J'ai du changer la cote pour passe de PG 13 à R à cause du chapitre 11, je me suis emportée.

La nouvelle vie de Harry Potter

Les personnages ne m'appartiennent pas, mais appartiennent à J.K. Rowling.
Chapitre XI

Le bal de Noël devait avoir lieu ce soir. Les cours avaient été annulés pour la journée. Hermione s'était assurée de dire à Harry qu'elle ne voulait pas de lui dans l'appartement entre 14h et 17h. Elle voulait se préparer avec quelques amies, dont Ginny, Pavarti et Lavande. Harry était assis à la bibliothèque, il était 14h30, « ça fait juste une demi-heure, » pensa-t-il. « Depuis l'épisode du tee-shirt trop petit, je sais que Hermione m'aime et je l'aime aussi. Elle a tenté à diverses reprises de m'embrasser, mais j'ai toujours esquisser les baisers qu'elle tentait de me donner. J'ai peur d'aimer. Depuis que je suis tout petit, presque toutes les personnes que j'ai aimé sont mortes, d'abord, mon père, puis ma mère et Ron. Bien il n'y en a que trois. Mais trois de trop. Hermione, je l'aime, que vais-je faire, je dois en parler à quelqu'un qui m'aidera et me comprendra, qui ?, Dumbledore, non, je me vois mal lui parler de mes problèmes sentimentaux, eh, Rémus, non, plutôt Sirius, oui, je dois aller en parler à Sirius. » Il se leva et sortit de la bibliothèque se rendant vers les cachots.

_ Tiens Potter que faites-vous ici, demanda Rogue.

_ Je suis venu voir Sniffle, professeur, puis-je l'amener faire une promenade à l'extérieur ?

_ Non, je ne crois pas que ce chien ait envi de sortir dehors aujourd'hui, désolé, M. Potter. Répondit Rogue visiblement réjouit.

_ Grrrr. . . gronda Sniffle derrière Rogue, visiblement le chien voulait sortir avec Harry et Rogue ne devrait pas s'interposer.

_ Bonjour Sniffle, dit simplement Harry, il faudrait qu'on parle. Tout de suite. Le chien aboya et il sortit pour suivre Harry. En arrivant dans le hall, Harry se retourna vers Sniffle et lui dit :

_ Faudrait qu'on parle seul à seul, j'ai besoin de conseils. Le chien lui lécha affectueusement la main et il parti vers les escaliers, Harry le suivit. Ils se trouvèrent devant la gargouille du bureau du directeur. Harry la fit ouvrir, puis dans les escaliers, Sniffle redevint Sirius.

_ Je vais demander à Dumbledore de nous trouver un endroit tranquille pour parler, Harry.

_ Bonjour Sirius et Harry, que me vaut l'honneur de votre visite, dit alors le professeur Dumbledore.

_ Harry et moi aimerions discuté dans un endroit tranquille, monsieur, répondit Sirius.

_ Ah, je vois, fit Dumbledore, bien demeurez ici, moi je vais aller voir à la grande salle si les préparatifs pour le bal vont bon train. Vous pourrez parler tranquilles ici.

_ Ah, merci professeur, dit Sirius.

_ Mais, c'est rien. Au revoir, à ce soir Harry.

_ A ce soir, professeur Dumbledore, répondit Harry. Le directeur sortit du bureau laissant Harry et Sirius seul. Sirius s'assied sur la chaise du directeur et Harry sur la chaise devant le bureau.

_ Alors, Harry, qu'est-ce qu'il y a ? demanda Sirius, inquiet.

_ C'est le bal ce soir, Sirius.

_ Tu voulais me parler pour me dire que c'était le bal ce soir, je le savais ça.

_ Non, bien oui, et non. Je veux dire que j'y vais avec, avec Hermione.

_ Bien ça aussi je le savais. C'est tout !

_ Tu te doutes bien que non, voyons, c'est juste comment dire, difficile à expliquer.

_ Vas-y Harry tu sais que tu peux me faire confiance, dit l'homme en souriant.

_ Je l'aime Sirius, je l'adore, et je me rend compte que je ne pourrais pas vivre sans elle.

_ Harry Potter, amoureux, tiens, tiens, tiens. . .

_ Cesse de te moquer Sirius, j'ai peur.

_ Peur, mais de quoi ?

_ Peur que Voldemort me l'enlève ou la tue, pour me faire du mal à moi. Qu'il s'en prenne à Hermione pour me punir, moi. Je ne voudrais pas que cela arrive.

_ Écoute Harry, je comprend ce que tu vis. Tu dois probablement te dire que si tu n'aimais pas Hermione, Voldemort ne s'intéresserait pas à elle. N'est-ce pas que j'ai raison.

_ Oui, mais je crois que moi aussi j'ai raison.

_ Non, écoute, même si tu ne suit pas ton c?ur au sujet de Hermione, si Voldemort s'en prend à elle cela te fera du chagrin parce que tu l'aimes déjà.

_ Oui, c'est vrai, je n'y avais pas pensé. Mais je ne veux pas qu'il fasse du mal à Hermione. Sirius, il m'a déjà enlevé mes parents et Ron. Je veux garder Hermione.

_ Je sais, Harry. Mais suit ton c?ur, c'est le seul conseil que je peux te donner. Tu l'aimes beaucoup ?

_ C'est que je ne peux plus m'imaginer vivre sans elle à mes côtés, admit le jeune homme.

_ Et lorsque tu lui prends la main, ressens-tu des picotements au bout de tes doigts ?

_ Oui, et lorsqu'elle me regarde, je rougit.

_ Mmm, fit Sirius semblant réfléchir, c'est grave. Harry tu souffres d'amour. Tu es amoureux, dit-il en riant.

_ Je le savais, ça, répondit Harry.

_ Le mieux que tu puisses faire, c'est de vivre le moment présent. Mieux vaut vivre pleinement le moment présent et rien ne regretter par la suite. Pense seulement à ce qui se passerait si Voldemort tuait Hermione maintenant. Tu te sentirais coupable, oui, mais en plus tu serais déçu, de ne pas avoir laissé paraître les sentiments que tu éprouves pour elle. De ne pas l'avoir aimé comme tu aurais pu le faire.

_ . . . C'est bien dit, ça Sirius, je n'y avais jamais pensé comme ça. Merci. Tu es un parrain très chouette. Je pense que je vais profiter du moment présent, pour ne pas regretter ensuite. Très bon conseil, merci encore.

_ Hey, mais c'est pas finit, j'ai d'autres conseils à te donner, pour ta belle.

_ Humph, lesquels. . .

_ Premièrement, ce soir, n'oublie pas de lui dire qu'elle est belle et . . .

Sirius donna de précieux conseils à Harry sur comment se comporter avec Hermione avant, pendant et après le bal. Il lui montra même une formule magique lui permettant de devenir stérile quatre heures durant. Il avait dit en riant que c'était mieux d'être prêt comme ça quand le grand jour arriverait, il saurait quoi faire. Harry l'avait remercié de ses précieux conseils, puis l'avait quitté pour aller se préparer pour le bal. Il était 17h30, quand il arriva dans son salon.

_ Où est Hermione, demanda-t-il à Ginny.

_ Elle est dans sa chambre, elle est occupée. Bon au revoir, Harry, on se revoit au bal.

_ Ginny, tu es. . . très belle comme ça.

_ Merci Harry, répondit la jeune fille en rougissant. Puis elle quitta.

Harry alla dans la douche, il devait se préparer pour le bal. Ensuite, il mit sa robe de soirée vert bouteille qu'il avait mit l'année dernière lors du bal du tournoi. Elle était un peu juste autour des épaules et de sa poitrine, et elle était un peu courte. Il se regarda en se disant qu'il aurait du en acheter une autre. Puis mis ses lunettes et sortit de sa chambre sans se peigner, de toute façon, cela n'aurait servi à rien. Il descendit au salon en attendant sa belle, et en se rappelant les différents conseils de son parrain pour avant le bal. Les fleurs devraient arriver d'un instant à l'autre pensa-t-il. Au même moment, un gros bouquet de roses rouges apparu sur la table, près de la fenêtre. Très bien pensa-t- il. Il prit le bouquet et le cacha. Il était près de 18h, le bal allait commencer. Puis il la vit, elle descendait les escaliers, elle était sublime dans sa robe turquoise, ses cheveux étaient relevés en chignon et quelques mèches retombaient, c'était le plus beau spectacle qu'il avait vu. Il retint son souffle, s'approcha d'elle et lui dit :

_ Hermione, tu es magnifique. Il lui sourit.

_ Merci, Harry, tu es bien toi aussi. Dit-elle en souriant.

_ Ah, je voulais te donner, il alla chercher les fleurs et les lui tendit, ceci. _ Elles sont si belles, Harry, merci beaucoup. Elle alla déposer les fleurs dans un vase et revint.

_ Hermione, je . . . dit-il en s'approchant dangereusement d'elle.

_ Oui, dit-elle.

_ Je dois faire quelque chose, mais je ne sais pas si cela va te plaire.

_ Quoi, demanda-t-elle surprise, que dois-tu faire Harry ?

_ Ça, dit-il en l'embrassant passionnément. Quand le baiser fut interrompu Hermione lui dit :

_ Bien ça, il était temps que tu le fasses mon vieux. Puis elle sortit et il la suivit, ils se rendirent dans la grande salle pour le bal, main dans la main, mais cette fois en amoureux, et pas seulement en ami. Finalement les conseils de son parrain n'étaient pas mauvais du tout, jusqu'à présent.

La soirée se déroulait à merveille, quand Harry proposa à Hermione d'aller faire un tour dehors. Elle accepta. Harry et elle allaient sortir, quand Harry prit sa cape et demandant à Hermione si elle voulait la sienne. Elle lui répondit :

_ Non, de toute façon, j'ai tellement chaud qu'un peu de froid me fera que du bien. Et ils sortirent dehors, ils se rendirent au bord du lac et ils s'assirent sur le banc. Hermione grelotta.

_ Tu as froid, écoute, tu aurais du prendre ta cape, tiens. Harry lui mis sa cape autour des épaules.

_ Merci, Harry, mais là c'est toi qui va avoir froid. Tu es certain de ce que tu fais, demanda-t-elle.

_ Oh ça oui, lui répondit-il en l'embrassant. Puis ils entendirent une cloche. Ils se regardèrent, et Hermione dit en même temps que lui en souriant

_ Ron !!

Hermione partit en courant et en riant en direction du château, Harry derrière elle la rattrapait et l'embrassait jusqu'à ce qu'il entre dans la grande salle. Le reste de la soirée de déroula merveilleusement bien. Puis la fin de la soirée arriva et le jeune couple regagna son appartement. Harry s'assied sur le sofa devant le foyer et demanda.

_ Tu as entendu la cloche tout à l'heure dehors, toi aussi, hein ?

_ Bien sûr c'était comme dans le rêve que j'ai fait l'autre jour. Sauf qu'il n'y avait pas de Ron.

_ L'autre jour, ?, quand t'en souviens-tu ?

_ Bien je pense que c'est la nuit avant que tu rapportes le journal de Ron., oui, c'est ça, tu sembles soucieux, qu'est-ce qu'il y a Harry.

_ Cette nuit-là j'avais également rêvé à lui, et c'était vraiment étrange, mais quand le rêve c'est terminé j'ai entendu une cloche, comme ce soir, puis Ron est disparu.

_ Oui, c'est vraiment curieux, moi aussi, il est disparu au son de la cloche. Dit-elle en s'asseyant près de Harry qui mit son bras autour de ses épaules. Elle se cala pour être plus près de lui. Il lui caressa les cheveux. Ils se racontèrent chacun en détail leur rêve et ils conclurent que Ron avait tout prévu et ils en rièrent. Ils étaient bien devant le foyer. Puis tout à coup, Hermione embrassa Harry et lui dit qu'elle allait mettre sa robe de nuit. Harry décida lui aussi d'aller enlever sa robe de bal pour mettre un tee-shirt noir, le même que l'autre fois, et des boxers ajustés noirs. Il se regarda dans le miroir et son reflet lui dit en souriant, « hum, elle ne pourra pas résister. » Il retourna sur le sofa dans le salon. «oui, il avait tout prévu ce Ron, » pensa-t-il.

Il était assis sur le bout du sofa et avait ses deux coudes sur ses genoux, le menton posé sur ses mains, il réfléchissait, il était perdu dans ses pensées. Hermione s'approcha doucement et vint s'accroupir devant lui. Elle lui sourit et s'assit sur ses genoux. Ils étaient à présent face à face et ils étaient tous les deux vêtus très légèrement. Cette pensée, le fit tressaillir. Ils se regardaient et Harry lui dit avec un regard sérieux, ce qu'elle trouva la plus belle chose à dire à une fille :

_ Mlle Hermione Granger, vous ne savez pas à quel point je vous aime, je t'aime Hermione.

_ Moi aussi je t'aime Harry ! lui répondit-elle avant de l'embrasser.

Ils s'embrassaient fougueusement mêlant leur langue. Hermione passa ses mains sous le tee-shirt de Harry et lui caressait le dos. Harry se fit un chemin sous la robe de nuit d'Hermione et lui caressait le bas du dos. Le contact de sa peau sur la sienne, le rendait fou. Il devait arrêter, non. Il ne pouvait pas, il aimait trop cela. Il sentit alors qu'il avait une érection et su que s'ils n'arrêteraient pas maintenant, il ne pourrait plus se contrôler. Il enleva ses mains de la robe de nuit d'Hermione, lui prit gentiment les mains, la regarda dans les yeux et lui dit :

_ Herm, on doit aller dormir, maintenant.

_ Mais, Harry, on est bien maintenant, tu ne trouves pas. Répondit la jeune fille qui ne semblait pas appréciée d'arrêter.

_ Oui, et c'est ce que je redoute. Hermione, si ça ne s'arrête pas tout de suite, je crains de ne pouvoir me contrôler et de ne plus arrêter quand tu le voudrais. Elle le regarda sans répondre et se leva. Il se mit debout et vit qu'elle regardait son boxeur qui ne parvenait pas à cacher son érection. Il se sentait mal à l'aise, mais elle lui dit alors :

_Bien là, je commence à comprendre pourquoi tu m'as fait arrêter. Elle se mit à rire et monta les escaliers. Il l'a suivi et l'a rejoint dans la chambre. Elle était déjà couchée et riait à gorge déployée. Il se coucha à côté d'elle, et elle lui fit une bise sur la joue en lui disant :

_ Bonne nuit, mon p'tit campeur d'amour.

_ Campeur ?! répondit-il, amusé.

_ Bien, il y a bien une tente dans ton boxeur, non ? répondit-elle en riant.

Il lui tourna le dos mi-vexé, mi-amusé et se coucha en f?tus en essayant de faire disparaître, cette fichue tente. Mais Hermione lui compliquait la tâche, elle lui caressait le dos, descendait sur ses fesses, il n'en pouvait plus. Il lui disait d'arrêter, et elle continuait de plus belle. Alors, il se tourna sur le dos, les mains en dessous de la tête et la regarda sérieusement en disant :

_ Bon ok, si tu veux jouer avec ma tente vas-y, je te laisse faire. Il était persuadé qu'elle dirait, non, dormons, mais ce qu'elle fit le surpris.

Tout d'abord elle l'embrassa, ensuite elle lui enleva son tee-shirt. Puis elle se mit à l'embrasser dans le cou, sur le ventre et descendait dangereusement. Il la regardait faire en appréciant les caresses de son amoureuse. Il croyait qu'elle s'arrêterait, mais non. Elle entra sa main dans le boxeur et le lui retira. Il était maintenant nu, puis il se mit à penser ce que Sirius lui avait dit : « Tu sais Harry, une femme c'est comme un cadeau, il faut prendre son temps pour le déballer et pour en apprécier le contenu. Faut que tu prennes ton temps et que tu laisses ton plaisir de côté, pour le sien. Tu seras grandement récompensé, crois-moi, lui avait- il dit en lui faisant un clin d'?il. »

Oui, c'est vrai ce qu'il avait dit, mais là ce n'était pas Hermione le cadeau, c'était lui. Il devait arrêter et reprendre les choses en main avant qu'elle, non, elle y était déjà, elle s'approchait dangereusement avec sa bouche de son sexe. Il s'assit, la regarda, la ramena vers lui en l'embrassant, puis la plaqua dans le lit en lui maintenant les mains. Il l'embrassa tout en la caressant avec sa main libre. Il lui embrassa le cou et la vit frissonner. Il descendit et lui lâcha les mains. Elle lui caressa les cheveux. Il remonta sa robe de nuit tout doucement en embrassant les parties de son corps nouvellement dénudées. La respiration d'Hermione devenait de plus en plus rapide. Il lui ôta sa robe de nuit. Il caressa son ventre et léchait ses seins. Hermione se cambrait et réagissait à chaque caresse qu'il lui faisait. Puis la regardant, il descendit avec sa bouche, plus bas, puis il lui enleva son slip qu'il fit tomber du lit. Il l'embrassa encore sur la bouche, puis descendit jusqu'à cette partie du corps qu'il venait de dévêtir. C'était bon. Il voyait Hermione se cambrer et hurler de plaisir. Il n'en revenait pas de la voir ainsi. Elle semblait s'être abandonnée totalement. Elle lui caressa les cheveux et le tira vers elle, elle l'embrassa amoureusement, puis mis ses jambes autour de la taille de Harry. Celui-ci la regarda et dit :

_ Pas tout de suite, Herm.

_ Non, mais c'est quoi, tu es gai ou quoi ?

_ Non, rassures-toi, j'ai juste besoin de ma baguette, attends elle est dans le salon.

_ Mais. . . dit-elle en le regardant courir nu hors de la chambre cherchant sa baguette. Puis il apparu essoufflé dans l'embrasure de la porte la baguette magique à la main. Il se recoucha près d'elle l'embrassa, puis pointa la baguette sur son attribut masculin en disant :

_ Quatourcontraceptum et un jet de lumière violet sortit de sa baguette. Puis il se tourna vers Hermione et lui dit. Où en étions-nous ?

_ Là lui dit Hermione en mettant ses jambes autour de lui. Il la pénétra doucement, puis lorsqu'il sentit qu'Hermione avait détendu ses muscles il fit des mouvements de va et viens de plus en plus rapide jusqu'à ce qu'il perde tout contrôle de lui-même et émettre un bruit sourd provenant de sa gorge. Il se reposa alors sur le corps de sa belle qui lui embrassa le front. Ils se regardèrent sans dire un mot, puis il se coucha près d'elle. Il lui dit :

_ Oui, Sirius avait raison.

_ À propos de quoi ?

_ Que ça nous arrive quand on y pense le moins.

_ Je ne comprends pas, j'aimerais bien, peux-tu expliquer.

_ Bien cet après-midi, dit-il en lui caressant les cheveux, j'ai eu une conversation avec lui, c'est là qu'il m'a montré pour la formule anti-bébé. Je lui ai dit que je n'en avais pas besoin pour le moment, car je croyais que nous n'en étions pas encore rendu là. Mais il m'a dit qu'on ne sait jamais quand on y arrive alors qu'il faut toujours être prêt. Et il m'a montré la formule. Il lui embrassa le bout du nez et lui sourit.

_ Ah, c'est avec lui que tu as appris cette incantation.

_ Oui, mais je ne croyais vraiment pas m'en servir aussi rapidement. Je commence à croire qu'une certaine personne, ici présente, est très prompte et rapide pour vivre sa sexualité.

_ Oh, Harry tu m'as mise au défi.

_ Non, Herm, je me suis mis sur le dos, en pensant que tu arrêterais. Tu ne l'as pas fait. Mais tu sais quoi, je ne le regrette pas, je viens de vivre le plus beau moment de ma vie et c'est grâce à toi.

_ J'avoue que j'ai vraiment adoré moi aussi, Harry, et tu es très doué. Dit-elle en rougissant.

_ Non, c'est vrai, le plus beau moment de ma vie c'est quand on a remporté la coupe de quidditch il y a deux ans. Dit-il en riant. Elle lui lança alors un oreiller et il la plaqua sur le lit en l'embrassant une dernière fois avant de lui dire, nous devrions dormir maintenant, tu ne penses pas ?

_ Oui, tu as raison. Harry, je t'aime. Elle se blottit dans ses bras et ils s'endormirent peu de temps après. Il en était certain à présent les vacances de Noël seraient très intéressantes.
Le jour de Noël, Harry se leva plus tôt qu'Hermione et vit que les cadeaux étaient arrivés. Il alla réveiller sa belle en l'embrassant et lui disant, Joyeux Noël, Mlle Granger. Elle ouvrit les yeux en souriant et elle mit ses bras autour de son cou. Il l'a souleva et l'amena dans le salon. Il lui donna ses cadeaux. Avant le bal il lui avait acheté un livre intitulé « L'histoire de Poudlard revu et corrigé de ses débuts à aujourd'hui ». Mais après le bal il avait décidé de lui procurer un cadeau, disons plus personnel, et avait charger Sirius de trouver l'objet en question. Ainsi il lui remettait ce matin une magnifique chaîne en or ayant un c?ur surmonté d'un rubis et le livre. Elle sourit lorsqu'elle ouvrit le cadeau et demanda à Harry de lui attacher le bijou autour du cou. Elle le remercia très chaleureusement, puis lui remis un paquet. Il déballa le cadeau, très lentement en pensant aux paroles de Sirius et découvrit une nouvelle robe de bal, mais celle-là vert forêt. Il regarda Hermione et l'embrassa tout en la remerciant. Il reçu également des friandises de Hagrid, qui était repartit en mission, deux chandails tricotés par Mme Weasley ainsi que diverses friandises et gâteaux, puis une montre de Sirius et Rémus. Avec celle-ci il y avait un parchemin sur lequel le message suivant était inscrit : « C'est pour ne plus être en retard et pour compter les quatre heures que dure le quatourcontraceptum. Tu n'auras jamais de problème. Amuse-toi bien et fais attention à la demoiselle. Lunard et Patmol. » Il fit lire la note à Hermione qui le regardait stupéfaite.

_ Ce sort dure quatre heures.

_ Oui, pourquoi ?

_ Bien la prochaine fois nous essaierons d'en profiter pour les quatre heures, alors.

_ Tu veux ma mort ou quoi ? Hermione Granger, il lui prit la taille et l'embrassa dans le cou. Il descendait dangereusement et il lui enleva sa robe de nuit.

_ Je devrais le faire maintenant, qu'en penses-tu ?

_ Oui, lui dit-elle en souriant, elle lui tendit sa baguette, puis le sort fut fait. Elle lui enleva son tee-shirt. Il la renversa sur le sofa et se coucha sur elle. Il embrassa ses seins, quand tout à coup, quelqu'un se râcla la gorge près d'eux.

_ Merde, dit alors Harry. Il demeura coucher sur la jeune fille pour cacher la nudité de celle-ci et se tourna la tête vers la voix qu'ils avaient entendu.

_ Nous arrivons au bon moment à ce que je vois, n'est-ce pas Lunard.

_ Oui, Patmol, nous devrions nous asseoir à la table là bas et profiter du spectacle.

_ Bien ça il n'en est pas question dit alors Harry. Il prit sa baguette tout en demeurant couché sur Hermione puis dit Accio robe de nuit, et celle- ci arriva dans ses mains. Il en vêtit Hermione, puis il se leva enfin pour serrer son parrain et son tuteur dans ses bras. Hermione se leva et monta directement dans sa chambre. Elle semblait furieuse et honteuse et les trois hommes entendirent une porte claquée.

_ Je crois qu'elle est fâchée, dit alors Sirius.

_ Je pense que oui. C'est fâchant aussi ! tu ne penses pas Sirius ? dit alors Harry.

_ Ah c'est sûr, alors la prochaine fois, on demeurera derrière le sofa en attendant que vous ayez terminé, alors. Dit Rémus, d'une voix amusée.

_ Ah vous les maraudeurs, vous n'êtes pas possibles répondit Harry amusé par l'idée.

_ Mais c'est rien, imagine si ton père avait été là, fit Rémus.

_ Heumph. . . répondit Harry mal à l'aise.

_ Lui, il nous aurait dit de vous laisser faire puis il vous aurait attribué une note. Dit alors Sirius.

_ Oui, c'est ce qu'il aurait fait, mais parlant de note d'après ce que j'ai vu et que tu as vu toi Patmol. . .

_ Ben je donnerais 7/10, mais c'est seulement d'après ce que j'ai vu et toi Lunard ?

_ Bien moi 8/10. Oui, j'ai trouvé que ce jeune se débrouillait très bien.

_ Je m'excuse, mais que vouliez-vous, j'aimerais retrouver Hermione pour la consoler. Interrompit Harry.

_ Nous voulions te remercier pour les cadeaux, mais nous reviendrons plus tard, disons dans quatre heures ? dit Sirius en souriant.

_ Ok, dans quatre heures, nous vous attendrons. Je vais aller consoler Hermione, maintenant. Si vous permettez. Il conduisit les hommes à la porte et Sirius lui dit :

_ Comme un cadeau Harry.

_ Bye, à tout à l'heure, dans quatre heures.

Il remonta dans sa chambre et vit Hermione en pleurs sur le lit. Il s'en approcha et lui caressa le dos en lui disant chut. Il la prit dans ses bras et elle pleura, puis réussi à se calmer. Lorsqu'il eut un sourire d'elle, il regarda sa montre et lui dit alors,

_ Faut se dépêcher Herm, on a déjà perdu 2h, il ne reste que deux heures.

_ Vous les gars, dit-elle, amusée.

_ Vous les gars, heille, si je me rappelle bien c'est toi qui avait commencé, et moi qui voulais arrêter, non.

_ Oui, tu as raison, tais-toi, et profitons des deux heures qu'il nous reste. Elle l'embrassa.

Rémus et Sirius vinrent les rejoindre pour le souper ils souperaient ensemble dans l'appartement. Harry se mit à penser que ce serait comme un Noël en famille. Ils firent leurs excuses à Hermione et lui apportèrent un immense bouquet de fleurs. La soirée se déroula à merveille, et il eurent énormément de plaisir. Rémus devait dormir sur leur sofa et Sirius dans la chambre inutilisée. Puis Harry eut une idée, si on demandait l'autorisation à Dumbledore que Sirius demeure avec Hermione et lui, il n'aurait plus à endurer Rogue. Sirius trouva l'idée excellente et promis d'en discuter avec Dumbledore dès le lendemain.
Merci pour les rewiews ils m'encouragent à continuer l'écriture de cette fan fiction.

Lunenoire, ton commentaire m'a vraiment fait rire, celui ou tu disais souhaiter me faire souffrir ou mourir. J'ai bien ri en le lisant.