Bonjour à tous et toutes ! Chapitre 2 arrivé. Je tiens a remercier les deux personnes qui m'ont envoyé une review pour mon premier chapitre !!!

You work is Good : Oui je ne lache pas!

lyra b. : bien sûr que je vais continuer !

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Chapitre 2 : Le fiancé de tante Marge

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Harry resta perplexe devant ces quelques lignes. Qui avait bien pu lui écrire cette lettre ? et surtout par le biais de la poste moldu ? Il la relit une dizaine de fois, cherchant à comprendre son sens, mais n'y parvint pas. L'écriture était fine et élégante, son auteur avait utilisé cependant une plume et de l'encre de chine comme le faisaient tous les sorciers. Et d'ailleurs quel était ce ph?nix dont parlait la lettre ? Harry ne connaissait qu'un seul oiseau de cette espèce, c'était celui d'Albus Dumbledore, le directeur de Poudlard. Etait ce à lui que cette mystérieuse lettre faisait référence ? Harry ne savait que penser. Une chose le gênait aussi.. C'était le ton employé dans la lettre. Cette personne devait obligatoirement le connaître, puis qu'elle lui souhaitait un joyeux anniversaire, et connaissait parfaitement son adresse. La lettre lui était bien destinée, cela ne faisait aucun doute. Harry se mit à bailler au bout d'un moment. Aucune réponse ne venait à lui. Pourquoi un ph?nix aurait pleuré pour lui ? Et quel était le lien avec ses ancêtres ? Il décida de laisser ses réflexions de coté, préférant en parler à Sirius la prochaine fois qu'il le verrait. D'ailleurs cela n'était peut être qu'une blague provenant d'un de ses camarades de Poudlard.

Harry rangea toutes ces lettres et ses cadeaux soigneusement et se recoucha pour sombrer très vite dans un sommeil profond.

« - tue-le. Mais achève la fille avant !

Oui maître ! »
« NNNNNNnooooooonnnnnnnnnnnnnn » Harry venait s'éveiller en hurlant. Sa cicatrice le faisait atrocement souffrir, comme une brûlure a vif. En ouvrant les yeux, il reconnut sa petite chambre de Privet Drive malgré le brouillard dans lequel il se trouvait. Ce n'était qu'un rêve, ou plutôt un cauchemar. Harry se demandait ce qu signifiait son rêve. Il avait souvent fait des rêves auparavant, rêves qui s'étaient avérés être en partie prémonitoires. Mais chose qui ne s'était jamais produite, Harry n'arrivait pas a se rappeler exactement son rêve. IL avait vu Voldemort ordonner à Queudver de tuer un garçon et une fille, mais il n'arrivait pas à se souvenir des visages. Cela n'était pas bon signe, mais Harry savait aussi que tous ses rêves n'étaient pas prémonitoires. enfin.. Il l'espérait. La douleur a sa cicatrice diminuait très vite et Harry reprenait ses esprits. C'est alors que la porte de sa chambre s'ouvrit dans un grand fracas.. L'oncle Vernon apparu dans l'encadrement de la porte, le visage deformé par une colère qu'il n'arrivait presque pas a maîtriser. Harry ne pu s'empêcher pendant une fraction de seconde que son oncle allait le frapper de toutes ses forces. Mais l'oncle Vernon se planta devant Harry, les yeux exorbités par la fureur.

« Comment as-tu osé ?

Qu'as-tu encore fait ?

Espèce de vaurien qu'étais-tu encore en train de trafiqué avec tout ton attirail de.. de. »

L'oncle Vernon ne pouvait pas prononcer les mots magie ou sorcellerie. Et il ne laissait même pas a Harry la possibilité de pouvoir placer un seul mot. Celui ci sentait la rage montait en lui cependant. Tout a coup il explosa. L'oncle Vernon qui continuait à hurler comme un hystérique fut coupé dans son élan.

« Mais je ne faisais rien !! J'ai fait un cauchemar. mais cela ne t'effleure même pas l'esprit. Non tout de suite tu penses que je cherche les ennuis. même pas une once d'inquiétude, il aurait pu m'arriver quelque chose mais toi tu . tu ne sais que m'aboyer dessus ! »

Harry avait les poings crispés par la colère. il savait qu'il était allé trop loin. L'oncle Vernon cependant ne repartit pas dans une série d'insultes. Il était stupéfait que son neveu ose lui parler comme de cette façon. Harry, voyant cela, hésita un moment puis rajouta, cette fois avec un ton beaucoup plus calme.

« Tu sais oncle Vernon, mon parrain, celui qui est recherché par toutes les polices, se serait inquiété lui.. »

A ces mots la l'oncle Vernon pâlit immédiatement. La simple mention du mot parrain suffisait à l'empêcher de continuer tellement la peur l'envahissait. Il toussa alors légèrement puis repris d'une voix doucereuse trahissant sa peur :

« Ecoute mon garçon, c'est vrai j'ai été un peu brusque.. Mais tu connais ta tante, le moindre bruit suspect la nuit l'affole très facilement. Rendors-toi »

Et l'oncle Vernon quitta la chambre sans rien ajouter.

Le lendemain matin Harry remarqua que personne parmi les membres de la famille Dursley n'osait lui faire de remarque par rapport à la nuit passée. Mais ce n'était pas une raison pour devenir gentil avec lui. La tante Pétunia ne lui adressa pas la moindre parole jusqu'au début de l'après midi. Le menace déguisée se son neveu au sujet de Sirius ne faisait qu'accroître son ressentiment vis a vis d'harry. L'ambiance au 4 Privet Drive était extrêmement tendue, plus qu'elle ne l'avait jamais été. Harry pensait que les Dursley allaient chercher le meilleur moyen pour lui rendre la vie encore plus insupportable sans pour autant le faire paraître. Et il ne se trompait pas...

Alors que le repas du soir approchait, le téléphone sonna dans le salon. Tante pétunia se leva et alla décrocher :

« - oui bien sur Marge. nous t'attendons avec impatience, ça fait tellement longtemps que nous ne t'avons vue. Dudley n'arrête pas de nous répéter combien sa tante lui manque.. Demain après midi ? d'accord je te passe Vernon »

Tante Pétunia croisa le regard d'Harry a ce moment la, accentuant bien toute l'animosité qu'elle éprouvait envers le rejeton de sa s?ur. Elle passa le combiné téléphonique a son mari et alla s'asseoir sur le canapé, juste à côté de Dudley qui regardait de son air ahuri habituel une série minable pour adolescents boutonneux.

« -Bonjour marge.. Oui ne t'en fait pas ta chambre sera prête. tu viens avec ton fiancé ? ... Et bien tu te décides enfin a nous le présenter ! C'est pas trop tôt dis-moi.. Non non je plaisante. moi aussi. a demain. »

L'oncle Vernon se tourna vers sa femme et son fils et déclara :

Ca y est ! Marge désire nous présenter son fiancé. Il s'appelle Walter d'après ce qu'elle a dit. Espérons qu'il soit digne d'elle.

Harry était atterré. Marge allait débarquer le lendemain, et accompagnée en plus. Qui pouvait bien être ce Walter. en tout ça, connaissant la tante marge, Harry savait que ce n serait sûrement pas une personne qui le traiterait mieux que les autres. Harry ne put presque rien avaler ce soir la. D'ailleurs même s'il avait eu faim, ce n'étaient pas les deux tranches de pain sec et les 4 cueilleres de purée que sa tante lui avait servies qui l'auraient nourri. Il monta donc se coucher immédiatement après le repas.

Le lendemain après midi toute la maison était en effervescence. La tante Pétunia avait nettoyé la maison de fond en comble et chaque bibelot luisait comme au jour de son achat. Harry aurait aimé pouvoir monter dans sa chambre et y rester durant tout le séjour, mais son oncle et sa tante lui avaient ordonné de rester dans le salon pour débarrasser marge et son nouveau fiancé ( a moins que ce ne soit tout simplement son premier en fait) . A 16h45 quelqu'un sonna à la porte et lorsque Dudley ouvrit, une copie presque conforme de l'oncle Vernon apparu dans l'encadrement et serra son Dudlinouchet dans ses gros bras.

Mon chéri comme tu as grandi s'exclama t'elle. A son habitude, Dudley lui fit son sourire hypocrite et se dépêcha de mettre dans sa poche les quelques billets que sa tante lui donnait. Ha Marge, te voilà enfin, d'exclama l'oncle vernon. Entre voyons. Bonjour Vernon, bonjour Pétunia. Oui nous avons eu quelques petits soucis dans les embouteillages, mais walter a su trouver miraculeusement une route plus rapide. sinon nous y serions encore... Entre walter que je te présente.

A ce moment là un homme âgé d'une quarantaine d'année apparu à son tour. Il était grand et mince, le contraire de la tante marge. Habillé d'un costume passé de mode, mais élégant tout de même, il ressemblait à ces gansters des années 40 que Harry voyait parfois lorsque son cousin regardait la télé. Walter balaya la pièce du regard, puis, se tournant vers Vernon et Pétunia, leur serra la main avec un « enchanté de vous connaître enfin » accompagné d'un sourire étrange. Il donna une petite tape sur l'épaule de Dudley

Tu dois être Dudley je présume. Tu ressemble beaucoup a ton père. Heu oui monsieur, articula difficilement le cousin d'Harry Allons vas.. Appelle-moi Walter. dans quelques temps je serais sûrement ton oncle.

A ce moment là le regard de Walter se posa sur Harry, que tout le monde avait ignoré jusque la. La tante marge lança alors :

-ha celui là, n'y fait pas attention Walter. C'est un vaurien que pétunia et Vernon ont recueilli à la mort de ses parents, mais il ne fait rien pour les remercier de générosité. Un vaurien ingrat et délinquant de surcroît. Mais bon, pour que tu saches, il s'appelle harry.

Mais Harry n'entendit que faiblement les paroles de la tante Marge. Au moment ou Walter avait planté ses yeux dans les siens, il sentit un malaise s'insinuer en lui. Harry aurait presque cru qu'une seconde sa cicatrice l'avait brûlé. Mais si cela avait été le cas, ça avait été tellement fugace qu'il se dit qu'il devait avoir rêvé. Mais il n'eut pas le loisir de s'attarder sur ses pensées, une énorme valise venait de le percuter en plein estomac.

Monte nos bagages là haut, lui aboya la tante marge.

Cela faisait deux ans qu'Harry n'avait pas vu la tante marge, en fait depuis qu'il l'avait gonflée comme une baudruche l'été précédant son entrée en troisième année a Poudlard. Il savait qu'elle avait subit un sortilège d'effacement de mémoire part le ministère de la magie suite a cet incident, mais il semblait à Harry qu'elle lui portait une haine encore plus féroce que les années d'avant. Peut être ne gardait elle plus en tête l'évènement, mais sa haine en gardait elle au moins une trace. Harry empoigna d'une main la valise délicatement envoyée par marge, et de l'autre attrapa celle de walter qui continuait à le regarder, un mauvais sourire en coin. Si la douleur de sa cicatrice se semblait plus a Harry n'avoir été qu'un rêve, l'impression de malaise persista. Harry savait déjà qu'il n'éprouverait aucune sympathie pour walter, et son instinct lui dictait de s'en méfier.

FIN DE CHAPITRE

Alors vous aimez ? Pensez à envoyer une petite review, ça fait énormément plaisir ;-) !!!!! J'ai une petite idée.. Si vous aimez pas et bien j'arrêterais de le faire dans les prochains chapitres. J'ai décidé que chaque chapitre serait suivi d'un poème. Bon bien sur le poème n'aura rien à voir avec la fan fiction. simplement pour vous faire découvrir la poésie que j'aime.

La guerre des c?urs Une chose m'a toujours tracassée Un mystère m'a toujours étonné Insidieusement je me questionne Pour savoir de quoi il en raisonne Qu'en est il de la guerre des c?urs De ces sentiments s'affrontant avec peur ? Qu'en est il de la guerre des âmes De ces valeurs luttant dans le drame ? Mes déductions ont étaient telles Que j'ai jugé le c?ur mortel J'ai jugé l'amour par sa folie Il a engendré l'isolement J'ai jugé l'amitié par sa sincérité Elle a engendré l'égarement J'ai jugé la solitude par sa mélancolie Elle a engendré l'apaisement Trois c?urs qui inlassablement s'affrontent Trois folies qui cependant se confondent Insidieusement je répondis Et ne trouvais de réponses a ce conflit La guerre des c?urs inlassablement se répétera ? Et bien malin sera, celui qui une réponse me donnera .................................

Voilà.. Prochain chapitre est venir très prochainement...