Ah la la la! L'école recommence dans quelques jours (BOuhouhUOUoUU!!!!) ce qui signifie donc, des chapitres moins rapides à sortir, désolée… Néanmois, voilà mon quatrième chapitre.
Bon, pour une fois, j'ai pensé à l'avance (c tré tré difficile pour mon p'tit cerveau de Jello) et voici comment ça se passe. Il y a ce chapitre, puis un autre. L'histoire sera alors finie, mais ne désespérez pas, car je vais rajouter un prologue (ou un épilogue, sait plus trop, le chapitre plus court à la fin, comment ça s'appelle déjà?) qui expliquera pourquoi, mais pourquoi pour l'amour, Harry déteste-t-il la pluie (le gros suspense…lol)????
Ensuite, je reviens à ma potterfiction "Harry Potter et l'Anneau Magique", même si je préfère celle-là (je parle de "il pleuvait…").
Petit annonce: il y a un truc que je serais curieuse de voir: cette fic en anglais… J'ai essayé moi-même et ça faisait pitié…Il y a-t-il un volontaire? En échange: mon admiration éternelle, c'est ti po bo tout ça?
Bon, venons aux fait, me direz-vous, voilà, les persos ne m'appartiennent pas. Si c'eut été le cas, j'aurais un elfe de maison qui ferait mes devoirs de maths (même lui serait meilleur que moi….lol). Sauf exception, comme Ryan Bantlett, Ted Fairway (qu'on a jamais vu), Joshua Campbell, et la petite vieille au bout de la rue, là…oui, oui, celle-là! C'est moi qui l'ai inventée celle-là *fière*…
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"Il pleuvait…"
dédié à Tilicho
(pour savoir pourquoi, allez au chapitre III)
CHAPITRE IV
Alors que la porte se refermait derrière eux, Harry put entendre la voix sur excitée de Parvati Patil qui parlait à son amie avec la poudre de Cheminette.
- Lavande? Tu devineras jamais qui vient d'entrer dans le bureau du ministre avec une autre fille que sa petite amie…
Harry, agacé, n'y prêta plus attention.
Percy Weasley, était derrière son bureau marbre et paraissait chargé d'inquiétudes. Harry le connaissait depuis des années et savait qu'il n'avait pas du prendre une seule heure de repos depuis longtemps, utilisant des potions de Sommeil Éveillés pour échapper à tout ce temps perdu à se reposer. Malheureusement, aucune potion au monde ne valait un bon somme.
Il était grand, efflanqué, les cheveux roux vifs comme ses frères ("Ne pas y penser…"), le visage parsemé de tache de son, il avait toujours ses vieilles lunettes en peau de crocodile. Il était aussi le plus jeune Ministre de tous les temps.
Après la mort de Croupton, le chef de son département, Percy avait pris les commande de la Coopération Magique du Ministère, étant donné qu'il était l'assistant du vieil homme et donc, d'une certaine façon, son héritier. Harry se souvenait encore de la joie immense de son ami Ron quand il apprit que sa famille n'était plus pauvre.
* [Flash Back]
La pluie, s'abattant sur lui comme si l'océan entier y passait. Ron… De la pluie rouge! Le sang, le sang qui coulait aussi fort que la pluie. Cette pluie damnée…
Il pleuvait…
* [Fin du Flash Back]
Les yeux fermés, Harry s'efforça à penser à autre chose, refoulant les larmes qui lui montèrent aux yeux.
Peu après la ("la Pluie…") disparition de Voldemort, Percy dût organiser une réunion entre tous les Ministres de la magie du Monde pour fêter l'événement et, par la même occasion, assister à la nomination du nouveau Ministre Anglais, Fudge ayant été tué durant le jour fatidique qu'ils fêtaient. C'était l'occasion de sa vie. Cependant, un de ses apprentis avait fourni, pour la présentation spéciale d'un druide celte, un chaudron dont le fond était mince.
Trop mince…
Alors que le druide concoctait devant tout le monde la potion de la Mort, Percy, qui s'en était aperçut à temps, déboula dans la salle et fit évacuer tout le monde. Ce qui devait arriver arriva, le chaudron se fissura et la pièce fut inondée du liquide mortel. Percy, leur ayant sauvé la vie, les Ministres appuyèrent tous la candidature de Percy. Comme i n'y avait pas d'autres candidat sérieux (la plupart ayant été tués lors du raid au Ministère par les Mangemorts), il fut élu.
-Harry, mon vieux, s'exclama Percy sur une voix où tintait un accent de fatigue.
Harry sourit, Percy n'avait jamais été capable de prendre avec lui un ton professionnel comme à son habitude, depuis qu'il avait vaincu le Seigneur des Ténèbres.
Ryan regardait avec intérêt la pièce dans laquelle elle se trouvait. Tout y respirait le luxe, des murs en bois sombres, du plafond où une scène médiévale était peinte, à la manière de la chapelle Sixtine, à large baie vitrée derrière le dos du Ministre jusqu'aux fauteuils moelleux qui étaient placés devant le bureau de ce dernier.
Le front de Percy se plissa sous l'inquiétude.
- Quelque chose ne va pas, Harry? As-tu le portrait?
- Oui, répondit simplement Harry.
Il enfouit la main dans sa poche et en ressortit l'objet désiré. Il le déposa sur le bureau. Ryan, médusée, regarda Harry le remettre à sa taille normale. Bien entendu, il lui avait expliqué le phénomène alors qu'ils se rendaient au Chaudron Baveur mais évidemment, une image vaut mille mots.
Percy prit la tableau, le tourna, le retourna, chercha du bout des doigts une quelconque aspérité dans le cadre. Il y tapota le bout de sa baguette en marmonnant des mots que Ryan ne comprit pas, sans aucun résultat. Le Ministre poussa un soupir qui sembla chargé de significations aux oreilles de Harry.
Percy leva les yeux vers eux et s'aperçut que les jeunes gens étaient encore debout, il s'aperçut également qu'il ne connaissait pas la jeune fille qui se tenait là, à observer avec émerveillement les peintures du plafond.
- Je vous en pris, asseyez-vous, fit-il, accompagnant ses paroles d'un geste de la main vers les fauteuils devant son bureau.
Harry et Ryan ne se firent pas prier et en moins de deux, ils furent confortablement installés. Percy laissa échapper un grognement de mécontentement.
- Je déteste faire ça, expliqua-t-il, mais je crois qu'il me faut l'aide de mon assistant-Ministre pour ce cas. Car si je comprend bien (ses yeux s'allumèrent d'une lueur intelligente) si vous êtes ici, c'est que quelque chose ne tourne vraiment pas rond, n'est ce pas?
Harry acquiesça d'un mouvement de tête en réprimant son appréhension à déranger l'assistant-Ministre. Il se passa la main dans les cheveux en soupirant. Percy, l'air résigné, pris une pincée de poudre –la même que celle de Miss Patil, observa intérieurement Ryan-, se leva et la jeta sur le feu qui ronflait gentiment dans un grand foyer en marbre qui a dut coûter une fortune. Encore, la flamme prit une teinte verte.
- Je suis désolé, professeur, mais nous avons besoin de votre aide, ici…dit Percy d'une voix douce.
- J'arrive, répondit la flamme avec la voix d'un très vieil homme.
Le Ministre alla se rassoire en continuant de fixer la flamme.
Soudain, Ryan sursauta. Un vieil homme à la longue barbe argentée, en chaise roulante, sortait du feu. Son fauteuil avançait par magie. Il paraissait avoir deux cent ans mais se dégageait de lui une aura de sagesse indescriptible, Ryan eut tout de suite pour lui énormément de respect. À côté de lui, une petite créature verte aux oreilles pointues le suivait en se balançant au rythme de sa démarche un peu gauche. La petite créature portait dans ses mains une grosse pierre bleue sphérique.
Harry regarda son vieil ami se diriger vers eux. Ses paupières étaient closes sur des yeux complètement inutiles. Une chance que l'honorable Albus Dumbledore ait un ami d'enfance capable de lui avoir fourni une Pierre de Vision, lui permettant de voir autour de lui lorsqu'il la tenait dans sa main.
- Kimpy, demanda Dumbledore à son elfe, donne moi ma pierre, veux-tu?
- Oui, maître, couina le serviteur en s'exécutant.
Lorsque ce fut chose faite, Dumbledore sourit.
- Harry! s'exclama-t-il. Comment vas-tu? Tu te porte bien?
Le jeune sorcier le rassura sur son état de santé.
- Et vous, mademoiselle, je ne crois pas vous connaître…
Ryan se rendit compte que le vieil homme lui parlait avec un léger étonnement.
- Euh…enfin…C'est que je suis…enfin…pour tout vous dire…
Elle semblait complètement déstabilisée. Harry vola à son secours.
- Justement, professeur. C'est de ceci dont je suis venu vous parler. Vous vous souvenez de la mission qui m'a été attribuée?
Dumbledore se concentra et répondit, après quelques instant de réflexion:
- Oui, oui, enfin, je crois. N'était-ce pas d'aller chercher chez une Moldue le portrait de la femme de Grindelwald sous les apparences d'un agent d'antiquaire?
- Tout à fait, répondit Harry.
L'intérêt de Ryan dans toute cette affaire s'accrût encore plus. Elle se demandait vraiment ce que tout le monde voulait à cette peinture sans valeur.
- Oh, je vois, dit Dumbledore en hochant la tête, vous êtes la jeune Moldue, n'est-ce pas?
Ryan hocha la tête en silence, puis, se rendant compte que le vieil homme ne pouvait pas la voir, elle dit aussitôt:
- Euh…Je veux dire…oui!
Dumbledore eut un sourire indulgent et expliqua à la Moldue qu'il pouvait la voir grâce à la pierre qu'il avait dans la main. Ryan observa la dite pierre avec intérêt, s'enfonçant dans le monde de ses pensées encore une fois. Harry essaya de ne pas trop penser aux circonstances dans lesquelles Dumbledore avait perdu la vue, sans trop y parvenir.
*[Flash Back]
Il pleuvait.
Les mains de Harry frappaient furieusement les débris. La pluie rendait impossible toute tentative de se saisir de quoi que ce soit, tout était trop glissant. Il ne voyait plus rien, ses yeux était remplis d'eau de pluie et de larmes. Il cria de désespoir.
* [Fin du Flash back]
- Que s'est-il passé? demanda Dumbledore, inquiet.
Harry expliqua aussitôt les raisons de sa présence, l'homme en noir, le fait qu'il ait gardé Ryan vivante, son raisonnement aboutissant à la conclusion que la jeune Moldue avait une importance dans l'histoire.
- Et le cadavre? demanda Percy, inquiet, quand Harry eut fini son récit.
- Ne t'inquiète pas, Perce, je l'ai changé en os et l'ai enterré dans la cour arrière…
Percy parut être soulagé, puis il ajouta, à l'intention de Dumbledore:
- De plus, notez, professeur, que j'ai examiné moi-même ce tableau et je n,ai pas trouvé l'élixir…
Ryan sortit brusquement de sa torpeur en murmurant: "Barry…". Dumbledore sursauta légèrement.
- Qu'avez-vous dit?
- Oh! dit Ryan…euh…ce n'est rien… Je pensais à mon oncle Barry, qui aurait à peu près le même âge que vous et…c'est tout…J'ai eu (elle eut un rire léger), j'ai eu cette idée stupide que vous le connaissiez…
Elle se tut, le teint rosé, un peu gêné de ce qu'elle venait de dire. Mais Dumbledore semblait prendre la chose très au sérieux.
- Votre oncle Barry, fit-il, s'appelait-il Sonnenfield?
Ryan eut une exclamation étouffée. Elle répondit, encore plus rouge:
- Oui…
À la grande surprise de tout le monde, le vieil homme éclata de rire.
- Ce bon vieux Barry! C'est un ami d'enfance… C'est à lui que j'ai donné le portrait. Il était votre oncle, Miss…?
- Bantlett, répondit la jeune fille, les yeux ronds de surprise, excusez-moi, mais l'oncle Barry était…enfin…un sorcier?
- Et tout un! s'exclama Dumbledore, toujours souriant, il m'a aidé à anéantir le mage noir Grindelwald au début du XXe siècle…
Sans doute est-ce parce qu'il était vexé d'être mis de côté dans cette conversation, Percy prit la parole:
- Professeur, pouvez-vous nous expliquer toute l'histoire? Je dois avouer que je suis un peu dérouté...
Harry admit qu'il n'était pas le seul.
- Bien sûr, jeunes gens, commença Dumbledore en reprenant un air sérieux de circonstance, tout commence après la défaite du puissant mage noir Grindelwald. En faisant un inspection de sa demeure, je trouvai une peinture qu'il avait fait, apparemment lui-même. Elle représentait sa femme, décédée il y avait des années de cela. C'est d'ailleurs ce qu'il l'a poussé à la démence… Toujours est-il que je trouvai une note dans le coin du cadre. Il y était écrit que dans peinture renfermait un flacon rempli d'élixir de vie, tiré de la pierre philosophale (Merlin [clin d'œil à polaris et Fany] sait où il a déniché cet élixir…), et qu'un jour, il allait la faire revivre, grâce à cette potion. J'ai essayé moi-même de percer le mystère de la toile mais sans résultats. J'ai finit par la donner à Barry, mon ami. Puisque je craignais que de mauvaises personnes se doutent de quelques choses, Barry acheta toute une panoplie d'objets de la même époque, prétendant en faire une collection" mais ce n'était qu'une couverture, bien sûr. Je crois que Barry a trouvé la clé du mystère mais il ne m'en a rien dit car il est retourné vivre avec sa famille Moldue (sa mère était Moldue). Je ne lui ai plus jamais parlé.
Un silence tomba sur le groupe. À la lumière de toutes ces révélations, chacun était perdu dans ses pensées.
- Donc, raisonna Percy en brisant le mutisme général, les Mage Noirs estiment que Miss Bantlett, ici présent, détient la solution, n'est ce pas?
Dumbledore acquiesça, silencieux. Les deux plus jeunes hommes se tournèrent vers Ryan, attendant visiblement une réponse de sa part.
- Qui sont les Mages Noirs? demanda Ryan, ignorant leur question sous-entendue.
Percy lui expliqua brièvement qu'un troupe d'anciens Mangemorts s'étaient unis pour faire revivre l'époque noire du règne de Voldemort et, avec le portrait qui se trouvait présentement sur son bureau, Voldemort lui-même. L'élixir qui s'y trouvait était le dernier qui restait, la pierre philosophale ayant été détruite il y a de cela des années. Ryan fit comprendre qu'elle avait compris par un signe de la tête. Elle se réjouissait d'avoir appris de la bouche de Harry qui était Voldemort un peu plus tôt, sans quoi, elle aurait été largement déboussolée.
- Oh! s'exclama Ryan après quelques instants de réflexion, je me souviens maintenant!
Les trois hommes se redressèrent à ce propos.
- Que dites-vous? demanda Harry.
- Lorsque j'avais six ans, expliqua la jeune Moldue, mon oncle m'avait dit qu'il y a quelque chose de primordial que je devait savoir sur le portrait.
Elle se tut. Les trois hommes attendaient la suite, toujours dressés, la respiration coupée par l'adrénaline. Se pourrait-il qu'ils aient enfin la clé du mystère. Voyant que Ryan ne continuait pas, Harry s'exclama:
- Et alors?
La jeune fille sembla surprise par cette question.
- Il ne me l'a jamais dit, fit elle. Non…Lui et ma mère s'était brouillés un peu après…
Les épaules de Percy et de Harry s'affaissèrent sous le découragement. Mais Dumbledore semblait avoir une idée derrière la tête.
- Mademoiselle, fit-il d'un air malicieux, que pensez-vous de cette peinture?
Ryan répondit sur un ton qui laissait entendre qu'elle n'accordait aucune importance à ce détail.
- Bien, ma mère, qui est peintre, prétend que…
- Ce n'est pas ce que je voulais dire, coupa Dumbledore avec un geste de la main, que pensez-vous de cette peinture…
Ryan parut décontenancée. Elle chercha quelques instants les mots qui pourraient définir le sentiment que ce tableau suscitait en elle. Sans le savoir, elle répéta les mots qui sortirent de sa bouche à l'âge de six ans.
- Il est spécial…
Percy fit des efforts pour cacher son agacement, cette conversation n'allait nulle part, où voulait en venir Dumbledore. Les yeux de ce dernier s'allumèrent d'une étrange lueur.
- Harry, dit-il, peux-tu prêter ta baguette à Mss Ryan, s'il te plaît?
- Que…Quoi? s'exclama Harry, éberlué.
Mais Dumbledore ne put faire suite à ses idées car à ce moment, la voix de Parvati Patil se fit entendre, émergeant de la flamme d'un torche qui ornait le coin du bureau du Ministre.
- Veuillez m'excuser, Monsieur le Ministre, dit-elle, mais vous avez reçu un hibou urgent de votre femme.
Percy se redressa brusquement.
- Penny?
Il parut troublé.
- Euh, oui! Oui! Miss Patil, veuillez me l'apporter, s'il vous plaît.
- Oh! Monsieur le Ministre! couina le petit elfe de maison de Dumbledore, laissez-moi le faire.
Sans attendre de réponse, il s'élança vers les portes qui s'ouvraient. Quelques secondes plus tard, il revenait avec un petit paquet dans le mains, ravi de pouvoir aider.
Il ne fit nullement attention au mince filet de fumée qui s'échappait des coins.
-Mais qu'est ce que…commença Percy en se levant de sa chaise.
Trop tard…
PFFFFFOUFFFFFF!!!!!!!!
Un nuage épais de fumée violette se répandit dans toute la pièce. Quelques secondes plus tard, un grand bruit de vitre brisée indiqua que la fenêtre derrière le bureau venait de refiler sept de malheur à quelqu'un.
Mais qui?
Harry se leva, rapide comme l'éclair, arpentant tout le pièce à la recherche d'un quelconque individu, mais il se rendit vite compte que la fumée rendait cette tâche impossible. Il entendit Ryan crier, des voix d'homme, puis, rien.
Quelques instants plus tard, la fumée s'était assez dissipée pour que Harry constate que Percy, Dumbledore et Kimpy, l'elfe de maison, étaient étendus par terre.
Ryan Bantlett et le portrait de la dame aux cheveux violets avaient disparus.
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Et voilà un autre chapitre qui se termine cruellement, gniark gniark gniark! *sourire carnassier* (^,,^).
Je voudrait remercier toutes les personnes qui me font des reviews, vous n,avez pas idée comment ça me fait plaisir!!! *My little windmill*…
Sirien Dharc: Contente que tu aimes (^_^) J'essairai de continuer le plus vite possible, mais l'école recommence bientôt….
Mystikal: Oui, d'ailleurs je l'avais prévenu qu'il se passait pas grand chose, lol! Mais bon, je suis énormément paresseuse…;-)
Mister-Master: Merci encore! Toujours aussi constant! C'est bien!
Noa Dark: Merci! J'aodre écrire cette fic. Pour ce qui est de ta question, et bien je crois que j'y ai répondu avec ce chapitre (^_^)
Myamora Malfoy : Merci beaucoup! Woa! Vous allez tous me faire rougir! Hum pour ce qui est arrivé en 7e année, tu va le savoir avec mon épilogue (ou prologue, je le sais toujours pas, lol), après le chapitre qui vient 9si tout se passe bien).
Fany: Oh! Merci, merci, merci! Que de compliments! Ce qui est bizzarre avec cette fic, c'est que j'ai l'impression que c'est pas moi qui l'ait écrite (0_o) Non, j'ai pas pris d'acide, c'est juste que je l'écris presque sans penser, bizarre, hein? Enfin, je sais pas pourquoi je dis ça exactement à cet endroit, bous m'en excuserez!!!
Cornedrue: C'est vrai? Dès les premières phrase? Woa! Je m'imaginais pas ça *rayonne de fierté* Merci! (c po grave si c po constuctif, ca me fait cho au cœur quand même!)
Merci encore à mes reviewers! Continuer de me livrer vos impressions (^_^)!!! (une question: est ce que quelqu'un sait la différence entre les fic "Harry Potter" et les fics "Harry Potter Author Fic", me suis toujours demandé…)
