvaise nouvelle, c'est qu'elles sont toutes les deux sous le contrôle de Voldemort. Il a du leur lancer l'Imperium et ensuite le apposer la marque. Il est donc très possible qu'à leur réveille elles tentent encore de me tuer.

Je vais les laisser sous la surveillance de Sybile et d'Élodie. Vous pourrez les voir à leur réveille. Elles seront à l'infirmerie. Maintenant, je vous prierais de regagner vos chambres, ou du moins votre maison le temps que nous nous assurions que la sécurité des élèves dans l'école est complète.

Sybile et Élodie venait à peine de quitter la salle avec les deux femmes par l'arrière, que les grandes portes se rouvrirent, laissant passer Lucius Malefoy, 6 aurors et 2 détracteurs.

-Mon très cher Albus, comme je suis heureux de vous revoir... En vie. J'ai cru savoir que vous aviez subit deux attaques consécutives... Comme c'est dommage. J'espère que personne n'est mort, ça serait vraiment malheureux.

Draco serra les mains si fort qu'il blessa Hermione. Il s'excusa doucement.

-Tient, si ce n'est pas mon très cher fils, tu ne viens pas serrer la main de ton père.

-Que voulez-vous Lucius, j'ai été clair il y a deux ans je crois, votre place n'est pas dans cette école.

-Ce que, voyez-vous mon cher Albus, en tant que prochain ministre, je me dois de protéger la population, et c'est pourquoi, je suis venu ici donner les baisers aux deux criminelles pour leurs crimes odieux. Je suis aussi venu retirer mon fils de cette école, elle n'est plus ce qu'elle était et vous ne pouvez même plus garantir la sécurité de vos élèves.

Il laissa passer un temps

-Ni de vos professeurs à ce que je vois.

Draco blêmi. Il ne voulait pour rien au monde retourner avec son père. Son regard passa de Rogue à Dumbledore. Hermione lui reprit la main. Dumbledore fixa Lucius quelques instants et répondit.

-Voyez-vous mon cher Lucius, je ne vous livrerai pas les « criminelles » comme vous vous plaisez à les appeler. D'ailleurs, j'aimerais savoir, comment avez-vous su que nous étions attaqué aujourd'hui même, et ce par seulement 2 personnes qui sont par hasard de sexe féminin. Qui vous dit que ce sont les seules qui ont fait ça ? Vous semblez en connaître beaucoup plus que moi sur cette attaque.

Ce fut au tour de Lucius de blêmis.

-Vous saurez Albus, que je n'ai rien à voir avec ceci !

Dumbledore sorti sa baguette et dit

-Accio baguette de Lucius Malefoy.

Une fois la baguette dans les mains, il enchaîna,

-Prior incanti

Le dernier sort que la baguette de Lucius avait lancé était un imperium.

-Tiens, comme c'est étrange que le dernier sort qu'un aspirant au poste de ministre ait lancé en soit un impardonnable.

Il se tourna vers les aurors derrières Malefoy et il leur dit

-Je comprends fort bien que vous ne puissiez pas arrêter Mr. Malefoy ici présent étant donné son influence au ministère, mais j'espère que vous comprendrez mon refus à vous livrer nos deux invitées.

Les six aurors quittèrent la pièce de manière rangée.

-Et n'oubliez pas vos monstres ! Maintenant Lucius, je vous prierais à nouveau de quitter l'école.

-Vous verrez ! Quand je serai ministre, je vous ferai perdre votre poste vieux hibou mal famé !

-Si un jour vous le devenez bien sur. Voyez-vous, je vais de ce pas écrire à tous les journaux sorciers du pays, leur dire qu'un vote pour Malefoy, c'est un vote contre Dumbledore, car Dumbledore appuie Weasley totalement !

La rage se lisait dans les yeux de Lucius. Le vieux sorcier avait encore une fois fait échouer ses plans.

-Ce n'est pas fini Dumbledore, ce sont seulement les premières, d'autres viendront, et un jour tu mourras

-Oui oui, c'est ça, un jour.

-Allez viens Draco, nous partons !

Draco regarda son directeur avec une lueur de supplication dans les yeux. S'il retournait avec son père il serait battu, et même tué.

-Je ne vois pas pourquoi le jeune Draco doit quitter l'école.

-C'est mon fils par Merlin ! J'exige qu'il soit retiré de votre école ! Je suis son père, je peux décider d'où il va s'instruire !

-S'il veut rester il a le droit... Et, dois-je vous rappeler mon cher Lucius, que la mère du jeune Draco ce trouve présentement dans cette école, alors je ne vois pas pourquoi il quitterait alors que sa mère est notre invitée.

Lucius chercha quelque chose à répondre, mais Dumbledore l'avait encore pris à son propre jeu. Il parti en colère, sachant très bien que son maître serait en colère de ses échecs. Tout d'abord il venait de s'aliéner une bonne partie de l'électorat, et ensuite, il n'avait pas ramené Draco.

Mme. Pomfresh travailla très dur. Elle sortit le carreau de l'arbalète de l'estomac du jeune homme. Une chance qu'il était fort et robuste, car ce coup aurait put le tuer. Ensuite elle s'attaqua aux dommages internes qu'avait causé ce dernier. Par chance, personne n'avait pensé utiliser du poison sur les carreaux, ce qui aurait compliqué sa tache. Elle savait qu'elle devait le sauver, il n'était pas question de le perdre. Les pleurs de Grégoire lui donnaient un regain d'énergie lorsqu'elle se fatiguait. Au bout de 3 heures, elle sortit de la pièce et fut accueillie par les trois jeunes hommes.

-Et puis demanda Harry, il va bien ?

-Je serai franche avec vous, il a vraiment frôlé la mort de proche. Il est dans un état stable et s'il passe la journée et la nuit il devrait vivre. Par contre il devra être au repos pour au moins une longue semaine !

Grégoire se leva les yeux encore remplient d'eau et lui demanda

-Je peux le voir ?

-D'accord, mais seulement vous, il a besoin de calme. Mr. Potter et Mr.Weasley, je vous prierais d'aller me chercher le directeur.

Elle regarda les deux jeunes partir et elle retourna vois son patient, il venait d'ouvrir les yeux et son jeune ami pleurait à ses pied en lui tenant la main. Elle essuya une larme de joie, elle avait réussi. Bien sur il allait être sous observation 24 heures, mais c'était plus par mesure préventive, et pour donner de la gravité à son rôle.

Elle retourna donc s'asseoir, repris son livre à la page où elle était rendue, mais cette fois au lieu de lire Christine, elle lisait Gabriel, au lieu de François elle lisait Grégoire et au lieu du bon vieux docteur Smith, Elle voyait cette chère infirmière Pomfresh.

La mère d'Hermione se réveilla la première. Elle ouvrit les yeux se demandant où elle était. Elle regarda autour d'elle... On aurait dit une salle de classe. Ça lui revenait maintenant... La douleur, la marque... Tout lui revenait en mémoire. Elle se rappela même avoir essayé de tuer un vieil homme.

-Maman... C'est bien toi ?

-Hermione ? Où suis-je ?

-Tu es à mon école... Tu te sens mieux ?

-Oui... Tu m'as déjà parlé d'un méchant sorcier... Volde... Voldemort je crois... Personne ne sait où il se cache et il tue des gens sans magie.

-Oui, c'est bien lui... C'est lui qui t'as fais ça ?

-Oui mais c'est pas important... Je peux te dire où il se trouve...

Fin du chapitre 11

Wow, un autre chapitre de fini ! J'espère que vous ne m'en voulez pas trop pour McGonagall. Au moins Gabriel vit toujours ! Dans le prochain chapitre, le second affrontement entre Harry et Voldemort, c'est à voir!