Chapitre 15

_ Toi, garçon, gronda un garde le jour suivant. Viens ici.

Harry se leva donc de son lit et marcha vers la porte.

_ Que voulez-vous ?

_ C'est ton petit déjeuner, dit t'il alors qu'il faisait glisser quelque chose sous la porte. Deux boules de gruaux d'avoine se trouvaient sur un plateau.

_ Est-ce que c'est comestible au moins ? Demanda Harry au garde. Celui ci le regarda fixement.

_ Quoi ? dit t'il. Comment oses-tu poser cette question !

_ Et bien, je ne veux pas manger de la nourriture d'oiseau. Et c'est sûrement ce à quoi ça ressemble.

_ Ce sont des sablés.

_ Mouais, marmonna Harry. Je ne pourrais pas avoir quelque chose de meilleur ?
_ Tu peux ne rien avoir du tout si c'est que tu préfères !

_ D'accord alors, déclara James qui venait se s'éveillé. Harry, ferme ce trou et accepte l'alimentation.
_ Merci, dit Harry d'une fausse voix douce au garde alors qu'il prenait le plateau et donna un sablé à James.

Harry s'assit sur le lit inconfortable et regarda fixement les sablés tandis que James l'observait du coin de l'œil. Il semblait concentré sur la nourriture.

_ Qu'est-ce que tu fais ? Questionna James.

_ Rien dont tu pourrais te soucier, répondit Harry.

James soupira. La nuit avait apparemment rétabli la froideur d'Harry.

_ Bien.

_ Génial ! Murmura Harry. Il regardait toujours fixement la nourriture. Ils auraient pu au moins me passé autre chose. Quelque chose de comestible ! quelque chose dont je ne suis pas allergique aussi ! toast et beurre ! céréales de blé avec du lait ! Bifteck et pommes de terre !

James eut un petit rire et mordit dans son sablé.

_ Oeufs et bacon ! Gémi Harry. De chaque nourriture qu'il pouvait me passer .. des sablés ?

_ Mais de quoi parles-tu ? Demanda James.

_ De ma nourriture, dit Harry. Je suis allergique aux sablés. Je l'ai appris il y a quelques années chez les Dursley. Donc, je dois manger quelque chose que j'aime. Tout fou le camp. Il fronça alors les sourcils en regardant la nourriture.

James pensa un instant avant de dire :

_ Détestes-tu la vie que je t'ai laissé ?

Harry renifla :

_ Tu sais quoi ? Je crois que tu vas me rendre fou. Bien sûr que je la déteste !

_ Je suis vraiment désolé.

_ Je parie que tu l'es, dit catégoriquement Harry.

Il prit alors un morceau de sablé :

_ Retourne d'où tu viens ! ordonna t'il.

James ne vit pas qu'il parlait au sablé qui avait d'ailleurs disparu des mains d'Harry.
_ Je ne peux pas partir et je ne veux pas.
_ Je ne te parlais pas.

_Oh, très bien, répondit James, et la conversation s'arrêta là.

Quelques minutes plus tard, le garde passa la main dans l'ouverture pour récupéré le plateau et ouvrit ensuite la porte de la cellule.
_ Toi, garçon. Tu viens avec moi.

_ Non, je ne crois pas ! répondit Harry d'une voix forte.

Le garde avait déjà eu des prisonniers ennuyeux et têtu auparavant. Il ne dit donc aucun mot, saisi le poignet d'Harry et le tira hors de la cellule.
_ Lâchez-moi ! Hurla Harry. Lâchez-moi ! Lâchez-moi ! Lâchez-moi !

_ Ferme-là, répliqua le garde.
_ Seulement si vous me lâchez ! !

_ Sa y'est ! s'exclama le garde. J'en ai assez de toi ! Il saisi la manche de l'uniforme d'Harry et en arracha un bout pour ensuite bâillonner Harry.

_ Cela t'apprendra à ne pas te taire, continua t'il.

_ Je peux à peux prés mmhh mmhhler ou oh. Harry s'étrangla à moitié et le garde le menaçait de son poing pour obtenir le silence.

Ils montèrent maintenant l'escalier. Ils étaient vieux et poussiéreux et grinçaient sus le poids du garde et d'Harry. La cicatrice d'Harry commença soudainement à lui faire mal et une douleur comme il n'en avait jamais connu lui transperça le front. On pouvait également entendre des voix.

_ Où sont Harry et James, Tom ?

C'était Dumbledore ! Harry n'avait jamais pensé qu'il serait aussi heureux d'entendre la voix du vieil homme.

_ Dans un cachot, surveillé par un garde.

Dumbledore renifla tandis qu' Harry commença alors à faire le plus de bruit possible :

_ Aimdh muh ! aimdh muh !

_ Queuedver, va cherché la source de ce bruit, ordonna Voldemort alors qu'Harry continuait à hurler et à martelé ses pieds.

Peter sortit de la pièce et observa Harry, il blanchit et retourna précipitamment d'où il venait. Voldemort était assis sur son fauteuil préféré et la tête de Dumbledore flottait dans la cheminée. Peter se pencha alors vers son maître et lui chuchota quelque chose à l'oreille.

_ Damné ce garçon ! s'écria t'il en se levant.

Harry jeta un sale regard à son ennemi qui s'approcha de lui.

_ Je vwa vhum tuez mh !

_ N'y pense même pas, Potter, se moqua Voldemort. Nous savons tous deux que ça n'arrivera pas. Maintenant ton directeur voudrait … parlé avec toi.

Harry inclina la tête tandis que Voldemort baissait la voix :

_ Maintenant, je t'averti Potter. Si tu dis une seule chose qui soit fausse, tu seras puni. Tout ce que je te permet de dire et que vous êtes tous les deux vivants, qu'on vous alimente, et que tu es effrayé.

_ Mh ! Je ne muim pas effrayé !

_ Si tu l'es, dit Voldemort. Avery, débâillonne-le.

Le garde délia alors le bâillon et Harry se frotta la mâchoire.

_ Rappelle-toi, garçon, un seul mot de travers et …

Voldemort retourna ensuite dans la pièce.

_ Bien Dumbledore, je l'ai apporter pour vous, viens ici Harry.

Avery donna alors un coup de pied à Harry qui trébucha près de la cheminée.
_ Professeur Dumbledore ! s'écria Harry en tressaillant.

_ Remercie Dieu, tu es vivant. James l'est-t-il aussi ?

_ Oui.

_ Est-ce qu'ils vous nourrissent ?

_ Un peu, répondit Harry qui se reçu un coup de pied dans les tibias de la part d'Avery. Oui, ils nous nourrissent.

_ Où êtes-vous ?

_ Nous sommes à … Au …Harry essaya de se rappelé du nom, mais il échoua. Nous sommes loin, je ne sais pas. On est où j'étais pendant la troisième tâche.
_ ENDOLORIS ! !

Harry entendit le sortilège et tomba sur le planché, criant. Voldemort se mit alors à rire et l'agrippa.

_ Penses-tu que tu sois si intelligent maintenant, Harry ? J'espère que cela va t'apprendre à me désobéir. Garde, bâillonne-le de nouveau. Lie ses mains également.
_ Tu ne gagneras pas Tom, intervint Dumbledore toujours dans la cheminée alors qu'on traînait Harry hors de la salle.

~ * ~ * ~ * ~ *

Une semaine passa et aucun d'eux ne parlèrent vraiment. Harry savait pertinemment qu'essayé de touché aux barres de la cellule ne ferait rien désormais. Les gardes avaient manipulé toutes les barres et ils pouvaient les voir et les entendre à présent. Harry continua donc a tourné son sablé dans le bacon tandis que James était assis toute la journée, bougeant peu.

C'était donc d'ennuyeuse journées que tous deux passaient et leurs deux maigres repas n'aidaient en rien à leur changé les idées.

_ Harry, dit un jour James.

_ Quoi ?

_ Je pense que nous pourrions employé de ce temps pour parlé. Tu sais… de père en fils.

_ Tu n'es pas mon père, dit simplement Harry. Je ne te connais pas du tout et tu ne me connais pas. C'est désespéré de ne serais-ce qu'essayé. D'autant plus que nous n'arriverons pas a avoir de relation.

_ Nous commençons à avoir des relations.

_ Nous commençons à avoir des relations, répéta Harry en riant. Nous commençons à avoir des relations maintenant que nous sommes enfermés dans une cellule et c'est notre seul contact humain sauf Avery là bas qui est " si " causant. Il va falloir t'y faire Krikor.

_ Tu as raison, je le sais bien, répondit t'il. Mais tu peux m'appelé par mon prénom réel maintenant.

_ Je pense que j'aime bien Krikor, lança Harry. Il est adapté à ta personnalité. Sournois et débrouillard.

_ Dois-je le prendre comme un compliment ?

_ Non, dit Harry. Vois-tu où cette conversation nous mène ?

_ Non, où ?

_ Elle prouve que nous n'avons rien en commun.

~ * ~ * ~ * ~ *

_ LIBEREZ – NOUS ! Hurla Harry au visage d'Avery le jour suivant.

_ Ferme-là Potter.

_ Non sérieusement ! reprit Harry. LIBEREZ - NOUS !

_ Tu es perdant dans cela.

_ Peu être, dit Harry en croisant les bras tout en le fixant dans les yeux. Mais vous ne le saurez pas à moins que VOUS NOUS LIBERIEZ !

_ Oh, tu sortiras bientôt.

_ Avery, tout ce que je veux c'est un repas convenable avec un parchemin et peu être une plume, dit Harry.

Avery lança lui lança un regard noir. Il était évident qu'Avery détestait Harry, c'était évident, mais Harry ?

Ce dernier s'ennuyait tellement qu'il avait décidé de passé sa journée à ennuyé Avery.

_ Et que ferais-tu avec cette plume ?

_ Et bien, Harry commença alors à baissé sa voix dans un chuchotement. Promettez-moi de ne pas le dire, mais avec la plume, je commencerais à griffer un trou dans le ciment. Ce sera long. Cela pourrait prendre des mois, voir des années. Mais alors, un jour, le trou sera assez grand pour moi, et je pourrais m'y glissé. Et ce jour-là, je serais libre.

La voix d'Harry était maintenant devenue ferme et plus tranquille qu'Avery était obligé de se penché pour entendre ce qu'il disait.

_ Mais avant d'aller dormir, chaque nuit, je dissimulerai le trou avec le parchemin et un peu de terre. Et personne ne saura jamais comment je m'y suis pris. A moins que vous ne m'épargniez quelques ennuis et que VOUS NOUS LIBERIEZ DE CETTE CELLULE !

Avery se maudit et emmena ses oreilles loin des barres de la cellule.

_ On viendra bientôt te voir.

_ Bien ! s'exclama Harry. Mais que me feront-ils ? me jeté dans une cellule pour ne jamais m'en libéré ? … oh attendez. C'est déjà fait ça.

Avery s'éloigna alors.


~ * ~ * ~ * ~ *

Voldemort réfléchissait. Dumbledore saurait tôt ou tard ou il était caché et il n'avait pas assez de potentiel pour le retenir tout de suite. Il développa donc un plan.

_ Nous devons nous débarrassé d'eux, dit Voldemort.

_ Les tués ? Lança Avery. Vous voulez les tués ?

_ Je pensais tué James.

_ Allez-vous juste tué James ?

_ Avant cela, je veux qu'il voit Harry mourir.

_ Vous allez tué le garçon ?

_ Pour sûr, répondit Voldemort avec un petit sourire flottant sur ses lèvres. Va me chercher Harry, maintenant.


~ * ~ * ~ * ~ *

Harry s'assit sur le lit dur et regarda James qui pouffait de rire dans son coin.

_ Je ne pouvais souhaité un meilleur camarade de cellule.

_ Et bien ce n'est pas réciproque, déclara Harry.

_ Pourquoi cela ?

_ Tu ronfles, dit Harry.

_ Oh.

_ Et tu baves.

_ Je vois.

_ Et tu as la mauvaise habitude de …

_ C'est bon j'ai compris, hurla James.

_ …Parlerdanstonsommeil, fini rapidement Harry tandis que James le regardait fixement. Harry lui répondit par un sourire innocent.

_ Tu peux être réellement agaçant parfois, tu le savais ? Demanda James, soupirant alors qu'il fixait le plafond.

_ On me disait toujours que je suis comme mon père, renifla Harry.

James sourit, mais Harry ne le vit pas.

_ Tu as reconnu que j'étais ton père.

A ces mots, Harry feint de ne pas l'avoir entendu tandis qu'un nouveau son leur parvint aux oreilles. Avery riait avec malveillance alors qu'il entrait dans la cellule avec violence.

_ Pourriez vous arrêté de rire comme une hyène ? Questionna James.

_ Bon point, admit Harry.

_ J'apprend mieux, répondit James en clignant de l'œil.

_ Aaah … l'amour entre père et fils, c'est si doux que je vais me lancé la dedans moi aussi. Il commença alors à s'approcher d'Harry et le saisi par l'épaule.

_ Avance-toi maintenant. Le maître a quelques … projets pour toi.

Harry s'échappa facilement de la poigne d'Avery avant de dire :

_ Dites-lui que le programme est annulé. Je ne vais pas n'importe où près de lui.

_ Tu n'y penses pas, n'est-ce pas ? dit paresseusement Avery. Il reprit ensuite le poignet d'Harry et commença à le tirer, et cette fois-ci, Harry ne parvint pas à s'y échappé.
_ Parce que, continua Avery, son vocabulaire consistait à " endoloris " " je vais te punir " et " je t'aurais Harry Potter ".

_ Et vous êtes son petit chien, ajouta légèrement James d'une voix haute.

A cette phrase, Harry se mit à rire. Peu importe qu'il ne voulait pas rire, c'était sa chance de pouvoir se détaché de la prise de son agresseur. Mais Avery le saisi par le ventre.

_ Hey Avery ! s'exclama Harry. Je riais, je ne suffoquai pas. Pouvez-vous enlevé vos bras s'il vous plait ?

_ Tu viens avec moi, dit Avery. Tu es impossible …

_ Je pense, dit Harry en cherchant avery des yeux. Oui.

Harry souleva alors sa jambe et lui donna un coup de pied bien placé.

Avery gémit tandis qu'Harry trébucha vers l'autre côté de la cellule, mais le garde robuste se remit rapidement sur pied.

_ C'était un peu au-dessous de la ceinture là ! prévint Avery.

_ Littéralement, dit faussement Harry, alors que James riait doucement.

Avery, lui, ne riait pas et s'avança rapidement. James oublia aussitôt la petite plaisanterie, ayant une seule idée en tête : protégé Harry et se placé devant lui.

_ Es-tu stupide ? Demanda Harry.

_ Tout à fait, répondit James entre ses dents.

Avery profita de cet instant pour frappé James et saisir Harry brutalement.

_ NE POUVONS NOUS PAS REVOIR TOUT CELA? Hurla Harry. POURQUOI NE POURRIONS-NOUS PAS JUSTE ÊTRE AMIS ?

James se releva, et ne fit pas attention aux paroles d'Harry. Il fonça alors dans l'estomac du mangemort qui se déplaça à peine. Ce qui ne l'empêcha pas de ne pas apprécier le geste, car il leva le bras et rejeta James qui tomba sur le plancher. Et cette fois-ci, il ne se releva pas.

_ Papa ! ! pleura Harry alors que le garde riait vilainement tout en entraînant Harry avec lui, fermant la porte de la cellule dans un boom répercutant.

Voilà un nouveau chapitre ! ! je l'ai ENFIN traduit ! ! je suis désolé du temps que ça a pris et il est pas super bien traduit en plus, j'essayerai de m'amélioré au prochain et j'espère prendre moins de temps quand même, car ça va faire 2 mois …

Enfin bon, voilà, c'est dit et je répond au rewiew :

Miss maraudeuse : Tu as aimé l'autre ? et ben, j'espère que ça a été pareil pour celui là, qui est assez bizarre … Celui est tout aussi court en plus, mais ça, on va pas dire que c'est ma faute ! ! lol !

Et merci. Bizz', je t'adore ! !

Katleen Potter : C'est vrai qu'il est différent, mais c'est vrai qu'il est bien comme ça, enfin, je trouve qu'il est bien dans cette fic, même si des fois c'est pas tout à fait ça …

Thunder light : ok, je continue, même si je vais vachement longtemps, je finirais de la traduire ! et perso, je trouve pas que c'est super ben traduit, en tout cas, pour ce chapitre là.

hermione88106 : hello ! ! ! merci, mais je reprécise quand même que c'est pas ma fic, je suis juste la traductrice, et ne t'inquiète pas, je continue, même si je prend du temps. Et pour ta question : à quand la suite, et ben, la voilà ! lol !

Ari : salut à toi aussi ! wouahou ! ! ! tout ce que tu m'as dit ça m'a profondément touché. Je t'ai fait aimé lire ? oh, j'suis contente ! ^__^. En tour cas, merci beaucoup, sa me fait plaisir que tu aimes ce que je fais.

Flufy : oh, tu voulais que j'aile vite, je suis désolé, parce que question vitesse, ça a pas été ça avec cette fic … en tout cas, merci

Nina : à bah sa va alors, lol ! remarque, même si tu continues pas à lire, je t'en voudrais pas. Et là, Harry, dans ce chapitre, il est tout autant sarcastique et arrogant.

Voilà ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! et en fait, je sais pas si je l'avais dit, mais tadariada avait dit qu'elle ne ferai pas de suite, mais en fin de compte, il y'en a une " witness ". Mais sa fait longtemps déjà , depuis juillet, par contre elle est pas fini.