Chapitre 4 : Double jeu :
Le lendemain, Harry se leva très tard *ça vous étonne ? c'est qu'il a pas chômé pendant la nuit, hein, le p'tit Potter...*. Se souvenant que c'était les vacances de Noël, il s'habilla en vitesse et descendit dans la salle commune. Celle-ci était déserte, mais Harry distingua tout de même une tête brune et une tête rousse dans un coin, derrière une pile de livres.
Ron ! Hermione ! Je suis levé ! déclara Harry joyeusement.
La pile de livres s'écroula et Ron et Hermione apparurent. Lorsqu'il vit Harry, Ron rougit légèrement mais Harry fit comme si de rien n'était.
Ah ! te voilà, toi ! s'exclama Hermione en empilant les livres tombés. On t'a attendu pour le petit déjeuner.
Tous trois se rendirent donc dans la Grande Salle. Comme il n'y avait pas beaucoup de monde dans le château durant les vacances, on avait installé une unique table au milieu de la Salle tandis que les tables habituelles étaient rangées sur le côté. En entrant dans la salle, Harry remarqua que Malefoy et ses deux accolytes étaient restés, eux aussi.
Oh non ! Ne me dis pas qu'il est encore là, celui-là, murmura Harry aux 2 autres.
Ils s'installèrent et commencèrent à manger. Malheureusement, les seules places qui restaient étaient en face de Draco, Crabbe et Goyle et Harry, Ron et Hermione furent obligés de s'y asseoir. Durant tout le déjeuner, Harry eut l'impression que Malefoy le regardait sans cesse, mais il crut comprendre pourquoi lorsque Draco lança :
Hé Potter ! Tu t'es coiffé avec une Bombabouse ou ce sont tes vrais cheveux ?
Harry sentit le rouge lui monter aux joues tandis qu'il essayait, en vain, d'ignorer la voix traînante de Draco.
Et c'est moi qui rêve ou tu as la trace de ton oreiller sur la joue ?
Harry rougit de plus belle mais Ron trancha :
Dis, Malefoy, c'est moi qui rêve ou tu as vraiment une fiente de hibou dans les cheveux ?
Décontenancé, Malefoy partit en compagnie de ses deux malabars. Harry, Ron et Hermione passèrent ensuite leur après-midi dans la bibliothèque : Hermione étudiait tandis qu'Harry et Ron se passaient des livres dans lesquels ils avaient introduit des petits mots. L'ensemble formait un dialogue semblable à ceci :
Ron : Est-ce que tu m'aimes ?
Harry : Tu crois que j'aurais fait ce que j'ai fait si je ne t'aimais pas ?
Ron : Mais alors tu es aussi homosexuel, non ?
Harry : Je ne sais pas. Avant j'aimais Cho Chang.
Ron : Et tu l'aimes toujours ?
Harry : Il n'y a qu'une personne que j'aime à en mourir : toi.
Ron : Pareil pour moi mon amour.
Harry : Est-ce que c'est toi qui m'a envoyé des lettres d'amour ?
Ron : Quelles lettres ?
Harry : Tu veux dire que ce n'est pas toi qui m'a envoyé des lettres ?
Ron : Je peux te le jurer.
Harry : Alors qui est-ce ?
Ron : Je n'en sais rien mais j'espère que cette admiratrice ne t'arrachera pas à moi.
Harry : Mon petit Ron, tu sais que seule la mort pourra nous séparer.
Ron : J'ai confiance en toi, mais si tu meurs, je meurs...
Le dialogue continuait alors en mots doux innombrables. Toute la journée se passa ainsi jusqu'à ce qu'il soit temps de quitter la bibliothèque.
Le lendemain, lorsqu'Harry sortit de la salle commune de Gryffondor, il fut surpris par quelqu'un qui l'empoigna et le repoussa dans un coin. Surpris, il se retourna et vit...Malefoy ! Celui-ci lui glissa à l'oreille :
Fais comme si de rien n'était et suis-moi de loin.
Harry suivit son ordre. Malefoy sortit de leur cachette et parcourut plusieurs couloirs. Harry sortit lui aussi de la cachette quelques instants plus tard et suivit Malefoy. Un dédale de couloirs l'amena dans une petite pièce carrée. Là, Malefoy l'attendait, appuyé contre le mur. Quand Harry rentra dans la pièce, Malefoy ferma la porte par un sortilège, ce qui rendait l'accès à la pièce où ils se trouvaient inaccessible. Draco dit à Harry :
Ecoute, je...j'ai à te parler...
Curieusement, Malefoy parlait d'une voix douce et Harry se surprit à apprécier d'écouter cette voix. Il demanda :
Ca n'a rien à voir avec un plan tordu au moins ? demanda Harry.
Draco posa une main sur l'épaule d'Harry et celui-ci sentit un petit quelque chose au coeur.
Harry, c'est beaucoup plus important que tout ce que tu oserais imaginer, lui dit Draco en le regardant de ses beaux yeux gris.
Ce fut seulement à ce moment que Harry remarqua la beauté des yeux de Draco : ils étaient d'un gris pur, profond et, surpris, Harry y vit de la douceur, énormément de douceur qu'il n'aurait jamais pu soupçonner auparavant. Draco lui montrait-il sa face cachée ? Il ouvrit la porte de l'autre côté de la pièce où ils se trouvaient pour l'instant : elle menait à un couloir que Harry n'avait jamais vu. Il aboutissait sur un simple portrait intitulé "La Dame d'Amour"
Je voudrais te montrer quelque chose, dit Draco.
Jamais il n'avait été plus mystérieux qu'à cet instant et Harry ne sut quoi répondre, mais avant qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, une dame très jolie et bien vêtue était apparue sur le tableau jusqu'alors vide.
Que puis-je pour vous ? demanda la dame, intriguée.
- Chère gente dame, pourriez-vous nous ouvrir la porte sur le Passage ? demanda Draco.
Harry fut étonné de son vocabulaire et du ton de sa voix, mais il supposa que la Dame exigeait qu'on lui parle de telle façon.
Et quels sont vos projets ? demanda-t-elle.
Je ne puis le révéler, hélas, lui dit Draco.
- Soit. Vous pouvez rentrer, vous me plaisez bien.
La Dame sortit une clé de la manche de sa robe et la tendit aux garçons. Elle leur précisa :
Libres à vous de venir en ce passage, cependant je ne peux vous indiquer son entrée, celle-ci doit être découverte par vous-mêmes.
Harry et Draco commencèrent alors à chercher une serrure à la taille de la clé (qui n'était pas plus grande qu'une mouche, autrement dit ce n'était pas une mince affaire). Après quelques instants de recherche, Harry remarqua une petite serrure juste sous le cadre de la Dame. Draco introduit la clé dans la serrure : la taille correspondait. Soudain, une porte se dessina et, hésitants, les deux garçons entrèrent dans le couloir qui se dessinait peu à peu. La porte se referma brusquement, mais, par malheur, Draco était resté devant ; il fut propulsé en avant et voulut se retenir à Harry mais, pour la deuxième fois, ils tombèrent en un seul corps. Harry se retrouva dos contre terre, Draco était couché à plat ventre sur lui. Soudain, leurs regards se croisèrent et, presqu'instantanément, Harry fut surpris par la bouche de Draco qui se posait sur la sienne. Sonné, Harry se laissa faire et, il ne savait pourquoi, le fait d'embrasser son pire ennemi ne lui déplaisait pas. Finalement, Draco relacha son baiser, mais il resta dans sa position.
C'est de ça dont tu voulais me parler ? demanda Harry.
Draco ne répondit pas et se releva. Harry commençait à comprendre.
Les lettres, c'était toi ?
Je dois bien avouer que c'était une bien mauvaise idée, dit Draco, quand je vois dans quel état ça t'a mis... Et en plus, je te harcelais...
Tu me harcelais ? Qu'est-ce que tu veux dire par "harceler"?
- Ben, la main là où il faut pas au cours de créatures magiques et de métamorphose, ça ne pouvait être qu'un coup de Malefoy, ce débile mental...
Harry ne dit rien. Il trompait son meilleur ami avec son pire ennemi.
Mais tu sais, quand dans la Grande Salle, l'autre jour, tu m'as rabattu le caquet, j'ai failli déprimer...
Harry ne répondit pas non plus. Il se jeta tout simplement dans les bras de Draco et commença à l'embrasser passionnément. Se détachant de lui, il dit :
Je suis désolé, et les lettres, c'était vraiment la plus belle déclaration d'amour qu'on m'ait jamais faite.
- Alors tu m'aimes aussi ? demanda Draco.
Bien sûr que je t'aime ! s'exclama Harry. Seulement soyons d'accord sur une chose : personne ne doit savoir...
Un sourire se dessina sur les lèvres de Draco.
C'est toi qui décides, Potter ! dit-il d'un ton craquant.
Il embrassa de nouveau Harry. Tout en continuant, ils se couchèrent, serrés dans la petite pièce où ils se trouvaient, corps contre corps. Harry enleva la robe de Draco le plus vite possible, et Draco fit de même. Alors, nus, l'un contre l'autre, ils s'embrassèrent *et même ils firent plus, mais je vous laisse l'imaginer* jusqu'au bout de la nuit.
Petit mot de Rony Dany, donc moi, destiné à Saael : Désolé mais ma fic est préparée en fait depuis longtemps et j'ai donc déjà écrit la suite, mais j'ai du laisser quelqu'un sur le banc de touche comme tu dis désolée. Bien sûr, si tu veux tu n'es pas obligé de continuer de lire et tu peux imaginer la suite, mais ça c'est ton problème. Encore désolée et encore merci à tout ceux qui ont écrit des reviews ça fait plaisir ! ! ! !
Le lendemain, Harry se leva très tard *ça vous étonne ? c'est qu'il a pas chômé pendant la nuit, hein, le p'tit Potter...*. Se souvenant que c'était les vacances de Noël, il s'habilla en vitesse et descendit dans la salle commune. Celle-ci était déserte, mais Harry distingua tout de même une tête brune et une tête rousse dans un coin, derrière une pile de livres.
Ron ! Hermione ! Je suis levé ! déclara Harry joyeusement.
La pile de livres s'écroula et Ron et Hermione apparurent. Lorsqu'il vit Harry, Ron rougit légèrement mais Harry fit comme si de rien n'était.
Ah ! te voilà, toi ! s'exclama Hermione en empilant les livres tombés. On t'a attendu pour le petit déjeuner.
Tous trois se rendirent donc dans la Grande Salle. Comme il n'y avait pas beaucoup de monde dans le château durant les vacances, on avait installé une unique table au milieu de la Salle tandis que les tables habituelles étaient rangées sur le côté. En entrant dans la salle, Harry remarqua que Malefoy et ses deux accolytes étaient restés, eux aussi.
Oh non ! Ne me dis pas qu'il est encore là, celui-là, murmura Harry aux 2 autres.
Ils s'installèrent et commencèrent à manger. Malheureusement, les seules places qui restaient étaient en face de Draco, Crabbe et Goyle et Harry, Ron et Hermione furent obligés de s'y asseoir. Durant tout le déjeuner, Harry eut l'impression que Malefoy le regardait sans cesse, mais il crut comprendre pourquoi lorsque Draco lança :
Hé Potter ! Tu t'es coiffé avec une Bombabouse ou ce sont tes vrais cheveux ?
Harry sentit le rouge lui monter aux joues tandis qu'il essayait, en vain, d'ignorer la voix traînante de Draco.
Et c'est moi qui rêve ou tu as la trace de ton oreiller sur la joue ?
Harry rougit de plus belle mais Ron trancha :
Dis, Malefoy, c'est moi qui rêve ou tu as vraiment une fiente de hibou dans les cheveux ?
Décontenancé, Malefoy partit en compagnie de ses deux malabars. Harry, Ron et Hermione passèrent ensuite leur après-midi dans la bibliothèque : Hermione étudiait tandis qu'Harry et Ron se passaient des livres dans lesquels ils avaient introduit des petits mots. L'ensemble formait un dialogue semblable à ceci :
Ron : Est-ce que tu m'aimes ?
Harry : Tu crois que j'aurais fait ce que j'ai fait si je ne t'aimais pas ?
Ron : Mais alors tu es aussi homosexuel, non ?
Harry : Je ne sais pas. Avant j'aimais Cho Chang.
Ron : Et tu l'aimes toujours ?
Harry : Il n'y a qu'une personne que j'aime à en mourir : toi.
Ron : Pareil pour moi mon amour.
Harry : Est-ce que c'est toi qui m'a envoyé des lettres d'amour ?
Ron : Quelles lettres ?
Harry : Tu veux dire que ce n'est pas toi qui m'a envoyé des lettres ?
Ron : Je peux te le jurer.
Harry : Alors qui est-ce ?
Ron : Je n'en sais rien mais j'espère que cette admiratrice ne t'arrachera pas à moi.
Harry : Mon petit Ron, tu sais que seule la mort pourra nous séparer.
Ron : J'ai confiance en toi, mais si tu meurs, je meurs...
Le dialogue continuait alors en mots doux innombrables. Toute la journée se passa ainsi jusqu'à ce qu'il soit temps de quitter la bibliothèque.
Le lendemain, lorsqu'Harry sortit de la salle commune de Gryffondor, il fut surpris par quelqu'un qui l'empoigna et le repoussa dans un coin. Surpris, il se retourna et vit...Malefoy ! Celui-ci lui glissa à l'oreille :
Fais comme si de rien n'était et suis-moi de loin.
Harry suivit son ordre. Malefoy sortit de leur cachette et parcourut plusieurs couloirs. Harry sortit lui aussi de la cachette quelques instants plus tard et suivit Malefoy. Un dédale de couloirs l'amena dans une petite pièce carrée. Là, Malefoy l'attendait, appuyé contre le mur. Quand Harry rentra dans la pièce, Malefoy ferma la porte par un sortilège, ce qui rendait l'accès à la pièce où ils se trouvaient inaccessible. Draco dit à Harry :
Ecoute, je...j'ai à te parler...
Curieusement, Malefoy parlait d'une voix douce et Harry se surprit à apprécier d'écouter cette voix. Il demanda :
Ca n'a rien à voir avec un plan tordu au moins ? demanda Harry.
Draco posa une main sur l'épaule d'Harry et celui-ci sentit un petit quelque chose au coeur.
Harry, c'est beaucoup plus important que tout ce que tu oserais imaginer, lui dit Draco en le regardant de ses beaux yeux gris.
Ce fut seulement à ce moment que Harry remarqua la beauté des yeux de Draco : ils étaient d'un gris pur, profond et, surpris, Harry y vit de la douceur, énormément de douceur qu'il n'aurait jamais pu soupçonner auparavant. Draco lui montrait-il sa face cachée ? Il ouvrit la porte de l'autre côté de la pièce où ils se trouvaient pour l'instant : elle menait à un couloir que Harry n'avait jamais vu. Il aboutissait sur un simple portrait intitulé "La Dame d'Amour"
Je voudrais te montrer quelque chose, dit Draco.
Jamais il n'avait été plus mystérieux qu'à cet instant et Harry ne sut quoi répondre, mais avant qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, une dame très jolie et bien vêtue était apparue sur le tableau jusqu'alors vide.
Que puis-je pour vous ? demanda la dame, intriguée.
- Chère gente dame, pourriez-vous nous ouvrir la porte sur le Passage ? demanda Draco.
Harry fut étonné de son vocabulaire et du ton de sa voix, mais il supposa que la Dame exigeait qu'on lui parle de telle façon.
Et quels sont vos projets ? demanda-t-elle.
Je ne puis le révéler, hélas, lui dit Draco.
- Soit. Vous pouvez rentrer, vous me plaisez bien.
La Dame sortit une clé de la manche de sa robe et la tendit aux garçons. Elle leur précisa :
Libres à vous de venir en ce passage, cependant je ne peux vous indiquer son entrée, celle-ci doit être découverte par vous-mêmes.
Harry et Draco commencèrent alors à chercher une serrure à la taille de la clé (qui n'était pas plus grande qu'une mouche, autrement dit ce n'était pas une mince affaire). Après quelques instants de recherche, Harry remarqua une petite serrure juste sous le cadre de la Dame. Draco introduit la clé dans la serrure : la taille correspondait. Soudain, une porte se dessina et, hésitants, les deux garçons entrèrent dans le couloir qui se dessinait peu à peu. La porte se referma brusquement, mais, par malheur, Draco était resté devant ; il fut propulsé en avant et voulut se retenir à Harry mais, pour la deuxième fois, ils tombèrent en un seul corps. Harry se retrouva dos contre terre, Draco était couché à plat ventre sur lui. Soudain, leurs regards se croisèrent et, presqu'instantanément, Harry fut surpris par la bouche de Draco qui se posait sur la sienne. Sonné, Harry se laissa faire et, il ne savait pourquoi, le fait d'embrasser son pire ennemi ne lui déplaisait pas. Finalement, Draco relacha son baiser, mais il resta dans sa position.
C'est de ça dont tu voulais me parler ? demanda Harry.
Draco ne répondit pas et se releva. Harry commençait à comprendre.
Les lettres, c'était toi ?
Je dois bien avouer que c'était une bien mauvaise idée, dit Draco, quand je vois dans quel état ça t'a mis... Et en plus, je te harcelais...
Tu me harcelais ? Qu'est-ce que tu veux dire par "harceler"?
- Ben, la main là où il faut pas au cours de créatures magiques et de métamorphose, ça ne pouvait être qu'un coup de Malefoy, ce débile mental...
Harry ne dit rien. Il trompait son meilleur ami avec son pire ennemi.
Mais tu sais, quand dans la Grande Salle, l'autre jour, tu m'as rabattu le caquet, j'ai failli déprimer...
Harry ne répondit pas non plus. Il se jeta tout simplement dans les bras de Draco et commença à l'embrasser passionnément. Se détachant de lui, il dit :
Je suis désolé, et les lettres, c'était vraiment la plus belle déclaration d'amour qu'on m'ait jamais faite.
- Alors tu m'aimes aussi ? demanda Draco.
Bien sûr que je t'aime ! s'exclama Harry. Seulement soyons d'accord sur une chose : personne ne doit savoir...
Un sourire se dessina sur les lèvres de Draco.
C'est toi qui décides, Potter ! dit-il d'un ton craquant.
Il embrassa de nouveau Harry. Tout en continuant, ils se couchèrent, serrés dans la petite pièce où ils se trouvaient, corps contre corps. Harry enleva la robe de Draco le plus vite possible, et Draco fit de même. Alors, nus, l'un contre l'autre, ils s'embrassèrent *et même ils firent plus, mais je vous laisse l'imaginer* jusqu'au bout de la nuit.
Petit mot de Rony Dany, donc moi, destiné à Saael : Désolé mais ma fic est préparée en fait depuis longtemps et j'ai donc déjà écrit la suite, mais j'ai du laisser quelqu'un sur le banc de touche comme tu dis désolée. Bien sûr, si tu veux tu n'es pas obligé de continuer de lire et tu peux imaginer la suite, mais ça c'est ton problème. Encore désolée et encore merci à tout ceux qui ont écrit des reviews ça fait plaisir ! ! ! !
