Chapitre 1 : Anniversaire
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NOTE DE L'AUTEUR : Petite précision : malgré les noms d'auteurs, cette fanfiction n'a été écrite QUE par Johera, bien qu'elle soit dédicacé à Eléa qui m'a beaucoup aidée. Voilà, c'est ma fanfiction qui j'espère vous plaira, le sujet principal n'apparaît qu'à partir de la fin du chapitre 6. a part ça j'espère que ça vous plaira, n'hésité pas sur les commentaires, bon ou mauvais. Ah ouais, si cette fanfiction vous plaît, allez voir mon autre fanfiction que j'ai écri avec Eléa, c'est : Le monde à l'envers. Si vous aimez Hermione, ou simplement les petits délires sur les persos d'Harry Potter je pense que vous apprécierez.
DISCLAMER : Eh oui, l'inévitable, le très cher disclamer. Même si vous le savez tous je suis bien obligé de répéter que malheuresement les persos ne m'appartiennent pas mais appartiennent seulement à notre bien aimée J.K.R.
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Dans un beau ciel bleu azur, un étrange oiseau rouge pourvu de quelques plumes or, se promenait. Cette créature, d'une beauté paradoxale, s'engouffra dans une immense fenêtre, pour se retrouver dans une pièce tout aussi étrange que sa personne. Il se trouve dans ce qui semble être un bureau, des tableaux représentant des personnes qui semblent importantes ornent les murs, un grand bureau en chêne domine la pièce, des livres un peu partout, une immense bibliothèque, un curieux chapeau tout usé posé a côté d'une épée ornée de pierres précieuses dormant dans sa prison de verre, et, derrière le bureau, un vieil homme assis.
Cet homme à la longue barbe blanche, des lunettes en demi-lune, un regard profond et intriguant, habillé d'une robe bleu nuit paré d'étoiles scintillante, semblait soucieux. Plongé dans ces pensées, il ne paraissait pas avoir aperçu l'oiseau qui venait de pénétrer dans son bureau. Celui-ci se dirigea vers le vieil homme et s'arrêta sur son épaule. L'homme se tourna alors vers l'oiseau, et la tristesse qui avait accablé son visage fit place à un petit sourire. Il entreprit de caresser l'oiseau et c'est à ce moment là que des coups se firent entendre. Quelqu'un frappait à la porte. Le visage de l'homme s'illumina, il avait sûrement attendu patiemment ces quelques coups.
- Entrez ! dit le vieil homme
Le jeune homme qui se tenait à la porte, devait avoir 20 ans. A bien y réfléchir son âge était quelques peu indéfinissable. Son visage était très jeune, mais dans ses yeux bleu tirant vers le gris, on pouvait lire la trace qu'avaient laissé les années, et une flamme qui vivait au plus profond de son regard. Ses longs cheveux châtains clair et raides tombaient sur ses épaules. Son visage d'une extrême beauté affichait un grand sourire. Son teint de pêche inspirait la fraîcheur. Ses habits, était façonné dans un tissus très fin et léger d'une couleur verte émeraude, quelques motifs dorés ornaient les bouts des manches. Il avait une allure peu commune, et une grande aura l'entourait. En le voyant, on ne pouvait que penser combien sa beauté était impressionnante, combien il aspirait au respect, on ne pouvait l'expliquer, mais se dégageait de lui une grande force.
Il s'avança vers le bureau, avec toujours ce sourire intriguant pendu à ses lèvres, arrivé devant le vieille homme, il lui serra la main amicalement, celui-ci l'invita a s'asseoir en face de lui et le jeune homme engagea la conversation :
- Dumbledore ! Combien je suis heureux de te revoir mon vieil ami. Cela fait si longtemps !
- Je suis également très heureux de te revoir Eliassa fils d'Elkhbir, répondit le vieil homme appelé Dumbledore. En effet, cela fait bien trop longtemps, les années commencent à avoir raison de moi. Comme tu le sais, depuis le retour de Voldemort, la sécurité de Poudlard et d'Harry font partis de mes priorités. C'est pourquoi j'ai fait appel à toi.
- Je savais qu'il reviendrait. Vous avez bien fait de solliciter ma présence.
- Je me doutais bien que tu accepterais ma requête et j'en suis très heureux. Je sais combien il te coûte de quitter la forêt dans laquelle tu a toujours vécu.
- C'est vrai que je suis bien triste de quitter mon foye, mais la situation est bien trop critique pour rester les bras croisés.
- Oui, comme tu le fait si bien remarquer la situation est critique.
¤ ° ¤ ° ¤ ° ¤
Pendant ce temps, au 4 Privet Drive, un jeune garçon, nommé Harry Potter, ne dormait toujours pas malgré l'heure tardive. Depuis le tournois des trois sorciers, et le retour effroyable de Voldemort, Harry avait le plus grand mal à s'endormir. Dés qu'il fermait les yeux ses cauchemars revenaient le hanter. Il revoyait la mort de Cédric, il s'en voulait beaucoup, il se sentait coupable. Qui ne le serait pas à sa place. En ce moment même, allongé sur son lit, il repensait à ses amis, qui, il l'espérait passaient de bonnes vacances. C'est à ce moment qu'il fut interrompu dans ses pensées par un petit bruit provenant de la fenêtre. Il se retourna et remarqua, non sans un pincement au c?ur, cinq hiboux qui donnaient des coups de bec à la fenêtre. Avec tout cela il en avait même oublié son anniversaire. Ce qui apparemment n'était pas le cas de ses amis. Heureux il se précipita sur la fenêtre pour laisser s'engouffrer les hiboux impatient. Il commença par détacher la lettre et le petit paquet attacher à un tout petit hibou, qui ne cessait de s'agiter. Après cette tâche difficile vu l'excitation du petit hibou, il ouvrit la lettre qui venait de Ron, son meilleur ami.
~ Cher Harry,
Tout d'abord : Joyeux Anniversaire ! J'espère que tes vacances ne sont pas trop pénible chez tes moldus. Toute la famille est au terrier, au grand bonheur de ma mère, (depuis qu'elle a apprit le retour de Tu-sais-qui elle se fait un sang d'encre, c'est à peine si elle nous laisse respirer !!). Je suis au grand désespoir de t'annoncer que Dumbledore ne veut pas que tu viennes passer les vacances chez nous. Tu peut pas savoir comme j'étais déçu quand ma mère à reçu sa lettre. A part ça j'espère que ton cadeau te plaira. Au fait en parlant de cadeau, Fred et George tenaient absolument à t'offrir quelque chose (je sais pas ce qu'ils ont en ce moment, ils ont peut être gagné une loterie, ils m'ont offert une belle robe de soirée en disant que ça leur faisaient plaisir de gâter le petit frère), quoi qu'il en soit, ils attendent la rentrée pour te remettre leur cadeau.
Amicalement, Ron. ~
Harry déballa rapidement le paquet, et découvrit avec plaisir une belle montre, ainsi qu'un beau gâteau au chocolat de Mrs Weasley la mère de Ron. Il n'avait plus de montre depuis l'année dernière, où il avait oublier de retirer la sienne lors d'une épreuve du tournois des sorcier durant laquelle ils devaient plonger dans le lac glacial. Inévitablement sa montre avait pris l'eau. Il prit ensuite la lettre qu'Edwidge portait. C'était celle d'Hermione, également sa meilleure amie.
~ Cher Harry,
Je te souhaite un très bon anniversaire, Je suis en Bulgarie, où je passe les vacances chez Victor. La Bulgarie est un très beau pays, mais j'ai eu le déplaisir de découvrir qu'il y fait très froid, même en plein mois d'été. Par contre, s'il te plaît ne le dit pas à Ron. Je ne lui est pas encore dit où j'avais passé mes vacances, même s'il s'en doute sûrement. Mais je veux éviter au maximum une éventuelle dispute, même si je ne comprend pas la raison qui le pousse à ces excès de fureur. Sinon je voulais te dire que j'ai été nommé préféte ! je suis très contente. J'espère que ton cadeau te plaira. C'est un porte bonheur, je l'ai acheté en Bulgarie, ici ils disent qu'il protége des mauvaises intentions. Je l'ai pris verte car le vendeur m'a dit que c'était la couleur de l'espoir. Fait bien attention à toi,
Bises, Hermione. ~
Dans le paquet joint à la lettre, Harry découvrit une très fine chaîne en argent où était pendu un curieux pendentif : Une pierre vert de jade entourée de trois cercles en argent. Il entreprit alors de s'attaquer à une lettre, qui paraissait être celle d'Hagrid.
~ Cher harry,
Joyeux anniversaire. J'espère que tes moldus te traitent bien, et que tes vacances ne se passent pas trop mal. Je ne peut pas te dire où je suis, mais je peut te dire que je passe d'agréable vacances, si on oubli le fait que Celui-dont-on-ne-doit-pas- prononcer-le-nom est revenu. J'arrive toujours pas à m'y faire. Je savais qu'un jour ou l'autre il reviendrait. Tu devras attendre la rentrée pour recevoir ton cadeau, je me vois mal envoyer ça par hibou.
Je te souhaite encore un joyeux anniversaire et aussi de bonnes vacances
Hagrid. ~
Harry se demandait ce qu'Hagrid avait bien pu lui offrir. Il espérait que ce ne soit pas dangereux. Qu'entendait-il par : « ça ». Peu importe il le saurait bien assez tôt. Il se faisait malgré tout du soucis, Hagrid n'avait pas en effet la même notion du danger que la moyenne des gens. Il ouvrit alors la lettre que Sirius, son parrain, lui avait envoyé :
~ Cher Harry,
Joyeux anniversaire. J'espère que tu va bien, et que ta cicatrice ne te fait pas trop souffrir. Si jamais tu fais un cauchemar ou que ta cicatrice te fait mal, n'hésite pas à me le dire. Je ne veut pas que tu penses que le retour de Voldemort est ta faute, il allait bien revenir un jour, par ce moyen ou un autre. Ne te sens pas coupable. Bref, le cadeau que je t'offre te seras très utile dans les temps à venir. J'espère te revoir très bientôt.
Sniffle ~
Il ouvrit donc le paquet de Sirius, avec une pointe de curiosité. Il y découvrit un livre. Il fut d'abord très déçu que son parrain lui offrit un livre, mais sa déception fit vite place à de la joie lorsqu'il lu le titre de celui-ci : Sort d'attaques et de défenses, l'art des duels. Il fut alors très impatient de pouvoir lire ce livre, et se dit qu'il s'en occuperait plus tard. Il ne lui restait plus qu'à ouvrir la lettre qui provenait de Poudlard. Etrangement elle avait l'air plus épaisse que d'habitude. Peut-être n'était- ce qu'une impression. Il l'ouvrit, et découvrit la lettre habituelle, la liste des fournitures, et une lettre à l'écriture violette ronde et régulière. Il commença par la lettre qu'il recevait chaque année :
~ Cher Mr Potter,
Vous voudrez bien prendre note que la nouvelle année scolaire commencera le 1er septembre. Le Poudlard Express partira de la gare de King's Cross, quai n°9 ¾ à onze heures précises. Cette année, vous n'aurez pas besoin d'autorisation de sortie à Pré-au- lard, toutes futurs sorties annulées à cause des circonstances actuelles. Vous trouverez également sous ce pli la liste des fournitures scolaires qui vous seront nécessaires au cours de l'année scolaire. Avec mes meilleurs sentiments,
Professeur M. McGonagall, directrice-adjointe. ~
Harry décida alors de s'intéresser à la lettre qui l'intriguait tant. C'était une lettre de Dumbledore. Il ne lui avait jamais écrit auparavant.
~ Cher Harry,
J'espère que tu va bien. J'ai le regret de t'annoncer que cette année tu ne pourra pas passer les vacances chez les Weasley. Tu est bien trop en sécurité là où tu est. Je te souhaite évidemment un joyeux anniversaire, je reprendrai contacte avec toi d'ici peu.
Professeur Albus Dumbledore. ~
Le sommeil semblait enfin vouloir avoir raison d'Harry. C'est donc sur ces belles pensées qu'il s'endormit, et pour la première fois depuis longtemps fit un sommeil sans cauchemars.
¤ ° ¤ ° ¤ ° ¤
Au même moment, de l'autre côté de la rue, une discussion pour le moins surprenante à lieu :
- Arabella, il est temps d'y aller, ne faisons pas patienter Dumbledore
- Tu as raison Sirius, laisse moi juste le temps de finir de me préparer.
Une vieille dame descendit alors d'un long escalier, elle était vêtu d'une robe noir, coiffé d'un chignon très séré
- Je suis heureuse qu'Albus se soit décidé à reformer l'ordre. Les jours à venir sont malheureusement bien tristes, mais nous nous battrons.
- Je suis d'accord avec toi Arabella, notre tâche est très difficile mais nous réussirons. Ne l'oublions pas : l'union fait la force.
Sur ces quelques mots, une vieille dame accompagnée d'un grand chien noir disparurent soudainement de la pièce dans un « pop ».
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NOTE DE L'AUTEUR : Petite précision : malgré les noms d'auteurs, cette fanfiction n'a été écrite QUE par Johera, bien qu'elle soit dédicacé à Eléa qui m'a beaucoup aidée. Voilà, c'est ma fanfiction qui j'espère vous plaira, le sujet principal n'apparaît qu'à partir de la fin du chapitre 6. a part ça j'espère que ça vous plaira, n'hésité pas sur les commentaires, bon ou mauvais. Ah ouais, si cette fanfiction vous plaît, allez voir mon autre fanfiction que j'ai écri avec Eléa, c'est : Le monde à l'envers. Si vous aimez Hermione, ou simplement les petits délires sur les persos d'Harry Potter je pense que vous apprécierez.
DISCLAMER : Eh oui, l'inévitable, le très cher disclamer. Même si vous le savez tous je suis bien obligé de répéter que malheuresement les persos ne m'appartiennent pas mais appartiennent seulement à notre bien aimée J.K.R.
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Dans un beau ciel bleu azur, un étrange oiseau rouge pourvu de quelques plumes or, se promenait. Cette créature, d'une beauté paradoxale, s'engouffra dans une immense fenêtre, pour se retrouver dans une pièce tout aussi étrange que sa personne. Il se trouve dans ce qui semble être un bureau, des tableaux représentant des personnes qui semblent importantes ornent les murs, un grand bureau en chêne domine la pièce, des livres un peu partout, une immense bibliothèque, un curieux chapeau tout usé posé a côté d'une épée ornée de pierres précieuses dormant dans sa prison de verre, et, derrière le bureau, un vieil homme assis.
Cet homme à la longue barbe blanche, des lunettes en demi-lune, un regard profond et intriguant, habillé d'une robe bleu nuit paré d'étoiles scintillante, semblait soucieux. Plongé dans ces pensées, il ne paraissait pas avoir aperçu l'oiseau qui venait de pénétrer dans son bureau. Celui-ci se dirigea vers le vieil homme et s'arrêta sur son épaule. L'homme se tourna alors vers l'oiseau, et la tristesse qui avait accablé son visage fit place à un petit sourire. Il entreprit de caresser l'oiseau et c'est à ce moment là que des coups se firent entendre. Quelqu'un frappait à la porte. Le visage de l'homme s'illumina, il avait sûrement attendu patiemment ces quelques coups.
- Entrez ! dit le vieil homme
Le jeune homme qui se tenait à la porte, devait avoir 20 ans. A bien y réfléchir son âge était quelques peu indéfinissable. Son visage était très jeune, mais dans ses yeux bleu tirant vers le gris, on pouvait lire la trace qu'avaient laissé les années, et une flamme qui vivait au plus profond de son regard. Ses longs cheveux châtains clair et raides tombaient sur ses épaules. Son visage d'une extrême beauté affichait un grand sourire. Son teint de pêche inspirait la fraîcheur. Ses habits, était façonné dans un tissus très fin et léger d'une couleur verte émeraude, quelques motifs dorés ornaient les bouts des manches. Il avait une allure peu commune, et une grande aura l'entourait. En le voyant, on ne pouvait que penser combien sa beauté était impressionnante, combien il aspirait au respect, on ne pouvait l'expliquer, mais se dégageait de lui une grande force.
Il s'avança vers le bureau, avec toujours ce sourire intriguant pendu à ses lèvres, arrivé devant le vieille homme, il lui serra la main amicalement, celui-ci l'invita a s'asseoir en face de lui et le jeune homme engagea la conversation :
- Dumbledore ! Combien je suis heureux de te revoir mon vieil ami. Cela fait si longtemps !
- Je suis également très heureux de te revoir Eliassa fils d'Elkhbir, répondit le vieil homme appelé Dumbledore. En effet, cela fait bien trop longtemps, les années commencent à avoir raison de moi. Comme tu le sais, depuis le retour de Voldemort, la sécurité de Poudlard et d'Harry font partis de mes priorités. C'est pourquoi j'ai fait appel à toi.
- Je savais qu'il reviendrait. Vous avez bien fait de solliciter ma présence.
- Je me doutais bien que tu accepterais ma requête et j'en suis très heureux. Je sais combien il te coûte de quitter la forêt dans laquelle tu a toujours vécu.
- C'est vrai que je suis bien triste de quitter mon foye, mais la situation est bien trop critique pour rester les bras croisés.
- Oui, comme tu le fait si bien remarquer la situation est critique.
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Pendant ce temps, au 4 Privet Drive, un jeune garçon, nommé Harry Potter, ne dormait toujours pas malgré l'heure tardive. Depuis le tournois des trois sorciers, et le retour effroyable de Voldemort, Harry avait le plus grand mal à s'endormir. Dés qu'il fermait les yeux ses cauchemars revenaient le hanter. Il revoyait la mort de Cédric, il s'en voulait beaucoup, il se sentait coupable. Qui ne le serait pas à sa place. En ce moment même, allongé sur son lit, il repensait à ses amis, qui, il l'espérait passaient de bonnes vacances. C'est à ce moment qu'il fut interrompu dans ses pensées par un petit bruit provenant de la fenêtre. Il se retourna et remarqua, non sans un pincement au c?ur, cinq hiboux qui donnaient des coups de bec à la fenêtre. Avec tout cela il en avait même oublié son anniversaire. Ce qui apparemment n'était pas le cas de ses amis. Heureux il se précipita sur la fenêtre pour laisser s'engouffrer les hiboux impatient. Il commença par détacher la lettre et le petit paquet attacher à un tout petit hibou, qui ne cessait de s'agiter. Après cette tâche difficile vu l'excitation du petit hibou, il ouvrit la lettre qui venait de Ron, son meilleur ami.
~ Cher Harry,
Tout d'abord : Joyeux Anniversaire ! J'espère que tes vacances ne sont pas trop pénible chez tes moldus. Toute la famille est au terrier, au grand bonheur de ma mère, (depuis qu'elle a apprit le retour de Tu-sais-qui elle se fait un sang d'encre, c'est à peine si elle nous laisse respirer !!). Je suis au grand désespoir de t'annoncer que Dumbledore ne veut pas que tu viennes passer les vacances chez nous. Tu peut pas savoir comme j'étais déçu quand ma mère à reçu sa lettre. A part ça j'espère que ton cadeau te plaira. Au fait en parlant de cadeau, Fred et George tenaient absolument à t'offrir quelque chose (je sais pas ce qu'ils ont en ce moment, ils ont peut être gagné une loterie, ils m'ont offert une belle robe de soirée en disant que ça leur faisaient plaisir de gâter le petit frère), quoi qu'il en soit, ils attendent la rentrée pour te remettre leur cadeau.
Amicalement, Ron. ~
Harry déballa rapidement le paquet, et découvrit avec plaisir une belle montre, ainsi qu'un beau gâteau au chocolat de Mrs Weasley la mère de Ron. Il n'avait plus de montre depuis l'année dernière, où il avait oublier de retirer la sienne lors d'une épreuve du tournois des sorcier durant laquelle ils devaient plonger dans le lac glacial. Inévitablement sa montre avait pris l'eau. Il prit ensuite la lettre qu'Edwidge portait. C'était celle d'Hermione, également sa meilleure amie.
~ Cher Harry,
Je te souhaite un très bon anniversaire, Je suis en Bulgarie, où je passe les vacances chez Victor. La Bulgarie est un très beau pays, mais j'ai eu le déplaisir de découvrir qu'il y fait très froid, même en plein mois d'été. Par contre, s'il te plaît ne le dit pas à Ron. Je ne lui est pas encore dit où j'avais passé mes vacances, même s'il s'en doute sûrement. Mais je veux éviter au maximum une éventuelle dispute, même si je ne comprend pas la raison qui le pousse à ces excès de fureur. Sinon je voulais te dire que j'ai été nommé préféte ! je suis très contente. J'espère que ton cadeau te plaira. C'est un porte bonheur, je l'ai acheté en Bulgarie, ici ils disent qu'il protége des mauvaises intentions. Je l'ai pris verte car le vendeur m'a dit que c'était la couleur de l'espoir. Fait bien attention à toi,
Bises, Hermione. ~
Dans le paquet joint à la lettre, Harry découvrit une très fine chaîne en argent où était pendu un curieux pendentif : Une pierre vert de jade entourée de trois cercles en argent. Il entreprit alors de s'attaquer à une lettre, qui paraissait être celle d'Hagrid.
~ Cher harry,
Joyeux anniversaire. J'espère que tes moldus te traitent bien, et que tes vacances ne se passent pas trop mal. Je ne peut pas te dire où je suis, mais je peut te dire que je passe d'agréable vacances, si on oubli le fait que Celui-dont-on-ne-doit-pas- prononcer-le-nom est revenu. J'arrive toujours pas à m'y faire. Je savais qu'un jour ou l'autre il reviendrait. Tu devras attendre la rentrée pour recevoir ton cadeau, je me vois mal envoyer ça par hibou.
Je te souhaite encore un joyeux anniversaire et aussi de bonnes vacances
Hagrid. ~
Harry se demandait ce qu'Hagrid avait bien pu lui offrir. Il espérait que ce ne soit pas dangereux. Qu'entendait-il par : « ça ». Peu importe il le saurait bien assez tôt. Il se faisait malgré tout du soucis, Hagrid n'avait pas en effet la même notion du danger que la moyenne des gens. Il ouvrit alors la lettre que Sirius, son parrain, lui avait envoyé :
~ Cher Harry,
Joyeux anniversaire. J'espère que tu va bien, et que ta cicatrice ne te fait pas trop souffrir. Si jamais tu fais un cauchemar ou que ta cicatrice te fait mal, n'hésite pas à me le dire. Je ne veut pas que tu penses que le retour de Voldemort est ta faute, il allait bien revenir un jour, par ce moyen ou un autre. Ne te sens pas coupable. Bref, le cadeau que je t'offre te seras très utile dans les temps à venir. J'espère te revoir très bientôt.
Sniffle ~
Il ouvrit donc le paquet de Sirius, avec une pointe de curiosité. Il y découvrit un livre. Il fut d'abord très déçu que son parrain lui offrit un livre, mais sa déception fit vite place à de la joie lorsqu'il lu le titre de celui-ci : Sort d'attaques et de défenses, l'art des duels. Il fut alors très impatient de pouvoir lire ce livre, et se dit qu'il s'en occuperait plus tard. Il ne lui restait plus qu'à ouvrir la lettre qui provenait de Poudlard. Etrangement elle avait l'air plus épaisse que d'habitude. Peut-être n'était- ce qu'une impression. Il l'ouvrit, et découvrit la lettre habituelle, la liste des fournitures, et une lettre à l'écriture violette ronde et régulière. Il commença par la lettre qu'il recevait chaque année :
~ Cher Mr Potter,
Vous voudrez bien prendre note que la nouvelle année scolaire commencera le 1er septembre. Le Poudlard Express partira de la gare de King's Cross, quai n°9 ¾ à onze heures précises. Cette année, vous n'aurez pas besoin d'autorisation de sortie à Pré-au- lard, toutes futurs sorties annulées à cause des circonstances actuelles. Vous trouverez également sous ce pli la liste des fournitures scolaires qui vous seront nécessaires au cours de l'année scolaire. Avec mes meilleurs sentiments,
Professeur M. McGonagall, directrice-adjointe. ~
Harry décida alors de s'intéresser à la lettre qui l'intriguait tant. C'était une lettre de Dumbledore. Il ne lui avait jamais écrit auparavant.
~ Cher Harry,
J'espère que tu va bien. J'ai le regret de t'annoncer que cette année tu ne pourra pas passer les vacances chez les Weasley. Tu est bien trop en sécurité là où tu est. Je te souhaite évidemment un joyeux anniversaire, je reprendrai contacte avec toi d'ici peu.
Professeur Albus Dumbledore. ~
Le sommeil semblait enfin vouloir avoir raison d'Harry. C'est donc sur ces belles pensées qu'il s'endormit, et pour la première fois depuis longtemps fit un sommeil sans cauchemars.
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Au même moment, de l'autre côté de la rue, une discussion pour le moins surprenante à lieu :
- Arabella, il est temps d'y aller, ne faisons pas patienter Dumbledore
- Tu as raison Sirius, laisse moi juste le temps de finir de me préparer.
Une vieille dame descendit alors d'un long escalier, elle était vêtu d'une robe noir, coiffé d'un chignon très séré
- Je suis heureuse qu'Albus se soit décidé à reformer l'ordre. Les jours à venir sont malheureusement bien tristes, mais nous nous battrons.
- Je suis d'accord avec toi Arabella, notre tâche est très difficile mais nous réussirons. Ne l'oublions pas : l'union fait la force.
Sur ces quelques mots, une vieille dame accompagnée d'un grand chien noir disparurent soudainement de la pièce dans un « pop ».
