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Heyyy voici le chapitre 5 .
Enjoy and review sil vous plait ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
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Chapitre 5 : Du chaudron baveur à Poudlard.
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Harry était assis à l'une des tables du chaudron baveur. Il était déjà tard et Harry avait soupé en compagnie de Tom. Ayant déjà rassemblé toutes ses affaires en vue de sa rentrée le lendemain, pour faire passer le temps, il jouait aux échecs avec celui ci. C'était une version sorciers des échecs. Depuis que son ami Ron lui avait fait découvrir la différence entre les échecs moldus et sorciers Harry avait une nette préférence pour la version magique. Et c'était rare qu' Harry gagne à ce jeu. Ron était imbattable en général. Mais ce n'était pas le cas de Tom. Harry venait de terrasser l'un des cavaliers de son adversaire grâce à sa reine : celle ci avait une habitude très perverse de poignarder dans le dos les autres pièces du jeu. Heureusement que toutes les femmes ne sont pas comme ça se disait Harry. mais il fut interrompu dans ses pensées par l'arrivée d'un homme dans la salle, arrivée qui ne pouvait nullement paraître inaperçue vue la taille phénoménale de celui. L'homme s'avança vers Harry et Tom et leur sourit :
- Bonjour Tom, Bonjour Harry!
- Bonsoir Hagrid lança Tom. On vous attendait justement. Je vous laisse tous les deux ! Ce garçon vient de me ridiculiser trois fois d'affilée, dit il en regardant Harry puis en laissant son regard se poser sur son pauvre cavalier qui gémissait au sol, une dague plantée entre les deux omoplates.
- Alors Harry ? Tu vas bien ? lui demanda Hagrid.
-Oui très bien Hagrid ! Et vous ?
- Je suis rentré hier soir de ma mission, et je dois dire qu'un peu de repos me ferait du bien !
- Les gâteaux étaient vraiment délicieux, il faudra remercier votre mère !
- Je n'y manquerais pas, répondit Hagrid en souriant.
Hagrid s'assit face à Harry et commanda une bierraubeure bien fraîche que Tom lui amena aussitôt.
- Tu as préparé tes valises Harry ?
- Oui tout est prêt, il ne vous reste plus qu'a me jeter devant la gare, déclara Harry en éclatant de rire.
- C'est parfait. Vu l'heure je pense qu'il serait sage pour toi d'aller te coucher maintenant.
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Le lendemain Hagrid réveilla Harry de bonne heure, puis tous deux déjeunèrent rapidement pour ne pas être en retard. Hagrid, qui n'arrivait toujours pas à s'habituer aux transports en commun moldu, laissa Harry s'occuper de tout, et bientôt tous deux se retrouvèrent à la gare de King Cross. Hagrid regarda Harry avec un sourire moqueur et lui demanda de ne pas faire de bêtises dans le train. Sur quoi il partit, laissant Harry se diriger vers la barrière menant au quai 9 ¾ .
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Harry Ron et Hermione trouvèrent un compartiment libre au fond du Poudlard Express et s'y installèrent. Ils furent rejoint peu de temps après par leurs camarades de Gryffondor, Dean Thomas, Seamus Fennigan et Neville Londubat. Les retrouvailles furent joyeuses et tous les six se mirent à raconter leurs vacances. Hermione, qui était la seule fille, commença à décrocher de la conversation lorsque celle ci se centra sur le quiddicht. Elle aimait bien le quiddicht, mais de la à passer des heures à en parler... non c'était trop pour elle. Elle décida d'aller se dégourdir les jambes dans le couloir.
-Bon, moi je vais faire un tour ! Vous commencez à me taper sur les nerfs à tout le temps parler de sport de sport et de sport..
- Ok Hermione, lui répondirent les garçons en éclatant de rire.
Hermione sortit du compartiment et longea le couloir pour se rendre dans le wagon de Lavande et Pavarti. Mais alors qu 'elle s'appretait à ouvrir la porte de leur wagon, deux élèves lui barrèrent le passage.
- Crabbe, Goyle... murmura hermione
- Comment on se retrouve Granger, murmura une voix derrière elle.
Hermione avait parfaitement reconnu cette voix si méprisante. Elle tressaillit mais essaya de ne rien en laisser paraître. Se retournant d'un coup, elle fit face aux troisième personnage qui n 'était autre que Drago Malfoy.
- Dit à tes sbirres de me laisser passer Malfoy
- Mais voyons Granger, tu ne trouve pas notre compagnie agréable. Ce n'est pas tous les jours que tu as l'accasion de te trouver avec de vrais sorciers de sangs purs et fiers de l'être.
- Laisse moi passer Malfoy, lui répondit elle. Je ne te le demanderais pas deux fois.
- Ho hooo Miss granger la sang de bourde commence à s'enerver. Pas si vite, nous avons des comptes à régler, et cette fois il n'y aura pas tes deux crétin d'amis pour te protéger.
La voix de Malfoy était devenue tres menaçante. Hermione savait que dans le poudlard express elle ne craignait rien, mais avec des serpentards, surtout avec Malfoy, il fallait toujours s'attendre à tout. Hermione esquissa un mouvement pour contourner le serpentard, mais celui ci lui attraper violemment le poignet avec un air encore plus menaçcant.
- Ou comptes tu aller comme ça Sang de b.
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Au même moment hermione aperçu deux silouhettes arriver en courant vers elle, elle l'une d'elle pointer sa baguette vers le serpentard en criant
- Tarentallegra ! ! ! ! !
Le serpentard se mit soudain à s'agier dans tous les sens, perdant le contrôle de ses jambes. Il gesticulait comme un pantin qui n'était plus maitre de lui meme. Hermione en profita pour se jetter dans les bras de ses deux sauveurs, qui n'étaient autres que Harry et Ron. Voyant cela Crabe et Goyle firent mines de porter leurs mains à leurs poches pour attraper leurs baguettes Mais Harry, toujours sa baguette à la main et pointée vers les Serpentards, leur intima de ne rien faire.
- Si j'étais vous, je n'essaierais meme pas. A moins que vous ne vouliez vous ridiculiser comme votre abruti de copain.
Crabbe et Goyle ne bronchèrent pas. Malfoy, quant à lui, était toujours en train de se dandiner à un rythme effrené, mais une colère noire s'était dessinée sur son visage. Harry et Ron ne purent s'empecher de rirent de voir leur ennimi ainsi . Mais pour ne pas ameuter les autres élèves, ils s'arretèrent et harry lança un « finite incantatem » . Malfoy s'arreta alors de gesticuler, au grand regret des trois gryffondor. Harry maintenait toujours sa baguette pointée vers les serpentards.
- Tu me le paiera Potter ! cracha Malfoy .
- J'attends cela avec impatience, repliqua harry avec un sourire.
Malfoy allait répliquer, mais il fut interrompu par l'arrivée d'un élève plus agé qui portait l'insigne des préfets en chef, Nicolas Ewin.
- Que faites vous dans les couloirs ? Vous n'avez pas vu l'heure ? Nous arrivons dans dix minutes à Pourdlard. Retourner dans vos compartiments et depechez vous de vous changer.
Voyant qu 'il ne bougeait pas, les six adolescent durent obtemperer, mais non sans emettre des grognements.
Harry, Ron et Hermione retournèrent dans le wagon ou les attendaient seamus, dean et Neville.
- Et bien Hermione ! heureusement qu' Harry et moi nous nou sommes inquiétés pour toi ! lui dit Ron. Harry avait un mauvais pressentiment et il a préféré te suivre au cas ou ces maudits serpentard ..
- Bahh laisse tomber Ron, rien de facheux n'est arrivé et c'est l'essentiel, le coupa harry.
- En tout cas je vous remercie les gars. Hermione avait toujours son air de reconnaissance sur le visage. Si vous n'étiez pas arrivés, je ne sais pas ce que Malfoy et ses deux gorille auraient pu faire.
- Ce n'est rien, c'est normal lui répondit Harry. En tout cas mettre la pathée à ce m'as - tu - vu de Malfoy avant même d'etre arrivé à Poudlard ne peut que nous faire du bien.
Tous partirent en éclats de rire et se dépechèrent d'enfiler leurs robes de sorciers, le train allait bientôt entrer en gare.
Lorsque le Poudlard express arriva à la gare de Préaulard, les six adolescents était prêts. Ils descendirents du train, ignorant les regard haineux des serpentards. Harry aperçu Hagrid venus chercher les premières années afin de les conduire au château en barque. Il lui fit un signe et de demi-géant s'avança vers eux. Ils prit Ron et hermione dans ses grands bras et failli meme les etouffer.
- Alors les enfants, vous avez fait un bon Voyage ?
- Heuuuu. oui excellent, repondirent les trois gryffondor en rougissant légèrement.
Hagrid le remarqua mais ne fit aucun commentaire. Cependant un sourire eclaira son visage.
- allez, dépêchez vous de monter dans les calèches. Moi je dois amener les premières années par le lac.
Ron harry et Hermione se dépêchèrent de monter dans la calèche ou les attendait dejà Neville. Des que tous les élèves furent installés, l'ensemble des calèches se mit en mouvement vers le château. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . FIN DE CHAPITRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Bon Nos trois amis arrivent à Poudlard.. La présentation de tous les nouveaux personnage va donc pouvoir commencerrr.. Merci pour les reviewss ! ! ! ! !
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.. Un petit c?ur se promenait dans un jardin. Il découvrait tout juste le monde, à peine libéré d'une raison qui le protégeait depuis sa naissance. Petit c?ur était tout émerveillé et gambadait parmi les fleurs. Il sentait les parfums enivrants, s'attardait sur une jonquille rieuse ou sur une marguerite moqueuse. Petit c?ur se disait au fond de lui que la raison avait été bien égoïste de l'avoir écarté de toutes ces beautés. « Si je ne m'étais pas échappé, jamais je n'aurais connu tout cela » expliquait-il à une violette sauvage qui s'étonnait de son émerveillement. Délaissant la violette qui souhaitait se reposer à l'ombre d'un mûrier, petit c?ur continua son chemin. Il atteignit un petit ruisseau et décida se d'y désaltérer, songeant que plus jamais il ne retournerait vers la raison. Etendu sur l'herbe verte, petit c?ur se mit à rêver, bercé par un chant qui ne lui était pas inconnu. Ce chant venait des profondeurs du jardin. Au bout d'un moment petit c?ur se redressa et demanda à un couple de papillons qui virevoltait au-dessus de lui : « qui donc peut chanter d'une voix si douce ? » . A cette question, les papillons éclatèrent de rire mais répondirent tout de même. « Voyons petit c?ur, tu ne connais pas la rose ? Elle est de ce jardin la plus belle fleur que l'on n'ait jamais vue. » « Ou puis-je la trouver? » demanda alors petit c?ur. « Suis ce chemin » répondirent les papillons, désignant un sentier caché par le feuillage d'un buisson, « et laisse toi guider par sa voix » . Tout envoûté par ce chant, petit c?ur se leva et suivit le sentier. Il marchait d'un pas joyeux et bientôt se trouva devant un rosier. Le chant s'arrêta alors, et le rosier écarta ses feuilles, dévoilant une magnifique fleur dont la beauté surpassait celle de tous les êtres du jardin. La rose déposa son regard sur petit c?ur qui su alors qu'il contemplait l'ange céleste qui chantait dans ses rêves. « Cela fait longtemps que je t'appelle petit c?ur » dit-elle. « Je t'ai appelé depuis ta naissance, et pour moi tu t'es enfui de ta prison. Viens donc me prendre dans tes bras et me donner le plus merveilleux des présents ». Obéissant à cette voix qui berçait déjà ses rêves alors qu'il était sous l'emprise de la raison, petit c?ur se précipita vers la rose et déposa sur ses lèvres le plus doux des baisers. Une larme coula sur sa joue. Petit c?ur se senti défaillir, et tombant à terre, murmura à la rose « je t'aime ». La raison surgit à ce moment la et découvrit, allongé au pied de la rose, petit c?ur qui, dans son amour pour celle ci, n'avait vu une épine lui transpercer la poitrine. La raison se tourna alors vers la rose et, les yeux embués de larmes, lui dit : « qu'as-tu fait trop belle criminelle ? Toute ma vie j'ai protégé petit c?ur. Mais tu l'as séduit par ton chant, et déjouant ma vigilance, il est venu te rejoindre. pour en mourir. »
Heyyy voici le chapitre 5 .
Enjoy and review sil vous plait ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
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Chapitre 5 : Du chaudron baveur à Poudlard.
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Harry était assis à l'une des tables du chaudron baveur. Il était déjà tard et Harry avait soupé en compagnie de Tom. Ayant déjà rassemblé toutes ses affaires en vue de sa rentrée le lendemain, pour faire passer le temps, il jouait aux échecs avec celui ci. C'était une version sorciers des échecs. Depuis que son ami Ron lui avait fait découvrir la différence entre les échecs moldus et sorciers Harry avait une nette préférence pour la version magique. Et c'était rare qu' Harry gagne à ce jeu. Ron était imbattable en général. Mais ce n'était pas le cas de Tom. Harry venait de terrasser l'un des cavaliers de son adversaire grâce à sa reine : celle ci avait une habitude très perverse de poignarder dans le dos les autres pièces du jeu. Heureusement que toutes les femmes ne sont pas comme ça se disait Harry. mais il fut interrompu dans ses pensées par l'arrivée d'un homme dans la salle, arrivée qui ne pouvait nullement paraître inaperçue vue la taille phénoménale de celui. L'homme s'avança vers Harry et Tom et leur sourit :
- Bonjour Tom, Bonjour Harry!
- Bonsoir Hagrid lança Tom. On vous attendait justement. Je vous laisse tous les deux ! Ce garçon vient de me ridiculiser trois fois d'affilée, dit il en regardant Harry puis en laissant son regard se poser sur son pauvre cavalier qui gémissait au sol, une dague plantée entre les deux omoplates.
- Alors Harry ? Tu vas bien ? lui demanda Hagrid.
-Oui très bien Hagrid ! Et vous ?
- Je suis rentré hier soir de ma mission, et je dois dire qu'un peu de repos me ferait du bien !
- Les gâteaux étaient vraiment délicieux, il faudra remercier votre mère !
- Je n'y manquerais pas, répondit Hagrid en souriant.
Hagrid s'assit face à Harry et commanda une bierraubeure bien fraîche que Tom lui amena aussitôt.
- Tu as préparé tes valises Harry ?
- Oui tout est prêt, il ne vous reste plus qu'a me jeter devant la gare, déclara Harry en éclatant de rire.
- C'est parfait. Vu l'heure je pense qu'il serait sage pour toi d'aller te coucher maintenant.
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Le lendemain Hagrid réveilla Harry de bonne heure, puis tous deux déjeunèrent rapidement pour ne pas être en retard. Hagrid, qui n'arrivait toujours pas à s'habituer aux transports en commun moldu, laissa Harry s'occuper de tout, et bientôt tous deux se retrouvèrent à la gare de King Cross. Hagrid regarda Harry avec un sourire moqueur et lui demanda de ne pas faire de bêtises dans le train. Sur quoi il partit, laissant Harry se diriger vers la barrière menant au quai 9 ¾ .
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Harry Ron et Hermione trouvèrent un compartiment libre au fond du Poudlard Express et s'y installèrent. Ils furent rejoint peu de temps après par leurs camarades de Gryffondor, Dean Thomas, Seamus Fennigan et Neville Londubat. Les retrouvailles furent joyeuses et tous les six se mirent à raconter leurs vacances. Hermione, qui était la seule fille, commença à décrocher de la conversation lorsque celle ci se centra sur le quiddicht. Elle aimait bien le quiddicht, mais de la à passer des heures à en parler... non c'était trop pour elle. Elle décida d'aller se dégourdir les jambes dans le couloir.
-Bon, moi je vais faire un tour ! Vous commencez à me taper sur les nerfs à tout le temps parler de sport de sport et de sport..
- Ok Hermione, lui répondirent les garçons en éclatant de rire.
Hermione sortit du compartiment et longea le couloir pour se rendre dans le wagon de Lavande et Pavarti. Mais alors qu 'elle s'appretait à ouvrir la porte de leur wagon, deux élèves lui barrèrent le passage.
- Crabbe, Goyle... murmura hermione
- Comment on se retrouve Granger, murmura une voix derrière elle.
Hermione avait parfaitement reconnu cette voix si méprisante. Elle tressaillit mais essaya de ne rien en laisser paraître. Se retournant d'un coup, elle fit face aux troisième personnage qui n 'était autre que Drago Malfoy.
- Dit à tes sbirres de me laisser passer Malfoy
- Mais voyons Granger, tu ne trouve pas notre compagnie agréable. Ce n'est pas tous les jours que tu as l'accasion de te trouver avec de vrais sorciers de sangs purs et fiers de l'être.
- Laisse moi passer Malfoy, lui répondit elle. Je ne te le demanderais pas deux fois.
- Ho hooo Miss granger la sang de bourde commence à s'enerver. Pas si vite, nous avons des comptes à régler, et cette fois il n'y aura pas tes deux crétin d'amis pour te protéger.
La voix de Malfoy était devenue tres menaçante. Hermione savait que dans le poudlard express elle ne craignait rien, mais avec des serpentards, surtout avec Malfoy, il fallait toujours s'attendre à tout. Hermione esquissa un mouvement pour contourner le serpentard, mais celui ci lui attraper violemment le poignet avec un air encore plus menaçcant.
- Ou comptes tu aller comme ça Sang de b.
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Au même moment hermione aperçu deux silouhettes arriver en courant vers elle, elle l'une d'elle pointer sa baguette vers le serpentard en criant
- Tarentallegra ! ! ! ! !
Le serpentard se mit soudain à s'agier dans tous les sens, perdant le contrôle de ses jambes. Il gesticulait comme un pantin qui n'était plus maitre de lui meme. Hermione en profita pour se jetter dans les bras de ses deux sauveurs, qui n'étaient autres que Harry et Ron. Voyant cela Crabe et Goyle firent mines de porter leurs mains à leurs poches pour attraper leurs baguettes Mais Harry, toujours sa baguette à la main et pointée vers les Serpentards, leur intima de ne rien faire.
- Si j'étais vous, je n'essaierais meme pas. A moins que vous ne vouliez vous ridiculiser comme votre abruti de copain.
Crabbe et Goyle ne bronchèrent pas. Malfoy, quant à lui, était toujours en train de se dandiner à un rythme effrené, mais une colère noire s'était dessinée sur son visage. Harry et Ron ne purent s'empecher de rirent de voir leur ennimi ainsi . Mais pour ne pas ameuter les autres élèves, ils s'arretèrent et harry lança un « finite incantatem » . Malfoy s'arreta alors de gesticuler, au grand regret des trois gryffondor. Harry maintenait toujours sa baguette pointée vers les serpentards.
- Tu me le paiera Potter ! cracha Malfoy .
- J'attends cela avec impatience, repliqua harry avec un sourire.
Malfoy allait répliquer, mais il fut interrompu par l'arrivée d'un élève plus agé qui portait l'insigne des préfets en chef, Nicolas Ewin.
- Que faites vous dans les couloirs ? Vous n'avez pas vu l'heure ? Nous arrivons dans dix minutes à Pourdlard. Retourner dans vos compartiments et depechez vous de vous changer.
Voyant qu 'il ne bougeait pas, les six adolescent durent obtemperer, mais non sans emettre des grognements.
Harry, Ron et Hermione retournèrent dans le wagon ou les attendaient seamus, dean et Neville.
- Et bien Hermione ! heureusement qu' Harry et moi nous nou sommes inquiétés pour toi ! lui dit Ron. Harry avait un mauvais pressentiment et il a préféré te suivre au cas ou ces maudits serpentard ..
- Bahh laisse tomber Ron, rien de facheux n'est arrivé et c'est l'essentiel, le coupa harry.
- En tout cas je vous remercie les gars. Hermione avait toujours son air de reconnaissance sur le visage. Si vous n'étiez pas arrivés, je ne sais pas ce que Malfoy et ses deux gorille auraient pu faire.
- Ce n'est rien, c'est normal lui répondit Harry. En tout cas mettre la pathée à ce m'as - tu - vu de Malfoy avant même d'etre arrivé à Poudlard ne peut que nous faire du bien.
Tous partirent en éclats de rire et se dépechèrent d'enfiler leurs robes de sorciers, le train allait bientôt entrer en gare.
Lorsque le Poudlard express arriva à la gare de Préaulard, les six adolescents était prêts. Ils descendirents du train, ignorant les regard haineux des serpentards. Harry aperçu Hagrid venus chercher les premières années afin de les conduire au château en barque. Il lui fit un signe et de demi-géant s'avança vers eux. Ils prit Ron et hermione dans ses grands bras et failli meme les etouffer.
- Alors les enfants, vous avez fait un bon Voyage ?
- Heuuuu. oui excellent, repondirent les trois gryffondor en rougissant légèrement.
Hagrid le remarqua mais ne fit aucun commentaire. Cependant un sourire eclaira son visage.
- allez, dépêchez vous de monter dans les calèches. Moi je dois amener les premières années par le lac.
Ron harry et Hermione se dépêchèrent de monter dans la calèche ou les attendait dejà Neville. Des que tous les élèves furent installés, l'ensemble des calèches se mit en mouvement vers le château. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . FIN DE CHAPITRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Bon Nos trois amis arrivent à Poudlard.. La présentation de tous les nouveaux personnage va donc pouvoir commencerrr.. Merci pour les reviewss ! ! ! ! !
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.. Un petit c?ur se promenait dans un jardin. Il découvrait tout juste le monde, à peine libéré d'une raison qui le protégeait depuis sa naissance. Petit c?ur était tout émerveillé et gambadait parmi les fleurs. Il sentait les parfums enivrants, s'attardait sur une jonquille rieuse ou sur une marguerite moqueuse. Petit c?ur se disait au fond de lui que la raison avait été bien égoïste de l'avoir écarté de toutes ces beautés. « Si je ne m'étais pas échappé, jamais je n'aurais connu tout cela » expliquait-il à une violette sauvage qui s'étonnait de son émerveillement. Délaissant la violette qui souhaitait se reposer à l'ombre d'un mûrier, petit c?ur continua son chemin. Il atteignit un petit ruisseau et décida se d'y désaltérer, songeant que plus jamais il ne retournerait vers la raison. Etendu sur l'herbe verte, petit c?ur se mit à rêver, bercé par un chant qui ne lui était pas inconnu. Ce chant venait des profondeurs du jardin. Au bout d'un moment petit c?ur se redressa et demanda à un couple de papillons qui virevoltait au-dessus de lui : « qui donc peut chanter d'une voix si douce ? » . A cette question, les papillons éclatèrent de rire mais répondirent tout de même. « Voyons petit c?ur, tu ne connais pas la rose ? Elle est de ce jardin la plus belle fleur que l'on n'ait jamais vue. » « Ou puis-je la trouver? » demanda alors petit c?ur. « Suis ce chemin » répondirent les papillons, désignant un sentier caché par le feuillage d'un buisson, « et laisse toi guider par sa voix » . Tout envoûté par ce chant, petit c?ur se leva et suivit le sentier. Il marchait d'un pas joyeux et bientôt se trouva devant un rosier. Le chant s'arrêta alors, et le rosier écarta ses feuilles, dévoilant une magnifique fleur dont la beauté surpassait celle de tous les êtres du jardin. La rose déposa son regard sur petit c?ur qui su alors qu'il contemplait l'ange céleste qui chantait dans ses rêves. « Cela fait longtemps que je t'appelle petit c?ur » dit-elle. « Je t'ai appelé depuis ta naissance, et pour moi tu t'es enfui de ta prison. Viens donc me prendre dans tes bras et me donner le plus merveilleux des présents ». Obéissant à cette voix qui berçait déjà ses rêves alors qu'il était sous l'emprise de la raison, petit c?ur se précipita vers la rose et déposa sur ses lèvres le plus doux des baisers. Une larme coula sur sa joue. Petit c?ur se senti défaillir, et tombant à terre, murmura à la rose « je t'aime ». La raison surgit à ce moment la et découvrit, allongé au pied de la rose, petit c?ur qui, dans son amour pour celle ci, n'avait vu une épine lui transpercer la poitrine. La raison se tourna alors vers la rose et, les yeux embués de larmes, lui dit : « qu'as-tu fait trop belle criminelle ? Toute ma vie j'ai protégé petit c?ur. Mais tu l'as séduit par ton chant, et déjouant ma vigilance, il est venu te rejoindre. pour en mourir. »
