chapitre 8
Harry bailla paresseusement en ouvrant les yeux.
La nuit avait été particulièrement agitée mais il avait fini par regargner sa chambre au alentour de deux heures du matin et avait dormi comme un bébé jusqu'à . . . 8h30.
S'il ne se dépêchait pas, il allait arriver en retard. Hors donc, il se leva, s'habilla, sans prendre le temps de se doucher, puisqu'il avait pris un bain hier soir, où plutôt ce matin, et sorti à la course avec son sac sur les épaules, son super sac qui contenait tous ses livres et accessoir qu'il voulait garder avec lui.
Hermione l'attendait à la sortie du couloir avec Ron.
-Il était temps Harry. Tiens, voici ton horraire, on commence avec défence contre les forces du mal, le professeur Figg m'a l'air vraiment sympatique, et puis tu la connais déjà non ?
-Oui je la connais, et elle ferait bien d'avoir une bonne excuse. Merci Mione.
Harry pris son horraire et se dirigea vers la salle de classe.
-Tu ne vas pas manger ?
-J'ai pas faim, et puis je n'ai pas le temps.
Harry continua son chemin et arriva à la porte de la classe encore close.
-Pourquoi dis-tu qu'elle à besoin d'avoir une bonne excuse ? Demanda Ron qui arrivait derrière lui.
-Parce qu'elle à été ma babysitter pendant 10 ans, et que jamais elle ne m'avait dit qui j'étais réelement, et la vérité sur mes parents. Je n'aime pas qu'on me cache des choses, et c'est d'autant plus difficile quand c'est quelque chose d'aussi important, comme mes origines et ma vraie nature.
-Ta vraie nature, c'est celle d'un parfait idiot Potter.
-Ferme-la Malefoy ! Répliqua Hermione.
-Je t'ai pas sonné toi.
-Malefoy, pourquoi tu ne trouves pas d'autre souffre douleur pour une fois ? La défendit Ron.
-ce n'est pas à vous que j'ai à faire, mais avec lui. Répliqua Malefoy d'un ton sec.
-Quest-ce que tu me veux Malefoy ? Tu veux que je te casse le nez encore ? Ou que je ne t'envois manger la poussière une fois de plus ?
-Non, simplement te dire que tu ferais bien de te surveiller, parce qu'il y a un espion dans Poudlard qui te surveil. En fait, qui nous surveille tous.
-Et pourquoi tu me dis ça ? C'est ton père qui veut me faire peur ?
-Je suis peut-être arrogant et cruel Potter, mais je sais ce que veux dire le nom de Malefoy. Seulement, mon père lui, l'a oublié.
-Et pourquoi je te croirais ?
-Ne me crois pas Potter, c'est ton choix. Je ne suis pas homme de confiance, c'est vrai, je sais reconnaître mes qualités et mes défauts, mais je sais ce que je dit. Je sais qu'en ce moment, il nous écoute, et que demain matin au plus tard, il sera mit au courant de ce qui viens de se dire, mais c'est voulu, parce que je veux que mon père l'apprenne, que jamais je ne me laisserai mener par le bout du nez. Voilà.
-que c'est mignon. Bien, merci pour l'information, mais je prendrai soin de vérifier tes dires par moi-même si tu n'y vois pas d'objection.
Harry tourna les talons mais Malefoy interompit son geste.
-Juste pour mettre un autre point au clair, ça ne veut pas dire que je suis avec toi.
-Ne t'inquiete pas Malefoy. C'est trop valorisant pour moi d'avoir un ennemi comme toi.
Ils se serrèrent brevement la main en échangeant un regard noir et meurtrier. En même temps, ils se sourirent, de façon démoniaque et cruelle, puis entrèrent dans la classe qui venait d'ouvrir.
Harry s'assied loin de Malefoy et celui-ci en fit de même, chacun à un leur place et attendirent patiemment l'entrer du profeseur.
-Harry ? Murmura Hermione qui semblait encore surprise par la scène qui venait de se jouer.
-Quoi ?
-Pourquoi tu as l'air aussi froid ?
-Parce que je suis froid Mione. Parce que c'est comme ça que je veux être.
-Ce n'est pas que je n'aime pas, mais ça me fait un peu peur.
-Tu n'as pas à avoir peur Mione. Je suis toujours moi, seulement, j'ai un peu changer. C'est tout.
Hermione n'insista pas et regada le tableau noir.
-Bonjour chers élèves ! S'exclama Mme Figg en entrant dans la classe. Je suis Arrabelle Figg, votre nouvelle professeure de défense contre les forces du mal.
Les élèves la regardèrent, Harry un peu froidement.
-Je me suis renseignée au près de Dumbeldore pour savoir où vous en étiez dans votre programme. Vous êtes légèrement en retard sur le programme mais je crois que nous réussirons tout de même à rattraper ce petit écart. Tout d'abord, je vais faire l'appelle, puis je vais commencer le cours avec quelques questions, pour savoir si vous êtes apte, oui ou non, à suivre le programme que je vous ai concocté pour cette année.
Un à un, Mme Figg fit l'appelle, en marquant une pose sur celui d'Harry.
-Je suis vraiment heureuse de te revoir Harry.
-l'émotion n'est pas très partagée. Répliqua Harry avec dédain.
La prof n'insista pas et fini les présences.
-Harry, pas la peine d'être si froid avec elle, elle a l'air gentille. Murmura Hermione.
-J'ai toutes les raisons du monde de lui en vouloir, tant qu'elle ne m'aura pas expliqué ce que je veux savoir.
Harry fusilla la professeure du regard. Celle-ci parut surprise de la soudaine anémiosité d'Harry et se promis de lui en parler, ainsi qu'a Dumbledore, cela va de soit.
-Bien, pour aujourd'hui, nous allons nous contenter de voir jusqu'où s'étende votre puissance magique.vous conaissez les auras ?
Les élèves aquiéssèrent plus ou moins certain.
-Très bien, quelqu'un peut-il me dire ce que c'est ?
Instinctivement, toutes les têtes se tournèrent vers Hermione qui parut gêné. Etrangement, elle n'avait pas levé la main.
-Heu, je n'ai pas terminé mon livre encore. Murmura-t-elle gênée.
Tout le monde la dévisagea mais personne ne souffla mot.
-Les auras sont l'équivalent de l'âme. Dit Malefoy d'une voix forte. Elles définissent notre puissance magique mais aussi notre façon d'utiliser la magie.
Harry regarda Malefoy qui lui sourit avec suffisance.
-Les auras sont propres à chaque personne ! Enchaîna Harry. Avec assez de puissance, on peut en modifié l'apparence, la concentrer ou la laissé se répendre autour. Les mages de guerres, pas les aurors, mais de vrais mages, on souvent tendance à la concentrer et, au bon moment, la relâche pour effrayer leur adversaire. Une aura très puissante peut aussi être un bon moyen pour repérer ses ennemis.
Malefoy fulminait. Harry lui lança un regard de défi et le blond détourna les yeux.
-Très bon, excellent Harry !
-M. Potter, je vous pris professeur. Lança Harry avec froideur.
Mme Figgs sembla surprise mais ne dit rien.
-J'accorde 20 points à chaque maison.
Le reste du cours se déroula tranquilement. Ils prirent des notes sur les différentes sortes d'auras ainsi que les sorciers ayant eut un bouclier d'effluve.
Harry écoutait le cours avec réticence. Il ne lui plaisait pas de voir son ancienne gardienne en connaître autant sur la magie.
Lorsque la fin du cours fut annoncer par le carillon habituel, Harry se leva mais une main se posa sur son épaule.
-J'aimerais te parler Harry.
Harry bailla paresseusement en ouvrant les yeux.
La nuit avait été particulièrement agitée mais il avait fini par regargner sa chambre au alentour de deux heures du matin et avait dormi comme un bébé jusqu'à . . . 8h30.
S'il ne se dépêchait pas, il allait arriver en retard. Hors donc, il se leva, s'habilla, sans prendre le temps de se doucher, puisqu'il avait pris un bain hier soir, où plutôt ce matin, et sorti à la course avec son sac sur les épaules, son super sac qui contenait tous ses livres et accessoir qu'il voulait garder avec lui.
Hermione l'attendait à la sortie du couloir avec Ron.
-Il était temps Harry. Tiens, voici ton horraire, on commence avec défence contre les forces du mal, le professeur Figg m'a l'air vraiment sympatique, et puis tu la connais déjà non ?
-Oui je la connais, et elle ferait bien d'avoir une bonne excuse. Merci Mione.
Harry pris son horraire et se dirigea vers la salle de classe.
-Tu ne vas pas manger ?
-J'ai pas faim, et puis je n'ai pas le temps.
Harry continua son chemin et arriva à la porte de la classe encore close.
-Pourquoi dis-tu qu'elle à besoin d'avoir une bonne excuse ? Demanda Ron qui arrivait derrière lui.
-Parce qu'elle à été ma babysitter pendant 10 ans, et que jamais elle ne m'avait dit qui j'étais réelement, et la vérité sur mes parents. Je n'aime pas qu'on me cache des choses, et c'est d'autant plus difficile quand c'est quelque chose d'aussi important, comme mes origines et ma vraie nature.
-Ta vraie nature, c'est celle d'un parfait idiot Potter.
-Ferme-la Malefoy ! Répliqua Hermione.
-Je t'ai pas sonné toi.
-Malefoy, pourquoi tu ne trouves pas d'autre souffre douleur pour une fois ? La défendit Ron.
-ce n'est pas à vous que j'ai à faire, mais avec lui. Répliqua Malefoy d'un ton sec.
-Quest-ce que tu me veux Malefoy ? Tu veux que je te casse le nez encore ? Ou que je ne t'envois manger la poussière une fois de plus ?
-Non, simplement te dire que tu ferais bien de te surveiller, parce qu'il y a un espion dans Poudlard qui te surveil. En fait, qui nous surveille tous.
-Et pourquoi tu me dis ça ? C'est ton père qui veut me faire peur ?
-Je suis peut-être arrogant et cruel Potter, mais je sais ce que veux dire le nom de Malefoy. Seulement, mon père lui, l'a oublié.
-Et pourquoi je te croirais ?
-Ne me crois pas Potter, c'est ton choix. Je ne suis pas homme de confiance, c'est vrai, je sais reconnaître mes qualités et mes défauts, mais je sais ce que je dit. Je sais qu'en ce moment, il nous écoute, et que demain matin au plus tard, il sera mit au courant de ce qui viens de se dire, mais c'est voulu, parce que je veux que mon père l'apprenne, que jamais je ne me laisserai mener par le bout du nez. Voilà.
-que c'est mignon. Bien, merci pour l'information, mais je prendrai soin de vérifier tes dires par moi-même si tu n'y vois pas d'objection.
Harry tourna les talons mais Malefoy interompit son geste.
-Juste pour mettre un autre point au clair, ça ne veut pas dire que je suis avec toi.
-Ne t'inquiete pas Malefoy. C'est trop valorisant pour moi d'avoir un ennemi comme toi.
Ils se serrèrent brevement la main en échangeant un regard noir et meurtrier. En même temps, ils se sourirent, de façon démoniaque et cruelle, puis entrèrent dans la classe qui venait d'ouvrir.
Harry s'assied loin de Malefoy et celui-ci en fit de même, chacun à un leur place et attendirent patiemment l'entrer du profeseur.
-Harry ? Murmura Hermione qui semblait encore surprise par la scène qui venait de se jouer.
-Quoi ?
-Pourquoi tu as l'air aussi froid ?
-Parce que je suis froid Mione. Parce que c'est comme ça que je veux être.
-Ce n'est pas que je n'aime pas, mais ça me fait un peu peur.
-Tu n'as pas à avoir peur Mione. Je suis toujours moi, seulement, j'ai un peu changer. C'est tout.
Hermione n'insista pas et regada le tableau noir.
-Bonjour chers élèves ! S'exclama Mme Figg en entrant dans la classe. Je suis Arrabelle Figg, votre nouvelle professeure de défense contre les forces du mal.
Les élèves la regardèrent, Harry un peu froidement.
-Je me suis renseignée au près de Dumbeldore pour savoir où vous en étiez dans votre programme. Vous êtes légèrement en retard sur le programme mais je crois que nous réussirons tout de même à rattraper ce petit écart. Tout d'abord, je vais faire l'appelle, puis je vais commencer le cours avec quelques questions, pour savoir si vous êtes apte, oui ou non, à suivre le programme que je vous ai concocté pour cette année.
Un à un, Mme Figg fit l'appelle, en marquant une pose sur celui d'Harry.
-Je suis vraiment heureuse de te revoir Harry.
-l'émotion n'est pas très partagée. Répliqua Harry avec dédain.
La prof n'insista pas et fini les présences.
-Harry, pas la peine d'être si froid avec elle, elle a l'air gentille. Murmura Hermione.
-J'ai toutes les raisons du monde de lui en vouloir, tant qu'elle ne m'aura pas expliqué ce que je veux savoir.
Harry fusilla la professeure du regard. Celle-ci parut surprise de la soudaine anémiosité d'Harry et se promis de lui en parler, ainsi qu'a Dumbledore, cela va de soit.
-Bien, pour aujourd'hui, nous allons nous contenter de voir jusqu'où s'étende votre puissance magique.vous conaissez les auras ?
Les élèves aquiéssèrent plus ou moins certain.
-Très bien, quelqu'un peut-il me dire ce que c'est ?
Instinctivement, toutes les têtes se tournèrent vers Hermione qui parut gêné. Etrangement, elle n'avait pas levé la main.
-Heu, je n'ai pas terminé mon livre encore. Murmura-t-elle gênée.
Tout le monde la dévisagea mais personne ne souffla mot.
-Les auras sont l'équivalent de l'âme. Dit Malefoy d'une voix forte. Elles définissent notre puissance magique mais aussi notre façon d'utiliser la magie.
Harry regarda Malefoy qui lui sourit avec suffisance.
-Les auras sont propres à chaque personne ! Enchaîna Harry. Avec assez de puissance, on peut en modifié l'apparence, la concentrer ou la laissé se répendre autour. Les mages de guerres, pas les aurors, mais de vrais mages, on souvent tendance à la concentrer et, au bon moment, la relâche pour effrayer leur adversaire. Une aura très puissante peut aussi être un bon moyen pour repérer ses ennemis.
Malefoy fulminait. Harry lui lança un regard de défi et le blond détourna les yeux.
-Très bon, excellent Harry !
-M. Potter, je vous pris professeur. Lança Harry avec froideur.
Mme Figgs sembla surprise mais ne dit rien.
-J'accorde 20 points à chaque maison.
Le reste du cours se déroula tranquilement. Ils prirent des notes sur les différentes sortes d'auras ainsi que les sorciers ayant eut un bouclier d'effluve.
Harry écoutait le cours avec réticence. Il ne lui plaisait pas de voir son ancienne gardienne en connaître autant sur la magie.
Lorsque la fin du cours fut annoncer par le carillon habituel, Harry se leva mais une main se posa sur son épaule.
-J'aimerais te parler Harry.