Chapitre 2
Tranquilement, Harry déambula dans l'allée sombre et macabre sans se soucier des regards curieux et perplex des passants. Certe, Harry ne devrait pas être là non seulement parce qu'il était Harry potter, mais parce qu'il était considérer comme trop jeune pour déambuler dans un endroit pareil à son âge. Le regard de Harry se promenait de magasin en magasin, regardant vaguement autour de lui, un magasin qui pourrait l'intersser. Ses yeux s'arrêtèrent sur le magasin de livre. Au-dessus de la porte, il était indiquer : tnem elue srio negam, tidret niervi ilel Bien sur, Harry n'état pas dupe. Le message voulait faire croire qu'il était écrit en une autre langue, mais si on était doué du moindre cerveau, il suffisait de le lire à l'envers pour savoir qu'il sagissait d'un magasin de livre interdit. Sans même attendre, Harry poussa la porte du magasin et fut aussitôt assaillit par une odeur de moisisure intense. Les quelques personnes présente tournèrent les yeux vers lui et le regardèrent curieux. Harry passa une main négligente dans ses cheveux, laissant brevement voir sa cicatrice. Quelque uns le regardèrent avec surprise, d'autre avec dégoût mais il n'y fit pas attention et se dirigea vers les étagères poussiiéreuse quand le propriétaire du magasin se dirigea vers lui et lui coupa la route.
-Désolé jeune Homme, mais je crois que vous vous êtes trompez de magasin. Pour votre information, vous êtes dans l'allée des embrumes. Dit le vendeur avec une pointe d'amusement. -Je sais parfaitement où je suis et je sais très bien ce que je cherche et il se trouve que je pourrai peu-être trouver ce dont j'ai besoin dans votre magasin. C'est bien un magasin de livre interdit, pour mage noir seulement ? Le vendeur resta bouche bé devant la détermination de Harry à explorer les étagères remplies de livres plus dangereux les uns que les autres. -Bien, même si tu pouvais trouver ce que tu cherche mon garçon, je doute que tu ai les moyen de te payer de tel livre alors. -Je sais ce que je veux, et c'est ici que je vais le trouver. M'avez vous bien compris ? J'ai suffisement d'argent pour me payer ce que je veux pour les 10 prochaines années et si je n'en ai pas assez sur moi, j'irai en chercher d'autre. Maintenant, laisser moi passer.
Le vendeur s'écarta à contre c?ur du chemin de Harry qui le dépassa sans un regard. Harry parcourut les étagères des yeux et s'arrêta sur un livre particulièrement intéressant. Animagi, difficile, mais pas impossible. Il saisit le livre et en parcourut les pages. Après une lecture rapide, il en conclut que c'était le livre idéal pour devenir un animagi en peu de temps. Il continua ses recherches un peu plus loin et tomba sur des ouvrages très intéressants. Transplanage innaperçut, domter les sortilèges interdits, potions dangeureuses, enchantements méphistophéliques et magie noir contre magie blanche. Tous ces ouvrages, Harry les traîna sous son bras. Les livres volumineux et extrêment lourd commençait à faire mal aux bras maigre d'Harry et celui-ci atteignit le comptoir du vendeur avec un semblant de joie. Il laissa lourdement tomber les volumes devant la caisse et regarda le vendeur.
-Combien vous demander pour ces ouvrages ? -À chacun d'eux, ils valent 150 Galions, mais je peux te les vendre pour disons, 800 gallions. -650 gallions. Marchanda Harry -700. -Vendu. Dit Harry en souriant, d'un sourir qui n'avait rien de joyeux.
Au grand étonnement du vendeur, Harry sortit de sa bourse, le compte exact. Bien sur, 700 gallion sorti droit d'une bourse, c'était beaucoup mais la bourse enchanter d'Harry pouvait en contenir d'avantage. En un coup de baguette, le vendeur mit tout dans un sac et emballa les livres de Harry.
-Si ça ne vous dérange pas, dit Harry d'une voix doucereuse, pourriez-vous faire léviter mes livres ? Le vendeur éclatat de rire, ce qui attira l'atetntion de tous les autres clients. -Tu viens acheter des livres qui sont interdit et tu n'es même pas capable de faire léviter tes livres ? Pour qui me prends-tu petit ?
Les autres clients rièrent à leur tour, mais Harry ne s'en occupa pas et regarda le vendeur en souriant du même sourir fade.
-Messieu, je suis un élève de premier sicle et je n'ai toujours pas le droit de faire de la magie en dehors de l'établissement scolaire. Si vous voulez voir débarquer dans votre magasin, un membre du ministère, libre a vous d'expliquez ce que signifit votre enseigne. Maintenant, à vous de choisir.
Le vendeur cessa de rire et regarda Harry. Loin de ce que le jeune homme attendait, celui-ci lui sourit.
-Tu sais ce que tu veux petit, et ça me plait. C'est un plaisir de faire des affaires avec toi. Et, d'un bref coup de baguette, le vendeur fit léviter les énormes ouvrages.
Harry les saisit dans sa main par la ficelle qui les retenait, fit un signe de main vers le vendeur et sorti silencieusement de la boutique sombre.
Harry déambula encore longtemps dans l'allée sombre, achetant ici et là, les choses dont il pourrait avoir besoin. Notament, des ingrédients de potion, et un sac qu'il avait trouvé dans une petite boutique, qui pouvait contenir un nombre infini de chose, en les fesant rétrécir et les rendre beaucoup plus léger. Ainsi, Harry pu y déposer tous ses livres, ses ingrédients de potion et les quelques emplettes de surplus. Lorsque le soleil commença à faiblir, Harry rebroussa le chemin et se rendit dans sa chambre au chaudron baveur. Dans sa chambre l'attendait un repas fructueux et, extraordinairement, cinq hiboux. Harry débarassa les volatiles de leur lettre. Sans même ^prendre le temps de les lire, il les jetta sur le lit mais une enveloppe attira son attention. Elle n'était pas écrite sur du parchemin mais sur une feuille blanche, légèrement cartonné. Il la saisit et l'examina. C'était, ne fait, la troisième fois, qu'il en recevait depuis le début des vacances mais jusque là, il n'avait pas fait attention à ce que les gens lui envoyaient. Menace de mort ou mot récofortant, Harry les avait empillés dans un coin de sa valise. Cependant, cette lettre l'intrigua particulièrement. Une légère odeur fleurie s'en échappait et faisait légèrement battre le c?ur de Harry. Il avait déjà senti cette odeur, mais il ne se rappellait pas où. Pour la première fois depuis bien longtemps, Harry ouvrit l'envellope et lu la longue lettre..
Cher Harry. Depuis le début des vacances, je t'ai écrit mais tu ne m'as jamais répondu. Demain, le train nous menera à Poudlard, et je devrai faire face au gens qui ne cesseront de me présanté leurs condoléances. J'espérais trouver en toi un peu d'attention et d'écoute, mais tu n'as pas l'air intéresser. Je sais que la mort de Cédric te trouble beaucoup, je l'ai vu dans tes yeux, et elle me trouble autant que toi Harry, et j'aurais aimé en parler avec toi. Malheureusement, ton manque d'attention, me blaisse, je ne le cache pas. Après m'avoir demander d'aller au bal avec moi, j'aurais espéré qu'on aurait pu devenir ami, mais tu ne semble pas d'accors avec cette idée. Enfin, bref, je veux qu'on parle Harry, j'ai besoin de t'entendre parler, de savoir que toi aussi, tu est troublé, mais que tu continus à vivre, comme les gens voudrais me voir sourir. Harry, je veux te parler, et je vais t'écrire jusqu'à ce que tu me répondes, je veux et exige une réponse, je t'en suplis. Enfin, j'espère que tu vas bien et que tu as passé de bonnes vacances. Cho Harry senti son c?ur se contracter, mais il secoua vigoureusement la tête. Il ne devait pas penser à Cho. Il ne savait pas s'il devait lui parler ou rester muet.
-Si l'occasion se présente, je lui parlerai, mais sinon, je ne lui adresse pas la parole. Décida-t-il en balayant le lit et en s'y allongeant.
Le someil ne vint pas immidiatement mais Harry du se convaicre qu'il devait dormir. Son teint pâle ne tromperait personne demain alors s'il devait, en plus, avoir l'air fatigué, les gens ne le laisseraient pas tranquil. Le sommeil vint finalement au allentour de minuit et Harry sombra doucement dans le noir.
Tranquilement, Harry déambula dans l'allée sombre et macabre sans se soucier des regards curieux et perplex des passants. Certe, Harry ne devrait pas être là non seulement parce qu'il était Harry potter, mais parce qu'il était considérer comme trop jeune pour déambuler dans un endroit pareil à son âge. Le regard de Harry se promenait de magasin en magasin, regardant vaguement autour de lui, un magasin qui pourrait l'intersser. Ses yeux s'arrêtèrent sur le magasin de livre. Au-dessus de la porte, il était indiquer : tnem elue srio negam, tidret niervi ilel Bien sur, Harry n'état pas dupe. Le message voulait faire croire qu'il était écrit en une autre langue, mais si on était doué du moindre cerveau, il suffisait de le lire à l'envers pour savoir qu'il sagissait d'un magasin de livre interdit. Sans même attendre, Harry poussa la porte du magasin et fut aussitôt assaillit par une odeur de moisisure intense. Les quelques personnes présente tournèrent les yeux vers lui et le regardèrent curieux. Harry passa une main négligente dans ses cheveux, laissant brevement voir sa cicatrice. Quelque uns le regardèrent avec surprise, d'autre avec dégoût mais il n'y fit pas attention et se dirigea vers les étagères poussiiéreuse quand le propriétaire du magasin se dirigea vers lui et lui coupa la route.
-Désolé jeune Homme, mais je crois que vous vous êtes trompez de magasin. Pour votre information, vous êtes dans l'allée des embrumes. Dit le vendeur avec une pointe d'amusement. -Je sais parfaitement où je suis et je sais très bien ce que je cherche et il se trouve que je pourrai peu-être trouver ce dont j'ai besoin dans votre magasin. C'est bien un magasin de livre interdit, pour mage noir seulement ? Le vendeur resta bouche bé devant la détermination de Harry à explorer les étagères remplies de livres plus dangereux les uns que les autres. -Bien, même si tu pouvais trouver ce que tu cherche mon garçon, je doute que tu ai les moyen de te payer de tel livre alors. -Je sais ce que je veux, et c'est ici que je vais le trouver. M'avez vous bien compris ? J'ai suffisement d'argent pour me payer ce que je veux pour les 10 prochaines années et si je n'en ai pas assez sur moi, j'irai en chercher d'autre. Maintenant, laisser moi passer.
Le vendeur s'écarta à contre c?ur du chemin de Harry qui le dépassa sans un regard. Harry parcourut les étagères des yeux et s'arrêta sur un livre particulièrement intéressant. Animagi, difficile, mais pas impossible. Il saisit le livre et en parcourut les pages. Après une lecture rapide, il en conclut que c'était le livre idéal pour devenir un animagi en peu de temps. Il continua ses recherches un peu plus loin et tomba sur des ouvrages très intéressants. Transplanage innaperçut, domter les sortilèges interdits, potions dangeureuses, enchantements méphistophéliques et magie noir contre magie blanche. Tous ces ouvrages, Harry les traîna sous son bras. Les livres volumineux et extrêment lourd commençait à faire mal aux bras maigre d'Harry et celui-ci atteignit le comptoir du vendeur avec un semblant de joie. Il laissa lourdement tomber les volumes devant la caisse et regarda le vendeur.
-Combien vous demander pour ces ouvrages ? -À chacun d'eux, ils valent 150 Galions, mais je peux te les vendre pour disons, 800 gallions. -650 gallions. Marchanda Harry -700. -Vendu. Dit Harry en souriant, d'un sourir qui n'avait rien de joyeux.
Au grand étonnement du vendeur, Harry sortit de sa bourse, le compte exact. Bien sur, 700 gallion sorti droit d'une bourse, c'était beaucoup mais la bourse enchanter d'Harry pouvait en contenir d'avantage. En un coup de baguette, le vendeur mit tout dans un sac et emballa les livres de Harry.
-Si ça ne vous dérange pas, dit Harry d'une voix doucereuse, pourriez-vous faire léviter mes livres ? Le vendeur éclatat de rire, ce qui attira l'atetntion de tous les autres clients. -Tu viens acheter des livres qui sont interdit et tu n'es même pas capable de faire léviter tes livres ? Pour qui me prends-tu petit ?
Les autres clients rièrent à leur tour, mais Harry ne s'en occupa pas et regarda le vendeur en souriant du même sourir fade.
-Messieu, je suis un élève de premier sicle et je n'ai toujours pas le droit de faire de la magie en dehors de l'établissement scolaire. Si vous voulez voir débarquer dans votre magasin, un membre du ministère, libre a vous d'expliquez ce que signifit votre enseigne. Maintenant, à vous de choisir.
Le vendeur cessa de rire et regarda Harry. Loin de ce que le jeune homme attendait, celui-ci lui sourit.
-Tu sais ce que tu veux petit, et ça me plait. C'est un plaisir de faire des affaires avec toi. Et, d'un bref coup de baguette, le vendeur fit léviter les énormes ouvrages.
Harry les saisit dans sa main par la ficelle qui les retenait, fit un signe de main vers le vendeur et sorti silencieusement de la boutique sombre.
Harry déambula encore longtemps dans l'allée sombre, achetant ici et là, les choses dont il pourrait avoir besoin. Notament, des ingrédients de potion, et un sac qu'il avait trouvé dans une petite boutique, qui pouvait contenir un nombre infini de chose, en les fesant rétrécir et les rendre beaucoup plus léger. Ainsi, Harry pu y déposer tous ses livres, ses ingrédients de potion et les quelques emplettes de surplus. Lorsque le soleil commença à faiblir, Harry rebroussa le chemin et se rendit dans sa chambre au chaudron baveur. Dans sa chambre l'attendait un repas fructueux et, extraordinairement, cinq hiboux. Harry débarassa les volatiles de leur lettre. Sans même ^prendre le temps de les lire, il les jetta sur le lit mais une enveloppe attira son attention. Elle n'était pas écrite sur du parchemin mais sur une feuille blanche, légèrement cartonné. Il la saisit et l'examina. C'était, ne fait, la troisième fois, qu'il en recevait depuis le début des vacances mais jusque là, il n'avait pas fait attention à ce que les gens lui envoyaient. Menace de mort ou mot récofortant, Harry les avait empillés dans un coin de sa valise. Cependant, cette lettre l'intrigua particulièrement. Une légère odeur fleurie s'en échappait et faisait légèrement battre le c?ur de Harry. Il avait déjà senti cette odeur, mais il ne se rappellait pas où. Pour la première fois depuis bien longtemps, Harry ouvrit l'envellope et lu la longue lettre..
Cher Harry. Depuis le début des vacances, je t'ai écrit mais tu ne m'as jamais répondu. Demain, le train nous menera à Poudlard, et je devrai faire face au gens qui ne cesseront de me présanté leurs condoléances. J'espérais trouver en toi un peu d'attention et d'écoute, mais tu n'as pas l'air intéresser. Je sais que la mort de Cédric te trouble beaucoup, je l'ai vu dans tes yeux, et elle me trouble autant que toi Harry, et j'aurais aimé en parler avec toi. Malheureusement, ton manque d'attention, me blaisse, je ne le cache pas. Après m'avoir demander d'aller au bal avec moi, j'aurais espéré qu'on aurait pu devenir ami, mais tu ne semble pas d'accors avec cette idée. Enfin, bref, je veux qu'on parle Harry, j'ai besoin de t'entendre parler, de savoir que toi aussi, tu est troublé, mais que tu continus à vivre, comme les gens voudrais me voir sourir. Harry, je veux te parler, et je vais t'écrire jusqu'à ce que tu me répondes, je veux et exige une réponse, je t'en suplis. Enfin, j'espère que tu vas bien et que tu as passé de bonnes vacances. Cho Harry senti son c?ur se contracter, mais il secoua vigoureusement la tête. Il ne devait pas penser à Cho. Il ne savait pas s'il devait lui parler ou rester muet.
-Si l'occasion se présente, je lui parlerai, mais sinon, je ne lui adresse pas la parole. Décida-t-il en balayant le lit et en s'y allongeant.
Le someil ne vint pas immidiatement mais Harry du se convaicre qu'il devait dormir. Son teint pâle ne tromperait personne demain alors s'il devait, en plus, avoir l'air fatigué, les gens ne le laisseraient pas tranquil. Le sommeil vint finalement au allentour de minuit et Harry sombra doucement dans le noir.
