Titre: contraires
Auteur: lunard 666
Genre: goooooore et...yaoi !!
Disclaimer: rien. ( Vous ai-je déja dit que le disclaimer m'emmerde ? Non ? Ben maintenant c'est fait, voilà...)
Remerciements: à Mimi!!( et...Un zoyeux non-anniversaire !), à Coraline ( marchi marchi marchi!!!!), à cora ( qui est treees gentille!), à Jeremy Angel et à Max Devil ( paske qu'on ne change pas un duo qui gagne et qui écrit de supers fics!!)
Chapitre 7: Le Theatre.
Il est là.
Il est là et il rit.
Il est debout, au milieu d'une mare de sang, si grande qu'on en dirait une mer. Il est perdu au milieu du rien, perdu au centre d'un bel univers inexistant.
(et d'ailleurs, c'est pour ça qu'il est beau, car un univers qui existe ne peut pas l'être, n'est-ce pas ?)
Et il rit.
Et il rit.
Et il rit.
Et c'est un Théatre.
Sur ses joues d'albatre coulent de longs flots carmins, qui descendent jusqu'à sa bouche, là où certains sont aspirés, rendant plus rouge encore les levres vermeilles.
Et c'est un Théatre.
Il fait noir, mais on distingue pourtant les planches en bois d'une scene, et les tentures pourpres raccrochées aux ombres, qui masquent on ne sais quoi.
Et c'est un Théatre.
Sur le sol, une large plaie s'ouvre dans le bois un peu vermoulu. Une plaie rouge. Elle coupe presque en deux la scene qui disparait dans le noir pour ne jamais finir.
Et c'est un Théatre.
Sur cette plaie reposent, petits enfants du rien, quelques corps démembrés, aux angles étranges et à la peau bardée d'echymnoses violettes.
/ Et violets sont ses Yeux/
Et c'est un Théatre.
Et ses yeux sont rieurs, et son sourire si doux, un Ange veritable, premier venu au monde, qui contemple à ses pieds les formes incongrues représentées par les trainées qui barbouillent le sol, tout comme le sang barbouille son visage.
Et c'est un Théatre.
Et il semble si seul, au milieu de cette grande et vaste scene, en train de sourire et de lécher le sang qui coule d'une tête qu'il tient dans ses mains, coupée au niveau du cou, à hauteur de son visage.
Et il semble si seul.
Et c'est un Théatre.
Mais il rit.
Puis, dans cette étendue nocturne, seulement eclairée par des lumieres invisibles, un autre apparait, dévoilé par la brusque clarté d'un projecteur qui illumine un instant ses cheveux blonds maculés de meches brunes, dessous lequels une croix renvoit la lumiere.
Et c'est un Théatre.
Il s'avance lentement, tandis que le jet de lumiere s'éteind, vers l'être au centre de la scene, qui le regarde venir sans rien dire, une petite lueur dans ses yeux violets. Il semble l'attendre.
Et c'est un Théatre.
Le visiteur - et l'habitant maintenant, car quiquonque parvient à y entrer en fait parti - arrive vers l'Ange, et regarde calmement les corps à leurs pieds. Il ne dit rien - qu'y aurait-il à dire ? - et se tourne doucement vers l'autre.
Qui sourit.
Et c'est un Théatre.
Puis l'embrasse.
Et c'est un Théatre.
.............................
AHAHAH!!! Preeeeemier baiser!!!!
T'es plus fachée, Mimi ? Maitsuya non plus ? Pitiiiiiiié...
Auteur: lunard 666
Genre: goooooore et...yaoi !!
Disclaimer: rien. ( Vous ai-je déja dit que le disclaimer m'emmerde ? Non ? Ben maintenant c'est fait, voilà...)
Remerciements: à Mimi!!( et...Un zoyeux non-anniversaire !), à Coraline ( marchi marchi marchi!!!!), à cora ( qui est treees gentille!), à Jeremy Angel et à Max Devil ( paske qu'on ne change pas un duo qui gagne et qui écrit de supers fics!!)
Chapitre 7: Le Theatre.
Il est là.
Il est là et il rit.
Il est debout, au milieu d'une mare de sang, si grande qu'on en dirait une mer. Il est perdu au milieu du rien, perdu au centre d'un bel univers inexistant.
(et d'ailleurs, c'est pour ça qu'il est beau, car un univers qui existe ne peut pas l'être, n'est-ce pas ?)
Et il rit.
Et il rit.
Et il rit.
Et c'est un Théatre.
Sur ses joues d'albatre coulent de longs flots carmins, qui descendent jusqu'à sa bouche, là où certains sont aspirés, rendant plus rouge encore les levres vermeilles.
Et c'est un Théatre.
Il fait noir, mais on distingue pourtant les planches en bois d'une scene, et les tentures pourpres raccrochées aux ombres, qui masquent on ne sais quoi.
Et c'est un Théatre.
Sur le sol, une large plaie s'ouvre dans le bois un peu vermoulu. Une plaie rouge. Elle coupe presque en deux la scene qui disparait dans le noir pour ne jamais finir.
Et c'est un Théatre.
Sur cette plaie reposent, petits enfants du rien, quelques corps démembrés, aux angles étranges et à la peau bardée d'echymnoses violettes.
/ Et violets sont ses Yeux/
Et c'est un Théatre.
Et ses yeux sont rieurs, et son sourire si doux, un Ange veritable, premier venu au monde, qui contemple à ses pieds les formes incongrues représentées par les trainées qui barbouillent le sol, tout comme le sang barbouille son visage.
Et c'est un Théatre.
Et il semble si seul, au milieu de cette grande et vaste scene, en train de sourire et de lécher le sang qui coule d'une tête qu'il tient dans ses mains, coupée au niveau du cou, à hauteur de son visage.
Et il semble si seul.
Et c'est un Théatre.
Mais il rit.
Puis, dans cette étendue nocturne, seulement eclairée par des lumieres invisibles, un autre apparait, dévoilé par la brusque clarté d'un projecteur qui illumine un instant ses cheveux blonds maculés de meches brunes, dessous lequels une croix renvoit la lumiere.
Et c'est un Théatre.
Il s'avance lentement, tandis que le jet de lumiere s'éteind, vers l'être au centre de la scene, qui le regarde venir sans rien dire, une petite lueur dans ses yeux violets. Il semble l'attendre.
Et c'est un Théatre.
Le visiteur - et l'habitant maintenant, car quiquonque parvient à y entrer en fait parti - arrive vers l'Ange, et regarde calmement les corps à leurs pieds. Il ne dit rien - qu'y aurait-il à dire ? - et se tourne doucement vers l'autre.
Qui sourit.
Et c'est un Théatre.
Puis l'embrasse.
Et c'est un Théatre.
.............................
AHAHAH!!! Preeeeemier baiser!!!!
T'es plus fachée, Mimi ? Maitsuya non plus ? Pitiiiiiiié...
