Chapitre 1
Elle n'était là que depuis trois jours et déjà elle regrettait d'avoir accepté la mission que lui avait confié les dirigeants de son ordre. Il est vrai que surveiller les faits et gestes d'un adolescent de quinze qui restait cloîtré dans sa chambre par peur des réprimandes de son horrible tante, n'avait rien de très passionnant. Elle se demander d'ailleurs comment son prédécesseur avait pu le faire pendant tout ce temps sans jamais s'en lasser ni s'en plaindre. Arrabela Figg avait du s'absenter de toute urgence, l'affaire d'une semaine tout au plus, et c'était elle Minerva McGonagall, co directrice de Poudlard qui avait hériter du poste vacant. Elle avait donc emménagé au 6 Privet Drive, pour pouvoir ainsi surveillé Potter.
Circonstances obligent. Ce qu'ils craignaient le plus, c'était produit, après quinze ans de vadrouilles le seigneur ténébreux était de retour du royaume des ombres d'où l'on l'y croyait confiner à jamais. Voldemort était de retour animé d'un torrent de haine envers le monde. Il était revenu et le cour laps de temps passé a errés n'avait en rien altérer sa soif de vengeance ni ses convictions dont seul la mort pouvait l'en séparerai. Il avait foi en lui, en sa cause, en Salazar.
La directrice de gryffondor en était la dans ses pensées quand un hibou grand duc au plumage mordoré entra par la fenêtre entrebâillé, portant une missive qu'elle reconnut par habitude être de Dumbledore. Elle délivra l'animal de son lourd fardeau qui repartit dans un bruissement d'aile sonore vers les confins de la nuit noire et silencieuse. Elle alla s'asseoir dans un des vieux fauteuils miteux qui meublait l'appartement. Il plongeait lentement dans les ténèbres et le silence à mesure que le jour décroissait. Le peu de lumière était diffusait par l'âtre dont seul le crépitement des flammes bleuâtres brisait le lourd silence qui s'installait. Elle décacheta l'enveloppe d'un geste sec et pris connaissance de son contenu.
Cher professeur Mc Gonagall
Je tenais à vous remerciez d'avoir bien voulu prendre la suite d'Arrabella et a vous demandez de bien vouloir emmenez le jeune Potter a Poudlard la semaine prochaine. Je crains fort que Voldemort n'ait appris l'existence des Durshley. Je vous souhaite par ailleurs un très bon anniversaire Minerva.
Albus Dumbledore
Apres une lecture attentive, ou elle fut toute émut de voir que le grand Albus Dumbledore se souvenait de la date de son anniversaire. Mais en femme strict et sévère qu'elle était, elle se ressaisit on ne peut plus vite et commença une longue série d'incantations visant a protéger d'avantage le survivant, sans toutefois s'imaginait qu'a quelques pas de la quelqu'un se réveillé en sursaut.
Il était en nage, les battements de son c?ur résonnaient dans la pièce comme un moteur diesel. Il grognez et geignez telle un hippopotame blessé, il avait d'ailleurs la posture de ce fière animal durant son agonie : les quatre pattes en l'air et le mufle dépassant des couvertures.
Dudley venait d'avoir le pire cauchemar de son existence toute entière : en plus de son redoublement prémédité, ses parents l'obligeaient a conserver son insupportable régime. Vision atroce d'une vie apocalyptique. Il était loin de se doutait qu'a quelque pas de là, son cousin se réveillez lui aussi en sursaut mais pour de tout autre raisons.
Tout tremblant et fiévreux qu'il était, il tentait, sans succès de se remémorait sa terrible prémonition. S'en étai bien une il en était sur, le temps lui avait confirmé la véracité de ses affreux cauchemars.
Il ne connaissait que trop bien se sentiment d'avoir vu quelque chose de primordial sans pouvoir s'en souvenir totalement. Cela lui était arrivé à mainte reprise par le passé. Le vague mais toutefois terrifiant souvenir, d'un cercle de mangemorts et de Voldemort s'imposait a son esprit encore embrumé par se réveil brutal.
**************
Le seigneur des ténèbres trônait au milieu de la pièce, caressant la petite tête froide et rappeuse de Nagini son horrible serpent il se trouvait au centre d'une pièce d'un vieux manoir décorait dans le plus pur style Versaillais. De nombreux chandelier ornait les murs de ce salon meublait d'un secrétaire, disposé prés d'une vielle cheminée dont seul le rougeoiement des braises montré qu'elle était encore utilisé, de vieux fauteuils en tissus vert dont les pieds terminées en gueule de serpent ainsi que la tapisserie vert argent indiqué l'appartenance du propriétaire des lieux a la sinistre maison de Serpentard. Le lustre fixait au plafond diffusait une lumière éparse dans la pièce, a peine suffisante pour que l'on puisse distinguait la haute silhouette du plus grand mage noire de notre siècle.
Celui-ci allait se mettre à parler, quand une dizaine de Détraqueurs l'interrompirent dans le dévoilement de son plan machiavélique qui ne devait viser encore une fois qu'a conquérir le monde et a faire admettre ses idéaux fasciste aux reste de la communauté magique.
Les détraqueurs firent donc irruption dans le salon du manoir, traînant à leurs pieds un Severus Rogue a demi mort.
C'est en apercevant le corps mutilé de son professeur de potion qu'Harry s'était réveillé. Il pensa tout d'abord à avertir Dumbledore, et c'est ce qui fit. Il griffonna sur un bout de parchemin tout se qu'il avait vu, puis ouvrit la petite porte de la gage d'Hedwige posé sur la commode. Elle poussa un hululement aigue, profondément indignée d'être réveillé de la sorte.
-Allons ne fais pas ta mauvaise tête et apporte sa a Dumbledore.
La chouette se résigna et sortit par la fenêtre apportant avec elle la lettre qui devait être si importante pour qu'on la réveille si tôt.
Attirer par l'écran phosphorescent de son réveils , seul survivant des crises de colère passagère de son horrible cousin, il remarqua qu'il était 5 heures du matin et tenta donc vainement de sombrer dans le sommeil réparateur qui lui manquait tant ses dernier jours. Peine perdue, il fixait le plafond, ses pensé toute centré sur les événements troublants de ces derniers jours. Le retour de Voldemort, l'incapacité de Fudge a admettre la situation actuelle et le plus important, le détail qui le troublait tant, la mort de Cédric. Depuis sa mort il ne cessait de culpabiliser, se redisant sans cesse qu'il aurait pu l'empêcher, qu'il aurait pu faire quelque chose, que s'ils n'avaient pas prit si stupidement la coupe ensemble, sur sa demande en plus, il ne serait pas mort. Il n'avait même pas pu affronté le regard de Cho, évitant scrupuleusement depuis ses beaux yeux bruns si larmoyant.
Pour chasser ses idées noir, il entreprit de se lever et de relire le courrier qu'il avait reçu la veille à l'occasion de son 15eme anniversaire.
(A/n Cette partie, celle de la réception des cadeaux et tout ça , me fais vraiment trop chier alors je l'ai raccourcie a max et je lui est donné des cadeaux pourris, m'en voulait pas ...)
En résumé tout le monde lui demandé s'il allait bien, s'inquiétaient pour son état de santé, et lui souhaitaient un bon anniversaire. Il avait reçu de Ron un abonnement à Quidditich mag ainsi qu'un mot lui expliquant qu'il ne pourrait pas venir au Terrier cet été par interdiction de Dumbledore. Hermione lui avait généreusement envoyée un nécessaire a baguette, car comme elle lui avait fait remarqué dans sa lettre, la sienne en avait vraiment besoin. Elle lui avait par ailleurs fait juré de ne pas dire à Ron qu'elle était en Bulgarie avec Victor pour quelque semaine. Le contraste entre l'écriture brouillonne de Ron et l'écriture bien soignée d'Hermione était saisissant, montrant bien les traits de caractère très divergeant de ses deux amis. Hagrid lui avait promis de lui donner son cadeau à la rentrée, étant là ou il se trouvait dans l'impossibilité de lui offrir quoi que se soit. Il n'avait pas eu de nouvelle de Sirius et en était très inquiet.
**************
Dudley s'était levé, une fringale passagère lui tiraillait l'estomac, il se devait dis remédier.
Il se dirigeât donc vers le frigidaire, tel un prédateur, prés à bondir sur sa proie, tous ses réflexes était mis en action, mais malgré cela, il ne vit jamais l'éclair vert qui le frappa de plein fouet.
Après avoir forcé la serrure, le groupe de mangemorts s'engouffra dans le logis de Potter. Sans état d'âme, il mirent un termes aux agissements sordides de Dudley Durshley sur le garde manger puis ils montèrent sans un bruit a l'étage, mais trahit par la troisième marche craquante, ils réveillèrent toute la maisonnée. Ce qu'il apparut être le chef d'entre eux vociféra un juron et ce précipita, suivit de ces subordonnés vers ce qu'il pensé être la chambre de Potter.
Tel ne fut pas sa surprise quand il tomba nez a nez avec une tante pétunia en sous-vêtement.
L'hystérie la prit quand elle vit ses hommes cagoulé envahir sa maison.
-Ahhhhhhhhhhhh Vernon, Vernon au secours hurla la tante Pétunia
Entendant les cris désespéré de sa dulcinée, le sang de l'oncle Vernon ne fit qu'un tour, ses réflexes des sections spéciales de l'armé lui revenait, il roula sur le plancher jusqu'a la commode puis il s'arma de la pétoire de grand popa. Il se dirigeât vers les intrus d'un air conquérant, soudain, un Mangemorts sortit de l'ombre. Il épaula mais sa cible disparue dans l'ombre, l'excitation de Vernon était à son comble, il croyait avoir rajeuni de dix ans. L'adrénaline lui fit perdre la raison et il s'élança tête baissé vers le groupe de mangemorts regroupé dans l'escalier qui le mirent a morts sans plus de cérémonies.
-Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh la tante Pétunia prolongea son hurlement, en voyant le corps de son époux, étendue, inerte sur le parquet, sans une once de vie, aussi froid que du granit , elle voyait pour la première fois le visage de la mort.
Une parcelle de lucidité la fit s'enfuir par la fenêtre. Et s'est ainsi que les voisins purent contemplé une petite culotte rose bonbon qui détalait, sous un ciel d'encre.
A l'instant ou Harry s'apprêtait a vérifier la provenance de ces bruit si insolite au beaux milieu de la nuit, son professeur de métamorphose apparut a ses coté et sans un mots, ils transplanèrent, au moment même ou l'on fracassé la porte .
Elle n'était là que depuis trois jours et déjà elle regrettait d'avoir accepté la mission que lui avait confié les dirigeants de son ordre. Il est vrai que surveiller les faits et gestes d'un adolescent de quinze qui restait cloîtré dans sa chambre par peur des réprimandes de son horrible tante, n'avait rien de très passionnant. Elle se demander d'ailleurs comment son prédécesseur avait pu le faire pendant tout ce temps sans jamais s'en lasser ni s'en plaindre. Arrabela Figg avait du s'absenter de toute urgence, l'affaire d'une semaine tout au plus, et c'était elle Minerva McGonagall, co directrice de Poudlard qui avait hériter du poste vacant. Elle avait donc emménagé au 6 Privet Drive, pour pouvoir ainsi surveillé Potter.
Circonstances obligent. Ce qu'ils craignaient le plus, c'était produit, après quinze ans de vadrouilles le seigneur ténébreux était de retour du royaume des ombres d'où l'on l'y croyait confiner à jamais. Voldemort était de retour animé d'un torrent de haine envers le monde. Il était revenu et le cour laps de temps passé a errés n'avait en rien altérer sa soif de vengeance ni ses convictions dont seul la mort pouvait l'en séparerai. Il avait foi en lui, en sa cause, en Salazar.
La directrice de gryffondor en était la dans ses pensées quand un hibou grand duc au plumage mordoré entra par la fenêtre entrebâillé, portant une missive qu'elle reconnut par habitude être de Dumbledore. Elle délivra l'animal de son lourd fardeau qui repartit dans un bruissement d'aile sonore vers les confins de la nuit noire et silencieuse. Elle alla s'asseoir dans un des vieux fauteuils miteux qui meublait l'appartement. Il plongeait lentement dans les ténèbres et le silence à mesure que le jour décroissait. Le peu de lumière était diffusait par l'âtre dont seul le crépitement des flammes bleuâtres brisait le lourd silence qui s'installait. Elle décacheta l'enveloppe d'un geste sec et pris connaissance de son contenu.
Cher professeur Mc Gonagall
Je tenais à vous remerciez d'avoir bien voulu prendre la suite d'Arrabella et a vous demandez de bien vouloir emmenez le jeune Potter a Poudlard la semaine prochaine. Je crains fort que Voldemort n'ait appris l'existence des Durshley. Je vous souhaite par ailleurs un très bon anniversaire Minerva.
Albus Dumbledore
Apres une lecture attentive, ou elle fut toute émut de voir que le grand Albus Dumbledore se souvenait de la date de son anniversaire. Mais en femme strict et sévère qu'elle était, elle se ressaisit on ne peut plus vite et commença une longue série d'incantations visant a protéger d'avantage le survivant, sans toutefois s'imaginait qu'a quelques pas de la quelqu'un se réveillé en sursaut.
Il était en nage, les battements de son c?ur résonnaient dans la pièce comme un moteur diesel. Il grognez et geignez telle un hippopotame blessé, il avait d'ailleurs la posture de ce fière animal durant son agonie : les quatre pattes en l'air et le mufle dépassant des couvertures.
Dudley venait d'avoir le pire cauchemar de son existence toute entière : en plus de son redoublement prémédité, ses parents l'obligeaient a conserver son insupportable régime. Vision atroce d'une vie apocalyptique. Il était loin de se doutait qu'a quelque pas de là, son cousin se réveillez lui aussi en sursaut mais pour de tout autre raisons.
Tout tremblant et fiévreux qu'il était, il tentait, sans succès de se remémorait sa terrible prémonition. S'en étai bien une il en était sur, le temps lui avait confirmé la véracité de ses affreux cauchemars.
Il ne connaissait que trop bien se sentiment d'avoir vu quelque chose de primordial sans pouvoir s'en souvenir totalement. Cela lui était arrivé à mainte reprise par le passé. Le vague mais toutefois terrifiant souvenir, d'un cercle de mangemorts et de Voldemort s'imposait a son esprit encore embrumé par se réveil brutal.
**************
Le seigneur des ténèbres trônait au milieu de la pièce, caressant la petite tête froide et rappeuse de Nagini son horrible serpent il se trouvait au centre d'une pièce d'un vieux manoir décorait dans le plus pur style Versaillais. De nombreux chandelier ornait les murs de ce salon meublait d'un secrétaire, disposé prés d'une vielle cheminée dont seul le rougeoiement des braises montré qu'elle était encore utilisé, de vieux fauteuils en tissus vert dont les pieds terminées en gueule de serpent ainsi que la tapisserie vert argent indiqué l'appartenance du propriétaire des lieux a la sinistre maison de Serpentard. Le lustre fixait au plafond diffusait une lumière éparse dans la pièce, a peine suffisante pour que l'on puisse distinguait la haute silhouette du plus grand mage noire de notre siècle.
Celui-ci allait se mettre à parler, quand une dizaine de Détraqueurs l'interrompirent dans le dévoilement de son plan machiavélique qui ne devait viser encore une fois qu'a conquérir le monde et a faire admettre ses idéaux fasciste aux reste de la communauté magique.
Les détraqueurs firent donc irruption dans le salon du manoir, traînant à leurs pieds un Severus Rogue a demi mort.
C'est en apercevant le corps mutilé de son professeur de potion qu'Harry s'était réveillé. Il pensa tout d'abord à avertir Dumbledore, et c'est ce qui fit. Il griffonna sur un bout de parchemin tout se qu'il avait vu, puis ouvrit la petite porte de la gage d'Hedwige posé sur la commode. Elle poussa un hululement aigue, profondément indignée d'être réveillé de la sorte.
-Allons ne fais pas ta mauvaise tête et apporte sa a Dumbledore.
La chouette se résigna et sortit par la fenêtre apportant avec elle la lettre qui devait être si importante pour qu'on la réveille si tôt.
Attirer par l'écran phosphorescent de son réveils , seul survivant des crises de colère passagère de son horrible cousin, il remarqua qu'il était 5 heures du matin et tenta donc vainement de sombrer dans le sommeil réparateur qui lui manquait tant ses dernier jours. Peine perdue, il fixait le plafond, ses pensé toute centré sur les événements troublants de ces derniers jours. Le retour de Voldemort, l'incapacité de Fudge a admettre la situation actuelle et le plus important, le détail qui le troublait tant, la mort de Cédric. Depuis sa mort il ne cessait de culpabiliser, se redisant sans cesse qu'il aurait pu l'empêcher, qu'il aurait pu faire quelque chose, que s'ils n'avaient pas prit si stupidement la coupe ensemble, sur sa demande en plus, il ne serait pas mort. Il n'avait même pas pu affronté le regard de Cho, évitant scrupuleusement depuis ses beaux yeux bruns si larmoyant.
Pour chasser ses idées noir, il entreprit de se lever et de relire le courrier qu'il avait reçu la veille à l'occasion de son 15eme anniversaire.
(A/n Cette partie, celle de la réception des cadeaux et tout ça , me fais vraiment trop chier alors je l'ai raccourcie a max et je lui est donné des cadeaux pourris, m'en voulait pas ...)
En résumé tout le monde lui demandé s'il allait bien, s'inquiétaient pour son état de santé, et lui souhaitaient un bon anniversaire. Il avait reçu de Ron un abonnement à Quidditich mag ainsi qu'un mot lui expliquant qu'il ne pourrait pas venir au Terrier cet été par interdiction de Dumbledore. Hermione lui avait généreusement envoyée un nécessaire a baguette, car comme elle lui avait fait remarqué dans sa lettre, la sienne en avait vraiment besoin. Elle lui avait par ailleurs fait juré de ne pas dire à Ron qu'elle était en Bulgarie avec Victor pour quelque semaine. Le contraste entre l'écriture brouillonne de Ron et l'écriture bien soignée d'Hermione était saisissant, montrant bien les traits de caractère très divergeant de ses deux amis. Hagrid lui avait promis de lui donner son cadeau à la rentrée, étant là ou il se trouvait dans l'impossibilité de lui offrir quoi que se soit. Il n'avait pas eu de nouvelle de Sirius et en était très inquiet.
**************
Dudley s'était levé, une fringale passagère lui tiraillait l'estomac, il se devait dis remédier.
Il se dirigeât donc vers le frigidaire, tel un prédateur, prés à bondir sur sa proie, tous ses réflexes était mis en action, mais malgré cela, il ne vit jamais l'éclair vert qui le frappa de plein fouet.
Après avoir forcé la serrure, le groupe de mangemorts s'engouffra dans le logis de Potter. Sans état d'âme, il mirent un termes aux agissements sordides de Dudley Durshley sur le garde manger puis ils montèrent sans un bruit a l'étage, mais trahit par la troisième marche craquante, ils réveillèrent toute la maisonnée. Ce qu'il apparut être le chef d'entre eux vociféra un juron et ce précipita, suivit de ces subordonnés vers ce qu'il pensé être la chambre de Potter.
Tel ne fut pas sa surprise quand il tomba nez a nez avec une tante pétunia en sous-vêtement.
L'hystérie la prit quand elle vit ses hommes cagoulé envahir sa maison.
-Ahhhhhhhhhhhh Vernon, Vernon au secours hurla la tante Pétunia
Entendant les cris désespéré de sa dulcinée, le sang de l'oncle Vernon ne fit qu'un tour, ses réflexes des sections spéciales de l'armé lui revenait, il roula sur le plancher jusqu'a la commode puis il s'arma de la pétoire de grand popa. Il se dirigeât vers les intrus d'un air conquérant, soudain, un Mangemorts sortit de l'ombre. Il épaula mais sa cible disparue dans l'ombre, l'excitation de Vernon était à son comble, il croyait avoir rajeuni de dix ans. L'adrénaline lui fit perdre la raison et il s'élança tête baissé vers le groupe de mangemorts regroupé dans l'escalier qui le mirent a morts sans plus de cérémonies.
-Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh la tante Pétunia prolongea son hurlement, en voyant le corps de son époux, étendue, inerte sur le parquet, sans une once de vie, aussi froid que du granit , elle voyait pour la première fois le visage de la mort.
Une parcelle de lucidité la fit s'enfuir par la fenêtre. Et s'est ainsi que les voisins purent contemplé une petite culotte rose bonbon qui détalait, sous un ciel d'encre.
A l'instant ou Harry s'apprêtait a vérifier la provenance de ces bruit si insolite au beaux milieu de la nuit, son professeur de métamorphose apparut a ses coté et sans un mots, ils transplanèrent, au moment même ou l'on fracassé la porte .
