My god ! que j'ai pris du temps ! ! ! mais, le voici, le voilà, le 14eme chapitre rien que pour vous ! ! !

chapitre 14

Il y eut un long silence quand Harry et Sirius empaquetèrent leurs affaires. Au fond, ils avaient aimés leur séjour en ville, mais les vacances de pâques touchèrent bientôt à leurs fins.

Harry conduisait vers l'aéroport et Sirius ne cessait de lui parler tandis qu'Harry portait son attention sur la route, ne voulant pas répondre aux questions de Sirius.

_ … de ton père Harry, dit Sirius, je ne veux pas que tu essayes de le sauver.

Harry grogna fort pour faire savoir à Sirius que cette idée ne lui était pas rentrée dans l'esprit.

_ Parce que Voldemort est fort.

_ Je sais.

_ Il est dangereux. Je sais que tu peux l'être aussi, mais ne fait rien. Sirius s'attendait à ce que Harry lui réponde par un sarcasme, mais il ne le fit pas, il continua alors. Ne pense pas pouvoir stopper Voldemort, laisse les professionnels s'en charger.

_ Sirius, je te rappelle que je ne fais pas exprès de le rencontrer, dit Harry.

_ Je sais, soupira Sirius. Mais je m'inquiète pour toi.

_ Ne le sois pas, je ne vais pas disparaître comme ça.

_ Comment le sais-tu ?

_ Je le sais, répondit Harry dans un haussement d'épaules.

_ Et quand ton père reviendra, Harry, je veux que tu fasses un effort et que tu sois agréable avec lui.

Harry ne dit rien.

_ C'est ton père.

_ Je sais.

_ Tu dois le traité comme …

_ La pourriture qu'il est ?

_ Harry !

_ Quoi ?

_ C'était amère comme réplique.

_ Ne me dispute pas, c'est toi qui a commencé .

_ Prends à gauche, nous devons rendre la voiture.


~ * ~ * ~ * ~ *

Sirius et Harry marchèrent dans l'aéroport et trouvèrent rapidement le café qu'ils cherchaient. Les moldus ne faisaient évidemment pas attention à eux, ils purent donc jeter la poudre de cheminette dans le feu sans se faire remarquer.

_ Je te verrai bientôt Harry , dit Sirius en le serrant dans une étreinte.

_ Tu ne viens pas avec moi ?

_ Je ne peux pas, déclara Sirius.

_ Bien, dit Harry, son cœur se resserrant peu à peu. Harry l'étreignit une seconde fois et se dirigea vers le feu en toussant.

_Zonko !


~ * ~ * ~ * ~ *

Il faisait nuit à pré au lard, et il n'y avait aucun professeur pour l'escorter. Heureusement pour lui, Harry eu le plaisir de trouver une calèche sans chevaux, attendant pour le prendre sur la colline.

Sans pensé une seconde, il ouvrit la porte et entra. La calèche n'était pas très confortable. Il regarda alors autour de lui. La fenêtre … il y avait des barreaux, le siège où il était assis ressemblait à de la pierre dure et … il y avait du foin sur le plancher ? Les murs qui l'entouraient était maintenant gris.

Quelque chose n'allait pas du tout.

Quelque chose bougea dans le foin, et Harry l'observa pour apercevoir deux chaussures. Ses yeux se levèrent, il y trouva alors un homme assis … c'était James.

Harry se leva d'un bond et alla vers la porte. Il saisi la poignée et essaya de l'ouvrir.

_ Libérez-moi ! s'écria Harry. Laissez-moi sortir !

Il observa avec horreur la poignée disparaître et des barreaux de fer apparaître.

Il n'y avait aucun son, pas même un son de roue sur les routes pavée. Les seuls bruit étaient les cris d'Harry.
Une voix calme le fit sursauter .
_ C'est inutile Harry, dit la voix, tu ferais mieux de venir t'asseoir.

Harry fit comme on le lui dit et s'effondra sur un banc. Il plaça sa tête dans ses mains en murmurant :

_ Stupide ! stupide ! stupide !

_ Tu n'es pas stupide.

Harry sursauta légèrement. Il avait oublié James.
_ Si, je le suis, répondit Harry. Je m'emmène toujours dans ces situations ! j'en ai marre putain.

_ Ne jure pas, coupa James. Il n'y a aucune raison.

_ Chut, je dois pensé, déclara Harry.

_ Bien.

_ Nous devons être dans sa maison, murmura Harry. J'en suis sûr.

_ La maison de qui ?

_ Tom Jedusor

_ La maison de Voldemort ?

_ Non, la maison de son père. Je suis déjà venu ici auparavant, répondit Harry. Enfin, pas tout à fait …

_ Je suis complètement mélangé, souffla James.

Harry ne dit rien, mais continua de marmonner pour lui même.

_ Harry, commença James, as-tu remarqué avec qui tu es en ce moment ?
_ Oui, j'ai remarqué que tu étais là. Oui, je vois que ton déguisement est parti, et je ne m'en soucie pas. Lança rapidement Harry. Arrête maintenant de pensé à ton échec comme père et viens m'aider à fondre ces barres.

James bondi .

_ Harry, ne touche pas à ça !

Trop tard. Il toucha les barres et reçu un choc énorme qui passa dans tout son corps. Il se retrouva sur le plancher.

Il prit conscience que quelqu'un le secouait.
_ Est-ce que tu vas bien ?

_ C'était plutôt inattendu.

James souri faiblement et lâcha Harry.

_ Bien, je connais peu de chose sur les cellules de prison, mais je sais qu'il y a toujours des barreaux que l'ont peu toucher.

_ Des barreaux qu'on peut toucher ?

_ Des barreaux qu'on peut toucher, confirma Harry. J'ai assez vu de film pour savoir que c'est vrai.

_ Que projettes-tu ?

_ Une évasion.

_ Oh, mon dieu.

Harry s'approcha donc des barreaux et passa un doigt sur chaque barre, se prenant un choc. Finalement, il se rendit à la dernière barre.

_ Et par élimination, c'est le barreaux que l'ont peu toucher, expliqua Harry. Il s'approcha et reçu un choc. Mais pas un gros, seulement un petit. Les barreaux disparurent révélant la poignée.

_ Tu vois ? dit Harry.

James le regarda avant de dire :

_ Je ne sais pas si tu es réellement intelligent ou si regardes juste trop la télévision.
Harry ne répondit rien à cela et leva sa baguette magique pour dire quelque chose. Une petite flamme rouge sorti du bout de sa baguette et il la dirigea vers la poignée, qui commença elle aussi à devenir rouge.

Soudain, il y eut un bruit fort.

_ Oh ! s'écria James en saisissant brusquement Harry pour l'éloigné de là où il était. Les gardes !

Un grand homme s'approcha de la cellule et regarda dedans. Harry se mordit les lèvres, essayant de ne pas échappé un cri perçant face à la douleur de sa cicatrice.

_ Oh Harry, lança une voix froide. Il semble que tu es finalement là.

Harry inclina la tête.

_ Tu devrais parlé mon garçon, dit Voldemort. Je ne peux pas t'entendre.
_ Alors mettez un appareil, proposa sarcastiquement Harry.

Voldemort le regarda :

_ Oserais-tu le répéter ?

_ Oubliez ça, soupira Harry. J'ai oublié quel incompétent vous faites.

_ Que de grands mots pour un si petit garçon, répliqua Voldemort. Endoloris !

Harry ne remarqua la baguette pointé sur lui pendant cette conversation. Il s'écroula alors sur le plancher dans un gros bruit en souffrant mais il refusa de laissé un cri s'échapper de ses lèvres. James hurla quelque chose au seigneur des ténèbres et saisi alors sa propre baguette pour crier :

_ FINITE INCANTATUM !

Le charme toucha Harry, qui se releva, tout tremblant. Sa lèvres saignait et il était sérieusement endommagé quand il répliqua :
_ Que c'est vieillot, vous le savez ?
_ J'en ai assez de voir tes lèvres bougé, garçon ! s'exclama Voldemort. Nous aurons une audience tous les deux, demain.

_ Audience ? hurla Harry à travers les barreaux. Cela signifie que je vais devoir chanter ?

James observa le garçon, qui, au bout de 5 secondes, changea de comportement, il laissa échappé un gémissement de douleur et trembla en retenant des sanglots.

_ Qu'est-ce qui t'arrives ? demanda James, peu confortable.

_ Ma … ma lèvres, dit Harry. Elle est … elle est …

_ Lumos, souffla James. Montre-moi.

Il dirigea la lumière sur Harry qui haleta. Sa lèvre inférieur était sérieusement blessé.

_ Harry, essaye s'il te plait de te tenir tranquille, sinon je ne pourrais pas être capable de bien voir ce qu'il y a, déclara James.

Harry respira à fond pour se calmer.

_ Voila, ça pourrait être assez blessé … continua James.
James toucha la lèvre d'Harry avec sa baguette magique et murmura rapidement quelque chose, ce qui fit hurler Harry. Sa lèvre était gravement atteinte, mais après quelques secondes, tout était normal.

_ Hum … souffla Harry. Merci.

_ Aucun problème.

Ils allèrent ensuite chacun dans leur coin. Harry s'allongea sur une chose très dure qui était supposé être un lit. Après un moment, il s'endormi, mais seulement pour avoir des cauchemars. Il remua et se tourna toute la nuit en murmurant des choses comme " non ! Cédric ! " et " Justin, soit prudent autour des serres ".

James l'écouta avec horreur. Il ne s'était jamais rendu compte pourquoi Harry était si irritable et il n'avait jamais tout à fait compris les choses qui étaient arrivées dans la vie d'Harry. Mais il n'avait jamais pensé aussi au fait qu'Harry a presque été tué chaque année depuis son entrée à Poudlard.
Soudain, Harry hurla et se releva aussitôt du " lit "

_ Est-ce que tu vas bien ?

_ Voldemort … il va faire venir Dumbledore demain, il va me faire venir avec lui et … Harry blanchi et se leva brutalement. Je dois sortir d'ici.
_ Que … Qu'est-ce qui va arrivé ? demanda James.

_ Des personnes vont mourir, murmura Harry. Demain du moins. Mais ça commence. La guerre commence.

_ Quelle guerre ?

_ La guerre entre le bien et le mal, dit Harry. Et il va commencé par … par …

_ Par quoi ? demanda James, redoutant la réponse.
_ Par me tuer, chuchota Harry.

~ * ~ * ~ * ~ *

Un chapitre pas très long, où j'ai pris du temps à traduire, mais faut dire que j'étais plus motivée par une autre fic ^__^. Donc, je répond à tous les rewiewers du dernier chapitre, c'est à dire, euh … une personne … lol ! plus une qui a rewiewer le 1er chapitre.

Marjolaine : vi vi, je continue, doucement, mai sûrement ! lol ! c'est vrai que c'est difficile de suivre les persos, vu que dans les livres de j.k et dans plusieurs potterfic', on les perçoit pas de cette manière, mais c'est ça qui est bien, c'est que c'est différent.

Nina :

Oui, c'est vrai que c'est un peu exagéré, mais je me répète, moi, c'est ça qui me plait dans cette fic ! c'est différent, elle ne ressemble pas aux autres du tout car Harry n'est pas vraiment Harry en fait. Ce n'est pas le même du tout, et il a un sale comportement. Mais je le dis tout de suite, si tu trouves Harry décevant, tu ne vas sûrement pas changé d'avis si tu lis les prochains chapitres. J'espère que tu les liras quand même (bah quoi, on, peu rêver, non ?)