---» Chapitre 22 «---
Arrivée chez moi, je suis montée dans mon grenier, laissant ma mère avec la policière. Je n'étais pas prête à parler à personne.... sauf Matt, peut-être. J'allais l'appeler, pour m'excuser, quand j'ai entendu mon nom crié à la fenêtre. C'était lui, naturellement.
- Je m'excuse d'avoir quitté comme ça , ai-je dit.
- Ce n'est rien, mais je ne crois pas que ta mère m'apprécie beaucoup, dit-il en riant.
Comment pouvait-il en rire? C'était une de ces choses que j'aimais à propos de Matt... il pouvait trouver de quoi rire à la pire des situations.
- Alors... qu'est-il arrivé? demande Matt. Viens me le raconter.
- Je ne peux pas. Ma mère.... dis-je.
- Elle est avec la mère de Shane. Ne t'inquiète pas.
Après une courte hésitation, j'ai dit:
- OK, j'arrive.
Je suis descendue. La lune éclairait la cour. Je lui ai raconté l'histoire. La mort de mon père. Ses derniers mots.
- Il faut que je t'avoue... la première fois que je t'ai vu, je croyais que tu étais comme toutes les filles: une vie simple, sans obstacles, mais à se plaindre tout le temps quand même....
Je le frappe sur l'épaule pour ce qu'il vient de dire à propos des filles. Il rit doucement. J'aime tellement ce rire. Il me dit:
- Mais j'avais tort. Tu es différente. Je t'aime, Amy...
Il me regardait dans les yeux. Cette fois, je n'avais pas envie de m'enfuir.
- Je t'aime aussi.
Il m'a embrassé. C'était... magique. Cette fois, je n'avais pas "les émotions de travers". Je me sentais bien, c'est tout. Je réussissais presque à oublier que j'allais partir.
Lorsqu'il a arrêté, j'ai regardé ses yeux. À la pensée de le quitter, les larmes me sont montées aux yeux. Mais j'essayais de me retenir.Je ne voulais pas qu'il pense que j'étais faible et j'avais assez pleuré pour aujourd'hui. Il a murmuré:
- Ne te retiens pas avec moi.
J'ai pleuré un peu, puis il m'a ramené chez moi, m'embrassant devant la porte. J'avais peur que ma mère revienne de chez Shane et me prenne, mais ça valait la peine. On s'est quitté là, pour aller dormir.
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Je suis désolée pour l'allusion au fait que les filles sont plaignardes lol..... prenez-le avec de l'humour, les filles... ;o)
RuBis
Arrivée chez moi, je suis montée dans mon grenier, laissant ma mère avec la policière. Je n'étais pas prête à parler à personne.... sauf Matt, peut-être. J'allais l'appeler, pour m'excuser, quand j'ai entendu mon nom crié à la fenêtre. C'était lui, naturellement.
- Je m'excuse d'avoir quitté comme ça , ai-je dit.
- Ce n'est rien, mais je ne crois pas que ta mère m'apprécie beaucoup, dit-il en riant.
Comment pouvait-il en rire? C'était une de ces choses que j'aimais à propos de Matt... il pouvait trouver de quoi rire à la pire des situations.
- Alors... qu'est-il arrivé? demande Matt. Viens me le raconter.
- Je ne peux pas. Ma mère.... dis-je.
- Elle est avec la mère de Shane. Ne t'inquiète pas.
Après une courte hésitation, j'ai dit:
- OK, j'arrive.
Je suis descendue. La lune éclairait la cour. Je lui ai raconté l'histoire. La mort de mon père. Ses derniers mots.
- Il faut que je t'avoue... la première fois que je t'ai vu, je croyais que tu étais comme toutes les filles: une vie simple, sans obstacles, mais à se plaindre tout le temps quand même....
Je le frappe sur l'épaule pour ce qu'il vient de dire à propos des filles. Il rit doucement. J'aime tellement ce rire. Il me dit:
- Mais j'avais tort. Tu es différente. Je t'aime, Amy...
Il me regardait dans les yeux. Cette fois, je n'avais pas envie de m'enfuir.
- Je t'aime aussi.
Il m'a embrassé. C'était... magique. Cette fois, je n'avais pas "les émotions de travers". Je me sentais bien, c'est tout. Je réussissais presque à oublier que j'allais partir.
Lorsqu'il a arrêté, j'ai regardé ses yeux. À la pensée de le quitter, les larmes me sont montées aux yeux. Mais j'essayais de me retenir.Je ne voulais pas qu'il pense que j'étais faible et j'avais assez pleuré pour aujourd'hui. Il a murmuré:
- Ne te retiens pas avec moi.
J'ai pleuré un peu, puis il m'a ramené chez moi, m'embrassant devant la porte. J'avais peur que ma mère revienne de chez Shane et me prenne, mais ça valait la peine. On s'est quitté là, pour aller dormir.
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Je suis désolée pour l'allusion au fait que les filles sont plaignardes lol..... prenez-le avec de l'humour, les filles... ;o)
RuBis