La nouvelle vie de Harry Potter
Les personnages ne m'appartiennent pas, mais appartiennent à J.K. Rowling.
Chapitre III
Harry dormait paisiblement quand tout à coup il entendit un grand bruit Provenant de la cuisine, comme une explosion, puis un grand cri. Un cri émit par Sirius. Il se leva aussitôt croyant son parrain en danger. Il prit sa baguette et entreprit de descendre en essayant de faire le moins de bruit possible. Il s'avança à pas de loup en direction de la cuisine et sentit quelqu'un derrière lui qui lançait un sort.
Stupéfix ! Harry, grâce à son agilité, avait pu s'éloigner du sort et il ne l'avait pas atteint. Il faisait maintenant face à son agresseur, mais il ne le voyait pas, il recherchait Sirius des yeux, jusqu'à ce qu'il entende un autre sort venant de derrière lui qu'il ne pu éviter, c'était le maléfice du saucisson.
Finite Incatatum, dit alors Sirius en riant. Harry se remit alors debout et constata que ses agresseurs étaient Sirius et Rémus. Il les regardait abasourdi.
Qu'est-ce que vous faites ? demanda-t-il, fâché.
Nous voulions savoir. répondit Sirius en riant, si tu pouvais te défendre et si tu étais prêt à toute les attaques qui pourraient te tomber dessus.
Mais nous avons réalisé que tu n'étais pas vraiment prêt, ajouta Rémus, n'est-ce pas Sirius ?
Mais. balbutia Harry.
Je t'avais prévenu, commença Sirius, de toujours surveiller tes arrières et de ne faire confiance à personne, tu te souviens, n'est-ce pas Harry.
Oui, mais je ne croyais pas que tu devais être inclus dans les personnes que je ne devais pas leur faire confiance, répondit Harry, exaspéré. Il voyait maintenant qu'il s'était fait avoir comme un parfait idiot et Rémus et son parrain trouvaient la situation très drôle.
Écoute, Harry, lui dit Rémus, on voulait juste s'assurer que tu pouvais assurer ta propre sécurité, on ne voulait pas se moquer de toi.
Et on voulait également te remettre ceci, ajouta Sirius. Il lui tendit un paquet cadeau que Harry s'empressa d'ouvrir. C'était un livre intitulé « Mille et une façon de ne pas se faire piéger ».
Heuh merci, mais pourquoi me le donner maintenant ?
On voulait te l'offrir pour ta fête, mais Sirius a décidé de te jouer un petit tour pour te le remettre, histoire de s'amuser et de se rappeler le temps des Maraudeurs, répondit Lupin.
Et maintenant, il est temps de déjeuner, faut être à King Cross pour le Poudlard Express à 11h.
Harry mangea, puis alla chercher ses valises pour partir pour la gare. Rémus l'aida avec ses bagages et Sirius se transforma en chien. Rémus apporta alors une petite canette, que Harry reconnu comme étant un portoloin et deux hommes et un chien furent transportés directement sur le quai 9 ¾. Rémus l'aida à mettre ses bagages dans un compartiment vide du train. Il restait encore 20 minutes avant le départ. Harry se sentait curieux et triste. C'était la première fois en cinq ans que quelqu'un était là pour lui dire au revoir. C'est sûr il y avait souvent eu la famille Weasley, mais elle était également présente pour les membres de sa famille, alors que maintenant Rémus et Sniffle était là seulement pour lui. Il alla les retrouver, puis chercha du regard Hermione et Ron. Soudain, il les vit. Ils s'étaient fait accosté par Draco Malefoy, qui devait sûrement traité Hermione de sang-de-bourbe. Harry sentit une grande fureur l'envahir, mais Rémus le retint en lui montrant Sirius, toujours transformé en chien, s'avançant lentement vers Draco et lui mordre la fesse pour lui arracher un morceau de son pantalon. Harry trouva la situation très drôle Rémus, lui dit , « tu vois, il faut toujours surveiller ses arrières. » Ron qui avait reconnu Sirius le regardait et trouvait la situation très amusante. Il dit à Hermione qu'il devrait conserver ce souvenir toute sa vie au côté de Malefoy la fouine bondissante, puis se mis à rire. Harry vint les rejoindre et leur montra le compartiment qu'ils avaient. Ils s'installèrent et vinrent dire au revoir. Rémus pris Harry dans ses bras et lui dit de faire attention et de toujours. oui je sais avait répondu Harry, surveiller mes arrières, il regarda Sniffle et le serra dans ses bras, il lui dit alors, tu vas me manquer Sniffle, le chien le regarda et émit un petit jappement. Harry monta à bord du train qui partit presque aussitôt.
Il n'y avait que les trois amis dans le compartiment, Harry s'assit en face de Ron et d'Hermione. Il se sentait mal à l'aise d'être en présence d'un couple, mais également jaloux de Ron, il aurait tout donné l'or de son coffre de la Grigott pour être à sa place, à côté de Hermione. Ils se racontèrent la fin de leur vacances, puis Ron s'endormit sur l'épaule d'Hermione. Elle déposa alors la tête de Ron sur ses genoux pour qu'il soit plus confortable et regarda Harry.
Euh, il semble fatigué, dit-il.
Oui, il n'a pas beaucoup dormi la nuit dernière, répondit Hermione gênée.
Ah, fit Harry. Il s'imagina alors qu'Hermione et Ron avaient du passer la nuit ensemble et ajouta, je comprends.
Non, ce n'est pas ce que tu penses Harry. En fait il l'aurait bien voulu, mais moi je ne voulais pas, son ton changeait. Je veux attendre d'aimer pour cela tu comprends, Harry.
Mais quoi, tu ne l'aimes pas. Mais c'est toi qui m'a écrit que tu étais amoureuse, je me disais que ce devait être Ron.
Ron je l'aime bien, mais je n'en suis pas amoureuse. Je lui ai dit oui, pour ne pas le froisser.
Mais tu avais dit que tu ne voulais pas de Krum parce que tu ne l'aimais pas et puis tu sors avec Ron ? Je ne comprends vraiment rien, dit Harry.
Oui, je sais, je ne me comprend pas moi-même. J'ai dit oui à Ron, parce que j'étais persuadée que le garçon que j'aimais n'éprouvait pas les mêmes sentiments que moi. Alors je me suis dit que je devais peut-être me contenter de son m. eh ami.
Son ami, Hermione, tu veux dire que ton amoureux connaît Ron, très bien. Il réfléchissait peut-être que c'était Dean ou Seamus, mais sûrement pas Neville. Il regarda Hermione et ajouta, est-ce qu'il est à Gryffondor ?
Hermione le regarda et lui dit : « Tu es vraiment trop curieux Harry Potter »
Si l'homme dont tu es amoureuse te remarque et te demande de le fréquenter que feras-tu ?
Je n'y ai pas vraiment réfléchit. Mais je crois que ce serait vraiment très grave et qu'une amitié serait vraiment en jeu, peut-être, même terminée, alors je dirais probablement non. Harry la regarda dans les yeux et compris qu'elle était amoureuse de lui. Il lui dit seulement,
Ah Hermione, si je n'avais pas été si orgueilleux aussi ! tout en la fixant dans les yeux.
Tu comprends Harry, une larme coula sur sa joue et Harry vint l'essuyer lentement avec son pouce.
Non, Hermione, ne pleure pas. Je comprends. . .
Qu'est-ce que tu comprends toi, demanda la voix endormie de Ron ?
Bien dormit, demanda alors Hermione à Ron ?
Oui, ma puce, répondit-il en l'embrassant.
Harry était gêné. Il se sentait vraiment de trop dans ce compartiment surtout depuis qu'il savait qu'il aurait pu être à la place de Ron. Il espérait que son ami n'est rien entendu de la conversation qu'il avait eu avec Hermione. Le reste du trajet se déroula rapidement et ils furent bientôt sur le quai où ils entendirent une voix crier : «Les premières années, veuillez me suivre ». Harry se dirigea vers la voix et reconnu Hagrid qui l'accueilli chaleureusement. Ensuite les trois amis se dirigèrent vers les carosses qui les attendaient pour les amener à Poudlard. Il montèrent dans l'un deux et Neville vint les rejoindre.
Arrivés à Poudlard ils allèrent s'asseoir dans la grande salle à la table des Gryffondor, attendant patiemment que les premières années face leur apparition et se fassent répartir dans les différentes maisons de Gryffondor. Ron avait faim et disait qu'il devrait faire la répartition rapidement. Le professeur Mc Gonagall entra dans la salle vint voir Harry, Hermione et Ron et leur dit de se rendre immédiatement au bureau du professeur Dumbledore. Les trois amis se regardèrent, qu'est-ce qu'ils avaient bien pu faire de grave pour être accueillis de la sorte ? Ils quittèrent la grande salle et se dirigèrent vers le bureau du directeur de Poudlard, Professeur Albus Dumbledore.
Merci pour les rewiews ils m'encouragent à continuer l'écriture de cette fan fiction.
Les personnages ne m'appartiennent pas, mais appartiennent à J.K. Rowling.
Chapitre III
Harry dormait paisiblement quand tout à coup il entendit un grand bruit Provenant de la cuisine, comme une explosion, puis un grand cri. Un cri émit par Sirius. Il se leva aussitôt croyant son parrain en danger. Il prit sa baguette et entreprit de descendre en essayant de faire le moins de bruit possible. Il s'avança à pas de loup en direction de la cuisine et sentit quelqu'un derrière lui qui lançait un sort.
Stupéfix ! Harry, grâce à son agilité, avait pu s'éloigner du sort et il ne l'avait pas atteint. Il faisait maintenant face à son agresseur, mais il ne le voyait pas, il recherchait Sirius des yeux, jusqu'à ce qu'il entende un autre sort venant de derrière lui qu'il ne pu éviter, c'était le maléfice du saucisson.
Finite Incatatum, dit alors Sirius en riant. Harry se remit alors debout et constata que ses agresseurs étaient Sirius et Rémus. Il les regardait abasourdi.
Qu'est-ce que vous faites ? demanda-t-il, fâché.
Nous voulions savoir. répondit Sirius en riant, si tu pouvais te défendre et si tu étais prêt à toute les attaques qui pourraient te tomber dessus.
Mais nous avons réalisé que tu n'étais pas vraiment prêt, ajouta Rémus, n'est-ce pas Sirius ?
Mais. balbutia Harry.
Je t'avais prévenu, commença Sirius, de toujours surveiller tes arrières et de ne faire confiance à personne, tu te souviens, n'est-ce pas Harry.
Oui, mais je ne croyais pas que tu devais être inclus dans les personnes que je ne devais pas leur faire confiance, répondit Harry, exaspéré. Il voyait maintenant qu'il s'était fait avoir comme un parfait idiot et Rémus et son parrain trouvaient la situation très drôle.
Écoute, Harry, lui dit Rémus, on voulait juste s'assurer que tu pouvais assurer ta propre sécurité, on ne voulait pas se moquer de toi.
Et on voulait également te remettre ceci, ajouta Sirius. Il lui tendit un paquet cadeau que Harry s'empressa d'ouvrir. C'était un livre intitulé « Mille et une façon de ne pas se faire piéger ».
Heuh merci, mais pourquoi me le donner maintenant ?
On voulait te l'offrir pour ta fête, mais Sirius a décidé de te jouer un petit tour pour te le remettre, histoire de s'amuser et de se rappeler le temps des Maraudeurs, répondit Lupin.
Et maintenant, il est temps de déjeuner, faut être à King Cross pour le Poudlard Express à 11h.
Harry mangea, puis alla chercher ses valises pour partir pour la gare. Rémus l'aida avec ses bagages et Sirius se transforma en chien. Rémus apporta alors une petite canette, que Harry reconnu comme étant un portoloin et deux hommes et un chien furent transportés directement sur le quai 9 ¾. Rémus l'aida à mettre ses bagages dans un compartiment vide du train. Il restait encore 20 minutes avant le départ. Harry se sentait curieux et triste. C'était la première fois en cinq ans que quelqu'un était là pour lui dire au revoir. C'est sûr il y avait souvent eu la famille Weasley, mais elle était également présente pour les membres de sa famille, alors que maintenant Rémus et Sniffle était là seulement pour lui. Il alla les retrouver, puis chercha du regard Hermione et Ron. Soudain, il les vit. Ils s'étaient fait accosté par Draco Malefoy, qui devait sûrement traité Hermione de sang-de-bourbe. Harry sentit une grande fureur l'envahir, mais Rémus le retint en lui montrant Sirius, toujours transformé en chien, s'avançant lentement vers Draco et lui mordre la fesse pour lui arracher un morceau de son pantalon. Harry trouva la situation très drôle Rémus, lui dit , « tu vois, il faut toujours surveiller ses arrières. » Ron qui avait reconnu Sirius le regardait et trouvait la situation très amusante. Il dit à Hermione qu'il devrait conserver ce souvenir toute sa vie au côté de Malefoy la fouine bondissante, puis se mis à rire. Harry vint les rejoindre et leur montra le compartiment qu'ils avaient. Ils s'installèrent et vinrent dire au revoir. Rémus pris Harry dans ses bras et lui dit de faire attention et de toujours. oui je sais avait répondu Harry, surveiller mes arrières, il regarda Sniffle et le serra dans ses bras, il lui dit alors, tu vas me manquer Sniffle, le chien le regarda et émit un petit jappement. Harry monta à bord du train qui partit presque aussitôt.
Il n'y avait que les trois amis dans le compartiment, Harry s'assit en face de Ron et d'Hermione. Il se sentait mal à l'aise d'être en présence d'un couple, mais également jaloux de Ron, il aurait tout donné l'or de son coffre de la Grigott pour être à sa place, à côté de Hermione. Ils se racontèrent la fin de leur vacances, puis Ron s'endormit sur l'épaule d'Hermione. Elle déposa alors la tête de Ron sur ses genoux pour qu'il soit plus confortable et regarda Harry.
Euh, il semble fatigué, dit-il.
Oui, il n'a pas beaucoup dormi la nuit dernière, répondit Hermione gênée.
Ah, fit Harry. Il s'imagina alors qu'Hermione et Ron avaient du passer la nuit ensemble et ajouta, je comprends.
Non, ce n'est pas ce que tu penses Harry. En fait il l'aurait bien voulu, mais moi je ne voulais pas, son ton changeait. Je veux attendre d'aimer pour cela tu comprends, Harry.
Mais quoi, tu ne l'aimes pas. Mais c'est toi qui m'a écrit que tu étais amoureuse, je me disais que ce devait être Ron.
Ron je l'aime bien, mais je n'en suis pas amoureuse. Je lui ai dit oui, pour ne pas le froisser.
Mais tu avais dit que tu ne voulais pas de Krum parce que tu ne l'aimais pas et puis tu sors avec Ron ? Je ne comprends vraiment rien, dit Harry.
Oui, je sais, je ne me comprend pas moi-même. J'ai dit oui à Ron, parce que j'étais persuadée que le garçon que j'aimais n'éprouvait pas les mêmes sentiments que moi. Alors je me suis dit que je devais peut-être me contenter de son m. eh ami.
Son ami, Hermione, tu veux dire que ton amoureux connaît Ron, très bien. Il réfléchissait peut-être que c'était Dean ou Seamus, mais sûrement pas Neville. Il regarda Hermione et ajouta, est-ce qu'il est à Gryffondor ?
Hermione le regarda et lui dit : « Tu es vraiment trop curieux Harry Potter »
Si l'homme dont tu es amoureuse te remarque et te demande de le fréquenter que feras-tu ?
Je n'y ai pas vraiment réfléchit. Mais je crois que ce serait vraiment très grave et qu'une amitié serait vraiment en jeu, peut-être, même terminée, alors je dirais probablement non. Harry la regarda dans les yeux et compris qu'elle était amoureuse de lui. Il lui dit seulement,
Ah Hermione, si je n'avais pas été si orgueilleux aussi ! tout en la fixant dans les yeux.
Tu comprends Harry, une larme coula sur sa joue et Harry vint l'essuyer lentement avec son pouce.
Non, Hermione, ne pleure pas. Je comprends. . .
Qu'est-ce que tu comprends toi, demanda la voix endormie de Ron ?
Bien dormit, demanda alors Hermione à Ron ?
Oui, ma puce, répondit-il en l'embrassant.
Harry était gêné. Il se sentait vraiment de trop dans ce compartiment surtout depuis qu'il savait qu'il aurait pu être à la place de Ron. Il espérait que son ami n'est rien entendu de la conversation qu'il avait eu avec Hermione. Le reste du trajet se déroula rapidement et ils furent bientôt sur le quai où ils entendirent une voix crier : «Les premières années, veuillez me suivre ». Harry se dirigea vers la voix et reconnu Hagrid qui l'accueilli chaleureusement. Ensuite les trois amis se dirigèrent vers les carosses qui les attendaient pour les amener à Poudlard. Il montèrent dans l'un deux et Neville vint les rejoindre.
Arrivés à Poudlard ils allèrent s'asseoir dans la grande salle à la table des Gryffondor, attendant patiemment que les premières années face leur apparition et se fassent répartir dans les différentes maisons de Gryffondor. Ron avait faim et disait qu'il devrait faire la répartition rapidement. Le professeur Mc Gonagall entra dans la salle vint voir Harry, Hermione et Ron et leur dit de se rendre immédiatement au bureau du professeur Dumbledore. Les trois amis se regardèrent, qu'est-ce qu'ils avaient bien pu faire de grave pour être accueillis de la sorte ? Ils quittèrent la grande salle et se dirigèrent vers le bureau du directeur de Poudlard, Professeur Albus Dumbledore.
Merci pour les rewiews ils m'encouragent à continuer l'écriture de cette fan fiction.
