Chapitre 3
Le lendemain matin, vers 5:00, Harry se réveilla doucement au première lueur du soleil qui filtrait malgré tout, à travers le rideau fermé. La lumière naissante éclaira faiblement le visage paisible du jeune homme. Il lui semblait ne jamais avoir aussi bien dormi de sa vie, peu-être dut au fait qu'il n'avait pas dormi souvent c'est dernier temps. Il se leva rapidement et s'observa dans le grand miroir qui ornait le dos de la porte fermé à clé. Le reflet que lui renvoya d'un jeune homme de 15 ans, complètement nu, mais pas le moindre du monde gêné ou perplex face à cette image. Les jambes longues et minces soutenaient des hanches carrées et solides. Le torse légèrement poilu, les épaules carrées, les bras sur lesquels se dessinaient quelques muscles, surement dut aux entraînements de Quidditch ou aux événements de l'an dernier. La bouche sensuellement dessinée sous un nez impétueux qui imposait un certain respect et des yeux, mais alors là, des yeux d'un vert irrésistible. Profond et éclatant. Même si aucune émotion ne s'y réflétait, on voyait toute la sagesse et la connaissance. Harry adorait son reflet. Autant il avait été maigre et petit qu'aujourd'hui il était costaud, beau, attirant et sensuel. Il s'observa pendant encore une minute et ses yeux s'arrêtèrent sur sa cicatrice. Elle était omni présente dans sa façon de vivre. La douleur qu'il ressentait en permanence était devenue sourde et tapageuse dans son crâne. Il avait mit beaucoup de temps à maîtriser cette douleur incéssante mais avait fini par ignorer ses picotements continuels. Ne s'attardant pas plus longtemps, il s'habilla après une rapide douche froide. Il rengea ses choses dans sa valise et dans son sac, sachant pertinement que s'il arrivait avec ça, sans bagages ni autre, les gens se poserait des questions. Ainsi donc, il descendit une heure plus tard pour prendre son petit déjeuner. Tom, le patron du bar, lui servis une assiette d'?uf et de bacon qu'il se força à ingurgiter. Puis, il sortit du côté moldus pour se promener et changer d'air. Bien entendu, les magasins étaient tous fermés et peu de gens se promenaient. Il déambula quelque instant sans but, simplement pour observer. Deux heureus plus tard, Harry pensa bon de rentrer mais à un coin de rue du chaudron baveur, un petit groupe d'adolescent, plus ou moin jeune, lui barra la route.
-Hé, toi ! dit sèchement le garçon plus grand et le plus grand et le plus imposant.
Harry le regarda, un regard indiférent, les yeux sombre et simplement vide d'émotion.
-File-moi ton argent ! Dit-il avec insistance. Sinon, je te casse les dents. Harry le regarda, toujours indiférent. Sans ajouter un mot, il contourna le garçon et fit mine de continuer son chemin mais une fois de plus, le garçon lui barra la route.
-T'as pas entendu ? Tu veux que je sois plus clair ? Tu me file ton argent ou j'te fais tellement mal, que même la douleur voudra plus rien dire pour toi.
Harry le toisa avec colère, mais sans peur. Il s'avança tranquilement vers la carrure imposante du jeune homme. Celui-ci sourit, croyant sans doute qu'il avait gagné mais loin de là. Avec une force qu'il le surprenait lui- même, Harry planta sans main entre les épaules larges du garçon et le plaqua contre un mur non loin derrière lui.
-La douleur ? Tu veux connaître la douleur ? Je sais ce que c'est de souffrir, une douleur si intense, qu'on veut mourir, qui vous déchire les trippes et le c?ur, qui vous empêche de respirer mais qui vous fait hurler à plein poumon, si intense, qu'on ne voit plus rien, qu'on entend plus rien. Tout ce qu'on sait, c'est qu'on à mal. Une douleur sans fondement, simplement souffrir pour le plaisir des autres. Quand tu auras senti ça, tu viendras m'apprendre ce qu'est la douleur mais pour l'instant, tu n'a rien à m'apprender, minable. Si tu veux de l'argent, vas la chercher ailleur. Je n'ai pas peur de toi, je n'ai peur de personne mais toi, tu as peur de moi, je le sens, je le sais. Vas-t-en, avec ta bande de petit crétin, que je ne te revois plus sinon, gare à toi, je peux être vraiment méchant quand je veux, mais là, je suis presser, j'ai un train à 11:00.
Sur ce, Harry lacha le jeune homme qui tremblait légèrement. Il lança un regard méprisant sur le petit groupe et retourna dans le bar sombre ou ses bagages l'attendaient. Lorsqu'il s'approcha du bar pour payer ses petit surplus qu'il s'était permis, le propriétaire lui tendit trois lettres, dont une qu'il identifia comme celle de Cho.
-Vous avez reçu ceci M. Potter, à l'instant. -Merci ! Dit simplement Harry en laissant tomber l'argent sur le comptoir et en prenant ses lettres.
Il alla s'asseoir à une table à l'abri des regards et regarda ses lettres. L'une d'elle venait de Ron, l'autre de Sirius et la dernière, de Cho. Presque malgré lui, Harry ouvrit la lettre qui sentait légèrement la fleur.
Cher Harry. Comme je n'ai toujours pas reçu de réponse, je t'écris une nouvelle fois. J'ai besoin que tu me parles. Nous allons nous voir aujourd'hui, dans le train, et je ne te laisserai pas filer alors, à moins que tu n'ai une cape d'invisibiliter ou une potion pour te rendre invisible, je vais te trouver un te forcer à m'écouter parler. Je n'aime pas cette façon de procéder, mais si tu savais à quel point j'en ai besoin Harry. Enfin, à bientôt. Cho
Harry relu la lettre et rit doucement. Si la jeune fille était si entêtée à le trouver, soite, elle allait fort probablement le chercher longtemps. Il replis la lettre et regarda sa montre. Il était encore tôt pour se rendre au train, mais d'ici là. Puis, l'idée lui vint. S'il se rendait plus tôt au train, peu-être pourrait-il commencer à lire un de ses livres sans être déranger. De ce fait, il rangea ses lettres dans son sac et sorti du côté moldu une nouvelle fois, agita sa baguette et attendit quelque instant avant de voir le magicobus.
-Bonjour Harry ! S'exclama le contôleur. -Bonjour. Dit sechement Harry -On t'emmène où ? -La gare King's Kross. -Tu t'en vas à Poudlard ? -Ça en a tout l'air. -Bien, ça fera 11 mornilles.
Harry sorti l'argent de sa bourse emplement remplis et entra dans le bus en vitesse pour aller s'installer dans le fond du bus avec sa valise. Pour la première fois, il regretta la présence d'Hedwidge. Il se demandait où elle pouvait bien être. Enfin, elle était intélligente et elle saurait toujours où le trouver, où encore se débrouiller seule.
Progressivement, Harry vit descendre plusieurs personnes et, à 9:50, le Magicobus débarqua Harry devant la gare. Prenant rapidement un chariot, il se dirigea vers la gare 9 ¾ et traversa la barrière magique. L'endoit habituellement bruillant et bondé était maintenant silencieux et désert. Apréciant la solitude, Harry monta dans le train et s'installa dans le dernier wagon. Il installa sa valise sans le filet à bagage, sortit sa cape d'invisibilité de son sac ainsi que le livre qui l'int.ressait le plus, Animagi, difficile, mais pas impossible. La cape étant inutile pour le moment, harry la laissa de côté et ouvrit le livre avec avidité et commença sa lecture.
Les animagi sont reconnu comme intedit dans plusieurs pays du monde pour ne pas dire tous mais certain parvienne tout de même à devenir des humains/animaux. Dans l'ouvrage suivant, vous pourrez trouvez tout ce dont vous aurez besoin pour vous transformer, les étapes à suivre, les recommandation et les mises en garde. L'acheminement de votre but sera long et douloureux mais avec de la patience, vous arriverez à tout. Plus vous êtes puissant, plus la transformation sera rapide et votre objectif atteint. Bonne lecture.
Résumer des étapes : trouvez l'animal qui dors en soi. Concentration sur l'animal. Transformation progressive. La potion de métamorphose. La métamorphose douloureuse. Mise en garde. Recommandation. Liste des animaux enregistrer.
Harry sourit. La difficulté de l'épreuve lui mettait l'eau à la bouche. Il commença la lecture du livre avec détermination et excitation.
La première étape, la plus facile, consiste à trouver l'animal qui dors en soi. Pour se faire, vous devez réciter la formule sur les pages suivantes. Pendant votre lecture, vous entrerez dans une transe qui vous emmenera au plus profond de votre âme. Pendant environ un quart d'heure, des animaux de tout genre défileront dans votre cerveau, faisant le compte de vos qualité, défaut, aptitude, limites, peur et votre niveau magique. Par la suite, cet animal devra faire parti intégrale de vous. Pendant votre transe, votre corps continuera à prononcer la formule mais aucun bruit ne dois venir rompre le procecus, sinon, tout est à recommencer du début. Ensuite, lorsque vous aurez découvert votre animal, vous devez armoniser avec lui, l'apprivoisé et le dompter. Pour ce faire, nous vous conseillons de refaire cet exercice plusieurs fois afin de bien le connaître.
Assurez-vous d'être dans un endroit calme et sans risque d'être interomput et commencer la récitation.
.
s'en suivait ainsi de la formule qui faisait au grand complet la moitier de l'énorme bouquin. Harry était animé par le défi et avait vraiment hâte de commencer, mais l'ouverture de la porte du compartiment l'empêcha d'aller plus loin.
Le lendemain matin, vers 5:00, Harry se réveilla doucement au première lueur du soleil qui filtrait malgré tout, à travers le rideau fermé. La lumière naissante éclaira faiblement le visage paisible du jeune homme. Il lui semblait ne jamais avoir aussi bien dormi de sa vie, peu-être dut au fait qu'il n'avait pas dormi souvent c'est dernier temps. Il se leva rapidement et s'observa dans le grand miroir qui ornait le dos de la porte fermé à clé. Le reflet que lui renvoya d'un jeune homme de 15 ans, complètement nu, mais pas le moindre du monde gêné ou perplex face à cette image. Les jambes longues et minces soutenaient des hanches carrées et solides. Le torse légèrement poilu, les épaules carrées, les bras sur lesquels se dessinaient quelques muscles, surement dut aux entraînements de Quidditch ou aux événements de l'an dernier. La bouche sensuellement dessinée sous un nez impétueux qui imposait un certain respect et des yeux, mais alors là, des yeux d'un vert irrésistible. Profond et éclatant. Même si aucune émotion ne s'y réflétait, on voyait toute la sagesse et la connaissance. Harry adorait son reflet. Autant il avait été maigre et petit qu'aujourd'hui il était costaud, beau, attirant et sensuel. Il s'observa pendant encore une minute et ses yeux s'arrêtèrent sur sa cicatrice. Elle était omni présente dans sa façon de vivre. La douleur qu'il ressentait en permanence était devenue sourde et tapageuse dans son crâne. Il avait mit beaucoup de temps à maîtriser cette douleur incéssante mais avait fini par ignorer ses picotements continuels. Ne s'attardant pas plus longtemps, il s'habilla après une rapide douche froide. Il rengea ses choses dans sa valise et dans son sac, sachant pertinement que s'il arrivait avec ça, sans bagages ni autre, les gens se poserait des questions. Ainsi donc, il descendit une heure plus tard pour prendre son petit déjeuner. Tom, le patron du bar, lui servis une assiette d'?uf et de bacon qu'il se força à ingurgiter. Puis, il sortit du côté moldus pour se promener et changer d'air. Bien entendu, les magasins étaient tous fermés et peu de gens se promenaient. Il déambula quelque instant sans but, simplement pour observer. Deux heureus plus tard, Harry pensa bon de rentrer mais à un coin de rue du chaudron baveur, un petit groupe d'adolescent, plus ou moin jeune, lui barra la route.
-Hé, toi ! dit sèchement le garçon plus grand et le plus grand et le plus imposant.
Harry le regarda, un regard indiférent, les yeux sombre et simplement vide d'émotion.
-File-moi ton argent ! Dit-il avec insistance. Sinon, je te casse les dents. Harry le regarda, toujours indiférent. Sans ajouter un mot, il contourna le garçon et fit mine de continuer son chemin mais une fois de plus, le garçon lui barra la route.
-T'as pas entendu ? Tu veux que je sois plus clair ? Tu me file ton argent ou j'te fais tellement mal, que même la douleur voudra plus rien dire pour toi.
Harry le toisa avec colère, mais sans peur. Il s'avança tranquilement vers la carrure imposante du jeune homme. Celui-ci sourit, croyant sans doute qu'il avait gagné mais loin de là. Avec une force qu'il le surprenait lui- même, Harry planta sans main entre les épaules larges du garçon et le plaqua contre un mur non loin derrière lui.
-La douleur ? Tu veux connaître la douleur ? Je sais ce que c'est de souffrir, une douleur si intense, qu'on veut mourir, qui vous déchire les trippes et le c?ur, qui vous empêche de respirer mais qui vous fait hurler à plein poumon, si intense, qu'on ne voit plus rien, qu'on entend plus rien. Tout ce qu'on sait, c'est qu'on à mal. Une douleur sans fondement, simplement souffrir pour le plaisir des autres. Quand tu auras senti ça, tu viendras m'apprendre ce qu'est la douleur mais pour l'instant, tu n'a rien à m'apprender, minable. Si tu veux de l'argent, vas la chercher ailleur. Je n'ai pas peur de toi, je n'ai peur de personne mais toi, tu as peur de moi, je le sens, je le sais. Vas-t-en, avec ta bande de petit crétin, que je ne te revois plus sinon, gare à toi, je peux être vraiment méchant quand je veux, mais là, je suis presser, j'ai un train à 11:00.
Sur ce, Harry lacha le jeune homme qui tremblait légèrement. Il lança un regard méprisant sur le petit groupe et retourna dans le bar sombre ou ses bagages l'attendaient. Lorsqu'il s'approcha du bar pour payer ses petit surplus qu'il s'était permis, le propriétaire lui tendit trois lettres, dont une qu'il identifia comme celle de Cho.
-Vous avez reçu ceci M. Potter, à l'instant. -Merci ! Dit simplement Harry en laissant tomber l'argent sur le comptoir et en prenant ses lettres.
Il alla s'asseoir à une table à l'abri des regards et regarda ses lettres. L'une d'elle venait de Ron, l'autre de Sirius et la dernière, de Cho. Presque malgré lui, Harry ouvrit la lettre qui sentait légèrement la fleur.
Cher Harry. Comme je n'ai toujours pas reçu de réponse, je t'écris une nouvelle fois. J'ai besoin que tu me parles. Nous allons nous voir aujourd'hui, dans le train, et je ne te laisserai pas filer alors, à moins que tu n'ai une cape d'invisibiliter ou une potion pour te rendre invisible, je vais te trouver un te forcer à m'écouter parler. Je n'aime pas cette façon de procéder, mais si tu savais à quel point j'en ai besoin Harry. Enfin, à bientôt. Cho
Harry relu la lettre et rit doucement. Si la jeune fille était si entêtée à le trouver, soite, elle allait fort probablement le chercher longtemps. Il replis la lettre et regarda sa montre. Il était encore tôt pour se rendre au train, mais d'ici là. Puis, l'idée lui vint. S'il se rendait plus tôt au train, peu-être pourrait-il commencer à lire un de ses livres sans être déranger. De ce fait, il rangea ses lettres dans son sac et sorti du côté moldu une nouvelle fois, agita sa baguette et attendit quelque instant avant de voir le magicobus.
-Bonjour Harry ! S'exclama le contôleur. -Bonjour. Dit sechement Harry -On t'emmène où ? -La gare King's Kross. -Tu t'en vas à Poudlard ? -Ça en a tout l'air. -Bien, ça fera 11 mornilles.
Harry sorti l'argent de sa bourse emplement remplis et entra dans le bus en vitesse pour aller s'installer dans le fond du bus avec sa valise. Pour la première fois, il regretta la présence d'Hedwidge. Il se demandait où elle pouvait bien être. Enfin, elle était intélligente et elle saurait toujours où le trouver, où encore se débrouiller seule.
Progressivement, Harry vit descendre plusieurs personnes et, à 9:50, le Magicobus débarqua Harry devant la gare. Prenant rapidement un chariot, il se dirigea vers la gare 9 ¾ et traversa la barrière magique. L'endoit habituellement bruillant et bondé était maintenant silencieux et désert. Apréciant la solitude, Harry monta dans le train et s'installa dans le dernier wagon. Il installa sa valise sans le filet à bagage, sortit sa cape d'invisibilité de son sac ainsi que le livre qui l'int.ressait le plus, Animagi, difficile, mais pas impossible. La cape étant inutile pour le moment, harry la laissa de côté et ouvrit le livre avec avidité et commença sa lecture.
Les animagi sont reconnu comme intedit dans plusieurs pays du monde pour ne pas dire tous mais certain parvienne tout de même à devenir des humains/animaux. Dans l'ouvrage suivant, vous pourrez trouvez tout ce dont vous aurez besoin pour vous transformer, les étapes à suivre, les recommandation et les mises en garde. L'acheminement de votre but sera long et douloureux mais avec de la patience, vous arriverez à tout. Plus vous êtes puissant, plus la transformation sera rapide et votre objectif atteint. Bonne lecture.
Résumer des étapes : trouvez l'animal qui dors en soi. Concentration sur l'animal. Transformation progressive. La potion de métamorphose. La métamorphose douloureuse. Mise en garde. Recommandation. Liste des animaux enregistrer.
Harry sourit. La difficulté de l'épreuve lui mettait l'eau à la bouche. Il commença la lecture du livre avec détermination et excitation.
La première étape, la plus facile, consiste à trouver l'animal qui dors en soi. Pour se faire, vous devez réciter la formule sur les pages suivantes. Pendant votre lecture, vous entrerez dans une transe qui vous emmenera au plus profond de votre âme. Pendant environ un quart d'heure, des animaux de tout genre défileront dans votre cerveau, faisant le compte de vos qualité, défaut, aptitude, limites, peur et votre niveau magique. Par la suite, cet animal devra faire parti intégrale de vous. Pendant votre transe, votre corps continuera à prononcer la formule mais aucun bruit ne dois venir rompre le procecus, sinon, tout est à recommencer du début. Ensuite, lorsque vous aurez découvert votre animal, vous devez armoniser avec lui, l'apprivoisé et le dompter. Pour ce faire, nous vous conseillons de refaire cet exercice plusieurs fois afin de bien le connaître.
Assurez-vous d'être dans un endroit calme et sans risque d'être interomput et commencer la récitation.
.
s'en suivait ainsi de la formule qui faisait au grand complet la moitier de l'énorme bouquin. Harry était animé par le défi et avait vraiment hâte de commencer, mais l'ouverture de la porte du compartiment l'empêcha d'aller plus loin.
