CHAPITRE 4 : les premiers symptômes

Et un petit quatrième chapitre de mystérieux amour. Que va t-il se passer, je ne vous le dirais pas !! !Et ouais. Bonne lecture ! ! !



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Ils ne s'étaient échangés que des banalités depuis leur baiser. Ron ne comprenait pas pourquoi ses deux amis avait une attitude bizarre, ils semblaient si. gênés. Et voilà maintenant qu'ils avaient disparus.

Hermione avait appelé Harry discrètement, il fallait qu'ils parlent.

He: Harry, je voudrais savoir ce que je suis censé faire ?

Ha: C'est bizarre, je voulais te poser la même question.

Un silence s'installa. Ils étaient tous les deux gênés.

Ha: tu sais Ron, .

Hermione repensa à la feuille et elle ne put s'empêcher d'avoir honte de cette liaison avec Harry.

He: Oui, il va peut-être être surpris.

Ha: c'est même sûr.

He: Mais.

Ha: Quoi ?

He: On ne peut pas se cacher, on est libre tout de même !

Ha: Je te comprends, j'aimerais moi aussi pouvoir être avec toi librement mais j'ai peur.

He: Peur du regard des autres ?

Harry ouvrit la porte la plus proche et entraîna Hermione avec lui. C'était un placard plein de poussières mais peut importe, il fallait qu'il parle seul à seul un moment. Hermione surprise ne pu cacher sa satisfaction. Ils étaient collés l'un à l'autre. Hermione l'embrassa sur la joue comme pour le remercier de cette initiative. Elle se sentait tellement heureuse d'avoir quelqu'un auprès d'elle.

Sa joue contre la sienne, il aurait voulu que ce moment dure une éternité. Seuls les araignées, dérangés dans leur cachette assistaient à cette effusion de sentiments. Il lui caressa le visage. Il ne la voyait pas très bien car il n'y avait qu'un petit faisceau de lumière qui passait autour de la porte.

Il était si attentionné. Elle passa sa main dans ses cheveux et il fit de même. Doucement, lentement, leurs deux bouches se touchèrent. Ils s'enlacèrent comme s'ils voulaient garder ce bonheur éternel.

He: Vous êtes plus entreprenant que je ne l'aurais cru mon cher.

Ha: Et vous donc, sans vouloir vous offenser vous étiez quelque peu coincé lors de notre première rencontre !

Comme si cette remarque l'avait brusquement offusqué, Hermione se recula brusquement d'Harry.

He : Harry je crois qu'il faut qu'on arrête là, je ne suis pas sûr d'éprouver la même chose pour toi !

Sur cette phrase, elle laissa un Harry désemparé dans un placard sombre pleins d'araignées.

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Ron se sentait délaissé. Il croisa Draco, plus noir que d'habitude, il ne lui adressa aucune remarque désobligeante. Il aurait mieux aimé car à présent il se sentait vraiment invisible. Il s'adossa contre le mur et se laissa glisser. Il en avait marre, oui, plus qu'assez d'être pris pour un moins que rien, il fallait qu'il réagisse, qu'il montre qui il était vraiment. Brusquement, il se releva à la recherche de Draco.

R : Draco, qu'est-ce que tu fais à traîner seul sans tes gorilles ?

Draco se retourna, il n'avait aucune envie de se battre aujourd'hui, il en était incapable.

D : Laisses moi, je ne t'ai rien dit aujourd'hui alors fiches moi la paix !

R : Je n'en ai plus envie, je vais te faire payer pour tout ce que tu m'as fait pendant toutes ses années !

Ron s'avança vers Draco d'un pas décidé, il allait se battre. Il allait prouver qu'il ne se laisserait plus jamais insulté par un serpentard. Il envoya un coup de pied dans la jambe droite de Draco.

Le serpentard, surpris s'écroula, faible, sur le sol. Il cria de douleur. Ron ne pensait pas avoir cogné trop fort. En voyant son ennemi à terre, il se sentit triomphant près à affronter n'importe quel danger mais sur le moment il pensa qu'il était préférable de filer avant de se retrouver encercler par une bande de serpentard hargneux.

Jamais, jamais plus il ne se laisserait marcher sur les pieds !

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Hermione se précipita dans les toilettes des filles, elle n'avait aucune envie qu'Harry vienne la chercher. Au moins, ici, elle serait tranquille. Elle avait enfin dit ce qu'elle avait sur le c?ur et elle sentait quelque chose changer en elle. Elle se sentait plus forte. Sur cette constatation, elle se rafraîchit la figure. Elle avait vraiment envie de changer, elle ne voulait plus avoir cette image de fille coincé.

Cho entra alors dans les toilettes, elle sourit timidement à Hermione et partit dans un fou rire avec ses amies. Autrefois, elle l'aurait traité de pétasse mais aujourd'hui, elle avait besoin d'elle.

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Ron s'était muscler durant l'année dernière car il s'était inscrit en tant que batteur suppléant dans l'équipe de quidditch, il avait pensé qu'en étant plus musclé et faisant parti de l'équipe, les filles accourraient mais à dire vrai, il n'avait jamais joué durant les matchs de rencontre et ses vêtements ne mettaient pas vraiment sa musculature en avant. Mais tout ca allait changer. Il se promenait dans le parc, pensant à ce qu'il devait faire pour être plus populaire. Il fallait qu'il se trouve de nouveaux amis, c'était évident, la popularité d'Harry au près des filles l'étouffait.

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Harry resta un moment, interdis, seul dans le placard. Hermione venait de le plaquer. Peut-être étais ce mieux ainsi. Pourtant, il sentait que quelque chose n'allait pas, quelque chose ne tournait pas rond. Il se décida à sortir de son placard, en faisant attention à ce que personne ne le remarque. Il se mit à chercher ses amis, désespérément, avaient-ils disparus ?

Alors qu'il se dirigeait vers le parc, il croisa Rogue qui souriait. C'était le monde à l'envers. Que se passait-il, il flottait une atmosphère si bizarre ?

Soudain, Ginny se précipita vers lui, elle semblait de mauvaise humeur.

G : Harry, tu ne peux pas continuer à m'ignorer comme ça ! Je t'aime Harry.

Elle lui tendit une lettre, elle n'osait le regarder en face et son visage rougissait de plus en plus.

G : Je t'attendrais.

Après ses dernières paroles, elle repartit aussi vite qu'elle était venue.

Là, Harry se sentait vraiment déboussolé. La lettre en main, il partit dans son dortoir, il avait besoin d'être seul. Elle l'attendrait. Pourquoi ? L'aveu de Ginny lui semblait si étrange. Elle qui normalement était si timide !



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Mademoiselle Mitsuki savait ce qui se passait dans Poudlard, elle savait aussi qu'elle ne pouvait rien faire, aujourd'hui, c'est la nature qui déciderait.

A : Katya ?

Un jeune homme aux cheveux bruns entra dans la pièce.

K : Anthony ? Mais qu'est-ce que tu fais là ?

Malgré sa surprise, elle était heureuse de le retrouver, il lui avait tant manqué ! Elle l'enlaça.

K : Tu as encore grandi ! Plus que quelques centimètres nous séparent.

A : C'est bien ça le problème.

K : De quoi tu parles ?

A : Tout nous sépare Katya.

Il y avait de la dureté dans les yeux d'Anthony. Elle s'approcha doucement de lui et lui retira ses lunettes. Elle pouvait maintenant lire de la tristesse dans les yeux de son ami. Elle voulut l'embrasser mais il recula.

K : Je t'en pris, écoutes moi, c'est la lune.

A : Arrêtes ! La lune m'a fait réfléchir, je me voilais la face, je te mentais, je ne voulais pas te blesser.

K : Non.

Elle se sentit effrayé, elle savait ce qu'il allait dire, elle ne voulait pas.

A : Le pire c'est que malgré toutes les larmes que tu pourras verser, je sais, je sais que tu le savais, car je ne suis pas ton véritable amour.

Elle retint ses larmes, elles ne serviraient à rien, il ne reviendrait pas. Il avait raison, elle le savait. Pourtant, elle avait peur de se retrouver seule. Tous ses instants ensemble, tout cela plus jamais n'existerait. Trouverait-elle un jour ce véritable amour ?

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Merci pour vos encouragements ! ! Cela me fait très plaisir ! ! !

¤¤¤¤Aziliz¤¤¤¤