Chapitre 9 : Halloween
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Une odeur de citrouille emplissait tout le château. Ce soir, le traditionnel repas d'Halloween aura lieu. Tout le château baignait dans une grande excitation. La veille, Dumbledore leur avait annoncé qu'ils accueilleraient deux nouvelles élèves venues de France.
Tous le monde était curieux de savoir qui elles étaient, à quoi elles ressemblaient...
¤ ° ¤ ° ¤ ° ¤
Dans leur chambre, Tahessa et Ludmilla rangeaient leurs affaires. L'école finançait leur courte période d'étude. Elles étaient, elles aussi impatiente. Ce soir, elles allaient enfin intégrer officiellement Poudlard. Bien sûr aucun élève ne savait que deux jeunes françaises, étaient dans le château depuis bientôt deux mois.
Tandis que Ludmilla pliait une robe, Tahessa commença à parler :
- J'ai hâte à ce soir, je sens que cette courte période à Poudlard sera pas mal.
- C'est clair ! En tout cas, ça ne pourra qu'être mieux que le lycée.
- Je t'approuves entièrement. Les cours de Sciences Physique, de Français et d'Histoire/Géo commençait à m'ennuyer sérieusement.
- Rien à dire, je t'approuves encore et toujours autant. Je commençais à en avoir marre des « x au carré » des « métaphores filée » et des « couleurs qui migrent sur un chromatogramme ».
Elles commencèrent à s'éclater de rire sans raison, comme à leur habitude, et continuèrent, tant bien que mal, à ranger leurs affaires.
¤ ° ¤ ° ¤ ° ¤
Harry, Ron et Hermione se promenaient dans le parc. Leur journée de cours était enfin achevée, et le banquet d'Halloween aurait lieu dans quelques heures.
- Vous savez, je me demande comment seront les deux nouvelles élèves. Dit Ron.
- Personnellement, leur physique m'importe peu, mais si elles sont à Gryffondor, j'espère qu'elles sont sympathique. Dit Hermione.
Ron se tourna vers Harry :
- T'en penses quoi, toi ?
- Oh, moi je m'en fiche.
Harry était préoccupé par autre chose. Cela faisait quelques jours que sa cicatrice le faisait souffrir plus qu'à l'ordinaire. Il n'en avait parlé à personne, il essayait lui-même d'oublier la douleur. Il ne voulait surtout inquiéter personne.
¤ ° ¤ ° ¤ ° ¤
Le soir même, à l'heure du dîner, nos trois amis se rendirent vers la Grande Salle. La plupart des élèves étaient déjà installés.
Après que tout le monde eu intégré sa place, Dumbledore pris la parole :
- Bonsoir à tous, ce soir, exceptionnellement nous recevons deux nouvelles élèves venues de France. Elles seront répartis dans une des quatre maisons, et j'aimerais, quelque-soit la maison qui leur sera désigné, que tout le monde les accueilles gentiment.
Après des hochements de tête de pratiquement tout les élèves (nous ne citerons pas ceux qui ne font pas partis du « pratiquement ») il fit signe au professeur Mc Gonagall, qui ouvrit une petite porte derrière la table des professeurs. Deux jeunes filles apparurent :
- Je vous présente Ludmilla Desieme et Tahessa Lyrelice. Annonça Dumbledore. Mlle Desieme, approchez-vous s'il vous plaît, ajouta-t-il.
Ludmilla apparu donc à la lumière.
Elle était brune, ses cheveux mi-longs parsemés de mèches couleur cuivre sur le devant, finissaient par des boucles subtiles et retombaient en dégradé sur ses épaules. Elle était légèrement mate de peau, ces origines orientales ne faisaient aucun doute. Son visage fin était éclairé par de grands yeux vert noisette, comportant de longs cils. Sa petite bouche affichait sans cesse un sourire radieux. Elle était petite de taille, mais possédait un corps gracieux aux courbes généreuses. Ses petites mains aux doigts fins ne cessaient de toucher ses cheveux pour les remettre en place. Elle n'arrêtait pas de tripoter ses grandes boucles d'oreilles, des créoles en or qu'elle tournait dans tout les sens. Lorsqu'elle ne souriait pas, elle se mordait les lèvres dans un signe anxieux.
Elle s'assit sur le tabouret que Mc Gonagall avait apporté et passa le choixpeau magique. Après quelques secondes de réflexions celui-ci cria :
- Gryffondor !
Ainsi, elle alla s'asseoir rapidement à la table, où elle fut accueilli par des exclamations joyeuses.
- Mlle Lyrelice, à votre tour. Dit Dumbledore.
Elle pris également place sur le tabouret et se coiffa du choixpeau. On la voyait faire des signes négatifs de la tête, elle devait être en désaccord avec celui-ci. Finalement après une minutes il cria :
Gryffondor !
Toute heureuse elle alla s'asseoir près de Ludmilla.
Elle était très contrastée avec son amie, mais tout aussi charmante, si ce n'est plus. Elle avait les cheveux châtains clairs voisinant le blond, comprenant plusieurs mèches blondes éclaircies par le soleil. Ses cheveux étaient raides et courts, coupés en un léger dégradé. Sa peau, blanche et douce comme du lait semblait fragile. Ses yeux, étaient eux d'un bleu profond, sa bouche rose clair inspirait des pétales de roses et s'agitait sans arrêt dans des paroles adressé à son amie et des sourires qu'elles partageaient. Elle était également petite et fine, mais avait moins de forme et était un peu plus grande tout de même que Ludmilla, quelques centimètres tout au plus.
Les deux amies, était dans une grande euphorie sans raison apparente. Elles semblaient s'amuser de leurs propres paroles. Elles attiraient tout les regards et s'en délectaient. Après leur premier pas dans la salle, et leur étonnement, elles étaient tout à fait à l'aise. Sûre d'elles, elles observaient les élèves et émettaient des commentaires à voix basse. S'en suivait toujours leurs gloussements inexpliqués. Etrangement, Dumbledore paraissait partager leur sentiment. Et un rire, qu'il essayait vainement de cacher, était perceptible au coin de sa bouche. Leur regard étaient si particulier. D'un côté d'immenses yeux verts à la lumière, noisette parfois et de l'autre de profonds et conceptuels yeux bleus. Leurs rires eux, étaient tout aussi singulier. Elles avaient une présence, et une assurance déroutante. Bref on ne pouvait faire autrement que de les contempler. Personne ne parvenait à s'arracher à cette nouvelle vision.
Personne n'essaya d'engager la conversation avec elles, ils étaient bien trop intimidés et n'osaient pas les interrompre. En tant que préfète, Hermione avait reçu l'instruction de conduire les deux jeunes filles jusqu'à la tour puis jusqu'à leur dortoir à la fin du banquet.
Les conversations allaient de bon train, on en était au dessert. Deux Serpentards, des septième années, se levèrent simultanément. Ils firent signe vers la table de Serdaigle, une jeune fille préfète en chef ,de sixième année, se leva également. Puis un Poufsouffle, de septième année aussi, et un Gryffondor de septième année firent de même. Personne ne comprenait rien. Les élèves, surpris les regardaient, se demandant ce qu'ils allaient faire. Les étudiants, maintenant debout, se retournèrent respectivement vers leur table. Ils bombardèrent les élèves de sort, variant du stupéfix au doloris. Profitant de l'effarement, et du fait que personne n'eu le temps de réagir. Ils se retournèrent alors vers la table des professeurs, et, tout les quatre d'une même voix lancèrent : l'Avada Kedavra, en direction de Dumbledore.
Ils partirent alors en courant, vers la sortie. Arrivés devant la grande porte qui donnait sur le parc, lorsqu'ils voulurent passer, ils furent bloqués entre deux murs invisibles. Ils essayèrent alors de transplaner, en vain. Ils étaient pris au piège, comme des lapins.
La Grande Salle, était, elle, plongée dans une effervescence et un chaos totale. C'était l'anarchie. Le professeur Mc Gonagall, choqué et secoué, pris sur elle, et repris la situation en main. Visiblement, elle se contenait, mais dés qu'elle commença à parler, les élèves se turent pour l'écouter, et mis à part les quelques élèves qui souffraient encore des répercutions des petits doloris encaissé, la Grande Salle fut plongée dans un silence soudain et absolu.
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Une odeur de citrouille emplissait tout le château. Ce soir, le traditionnel repas d'Halloween aura lieu. Tout le château baignait dans une grande excitation. La veille, Dumbledore leur avait annoncé qu'ils accueilleraient deux nouvelles élèves venues de France.
Tous le monde était curieux de savoir qui elles étaient, à quoi elles ressemblaient...
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Dans leur chambre, Tahessa et Ludmilla rangeaient leurs affaires. L'école finançait leur courte période d'étude. Elles étaient, elles aussi impatiente. Ce soir, elles allaient enfin intégrer officiellement Poudlard. Bien sûr aucun élève ne savait que deux jeunes françaises, étaient dans le château depuis bientôt deux mois.
Tandis que Ludmilla pliait une robe, Tahessa commença à parler :
- J'ai hâte à ce soir, je sens que cette courte période à Poudlard sera pas mal.
- C'est clair ! En tout cas, ça ne pourra qu'être mieux que le lycée.
- Je t'approuves entièrement. Les cours de Sciences Physique, de Français et d'Histoire/Géo commençait à m'ennuyer sérieusement.
- Rien à dire, je t'approuves encore et toujours autant. Je commençais à en avoir marre des « x au carré » des « métaphores filée » et des « couleurs qui migrent sur un chromatogramme ».
Elles commencèrent à s'éclater de rire sans raison, comme à leur habitude, et continuèrent, tant bien que mal, à ranger leurs affaires.
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Harry, Ron et Hermione se promenaient dans le parc. Leur journée de cours était enfin achevée, et le banquet d'Halloween aurait lieu dans quelques heures.
- Vous savez, je me demande comment seront les deux nouvelles élèves. Dit Ron.
- Personnellement, leur physique m'importe peu, mais si elles sont à Gryffondor, j'espère qu'elles sont sympathique. Dit Hermione.
Ron se tourna vers Harry :
- T'en penses quoi, toi ?
- Oh, moi je m'en fiche.
Harry était préoccupé par autre chose. Cela faisait quelques jours que sa cicatrice le faisait souffrir plus qu'à l'ordinaire. Il n'en avait parlé à personne, il essayait lui-même d'oublier la douleur. Il ne voulait surtout inquiéter personne.
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Le soir même, à l'heure du dîner, nos trois amis se rendirent vers la Grande Salle. La plupart des élèves étaient déjà installés.
Après que tout le monde eu intégré sa place, Dumbledore pris la parole :
- Bonsoir à tous, ce soir, exceptionnellement nous recevons deux nouvelles élèves venues de France. Elles seront répartis dans une des quatre maisons, et j'aimerais, quelque-soit la maison qui leur sera désigné, que tout le monde les accueilles gentiment.
Après des hochements de tête de pratiquement tout les élèves (nous ne citerons pas ceux qui ne font pas partis du « pratiquement ») il fit signe au professeur Mc Gonagall, qui ouvrit une petite porte derrière la table des professeurs. Deux jeunes filles apparurent :
- Je vous présente Ludmilla Desieme et Tahessa Lyrelice. Annonça Dumbledore. Mlle Desieme, approchez-vous s'il vous plaît, ajouta-t-il.
Ludmilla apparu donc à la lumière.
Elle était brune, ses cheveux mi-longs parsemés de mèches couleur cuivre sur le devant, finissaient par des boucles subtiles et retombaient en dégradé sur ses épaules. Elle était légèrement mate de peau, ces origines orientales ne faisaient aucun doute. Son visage fin était éclairé par de grands yeux vert noisette, comportant de longs cils. Sa petite bouche affichait sans cesse un sourire radieux. Elle était petite de taille, mais possédait un corps gracieux aux courbes généreuses. Ses petites mains aux doigts fins ne cessaient de toucher ses cheveux pour les remettre en place. Elle n'arrêtait pas de tripoter ses grandes boucles d'oreilles, des créoles en or qu'elle tournait dans tout les sens. Lorsqu'elle ne souriait pas, elle se mordait les lèvres dans un signe anxieux.
Elle s'assit sur le tabouret que Mc Gonagall avait apporté et passa le choixpeau magique. Après quelques secondes de réflexions celui-ci cria :
- Gryffondor !
Ainsi, elle alla s'asseoir rapidement à la table, où elle fut accueilli par des exclamations joyeuses.
- Mlle Lyrelice, à votre tour. Dit Dumbledore.
Elle pris également place sur le tabouret et se coiffa du choixpeau. On la voyait faire des signes négatifs de la tête, elle devait être en désaccord avec celui-ci. Finalement après une minutes il cria :
Gryffondor !
Toute heureuse elle alla s'asseoir près de Ludmilla.
Elle était très contrastée avec son amie, mais tout aussi charmante, si ce n'est plus. Elle avait les cheveux châtains clairs voisinant le blond, comprenant plusieurs mèches blondes éclaircies par le soleil. Ses cheveux étaient raides et courts, coupés en un léger dégradé. Sa peau, blanche et douce comme du lait semblait fragile. Ses yeux, étaient eux d'un bleu profond, sa bouche rose clair inspirait des pétales de roses et s'agitait sans arrêt dans des paroles adressé à son amie et des sourires qu'elles partageaient. Elle était également petite et fine, mais avait moins de forme et était un peu plus grande tout de même que Ludmilla, quelques centimètres tout au plus.
Les deux amies, était dans une grande euphorie sans raison apparente. Elles semblaient s'amuser de leurs propres paroles. Elles attiraient tout les regards et s'en délectaient. Après leur premier pas dans la salle, et leur étonnement, elles étaient tout à fait à l'aise. Sûre d'elles, elles observaient les élèves et émettaient des commentaires à voix basse. S'en suivait toujours leurs gloussements inexpliqués. Etrangement, Dumbledore paraissait partager leur sentiment. Et un rire, qu'il essayait vainement de cacher, était perceptible au coin de sa bouche. Leur regard étaient si particulier. D'un côté d'immenses yeux verts à la lumière, noisette parfois et de l'autre de profonds et conceptuels yeux bleus. Leurs rires eux, étaient tout aussi singulier. Elles avaient une présence, et une assurance déroutante. Bref on ne pouvait faire autrement que de les contempler. Personne ne parvenait à s'arracher à cette nouvelle vision.
Personne n'essaya d'engager la conversation avec elles, ils étaient bien trop intimidés et n'osaient pas les interrompre. En tant que préfète, Hermione avait reçu l'instruction de conduire les deux jeunes filles jusqu'à la tour puis jusqu'à leur dortoir à la fin du banquet.
Les conversations allaient de bon train, on en était au dessert. Deux Serpentards, des septième années, se levèrent simultanément. Ils firent signe vers la table de Serdaigle, une jeune fille préfète en chef ,de sixième année, se leva également. Puis un Poufsouffle, de septième année aussi, et un Gryffondor de septième année firent de même. Personne ne comprenait rien. Les élèves, surpris les regardaient, se demandant ce qu'ils allaient faire. Les étudiants, maintenant debout, se retournèrent respectivement vers leur table. Ils bombardèrent les élèves de sort, variant du stupéfix au doloris. Profitant de l'effarement, et du fait que personne n'eu le temps de réagir. Ils se retournèrent alors vers la table des professeurs, et, tout les quatre d'une même voix lancèrent : l'Avada Kedavra, en direction de Dumbledore.
Ils partirent alors en courant, vers la sortie. Arrivés devant la grande porte qui donnait sur le parc, lorsqu'ils voulurent passer, ils furent bloqués entre deux murs invisibles. Ils essayèrent alors de transplaner, en vain. Ils étaient pris au piège, comme des lapins.
La Grande Salle, était, elle, plongée dans une effervescence et un chaos totale. C'était l'anarchie. Le professeur Mc Gonagall, choqué et secoué, pris sur elle, et repris la situation en main. Visiblement, elle se contenait, mais dés qu'elle commença à parler, les élèves se turent pour l'écouter, et mis à part les quelques élèves qui souffraient encore des répercutions des petits doloris encaissé, la Grande Salle fut plongée dans un silence soudain et absolu.
