- CHAPITRE 2 -
Assis sur le bord de son lit, Harry avait ses mains plaquées sur sa cicatrice en forme d'éclair. Celle-ci lui faisait horriblement mal, au point qu'il y avait des larmes qui ruisselait sur ses joues. Harry chercha ses lunnettes à tâtons, alluma la lampe qui se trouvait sur la table de chevet à ses côtés. Il se leva, alla prendre une feuille de parchemin ainsi que sa plume et commença à écrire à son parain, Sirius Black, un « dangereux criminel » (il a été accusé pour un meutre qu'il n'a pas commis) évadé d'Azkaban.
« Cher Parain,
Merci beaucoup pour ta dernière lettre, elle m'a beucaoup réconforté, car Dudley suit encore ce régime et s'en est vraiment trop! Tante Pétunia ne me donne que la moitier de la portion de son « Dudlynouchet ».
De plus les Dursley sont térrifiés à l'idée que tu puisses venir ici et les transformer en presque n'importe quoi! »
Harry s'arrêta d'écrire un instant, hésitant de parler à Sirus au sujet de sa cicatrice.
« Et, je ne voudrais pas t'inquièter….mais ma cicatrice me « brûle » de nouveau, je ne sais pas quoi faire… » écrit Harry ayant toujours quelques larmes qui coulaient de ses yeux.
Une larme tomba sur la dernière phrase qu'il avait écrite.
Harry tremblait à présent, il s'étira légerement et renversa sa bouteille d'encre sur ses draps. Prit de panique et oubliant sa magie, Harry essaya l'impossible pour enlever la tache d'encre mais ne fit que l'agraver. Il entendit son oncle Vernon ronfler et s'affolant, il éteignit sa lumière prit la lettre et la cache sous la planche amovible du plancher. Il mit la plume et ce qui restait dans dans la bouteille d'encre sur son bureau. Il se glissa sous les deaps pour se rendormir.
Le lendemain matin, la tante Pétunia vint réveiller son neveux. Elle cria en voyant la ache d'encre sur les draps de Harry. Vernon Dursley monta l'escalier avec la vitesse d'un éclair qu'il en fut tout essoufflé.
« Qu'as-tu encore fais vilain garnement ?? » cria Vernon en poussant Harry à l'extérieur de la chambre.
L'oncle Vernon prit Harry par le collet de son pyjama, lui grogna quelques paroles incompréhensibles et poussa Harry dans l'escalier qui la dégringola. Harry se releva avec bien du mal, il saignait et tremblait de rage. Il reprit ses lunettes qui étaient à présent en miettes et monta l'escalier pour retourner dans sa chambre. Il ferma la porte avec fureur et prit un morceau de parchemin. Il se mit à écrire a Ronald Weasley, son meilleur ami :
« Ron, aide-moi stp, mon oncle m'a poussé dans l'escalier, mes lunettes sont en miettes(je ne vois pas très bien ce que je t'écris) je suis vraiment désolé. Aide moi stp! »
Une larme de sang s'éteignit sur la parchemin mais Harry n'y fit pas attention et continua d'écrire.
« Harry
P.S. : stp pas un mot à Hermione. »
Harry marcha vers se qui ressemblait à la cage de Hedwige, mit la lettre à la patte de sa chouette et elle s'envola. Il s'assit sur le bord de son lit essayant de contrôler la haine et la colère qui envahissaient son coeur, son âme et qui brûlaient dans ses veines. Après quelques instants, le jeune sorcier vit une énorme silouette embrouillée s'approcher, c'était son énorme cousin Dudley. Dès qu'il vit le visage ensanglanté de son cousin, celui-ci commença a l'aggacé :
«HA HA HA, tu seras privé de repas avant des semaines! HA HA HA! » disait-il en effectuant un petite danse.
Harry lui, se moquait bien de se que lui disait Dudley, car sous la planche du plancher prêt du mur, se trouvait un agréable festin, qu'il pourrait dégusté en toute tranquillité.
« Laisse moi tranquille » dit froidement Harry.
Par chance, pour Harry, tante Pétunia appellait Dudley pour le dîner. Harry attendit que Dudley sorte de la pièce pour s'y enfermer et pour sortir sa baguette magique pour réparer ses lunettes. Il prit se qui resta de ses lunettes, pointa sa baguette dessus et chuchota: reparo!
Une fois réparée, Harry remit ses lunettes sur son nez et sursauta en voyant Hedwige a ses côté avec la réponse de Ron:
« Harry, c'est horrible! Ma mère pleurait même quand j'ai lu ta lettre à toute la famille. Mes parents ont décidé que tu viendrais habité ici pour le reste des vacances avec où sans l'accord de tes moldus, ou de Dumbledore(mais on croit qu'il sera bien d'accord maintenant).
Demain, mon père et moi viendront te chercher aux petites heures du matin (5h00). Comme ça ton oncle et ta tante ne pourront rien dire.
Je suis vraiment désolé pour tout cela, mais vivement demain!
Ron
P .S : Hermione est déjà au courant….je suis désolé, mais elle tenait absolument à tout savoir s'il y avait un problème»
Harry le coeur un peu plus léger commença à rassembler ses manuels, robes de sorciers, son éclair de feu et tout le reste. Une fois tout terminé, il se glissa sous les draps espèrant qu'il soit chez les Weasley les plus tôt possible. Harry s'endormit en s'imaginant loin des Dursley et près de son parain, et des ses amis. Il se réveilla trente minutes plus tard, croyant qu'il était déjà l'heure pour lui de partir. Il finit par se rendormir et il se réveilla ainsi tout les trentesminutes. Enfin, cinq heures sonna. Harry se leva, soigna maladroitement sa toillette et rassembla toutes ses valises et s'assit sur le bout de son lit. il entendit finalement une voiture dans le voisinage et jeta un coup d'oeil par la fenêtre. Malheureusement, ce n'était qu'une voiture de police en patrouille. Harry entendit de nouveau une voiture. Croyant que c'était encore la voiture de police il ne leva pas les yeux. C'et alors qu'il entendit des cailloux se frapper contre la fenêtre de sa chambre. Ron était en bas et lui souriait légerement. Harry ouvrit la fenêtre et y fit glisser ses valises à l'aide de la lévitation. Harry descendit les escaliers et s'arrêta brusquement lorsqu'il vit sa tante. Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, Mr Weasley apparut, la salua et sortit de la maison avec sa main sur l'épaule de l'adolescent.
Assis sur le bord de son lit, Harry avait ses mains plaquées sur sa cicatrice en forme d'éclair. Celle-ci lui faisait horriblement mal, au point qu'il y avait des larmes qui ruisselait sur ses joues. Harry chercha ses lunnettes à tâtons, alluma la lampe qui se trouvait sur la table de chevet à ses côtés. Il se leva, alla prendre une feuille de parchemin ainsi que sa plume et commença à écrire à son parain, Sirius Black, un « dangereux criminel » (il a été accusé pour un meutre qu'il n'a pas commis) évadé d'Azkaban.
« Cher Parain,
Merci beaucoup pour ta dernière lettre, elle m'a beucaoup réconforté, car Dudley suit encore ce régime et s'en est vraiment trop! Tante Pétunia ne me donne que la moitier de la portion de son « Dudlynouchet ».
De plus les Dursley sont térrifiés à l'idée que tu puisses venir ici et les transformer en presque n'importe quoi! »
Harry s'arrêta d'écrire un instant, hésitant de parler à Sirus au sujet de sa cicatrice.
« Et, je ne voudrais pas t'inquièter….mais ma cicatrice me « brûle » de nouveau, je ne sais pas quoi faire… » écrit Harry ayant toujours quelques larmes qui coulaient de ses yeux.
Une larme tomba sur la dernière phrase qu'il avait écrite.
Harry tremblait à présent, il s'étira légerement et renversa sa bouteille d'encre sur ses draps. Prit de panique et oubliant sa magie, Harry essaya l'impossible pour enlever la tache d'encre mais ne fit que l'agraver. Il entendit son oncle Vernon ronfler et s'affolant, il éteignit sa lumière prit la lettre et la cache sous la planche amovible du plancher. Il mit la plume et ce qui restait dans dans la bouteille d'encre sur son bureau. Il se glissa sous les deaps pour se rendormir.
Le lendemain matin, la tante Pétunia vint réveiller son neveux. Elle cria en voyant la ache d'encre sur les draps de Harry. Vernon Dursley monta l'escalier avec la vitesse d'un éclair qu'il en fut tout essoufflé.
« Qu'as-tu encore fais vilain garnement ?? » cria Vernon en poussant Harry à l'extérieur de la chambre.
L'oncle Vernon prit Harry par le collet de son pyjama, lui grogna quelques paroles incompréhensibles et poussa Harry dans l'escalier qui la dégringola. Harry se releva avec bien du mal, il saignait et tremblait de rage. Il reprit ses lunettes qui étaient à présent en miettes et monta l'escalier pour retourner dans sa chambre. Il ferma la porte avec fureur et prit un morceau de parchemin. Il se mit à écrire a Ronald Weasley, son meilleur ami :
« Ron, aide-moi stp, mon oncle m'a poussé dans l'escalier, mes lunettes sont en miettes(je ne vois pas très bien ce que je t'écris) je suis vraiment désolé. Aide moi stp! »
Une larme de sang s'éteignit sur la parchemin mais Harry n'y fit pas attention et continua d'écrire.
« Harry
P.S. : stp pas un mot à Hermione. »
Harry marcha vers se qui ressemblait à la cage de Hedwige, mit la lettre à la patte de sa chouette et elle s'envola. Il s'assit sur le bord de son lit essayant de contrôler la haine et la colère qui envahissaient son coeur, son âme et qui brûlaient dans ses veines. Après quelques instants, le jeune sorcier vit une énorme silouette embrouillée s'approcher, c'était son énorme cousin Dudley. Dès qu'il vit le visage ensanglanté de son cousin, celui-ci commença a l'aggacé :
«HA HA HA, tu seras privé de repas avant des semaines! HA HA HA! » disait-il en effectuant un petite danse.
Harry lui, se moquait bien de se que lui disait Dudley, car sous la planche du plancher prêt du mur, se trouvait un agréable festin, qu'il pourrait dégusté en toute tranquillité.
« Laisse moi tranquille » dit froidement Harry.
Par chance, pour Harry, tante Pétunia appellait Dudley pour le dîner. Harry attendit que Dudley sorte de la pièce pour s'y enfermer et pour sortir sa baguette magique pour réparer ses lunettes. Il prit se qui resta de ses lunettes, pointa sa baguette dessus et chuchota: reparo!
Une fois réparée, Harry remit ses lunettes sur son nez et sursauta en voyant Hedwige a ses côté avec la réponse de Ron:
« Harry, c'est horrible! Ma mère pleurait même quand j'ai lu ta lettre à toute la famille. Mes parents ont décidé que tu viendrais habité ici pour le reste des vacances avec où sans l'accord de tes moldus, ou de Dumbledore(mais on croit qu'il sera bien d'accord maintenant).
Demain, mon père et moi viendront te chercher aux petites heures du matin (5h00). Comme ça ton oncle et ta tante ne pourront rien dire.
Je suis vraiment désolé pour tout cela, mais vivement demain!
Ron
P .S : Hermione est déjà au courant….je suis désolé, mais elle tenait absolument à tout savoir s'il y avait un problème»
Harry le coeur un peu plus léger commença à rassembler ses manuels, robes de sorciers, son éclair de feu et tout le reste. Une fois tout terminé, il se glissa sous les draps espèrant qu'il soit chez les Weasley les plus tôt possible. Harry s'endormit en s'imaginant loin des Dursley et près de son parain, et des ses amis. Il se réveilla trente minutes plus tard, croyant qu'il était déjà l'heure pour lui de partir. Il finit par se rendormir et il se réveilla ainsi tout les trentesminutes. Enfin, cinq heures sonna. Harry se leva, soigna maladroitement sa toillette et rassembla toutes ses valises et s'assit sur le bout de son lit. il entendit finalement une voiture dans le voisinage et jeta un coup d'oeil par la fenêtre. Malheureusement, ce n'était qu'une voiture de police en patrouille. Harry entendit de nouveau une voiture. Croyant que c'était encore la voiture de police il ne leva pas les yeux. C'et alors qu'il entendit des cailloux se frapper contre la fenêtre de sa chambre. Ron était en bas et lui souriait légerement. Harry ouvrit la fenêtre et y fit glisser ses valises à l'aide de la lévitation. Harry descendit les escaliers et s'arrêta brusquement lorsqu'il vit sa tante. Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, Mr Weasley apparut, la salua et sortit de la maison avec sa main sur l'épaule de l'adolescent.
