chapitre 6

après cet étrange entretien avec la jolie serdaigle, Harry était sorti du compartiment, laissant la jeune fille derrièer lui, completement sonné. Leur échange s'était terminer sur une note plus heureuse que lorsqu'ils avait commencer. Il sembla à Harry que Cho n'avait pas tout a fait perdu cette petite étincelle de vie, ou plutôt qu'elle s'était quelque peu rallumer. Cependant, loin de déplair, Harry se sentait irrésistiblement attiré vers elle et il savait que son corps ne demandait que le contact chaud un suave de son corps au proportion enivrante, il voulait sentir sa poitrine se soulever sous ses mains, mettre ses lèvres sur chaque parcelle de peau rose de la jeune femme. Son désir était purement physique, mais tellement intense, qu'il lui en brûlait la poitrine.

-Tu es vraiment belle. Murmura Harry en se levant et en se dirigeant vers elle. Et tu sens vraiment bon. Termina-t-il alors qu'il se penchait vers elle.

Il inspira lentement l'odeur de savon et de parfun, discrete mais qui chatouillait agréablement les narines, et lui effleura la joue avec le bout de son nez. Harry se releva sans mouvement brusque et sorti du compartiment.

Cho resta encore quelque minute dans la même position sur le banc et sourit. Etrangement, cet entretien avait été très bénéfique pour la jeune femme. Harry était sorti plutôt précipitement, mais cela avait eu beaucoup d'effet sur elle. Même si Harry était assez pâle, son corps s'était vraiment transphormer. Ses muslcle, me^me s'il était cacher sous une grande chemise, ses yeux était vide, mais profond et il dégagait une telle force, s'en était oppressant. Ses grandes mains habiles et distinguées avait le touché doux et caressant. Elle se surpris alors à avoir des pensé érotiques pour le jeune homme. Il lui semblait que rien ni personne ne pourrait résister à de tel tentation, les tentation qui l'oprimait présentement, emplissant sa tête d'image quelque peu réaliste et indéniablement aguichante.

-Un jour, tu sera à moi, Harry Potter.

Sur ce, elle se leva et sorti du compartiemnt, tout en prenant soin de ranger ses Chose, comme son énorme peluche.

***

Harry se dirigea vers le fond du train. Il n'avait vu personne depuis le départ du train et se demandait vraiment où était Ron et Hermione. Dans le dernier wagon, Harry entendit des éclat de voix. Au moment où il allait ouvrir la porte du compartiment, celle-ci s'ouvrit à la vollé, laissant apparaître une Hermione furieuse. Celle-ci rentra brutalement en collision avec Harry qui ne bRoncha pas.

-Harry ! hurla-t-elle, changeant totalement d'expresion. -Harry, enfin. S'exclama Ron qui en avait momentanément oublier ses griefs pour la jolie Griffondor. -Bonjour. Répondit Harry sans bouger, les yeux dépourvu d'émotion, mais en même temps profond et impénétrable. -Tu n'as pas répondut à mes lettres, s'inquieta Hermione, j'avait peur que le hibou ne soit mort de fatigue, un voyage de Bulgarie jusqu'en Angleterre, ce n'est pas la porte à côté. Mais entre Harry, ne reste pas là.

D'un pas sure, Harry pénétra dans le compartiment dans lequel plusieurs objet trainait.

-C'est la pagaille ici.

-On a eu un léger malentendu. Excusa Hermione.

-Si c'est le résultat d'un leger malentendu, alors je prendrai gare à ne pas vous mettre en colère tous les deux.

-Parlant de lettre, dit Ron qui voulait évité le sujet, tu n'as pas répondu aux miennes, Papa voulait qu'on aille te chercher, mais Dumbldore à dit non.

-Je n'ai répondu à aucune lettre, pour la bonne raison qu'Hedwidge était absente, et parce que je n'en ai pas ouvert une seule.

-Parlons en d'Hedwidge! S'exclama de nouveau Ron, les sourcils fRoncé d'un air grave. Elle est venu, après une semaine de vancances, chez moi avec sa cage et refusait de retourner chez toi. et comment sa fait-il que tu n'ais pas ouvert nos lettre ? -Entre les menace de mort et les mots que se veulent encourageant et réconfortant mais qui au fond, vous font sentir encore plus coupable, disons que j'en ai eut marre. Depuis, je mets mes lettres et paquet dans ma valise. Quant à Hedwidge, où est-elle ? j'avaoue qu'elle ma manquée. -Elle est encore à la maison, elle cathégoriquement refusé d'entrer dans sa cage pour que te la rapporte.

Un silence lourd s'installa dans le compartiment, silence que Hermione brisa facilement.

-Dis-moi Harry, tu as beaucoup changer cet été.

-Changer comment ? questionna le jeune britanique.

-Bien, Physiquement, tu as grandi, et tes yeux sont vraiment vides, presque glacials, et tu as l'air beaucoup plus sure de toi qu'avant.

-Bien, toi aussi tu as changer, et je ne vois pas en quoi c'est mal que j'ai moi aussi changer.

-Mouais, marmona Ron. Dois-je comprendre que je suis le seul à rester aussi jeune ?

-Jeune ? Ha Ha, laisse moi rire Ronald, tu agis comme un enfant jaloux en possessif.

-Et toi, tu n'est qu'une garce Hermionne Granger.

-Pardon ? pardon ? et vous Ronald Weasley, vous êtes mieux peut-être ? j'en ai marre d'entender tes stupine vagissement enfantin, grandi un peu et voit la vérité en face.

-Je vois la vérité en face, c'est toi qui ne t'ai pas vu, avec tes allures de préfete, ça ne m'étonne pas que tu en soit une, une de ses enquiquineuse de service, qui se font un plaisir de vous gâcher le plaisir.

-Et bien si moi je suis une enquiquineuse, toi tu n'est qu'un vulgaire adolescent en manque d'affection et d'intéligence. Ferme la donc parce que tu t'enfonce dans tes propres insultes.

-Toi ferme là. -Non toi -Ha, j'en ai assez, je sort. -Ne te donne pas cette peine, c'est moi qui vais sorti, tu n'as qu'a rester assis sur tes deux fesses, après tout, c'est ce que tu fais de mieux Ron.

Et sans un commentaire de plus, Hermionne sorti comme une furie du compartiment.

-Tu sais Ron, c'est pas comme ça que tu vas gagner son c?ur. -Quest-ce qui te fait croire que je veux gagner son c?ur ? -bien, le rouge qui teint présentement tes joues quand on parle d'Hermione, puis la jalousie maladive dont tu fais preuve quand elle parle de Victor Krum, et aussi parce que ça saute aux yeux. -Même pas vrai. Bougonna le rouquin en s'asseoyant près de la fenêtre. -Enfin, bon, comment vas-tu ? -bien, depuis que j'ai vu la nouvelle tête de Malefoy, je me porte comme un charme. L'as tu vu ? -Bien, j'ai même mieux fait, je l'ai califier d'un coup de poind entre les deux yeux. Je lui ai cassé le nez, mais il l'avait mérité. -Quest-ce qu'il a fait ? -Il a tenté de. . . violer Cho. -L'attrapeuse des Serdaigle, celle que tu. -N'es dit pas plus, oui c'est elle. J'étais sous ma cape d'invisibilité quand il est entrer. On a discuté un peu, je l'ai fait sortir du compartiment et moi et Cho on a mit quelque petite Chose au clair. -Comme quoi ? Questionna son meilleur ami. -certaine Chose.

Harry eut un sourir mesquin qui fit sourir Ron. Il savait que son ami avait un petit faible pour la jolie Serdaigle, et il le comprennait. Cependant, il n'était pas le seul. La jolie demoiselle attirait les regards de beaucoup de garçon plus vieux.















Certe pas très long, mais le 7 lui, va être assez long. Merci au reviws.