Heyyyy voici le chapitre 3 de la fiction..

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Chapitre 3 : Walter

.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Harry monta donc les deux valises au premier étage, dans la chambre que sa tante Pétunia avait préparée à l'attention de sa belle s?ur et de Walter. Une fois les valises déposées près du lit, Harry redescendit dans le salon et s'assit sur une chaise dans un coin, espérant que la tante Marge ferait comme s'il n'existait pas.

Pendant ce temps les Dursley faisaient connaissance avec Walter. Celui-ci semblait être très bien accepté. L'oncle Vernon avait même sorti l'une de ses meilleures bouteilles de vin pour le repas. Le sentiment de malaise d'Harry ne disparaissait pas. Il ne comprenait pas pourquoi. Il les écoutait de façon distraite parler des affaires de l'entreprise de l'oncle Vernon, de l'éducation de Dudley et de sa merveilleuse musculature. ( ironie je précise )

Lorsqu'il fut l'heure de se mettre à table, Harry croisa à nouveau le regard de walter ce qui le mit encore plus mal à l'aise. Vraiment il ne pouvait s'empêcher d'éprouver de la méfiance pour lui. Durant le souper, Marge ne cessa de vanter les mérites de Walter. Ils s'étaient rencontrés lors d'une soirée, sur laquelle marge ne fit cependant aucun commentaire. Walter était agent de change et gagner très bien sa vie, ce qui selon Harry ne pouvait déplaire à son oncle et sa tante. Lorsque la tante Pétunia apporta le dessert, tout le monde s'extasia devant . C'était une forêt noire accompagnée de crème anglaise à napper. La tante pétunia, qui l'avait acheté chez le traiteur, ne fit cependant aucune remarque lorsque walter la complimenta sur ses talents de patissiere.

L'ambiance commençait à devenir très étouffante, surtout pour Harry. Les adultes qui avaient bu plusieurs verres de vin commençaient à en ressentir les effets. N'oublions pas que c'était l'été, et malgré l'heure tardive, il faisait très chaud dans la salle a manger des Dursley. L'oncle Vernon avait déjà quitté sa chemise et était en simple débardeur ( ce qui, au passage, lui donnait encore plus l'air d'un porc débordant de gras). La tante marge et la tante Pétunia s'étaient confectionnée de petits éventails avec des magazines de télévisions.

Voyons walter, tu n'as pas chaud toi aussi ? lui demanda tante Marge.

Non Non ça va, rassure toi, lui répondit celui.

Vous devriez peut être au moins enlever votre veston, lui suggéra Pétunia.

Oui peut être effectivement, répondit Walter qui sentait de grosses gouttes de sueur perler sur son visage.

Harry pouvait sentir que Walter avait beaucoup de réticences a ôter son veston. Il se demandait au fond de lui même quelle en était la raison et cela le rendait encore plus suspect à ses yeux. Cependant Walter finit par enlever sa veste et resta en chemise.

Lorsque Harry demanda la permission de se retirer dans sa chambre, la tante Pétunia le foudroya du regard. Même si la présence de Harry la contrariait toujours, elle lui lança cependant l'une de ses répliques destinées a l'humilier et à prolonger le plus longtemps possible son calvaire :

Et voilà ! On passe toute sa vie a essayer de les élever correctement, et quand on reçoit des invités ils se comportent en vauriens mal éduqués !

Mais je me sens très fatigué ma tante..

Et bien tu feras avec ! Est ce une façon de se comporter devant des convives ? Non ! Regarde mon petit Dudley, luis sait se tenir en société ! Tu resteras sur ta chaise jusqu'à la fin et après tu feras la vaisselle pour t'apprendre à réfléchir sur les bonnes manières a adopter !

Harry ne répondit pas et resta sur sa chaise, sur le regard fier et moqueur de son cousin.

Dudley venait juste de finir sa troisième part de gâteau lorsque l'oncle Vernon poussa un cri :

Mais dites moi Walter, quelle magnifique montre ! Ce doit être une rollex si je ne me trompe ?

Walter n'eu même pas le temps de répondre. La tante marge, arborant l'un de ses sourires de triomphe, [heuu j'ai du mal a l'imaginer sourire quand même ;). ] , s'exclama :

-Magnifique n'est ce pas ? C'est moi qui la lui ai offerte l'autre jour. Je la trouvais tellement belle. Allez montre ta montre à Pétunia mon Walter !

Et elle lui attrapa le poignet auquel il portait la montre. Walter eu un mouvement pour le retirer, mais la poigne de la tante Marge était solide. Pour que Pétunia et Vernon puisse mieux admirer la montre, elle remonta la manche de walter. Celui retira immédiatement son bras mais c'était trop tard.

L'oncle Vernon émit un sifflement

Et bien ! Quel sacré tatouage walter ! Il est superbe !

Walter fut décontenancé pendant quelques secondes ! Quant à Harry, il était tout simplement paralysé ! Il avait suivi la scène du regard, et malgré la rapidité de walter pour retirer son bras, il avait eu le temps de voir... ce que l'oncle Vernon avait pris pour un tatouage n'était autre que la marque des ténèbres, la marque de reconnaissance des partisans de Voldemort.

L'esprit de Harry était en ébullition.. D'innombrables pensées l'assaillaient. Mangemort ! Mangemort ! Mangemort ! Walter est un mangemort ! Comment cela est il possible ? Comment a t'il fait pour arriver jusqu'ici ? Pourtant Dumbledore lui avait assuré qu'il était en sécurité chez son oncle et sa tante. Tout s'expliquait : son malaise, sa méfiance et la douleur à sa cicatrice ! Il n'avait pas rêvé, il l'avait bien ressentie ! Et sa baguette était dans sa chambre, là haut au premier étage..

Mais Harry se ressaisit très vite. Il bondit de sa chaise sous les yeux ébahis des Dursley qui ne comprenaient rien. Walter fit de même et tendit la main vers sa poche pour attraper sa baguette magique, mais Harry, dans un élan soudain, attrapa une statuette de marbre posé sur le buffet à coté de lui et la lança de toutes ses forces vers walter. Malheureusement pour lui, walter ne fut pas assez rapide et la statuette le heurta a la tête avant qu'il ait pu sortir sa baguette. Il tomba immédiatement a genoux, hurlant a l'encontre d' Harry qu'il allait le lui payer très cher.

Harry en profita pour se ruer vers les escaliers, bousculant au passage la tante marge qui venait de retrouver et sa langue et qui criait à l'assassin. Il monta aussi vite qu'il put les escaliers sous les regards toujours aussi ahuris de sa famille. L'oncle Vernon retrouva à ce moment là l'usage de la parole et hurla à a Harry de revenir !

Reviens ici espèce de vaurien ! Qu'est ce qui te prend ? reviens je te dis !!

Il fit un geste vers walter pour l'aider à se relever, se confondant en excuses et maudissant son neveu ! Mais Walter l'écarta d'un geste brusque, les yeux exorbités par la colère. Titubant, il se lança à la poursuite de Harry dans les escaliers en hurlant à son tour

Je ne vais pas te rater ! T'as aucun moyen de t'échapper Potter !

Harry était déjà arrivé devant la porte de sa chambre. Il s'élança vers son lit et souleva son matelas pour y trouver sa propre baguette. Il l'attrapa et eut à peine le temps de se retourner que walter était déjà là. Tremblant de fureur, walter leva sa baguette en l'air et cria Endoloris en la pointant vers Harry. Mais il ne fut pas assez rapide. Harry se jeta à terre , évitant de justesse le sort.

Alors Potter ! On essaie de fuir ? Mais tu ne m'échapperas pas !

Vous etes un mangemort, lui répondit Harry en se relevant.

Oui et c'est la raison pour laquelle je vais te faire souffrir avant de te ramener au maître !

Alors là vous pouvez toujours rêver ! Jamais je ne me laisserais faire.

Haahahahahaaa mais là c'est toi qui rêves Potter. Que crois tu ? Tu es à ma merci ! Dumbledore n'est pas là pour te protéger.

Harry ne sut pas quoi répondre..

Et bien Potter ! Tu te demandes comment j'ai fait pour te retrouver ? hein, c'est ça ? De quelle façon j'ai pu échapper aux protections mises en place par ce vieux fou de sorcier amoureux des sangs de bourbe ? Oui

Figures toi que ta protection est très bien assurée. mais peut être pas assez peut être. Ils ont cru au ministère que de te mettre sous la protection d'un gardien du secret te cacherait aux yeux de mon maître. Et ils ont bien failli réussir.. Mais malheureusement pour eux, la chance m'a favorisé ! Quand je te ramènerais à mon maître, je suis sur qu'il me récompensera.. Quelle surprise ça va être pour lui !

Ha parce qu'il n'est pas au courant, lui demanda Harry, cherchant à le faire parler.

Non ! Comme je t'ai dit c'est la chance qui m'a favorisé ! Tu m'es presque tombé entre les mains dirais je. C'est Marge qu'il faut remercier surtout. haaaa quand je pense que j'ai du la supporter autant de temps. Que crois tu ? Qu'un homme peut vraiment s'intéresser à elle ? Faudrait être aveugle pour ça.

Et qu'a t'elle fait alors ?

Tout simplement j'ai surpris une conversation entre elle et une amie alors que j'étais dans un restaurant de Londres. Jamais je m'y serais attardé si je ne l'avais pas entendu parlé d'un vaurien recueilli par son frère il y a 14 ans du nom de potter. Elle était en train de décrire le fardeau que tu étais pour lui ! Alors j'ai tendu l'oreille, et lorsqu'elle a répété le mot vaurien elle a rajouté « defiguré par une affreuse cicatrice sur le front », j'ai su que c'était toi !

Et c'est la que vous avez décidé de mener votre opération en cachette ?

Oui tu as bien deviné. Alors j'ai agi comme si j'étais intéressé par elle, et attendu jusqu'à aujourd'hui qu'elle se rende chez les Dursley.

Harry réfléchissait à toute vitesse. Walter avait agi en secret de Voldemort, espérant être récompensé en lui ramenant le Survivant, alors que tous les autres mangemorts avait échoué jusqu'à présent. Si Harry savait qu'il ne pouvait pas compter sur le secours de Dumbledore pour échapper à Walter, il savait aussi que celui ci ne serait pas non plus aidé par les partisans de Voldemort.

Assez parlé Potter, je vais maintenant te ramener à mon maître.

Walter leva à nouveau sa baguette, et visant Harry lança un nouvel Endoloris. Mais Harry réussi à nouveau à l'esquiver et lança à son tour un Stupéfix. Ce fut très rapide. Walter, trop confiant en sa supériorité, ne put contrer le sort. Il tomba à terre comme une statue. Harry ne réfléchit même pas. Il rassembla toutes ses affaires dans sa valise et enferma Hedwige dans sa cage. Il mit une petite boite de fer dans sa poche en se disant : « Dumbledore a eu raison de me dire que ca pourrait servir »

Qu'allait il faire maintenant ? Il ne pouvait laisser walter la gisant sur le sol de la maison des Dursley et s'enfuir tout seul. Il n'aimait pas sa famille, mais il ne pouvait les mettre en danger. Il décida donc d'emmener la mangemort avec lui. D'un coup de baguette il fit leviter ses bagages et walter, et sortit de sa chambre. Lorsqu'il se trouva en bas des escaliers les Dursley et tante Marge étaient toujours la. Ils devaient avoir la conversation car walter avait crié très fort. Ils n'osaient faire un mouvement, fixant walter qui flottait dans les airs. Harry se tourna vers eux et leur dit tout simplement :

ne vous inquiétez pas il n'est pas mort, je l'emmène avec moi.

Il sortit alors la boite métallique de sa poche et se dirigea vers la cheminée.

Avant de quitter Poudlard, Dumbledore lui avait donné un peu de poudre de cheminette lui assurant que ce n'était qu'une précaution supplémentaire, et que s'il arrivait quelque chose il pourrait l'utiliser. La cheminée des Dursley était restée connectée au réseau de transport inter-foyer des sorciers.

Sous les yeux de l'oncle Vernon,de sa femme, de sa s?ur et de Dudley il lança un peu de poudre dans l'orifice de la cheminée et s'y engouffra en disant :

« Au chaudron baveur »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

FIN DE CHAPITRE

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Et voilà fin du chapitre... Alors vous avez aimé ? Il fallait bien que Harry quitte les Dursley de maniere brusque ! lol c'est la tradition !

Remarques à me faire ? encouragements ou critiques ? n'hesitez surtout pas à envoyer une petite review ;-)

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Voici le petit poeme du jour..

Dire je t'aime Il n'y a pas de méthode pour ça. C'est tellement personnel. Au début de la relation on rêve de s'entendre dire cette phrase si belle, si douce qui enveloppe tous les sentiments de l'amour soudain ressentis. Certains le diront rapidement, d'autres attendront que leur c?ur explose pour enfin sortir ces mots magiques. Il n'y a pas de bon moment pour dire «je t'aime». Entendre ces mots quand on ne s'y attend pas.quel bonheur ! ou pourquoi pas le dire tout le temps. l'écrire partout. les amoureux peuvent avoir des réflexes tellement différents et si surprenants. Certains diront qu'il y a des moments privilégiés pour exprimer ses sentiments, et d'autres penseront qu'il n'y a pas de moment précis pour cela... Selon les individus on le dira, le chuchotera ou encore on le criera au moment où on le voudra, où on le choisira.. Quoi de plus beau que de déclarer son amour, on ne dit pas « je t'aime» comme on dit bonjour. Pourtant.pourtant, ajouter « je t'aime » au bonjour qui s'adresse à son bien aimé, c'est s'engager avec lui pour un bon début de journée. DIRE "Je t'aime!" mon Dieu, cela ne suffit pas ! Le verbe peut être trompeur! Nous savons tous que cela peut, à un moment ou à un autre être un mensonge... Alors FAIRE SENTIR que l'on aime est autre chose : c'est un tout, des gestes (pas forcément sexuels !), des paroles, des actes de vie quotidienne, des attitudes, attentions, câlins, écoute, tendresse, douceur qui deviennent des «Je t'aime» magnifiques. C'est une autre façon de prouver à son partenaire qu'on tient à lui, ou a elle. Lorsque l'on prend du recul par rapport aux événements de sa vie, il est parfois difficile de dire «Je t'aime». La peur s'installe même au niveau des mots lorsque l'on connaît leur portée. Il est même parfois difficile de recevoir des "Je t'aime" lorsque les derniers n'ont été peut-être que peu pensés. On se blinde, c'est dommage car c'est tellement bon de se savoir aimé(e) et d'aimer! Alors il est vrai que les "Je t'aime" après on s'en méfie quelque peu....Quand on a été trahi(e) et humilié(e), et qu'on a dit «Fontaine, je ne boirai plus de ton eau.... » il est difficile de croire à un «Je t'aime », mais il faut laisser à l'autre le temps de prouver par son comportement que l'amour engagé est vrai. Pas besoin d'en faire des tonnes, un peu suffit pour rendre le « Je t'aime » crédible. L'amour, ça ne peut se résumer à un "Je t'aime", ni même à un "veux-tu m'épouser ? « Je t'aime » doit être accompagné d'un regard, d'un sourire, d'une discussion (discute-t-on encore dans un couple au bout de plusieurs années de mariage ?), d'un effort consenti, d' un compromis trouvé...

Le dire et le redire et surtout pas pour avoir la réponse "moi aussi" !! Ce devrait être une explosion spontanée du c?ur, or parfois les mots se coincent et obstruent notre gorge au point de ne pas pouvoir sortir. Le dire parce que l'on en a envie, et pas parce que l'autre l'attend. « Je t'aime », trois mots à vivre comme un cadeau partagé. Encore faut-il pour cela être deux sur la même longueur d'onde. Ni derrière, ni devant mais côte à côte. Certaines personnes ne le disent pas ou peu de peur de perdre leur indépendance amoureuse. « Je t'aime » devrait être ressenti comme une offrande, sans jamais se lasser. Le vrai « je t'aime » est communicatif, oser le dire pour l'entendre en retour c'est du bonheur pur, et. PAS qu'à son Amour, les autres aussi ont besoin de l'entendre.
Le plus dur c'est de regretter d'avoir oublié de le dire. « Je t'aime ».