La nouvelle vie de Harry Potter
Les personnages ne m'appartiennent pas, mais appartiennent à J.K. Rowling.
Chapitre XII
Sirius avait réussit à convaincre Dumbledore de demeurer avec Harry et Hermione. Tous les trois formaient la famille que Harry n'avait jamais eu et celui-ci était plus heureux que jamais. Les étudiants devaient revenir des vacances de Noël aujourd'hui. Harry avait hâte de retrouver les Weasley pour les remercier en personne de leur cadeau, il avait déjà envoyé Hedwige, mais il se disait que des remerciements en personne étaient plus importants. Il songeait à cela lorsque Hermione l'interrompit :
_ Bonjour, mon p'tit sorcier adoré ! dit-elle en l'embrassant.
_ Allo, Herm, il sourit, comment vas-tu ma chère campeuse ! C'est le nom qu'il lui donnait, maintenant, pour la taquiner en souvenir de leur première relation amoureuse ensemble.
_ Bien, mais je ne veux pas camper, maintenant, elle s'assied sur Harry. Il mit ses bras autour de ses épaules.
_ Ah, pas de camping, je suis un peu déçu, j'avais prévu en faire moi, affirma-t-il, une moue déçue.
_ Bien moi j'avais prévu aller à la bibliothèque faire des recherches concernant les promesses étant donné que les autres étudiants vont arriver aujourd'hui, ce serait important d'y aller avant que ceux-ci se ruent à la bibliothèque et prennent les livres que nous aurions besoin.
_ Je te reconnais bien, toi, dit-il en l'embrassant. C'est d'accord, nous allons à la bibliothèque, mais promets-moi que nous allons faire quand même un peu de camping, aujourd'hui ! il sourit.
_ Mais bien sûr, ce soir, j'espère. Elle l'embrassa. Puis ils quittèrent l'appartement pour se rendre à la bibliothèque.
Ils étaient installés à une table couverte de livre et effectuaient les recherches depuis près de deux heures lorsqu'ils virent le professeur Mc Gonagall arrivée en courant près d'eux.
_ Regagner immédiatement votre appartement, maintenant.
_ Oui, nous allons enregistrer nos livres et nous y allons, répondit Hermione.
_ Non, pas question vous n'avez pas le temps. Les deux amoureux suivirent le professeur Mc Gonagall en courant jusqu'à leur appartement. Ils y découvrirent Dumbledore et Rogue dans le salon, puis Dumbledore dit alors :
_ Alors vous trois dans la chambre du fond, en regardant Harry, Hermione et Rogue. Harry et Hermione se regardaient et se questionnaient.
_ Dépêchez-vous, fit Dumbledore, allez. Oh hey, Harry tu devras y entrer le dernier. Allez- y. Et Rogue monta les escaliers suivit de Hermione et de Harry, ils se retrouvèrent dans la chambre de Harry. Puis Dumbledore satisfait dit alors à Harry de fermer la porte en disant « Protectus ».
_ Mais j'ai oublié ma baguette à la bibliothèque professeur, je demande à Hermione de le faire.
_ NON, fais-le sans baguette, cela va fonctionner, vite Harry.
_ Protectus, fit Harry. Aussitôt, un halo doré se forma autour de la chambre, et ils entendirent Dumbledore dire à Rogue à travers la porte, attendez que l'on revienne vous chercher.
_ Professeur fit alors Harry en regardant Rogue, que ce passe-t-il ?
_ Pas tout de suite Potter, dit-il en regardant son bras marqué par la marque des ténèbres. Puis Harry sentit une vive brûlure à sa cicatrice, c'était insoutenable. Il s'écroula sur le lit et se tordait de douleur. Hermione vint près de lui, mais elle était vraiment inutile. Rogue s'approcha de Harry avec sa baguette et dit une formule qui plongea immédiatement Harry dans un sommeil profond.
_ Qu'est-ce que vous lui avez-fait ? cria Hermione.
_ Je l'ai endormi pour ne pas qu'il souffre trop longtemps, car je crois que nous serons ici longtemps.
_ Qu'est-ce qui se passe, j'imagine une attaque de Voldemort, parce que Harry a très mal à sa cicatrice et que vous, vous touchez à votre marque des ténèbres sur votre bras depuis que nous sommes enfermés ici.
_ Perspicace, Mlle Granger. Oui, vous avez raison, il y a en ce moment même une bataille d'engager contre Voldemort et les professeurs de Poudlard.
_ Pourquoi vous n'y êtes pas. _ À cause de la lettre.
_ De la lettre ?
_ Désolé, Mlle Granger, mais je ne peux pas vous en dire plus pour le moment. Le professeur Dumbledore vous le dira le temps venu.
_ Et c'est quoi ce halo doré autour de nous.
_ C'est de l'ancienne magie. Et cela fonctionne seulement si deux conditions sont réunies, la première, je ne peux vous la dévoiler maintenant, mais sachez que Potter y joue un grand rôle, et la seconde il faut que les personnes se trouvant dans la pièce soient tous en danger de mort imminent.
_ Vous voulez dire que nous sommes en danger.
_ Plus maintenant. Le halo nous protège et nous rend invisible. Même si Voldemort était de l'autre côté de la porte il ne verrait pas justement qu'il y aurait une porte. Il ne verrait pas qu'il y a une autre pièce dans cette appartement. Nous sommes en sécurité ici, ne craignez rien. Sur ce il retourna auprès de Harry, lui enleva ses chaussures et l'installa confortablement dans le lit et le couvrit. Il s'assied au pied du lit et mis ses mains dans son visage en marmonnant, j'espère seulement qu'il n'y aura pas trop de morts.
_ Des morts ?
_ Vous avez déjà oublié qu'ils combattent à l'extérieur ?
_ Professeur, combien de temps serons-nous ici ?
_ Je pense que ce sera long. Vous devriez vous étendre et vous reposer. Elle s'étendit au côté de Harry, et ni elle, ni Rogue ne parlèrent. Ils demeuraient silencieux pendant longtemps. Puis tout d'un coup, le halo doré s'évapora. Elle regarda autour d'elle et vit alors Rogue revenir près de Harry pour le réveiller. Sa cicatrice ne lui faisait plus mal. Il s'assied sur le lit et il regarda Hermione et Rogue. Il demanda alors :
_ Que s'est-il passé ?
_ C'était une attaque dit alors Rogue, mais Dumbledore va vous expliquer. Puis on frappa à la porte et Harry reconnu la voix du professeur Chourave.
_ Professeur Rogue, vous pouvez sortir tous les trois à présent. Le danger est écarté. Rogue essaya d'ouvrir la porte et alors incapable, demanda :
_ Harry pouvez-vous, s'il-vous-plaît venir ouvrir cette porte qu'on puisse sortir. Harry se leva surpris, pris la poignée de porte dans ses mains, puis sans la tourner, elle ouvrit. C'est très curieux pensa-t-il. Les quatre personnes se rendirent chez Dumbledore.
À l'intérieur du bureau, Harry vit que tous les professeurs étaient présents, à l'exception du professeur Sinistra. Il remarqua également Sirius, Rémus et le professeur Mc Gonagall, pointant leur baguette magique sur Peter Pettigrow, qui tremblait. Les yeux de Rémus et Sirius exprimant la fureur. Il regarda sur le bureau de Dumbledore et y vit deux parchemins. Et celui-ci leur dit de tous s'asseoir. À ce moment, le ministre de la magie entra suivi d'un gardien. Il venait chercher Pettigrow. Lorsqu'ils furent sortis, Rogue demanda :
_ Des pertes, Dumbledore ?
_ Oui, Severus, un professeur et deux étudiants. Rogue cacha son visage avec ses mains, il était visiblement ému.
_ C'est tout ?
_ Non Severus, il y a eu aussi un enlèvement, un étudiant. Dit gravement Dumbledore.
Harry perdit son calme et crie alors :
_ Il y a trois morts et un enlèvement est-ce que quelqu'un peut enfin me dire ce qui c'est passé et pourquoi nous avons été enfermé ?
_ Calme toi Harry, dit Dumbledore, assied-toi nous allons t'expliquer. Harry se calma et retourna sur sa chaise, Hermione lui donna la main.
_ Tout à commencer ce matin, débuta Dumbledore, j'ai reçu ce parchemin, que je vous lis :
Très cher Albus,
Comme tu vois, je suis encore en vie, et plus fort que jamais. Tes élèves qui reviendront de leur vacances seront accompagnés par mes fidèles mangemorts. Je les laisserai partir si vous me livrez mon traître, le lion et la chouette. Et sachez que s'ils tentent de s'enfuir de Poudlard ils seront tués sur le champs, car j'ai mis un sort de mort sur leur tête. Votre ennemi, Lord Voldemort.
_ Mais le lion, le traître et la chouette ? demanda timidement Harry.
_ Le traître, c'est moi Potter, dis alors Rogue, le lion c'est vous et la chouette c'est Hermione.
_ C'est exactement ça Severus, comment avez-vous deviné ?
_ Pour le traître c'était assez évident, pour le reste j'ai conclue que c'était les personnes avec lesquelles j'étais enfermé. Le lion était simple à trouver, c'était le seul à pouvoir faire le sort de protectus et à nous faire sortir de cette chambre. Donc la chouette devait être nécessairement Mlle Granger. C'était une simple déduction, professeur Dumbledore.
_ Très bonne déduction. He, où en étions-nous. Ah oui, le parchemin. Nous savions que Voldemort arriverait ici avec ses mangemorts à bord des diligences alors nous avons préparé une contre-attaque. Pour vous protéger, Hermione, le professeur Rogue et toi, je vous ai fait enfermé dans ce qu'on appelle la chambre secrète de Gryffondor, mais pour cette partie, du récit, j'y reviendrai tout à l'heure. Pour l'instant vous devez savoir que le professeur Sinistra est décédée lors du combat, ainsi que deux étudiants, messieurs Seamus Finnigan et Dean Thomas. Et il manque Ginny Weasley à l'appel, nous croyons que Voldemort l'a enlevé. Maintenant je vous demanderais à tous de nous quitter à l'exception de Rémus, Sirius, Charlie, Séverus et toi Harry. Minerva, reconduisez Mlle Granger dans son appartement et demeurez avec elle jusqu'à ce que Harry revienne.
Les professeurs sortirent accompagnés de Hermione.
_ Bon et bien maintenant, je crois que je vous dois des explications. Dit Dumbledore.
_ Oui, ce serait utile pour comprendre, dit Sirius.
_ La chambre secrète de Gryffondor a une puissance magique permettant aux personnes s'y trouvant d'être en sécurité lorsqu'elles sont en danger de mort. Pour que la protection fonctionne, il doit y avoir deux conditions. Il faut tout d'abord que l'héritier de Gryffondor s'y trouve et que celui- ci soit en danger de mort. Avec le sort protectus et les deux conditions réunies, la chambre devient introuvable pour quiconque et inviolable puisque seul l'héritier peut l'ouvrir quand le halo disparaît.
_ Vous voulez dire que je suis l'héritier de Gryffondor ? dit Harry, incrédule.
_ Oui, Harry. Je suis curieux que tu ne l'ait pas encore remarqué. Répondit Dumbledore.
_ Comment aurais-je pu ? Personne ne me l'a mentionné jusqu'à maintenant.
_ Tu as eu plein d'indices que tu n'as pas pu interprété, c'est tout, tu n'as qu'à penser à l'épée durant ta deuxième année, c'était l'épée de Gryffondor.
_ Oui, mais cela ne fait pas de moi son héritier.
_ Écoute Harry, moi je suis l'héritier de Gryffondor et ton. . . ton arrière-grand-père.
_ Mon quoi ?! Arrière-grand-père, mais c'est du délire tout ça, pincez-moi je dois sûrement encore dormir.
_ Non, Harry, écoute deux minutes et ne m'interrompt pas.
_ Ok, fit Harry exaspéré.
_ Il y a très longtemps j'ai eu une aventure avec une moldu et de notre union est né une fille qui s'est marié avec un autre moldu du nom d'Evans. Ils ont eu deux ravissantes jeunes filles, Pétunia, une moldu et Lily, une sorcière, celle-ci était donc l'héritière de Gryffondor. Elle s'est mariée à ton père, puis tu es arrivé.
_ Oui, mais pourquoi Voldemort, s'il en avait après l'héritier de Gryffondor à tuer mon père et ne voulait pas au début tuer ma mère ?
_ C'est une excellente question, mais je ne peux malheureusement pas te donner la raison, je crois que seul Voldemort en connaît la raison.
_ Bon je suis l'héritier de Gryffondor. Que dois-je faire maintenant ? qu'est-ce que ça fait un héritier, dit Harry, apparemment très choqué.
_ Ton rôle sera défini quand l'héritier vivant mourra Harry, tu n'as donc pas encore à t'en soucier. Cela dit quand le moment viendra tu sauras tout ce que tu dois savoir pour bien remplir ton rôle.
_ Mon rôle, et si je ne veux pas le remplir, qu'arrivera-t-il ?
_ Je ne sais pas Harry, mais nous en parlerons une autre fois, veux-tu, nous devons poursuivre ce qui nous préoccupe aujourd'hui, répondit calmement le vieil héritier.
_ Ah, fit Harry entre les dents. Il était vraiment en colère, mais écouta quand même la suite du récit. Il apprit donc que le combat avait été très difficile et qu'il y avait plusieurs blessés parmi les Gryffondors et les Serdaigles, quand aux Poufsouffles et Serpentard, il n'y avait aucun blessé. Ginny avait été enlevée et le professeur Dumbledore avait reçu un parchemin sur lequel il était inscrit que Ginny serait rendue, seulement et seulement si le lion et le traître se rendraient à Voldemort. Il su également qu'il ne pouvait plus sortir à l'extérieur du château puisque Voldemort avait jeté un sort de mort imminente sur sa tête et sur la tête d'Hermione et de Rogue. Ce sort consistait à tuer sur le champ les personnes choisies qui franchissaient une certaine ligne. Dans ce cas, la ligne était, à l'extérieur de Poudlard. Il su également que Sirius avait attrapé le rat de Pettigrow. Et que son parrain serait libre bientôt. À la fin du récit de Dumbledore, Harry était très en colère. Il gardait la mâchoire fermée, ses poings serrés et ses yeux exprimaient une grande colère, que les professeurs avaient remarqué, alors Sirius demanda à Dumbledore de raccompagner son filleul dans sa chambre pour le calmer. Dumbledore approuva. Harry et Sirius les quittèrent.
Les deux hommes arrivèrent à l'appartement. Harry avait maintenant la peau blanche et les yeux rouges de colère, il faisait vraiment peur à regarder, tellement que le professeur Mc Gonagall et son parrain restèrent dans l'appartement. Harry prit Hermione par la main et l'emmena dans sa chambre. Il l'a poussa sur le lit. Il ne parla pas. Il avait envi de tuer, non pire, de faire souffrir, Voldemort, pour ses parents, pour Cedric, pour Ron, pour Seamus, pour Dean, pour les parents de Neville, pour Sirius, pour Hermione, et même pour Rogue. Il avait envie d'étrangler Dumbledore pour ce qu'il ne lui avait encore jamais dit. Il aurait voulu avoir devant lui ce stupide Gryffondor pour le défier. Il n'en pouvait plus.
_ Harry qu'est-ce qu'il y a, demanda Hermione couchée sur le lit, qu'est-ce qui va pas. Alors Harry sortit de ses gonds. Il pointa sa main en direction de la porte de chambre et celle-ci se ferma violemment. Ensuite il enleva tous ses vêtements et se jeta sur le lit, puis il dit, toujours sans baguette, Duronus Hermione, Harry. Ainsi, ils furent entourer d'un bouclier blanc. Puis il regarda Hermione et l'embrassa violemment.
_ Non, arrête, Harry, lui dit-elle, doucement.
Il l'embrassa, il ne voulait pas qu'elle parle. Elle le regardait dans les yeux et constata qu'elle ne pourrait rien y faire. Il n'arrêterait pas, et ce même si Sirius et Mc Gonagall réussiraient à ouvrir la porte parce qu'ils étaient dans un Duronus qui pouvaient résister à deux des trois sortilèges impardonnables. Harry lui retira sa chemise brusquement et releva sa jupe. Elle aurait voulu crier, son amoureux la violait. Elle le regarda, suppliante, et
_ Harry, tu devrais te calmer un peu.
_ Un héritier, tiens, il y en aura un autre, dit-il sans désserré la mâchoire.
_ Harry, arrêtes, tu me fais mal. Il n'écoutait plus, il l'a pris de force, il l'embrassait lorsqu'elle protestait, puis, il eut son orgasme, se coucha sur Hermione, appuya sa tête sur ses seins et se mit à pleurer.
_Pardon, Hermione, parvint-il à articuler entre deux sanglots. Pardon, je n'aurais pas du. J'étais si en colère. . .
_ Je te pardonne Harry, je comprends. Dit-elle, elle savait, c'était une façon pour lui d'exprimer la colère qu'il avait ressenti, elle devait lui pardonner.
_ Je m'en veux tellement de t'avoir fait ça. Tu sais. Je n'aurais pas du, je ne suis pas digne d'être avec toi. Dit-il en pleurant.
_ Chut, fit Hermione en lui caressant les cheveux. Chut. C'est correct. Je te pardonne Harry. Puis elle vit Sirius et Mc Gonagall entrer dans la chambre. Ceux-ci comprirent rapidement ce que Harry avait fait en le voyant nu, pleurer sur Hermione à moitié déshabillée entourés d'un duronus. Sirius s'approcha du lit, regarda Hermione et lui demanda :
_ Çà va, Hermione ?
_ Oui, c'est correct, maintenant. Harry, peux-tu arrêter le duronus, s'il te plaît, dit-elle lentement pour ne pas le brusquer.
_ Je ne peux pas, je n'ai pas ma baguette, elle est à la bibliothèque parvint-il à dire entre deux sanglots.
_ Essaie sans baguette Harry, lui dit-elle.
_ Je ne pourrai pas Hermione tu le sais.
_ Écoute Harry, fais-le pour. . . fais-le pour moi. Je t'aime Harry et j'ai confiance en toi. Fais-le maintenant. Son ton était ferme et convainquant.
_ Finite Incantatum, dit alors Harry, puis le duronus, disparu. Et Harry à bout de force, s'évanouit sur Hermione. Sirius se précipita sur le lit en leva Harry, puis Hermione se revêtit en pleurant serrer dans les bras du professeur Mc Gonagall qui la consolait le mieux qu'elle pouvait.
Merci pour les rewiews ils m'encouragent à continuer l'écriture de cette fan fiction.
Les personnages ne m'appartiennent pas, mais appartiennent à J.K. Rowling.
Chapitre XII
Sirius avait réussit à convaincre Dumbledore de demeurer avec Harry et Hermione. Tous les trois formaient la famille que Harry n'avait jamais eu et celui-ci était plus heureux que jamais. Les étudiants devaient revenir des vacances de Noël aujourd'hui. Harry avait hâte de retrouver les Weasley pour les remercier en personne de leur cadeau, il avait déjà envoyé Hedwige, mais il se disait que des remerciements en personne étaient plus importants. Il songeait à cela lorsque Hermione l'interrompit :
_ Bonjour, mon p'tit sorcier adoré ! dit-elle en l'embrassant.
_ Allo, Herm, il sourit, comment vas-tu ma chère campeuse ! C'est le nom qu'il lui donnait, maintenant, pour la taquiner en souvenir de leur première relation amoureuse ensemble.
_ Bien, mais je ne veux pas camper, maintenant, elle s'assied sur Harry. Il mit ses bras autour de ses épaules.
_ Ah, pas de camping, je suis un peu déçu, j'avais prévu en faire moi, affirma-t-il, une moue déçue.
_ Bien moi j'avais prévu aller à la bibliothèque faire des recherches concernant les promesses étant donné que les autres étudiants vont arriver aujourd'hui, ce serait important d'y aller avant que ceux-ci se ruent à la bibliothèque et prennent les livres que nous aurions besoin.
_ Je te reconnais bien, toi, dit-il en l'embrassant. C'est d'accord, nous allons à la bibliothèque, mais promets-moi que nous allons faire quand même un peu de camping, aujourd'hui ! il sourit.
_ Mais bien sûr, ce soir, j'espère. Elle l'embrassa. Puis ils quittèrent l'appartement pour se rendre à la bibliothèque.
Ils étaient installés à une table couverte de livre et effectuaient les recherches depuis près de deux heures lorsqu'ils virent le professeur Mc Gonagall arrivée en courant près d'eux.
_ Regagner immédiatement votre appartement, maintenant.
_ Oui, nous allons enregistrer nos livres et nous y allons, répondit Hermione.
_ Non, pas question vous n'avez pas le temps. Les deux amoureux suivirent le professeur Mc Gonagall en courant jusqu'à leur appartement. Ils y découvrirent Dumbledore et Rogue dans le salon, puis Dumbledore dit alors :
_ Alors vous trois dans la chambre du fond, en regardant Harry, Hermione et Rogue. Harry et Hermione se regardaient et se questionnaient.
_ Dépêchez-vous, fit Dumbledore, allez. Oh hey, Harry tu devras y entrer le dernier. Allez- y. Et Rogue monta les escaliers suivit de Hermione et de Harry, ils se retrouvèrent dans la chambre de Harry. Puis Dumbledore satisfait dit alors à Harry de fermer la porte en disant « Protectus ».
_ Mais j'ai oublié ma baguette à la bibliothèque professeur, je demande à Hermione de le faire.
_ NON, fais-le sans baguette, cela va fonctionner, vite Harry.
_ Protectus, fit Harry. Aussitôt, un halo doré se forma autour de la chambre, et ils entendirent Dumbledore dire à Rogue à travers la porte, attendez que l'on revienne vous chercher.
_ Professeur fit alors Harry en regardant Rogue, que ce passe-t-il ?
_ Pas tout de suite Potter, dit-il en regardant son bras marqué par la marque des ténèbres. Puis Harry sentit une vive brûlure à sa cicatrice, c'était insoutenable. Il s'écroula sur le lit et se tordait de douleur. Hermione vint près de lui, mais elle était vraiment inutile. Rogue s'approcha de Harry avec sa baguette et dit une formule qui plongea immédiatement Harry dans un sommeil profond.
_ Qu'est-ce que vous lui avez-fait ? cria Hermione.
_ Je l'ai endormi pour ne pas qu'il souffre trop longtemps, car je crois que nous serons ici longtemps.
_ Qu'est-ce qui se passe, j'imagine une attaque de Voldemort, parce que Harry a très mal à sa cicatrice et que vous, vous touchez à votre marque des ténèbres sur votre bras depuis que nous sommes enfermés ici.
_ Perspicace, Mlle Granger. Oui, vous avez raison, il y a en ce moment même une bataille d'engager contre Voldemort et les professeurs de Poudlard.
_ Pourquoi vous n'y êtes pas. _ À cause de la lettre.
_ De la lettre ?
_ Désolé, Mlle Granger, mais je ne peux pas vous en dire plus pour le moment. Le professeur Dumbledore vous le dira le temps venu.
_ Et c'est quoi ce halo doré autour de nous.
_ C'est de l'ancienne magie. Et cela fonctionne seulement si deux conditions sont réunies, la première, je ne peux vous la dévoiler maintenant, mais sachez que Potter y joue un grand rôle, et la seconde il faut que les personnes se trouvant dans la pièce soient tous en danger de mort imminent.
_ Vous voulez dire que nous sommes en danger.
_ Plus maintenant. Le halo nous protège et nous rend invisible. Même si Voldemort était de l'autre côté de la porte il ne verrait pas justement qu'il y aurait une porte. Il ne verrait pas qu'il y a une autre pièce dans cette appartement. Nous sommes en sécurité ici, ne craignez rien. Sur ce il retourna auprès de Harry, lui enleva ses chaussures et l'installa confortablement dans le lit et le couvrit. Il s'assied au pied du lit et mis ses mains dans son visage en marmonnant, j'espère seulement qu'il n'y aura pas trop de morts.
_ Des morts ?
_ Vous avez déjà oublié qu'ils combattent à l'extérieur ?
_ Professeur, combien de temps serons-nous ici ?
_ Je pense que ce sera long. Vous devriez vous étendre et vous reposer. Elle s'étendit au côté de Harry, et ni elle, ni Rogue ne parlèrent. Ils demeuraient silencieux pendant longtemps. Puis tout d'un coup, le halo doré s'évapora. Elle regarda autour d'elle et vit alors Rogue revenir près de Harry pour le réveiller. Sa cicatrice ne lui faisait plus mal. Il s'assied sur le lit et il regarda Hermione et Rogue. Il demanda alors :
_ Que s'est-il passé ?
_ C'était une attaque dit alors Rogue, mais Dumbledore va vous expliquer. Puis on frappa à la porte et Harry reconnu la voix du professeur Chourave.
_ Professeur Rogue, vous pouvez sortir tous les trois à présent. Le danger est écarté. Rogue essaya d'ouvrir la porte et alors incapable, demanda :
_ Harry pouvez-vous, s'il-vous-plaît venir ouvrir cette porte qu'on puisse sortir. Harry se leva surpris, pris la poignée de porte dans ses mains, puis sans la tourner, elle ouvrit. C'est très curieux pensa-t-il. Les quatre personnes se rendirent chez Dumbledore.
À l'intérieur du bureau, Harry vit que tous les professeurs étaient présents, à l'exception du professeur Sinistra. Il remarqua également Sirius, Rémus et le professeur Mc Gonagall, pointant leur baguette magique sur Peter Pettigrow, qui tremblait. Les yeux de Rémus et Sirius exprimant la fureur. Il regarda sur le bureau de Dumbledore et y vit deux parchemins. Et celui-ci leur dit de tous s'asseoir. À ce moment, le ministre de la magie entra suivi d'un gardien. Il venait chercher Pettigrow. Lorsqu'ils furent sortis, Rogue demanda :
_ Des pertes, Dumbledore ?
_ Oui, Severus, un professeur et deux étudiants. Rogue cacha son visage avec ses mains, il était visiblement ému.
_ C'est tout ?
_ Non Severus, il y a eu aussi un enlèvement, un étudiant. Dit gravement Dumbledore.
Harry perdit son calme et crie alors :
_ Il y a trois morts et un enlèvement est-ce que quelqu'un peut enfin me dire ce qui c'est passé et pourquoi nous avons été enfermé ?
_ Calme toi Harry, dit Dumbledore, assied-toi nous allons t'expliquer. Harry se calma et retourna sur sa chaise, Hermione lui donna la main.
_ Tout à commencer ce matin, débuta Dumbledore, j'ai reçu ce parchemin, que je vous lis :
Très cher Albus,
Comme tu vois, je suis encore en vie, et plus fort que jamais. Tes élèves qui reviendront de leur vacances seront accompagnés par mes fidèles mangemorts. Je les laisserai partir si vous me livrez mon traître, le lion et la chouette. Et sachez que s'ils tentent de s'enfuir de Poudlard ils seront tués sur le champs, car j'ai mis un sort de mort sur leur tête. Votre ennemi, Lord Voldemort.
_ Mais le lion, le traître et la chouette ? demanda timidement Harry.
_ Le traître, c'est moi Potter, dis alors Rogue, le lion c'est vous et la chouette c'est Hermione.
_ C'est exactement ça Severus, comment avez-vous deviné ?
_ Pour le traître c'était assez évident, pour le reste j'ai conclue que c'était les personnes avec lesquelles j'étais enfermé. Le lion était simple à trouver, c'était le seul à pouvoir faire le sort de protectus et à nous faire sortir de cette chambre. Donc la chouette devait être nécessairement Mlle Granger. C'était une simple déduction, professeur Dumbledore.
_ Très bonne déduction. He, où en étions-nous. Ah oui, le parchemin. Nous savions que Voldemort arriverait ici avec ses mangemorts à bord des diligences alors nous avons préparé une contre-attaque. Pour vous protéger, Hermione, le professeur Rogue et toi, je vous ai fait enfermé dans ce qu'on appelle la chambre secrète de Gryffondor, mais pour cette partie, du récit, j'y reviendrai tout à l'heure. Pour l'instant vous devez savoir que le professeur Sinistra est décédée lors du combat, ainsi que deux étudiants, messieurs Seamus Finnigan et Dean Thomas. Et il manque Ginny Weasley à l'appel, nous croyons que Voldemort l'a enlevé. Maintenant je vous demanderais à tous de nous quitter à l'exception de Rémus, Sirius, Charlie, Séverus et toi Harry. Minerva, reconduisez Mlle Granger dans son appartement et demeurez avec elle jusqu'à ce que Harry revienne.
Les professeurs sortirent accompagnés de Hermione.
_ Bon et bien maintenant, je crois que je vous dois des explications. Dit Dumbledore.
_ Oui, ce serait utile pour comprendre, dit Sirius.
_ La chambre secrète de Gryffondor a une puissance magique permettant aux personnes s'y trouvant d'être en sécurité lorsqu'elles sont en danger de mort. Pour que la protection fonctionne, il doit y avoir deux conditions. Il faut tout d'abord que l'héritier de Gryffondor s'y trouve et que celui- ci soit en danger de mort. Avec le sort protectus et les deux conditions réunies, la chambre devient introuvable pour quiconque et inviolable puisque seul l'héritier peut l'ouvrir quand le halo disparaît.
_ Vous voulez dire que je suis l'héritier de Gryffondor ? dit Harry, incrédule.
_ Oui, Harry. Je suis curieux que tu ne l'ait pas encore remarqué. Répondit Dumbledore.
_ Comment aurais-je pu ? Personne ne me l'a mentionné jusqu'à maintenant.
_ Tu as eu plein d'indices que tu n'as pas pu interprété, c'est tout, tu n'as qu'à penser à l'épée durant ta deuxième année, c'était l'épée de Gryffondor.
_ Oui, mais cela ne fait pas de moi son héritier.
_ Écoute Harry, moi je suis l'héritier de Gryffondor et ton. . . ton arrière-grand-père.
_ Mon quoi ?! Arrière-grand-père, mais c'est du délire tout ça, pincez-moi je dois sûrement encore dormir.
_ Non, Harry, écoute deux minutes et ne m'interrompt pas.
_ Ok, fit Harry exaspéré.
_ Il y a très longtemps j'ai eu une aventure avec une moldu et de notre union est né une fille qui s'est marié avec un autre moldu du nom d'Evans. Ils ont eu deux ravissantes jeunes filles, Pétunia, une moldu et Lily, une sorcière, celle-ci était donc l'héritière de Gryffondor. Elle s'est mariée à ton père, puis tu es arrivé.
_ Oui, mais pourquoi Voldemort, s'il en avait après l'héritier de Gryffondor à tuer mon père et ne voulait pas au début tuer ma mère ?
_ C'est une excellente question, mais je ne peux malheureusement pas te donner la raison, je crois que seul Voldemort en connaît la raison.
_ Bon je suis l'héritier de Gryffondor. Que dois-je faire maintenant ? qu'est-ce que ça fait un héritier, dit Harry, apparemment très choqué.
_ Ton rôle sera défini quand l'héritier vivant mourra Harry, tu n'as donc pas encore à t'en soucier. Cela dit quand le moment viendra tu sauras tout ce que tu dois savoir pour bien remplir ton rôle.
_ Mon rôle, et si je ne veux pas le remplir, qu'arrivera-t-il ?
_ Je ne sais pas Harry, mais nous en parlerons une autre fois, veux-tu, nous devons poursuivre ce qui nous préoccupe aujourd'hui, répondit calmement le vieil héritier.
_ Ah, fit Harry entre les dents. Il était vraiment en colère, mais écouta quand même la suite du récit. Il apprit donc que le combat avait été très difficile et qu'il y avait plusieurs blessés parmi les Gryffondors et les Serdaigles, quand aux Poufsouffles et Serpentard, il n'y avait aucun blessé. Ginny avait été enlevée et le professeur Dumbledore avait reçu un parchemin sur lequel il était inscrit que Ginny serait rendue, seulement et seulement si le lion et le traître se rendraient à Voldemort. Il su également qu'il ne pouvait plus sortir à l'extérieur du château puisque Voldemort avait jeté un sort de mort imminente sur sa tête et sur la tête d'Hermione et de Rogue. Ce sort consistait à tuer sur le champ les personnes choisies qui franchissaient une certaine ligne. Dans ce cas, la ligne était, à l'extérieur de Poudlard. Il su également que Sirius avait attrapé le rat de Pettigrow. Et que son parrain serait libre bientôt. À la fin du récit de Dumbledore, Harry était très en colère. Il gardait la mâchoire fermée, ses poings serrés et ses yeux exprimaient une grande colère, que les professeurs avaient remarqué, alors Sirius demanda à Dumbledore de raccompagner son filleul dans sa chambre pour le calmer. Dumbledore approuva. Harry et Sirius les quittèrent.
Les deux hommes arrivèrent à l'appartement. Harry avait maintenant la peau blanche et les yeux rouges de colère, il faisait vraiment peur à regarder, tellement que le professeur Mc Gonagall et son parrain restèrent dans l'appartement. Harry prit Hermione par la main et l'emmena dans sa chambre. Il l'a poussa sur le lit. Il ne parla pas. Il avait envi de tuer, non pire, de faire souffrir, Voldemort, pour ses parents, pour Cedric, pour Ron, pour Seamus, pour Dean, pour les parents de Neville, pour Sirius, pour Hermione, et même pour Rogue. Il avait envie d'étrangler Dumbledore pour ce qu'il ne lui avait encore jamais dit. Il aurait voulu avoir devant lui ce stupide Gryffondor pour le défier. Il n'en pouvait plus.
_ Harry qu'est-ce qu'il y a, demanda Hermione couchée sur le lit, qu'est-ce qui va pas. Alors Harry sortit de ses gonds. Il pointa sa main en direction de la porte de chambre et celle-ci se ferma violemment. Ensuite il enleva tous ses vêtements et se jeta sur le lit, puis il dit, toujours sans baguette, Duronus Hermione, Harry. Ainsi, ils furent entourer d'un bouclier blanc. Puis il regarda Hermione et l'embrassa violemment.
_ Non, arrête, Harry, lui dit-elle, doucement.
Il l'embrassa, il ne voulait pas qu'elle parle. Elle le regardait dans les yeux et constata qu'elle ne pourrait rien y faire. Il n'arrêterait pas, et ce même si Sirius et Mc Gonagall réussiraient à ouvrir la porte parce qu'ils étaient dans un Duronus qui pouvaient résister à deux des trois sortilèges impardonnables. Harry lui retira sa chemise brusquement et releva sa jupe. Elle aurait voulu crier, son amoureux la violait. Elle le regarda, suppliante, et
_ Harry, tu devrais te calmer un peu.
_ Un héritier, tiens, il y en aura un autre, dit-il sans désserré la mâchoire.
_ Harry, arrêtes, tu me fais mal. Il n'écoutait plus, il l'a pris de force, il l'embrassait lorsqu'elle protestait, puis, il eut son orgasme, se coucha sur Hermione, appuya sa tête sur ses seins et se mit à pleurer.
_Pardon, Hermione, parvint-il à articuler entre deux sanglots. Pardon, je n'aurais pas du. J'étais si en colère. . .
_ Je te pardonne Harry, je comprends. Dit-elle, elle savait, c'était une façon pour lui d'exprimer la colère qu'il avait ressenti, elle devait lui pardonner.
_ Je m'en veux tellement de t'avoir fait ça. Tu sais. Je n'aurais pas du, je ne suis pas digne d'être avec toi. Dit-il en pleurant.
_ Chut, fit Hermione en lui caressant les cheveux. Chut. C'est correct. Je te pardonne Harry. Puis elle vit Sirius et Mc Gonagall entrer dans la chambre. Ceux-ci comprirent rapidement ce que Harry avait fait en le voyant nu, pleurer sur Hermione à moitié déshabillée entourés d'un duronus. Sirius s'approcha du lit, regarda Hermione et lui demanda :
_ Çà va, Hermione ?
_ Oui, c'est correct, maintenant. Harry, peux-tu arrêter le duronus, s'il te plaît, dit-elle lentement pour ne pas le brusquer.
_ Je ne peux pas, je n'ai pas ma baguette, elle est à la bibliothèque parvint-il à dire entre deux sanglots.
_ Essaie sans baguette Harry, lui dit-elle.
_ Je ne pourrai pas Hermione tu le sais.
_ Écoute Harry, fais-le pour. . . fais-le pour moi. Je t'aime Harry et j'ai confiance en toi. Fais-le maintenant. Son ton était ferme et convainquant.
_ Finite Incantatum, dit alors Harry, puis le duronus, disparu. Et Harry à bout de force, s'évanouit sur Hermione. Sirius se précipita sur le lit en leva Harry, puis Hermione se revêtit en pleurant serrer dans les bras du professeur Mc Gonagall qui la consolait le mieux qu'elle pouvait.
Merci pour les rewiews ils m'encouragent à continuer l'écriture de cette fan fiction.
