Disclaimer : Le même blabla habituel.
C'est l'avant-dernier chapitre : romance et « licenciement » !!
Chapitre 13 : L'après-match
Maya quitta la chambre à 9 heures, pendant que les garçons faisaient leur grasse matinée. Elle se rendit chez elle, son sac dans une main, son panda dans l'autre. Elle frappa à la porte avec son coude. Sa mère ouvrit.
Maman : Ma chérie ! Mais pourquoi frappes-tu à la porte pour entrer dans ta propre maison ?
Maya : Maman, j'ai les bras chargés. Est-ce que Papa est là ?
Sa mère la débarassa et l'embrassa fort en lui souhaitant la bienvenue. Maya alla dans le salon et embrassa son père.
Maya : Tu n'es pas au travail ?
Papa : Je vais partir bientôt. Ta mère et moi avons suivi la finale à la télé. Tu as été sensationnelle et je suis fier de t'avoir légué Tyler. Tu as fait des miracles avec lui.
Maya : C'est Chef qu'il faut féliciter, il a arrangé ma toupie.
Elle leur montra sa toupie.
Maman : C'est vrai que c'est une belle toupie, maintenant. Les deux anneaux d'attaque confèrent une grande puissance à Tyler.
Maya : Je vois que tu t'es aussi mise au Beyblade.
Maman : Et oui !
Papa : Mr Dickenson nous a parlé de votre prochain voyage. C'est génial, tu vas voir plein de pays et te faire de nouveaux amis !
Maya : Oui, on va d'abord passer au Japon et ensuite on partira à Paris, le tournoi mondial a lieu là-bas.
Papa : Bonne chance, mon ange. Bon, je vais être en retard au boulot, j'y vais.
Maya : Salut, P'pa !
Après le départ de son père, elle monta dans sa chambre avec sa mère pour préparer sa prochaine valise. Elles regardèrent ensemble les affaires de Maya, celles qu'elle emmènerait et celles qu'elle laisserait. Le tri fait, sa mère laissa Maya les ranger pendant qu'elle ferait ses gâteaux préférés.
Alors qu'elle chauffait le four, on sonna à la porte. Elle alla ouvrir.
Maman : Ray ?
Ray : Bonjour, Madame. Excusez-moi de vous déranger. Est-ce que Maya est là, s'il vous plaît ?
Maman : Bien sûr, entre. Je vais l'appeler.
Ray : Non, je voudrais lui faire une surprise.
Maman : Très bien, tu peux monter. Elle est en train de préparer sa valise. C'est la première chambre à droite.
Ray : Merci, Madame.
Maman : De rien, mon grand.
Elle retourna dans la cuisine. Ray monta les marches de l'escalier. Il passa devant la chambre ouverte de Maya. Elle était de dos et finissait de plier sa dernière veste et de la ranger dans sa valise. Elle la ferma sans trop de difficulté. Elle mit son panda sur la valise. Ray frappa à la porte.
Maya : T'as vu, Maman ? J'ai réussi à fermer. . .
Elle se retourna, elle ne s'attendait pas du tout à voir Ray sur le pas de sa porte.
Maya : . . . ma valise. Qu'est-ce que tu fais là, Ray ?
Ray : Bonjour. Il fallait que je te voie pour parler.
Maya pense : Mince.
Maya : Ça ne pourrait pas attendre ?
Ray : Non.
Maya se leva, elle fut forcée d'accepter. Ray ferma la porte derrière lui.
Maya : De quoi veux-tu qu'on parle ?
Ray : Hier au tournoi, pourquoi m'as-tu embrassé ?
Maya : Ecoute, j'étais vraiment trop contente pour réfléchir à quoi que ce soit. Je ne l'ai pas fait exprès. Je t'ai embrassé parce que. . . parce que j'en avais envie.
Ray : Poutant, je suis au courant des sentiments que tu as pour Kai, je ne voudrais pas que tu t'égares.
Maya : Pardon ?
Ray : Tu as des sentiments pour Kai.
Maya : Oh non, tu es la deuxième personne qui se trompe à mon sujet. Pourtant, je n'ai rien fait pour ça !
Ray : Et qui était la première personne ?
Maya : Kai. Il était persuadé que j'étais amoureuse de lui mais ce n'était pas le cas. Je l'admire beaucoup, c'est tout. C'est arrangé, maintenant.
Ray : Que lui as-tu répondu, ensuite ?
Maya : Que j'aimais quelqu'un d'autre.
Ray ressentit un pincement au coeur. Maya se fit de plus en plus hésitante.
Maya : Si tu veux. . . Je pourrais te dire de qui il s'agit.
Ray voulait le savoir même s'il devait avoir mal au coeur. Il devait être fixé.
Maya : Euh. . . C'est. . . Zut, pourquoi c'est aussi dur ?
Ray : Dis-le d'un trait.
Maya : D'accord. C'est toi que j'aime, Ray !
Elle se laissa tomber sur son lit et sembla soulagée d'un grand poids.
Maya :Ça y est, je l'ai dit !
Ray ne bougea pas, il se contenta de la fixer de son regard de lynx. Lentement, il s'approcha d'elle, il prit son visage entre ses mains et posa doucement ses lèvres sur les siennes. Ce fut un baiser d'une douceur inouïe, tellement doux que Maya en fut bouleversée. Il s'écarta lentement, leurs visages étaient si près qu'ils pouvaient sentir leurs souffles chauds leur caresser les joues.
Ray : Je m'en veux de ne pas t'avoir dit plus tôt ce que j'éprouvais pour toi.
Maya : Je ne t'en veux pas, Ray. Je ne pourrais en vouloir à celui que j'aime.
Ray sourit, il l'embrassa encore une fois. Ce baiser se fit plus profond que le précédent. Elle se leva, noua ses bras autour de son cou tandis qu'il l'enlaçait par la taille. La porte s'ouvrit.
Maman : Les enfants. . .
Ils se dégagèrent violemment des bras l'un de l'autre.
Maya : Maman ?
Maman : Je vois, cela devait bien arriver un jour.
Maya : Maman. . .
Maman : Je n'ai rien à dire, ton choix s'est porté sur Ray. Je suis sûre qu'il est un gentil garçon. Entendons-nous bien, jeune fille, ton père doit être au courant.
Maya sourit.
Maya : D'accord.
Maman : Et toi, Ray, si tu lui fais de la peine, tu n'auras pas fini d'entendre parler de moi.
Ray sourit à son tour.
Ray : Ça n'arrivera pas.
Maman : Bien, tout est réglé. Les gâteaux sont prêts à être mangés.
Maya et Ray y allèrent ensemble main dans la main.
Ils rentrèrent à l'hôtel, Maya traînait une autre valise derrière elle, tandis que Ray portait son panda pour elle.
Max : Eh, salut vous deux !
Ils virent Max, Kai et Kenny mais pas Tyson.
Maya : Où est Tyson ?
Kenny : Il dort encore.
Ray : Il peut se le permettre vu que le tournoi américain est terminé.
Kai : Ce n'est pas une raison pour se relâcher de cette façon.
Tyson sortit de la chambre en s'étirant et en bâillant.
Tyson : Ah, ça faisait longtemps que je n'avais pas autant dormi. Oh, mais qu'est-ce que je vois là ?
Il s'approcha curieusement des nouveaux arrivants.
Tyson : Depuis quand vous vous tenez par la main ?
Ils devinrent écarlates. Ils se lâchèrent la main.
Ray : Pourquoi, ça te gêne ?
Maya : Je vais poser ma valise.
Elle se dirigeait vers la chambre quand Ray l'appela.
Ray : Tiens, ton panda.
Elle le prit et alla dans la chambre. Tyson fixa Ray.
Ray : Pouquoi tu me regardes comme ça ?
Tyson : Dis-moi tout, il y a quelque chose entre Maya et toi, hein ?
Max : Enfin, Tyson, tu sais bien qu'il n'y a que Kai qui compte pour Maya.
Kai : Hhum !
Ray murmure : Je ne suis pas le seul à m'être trompé.
Bien qu'il avait murmuré cela, toutes les personnes présentes tournèrent la tête vers lui.
Ray : Quoi ?
Kenny : Tu peux répéter ce que tu viens de dire ?
Maya sortit de la chambre.
Maya : Il a dit qu'il n'était pas le seul à s'être trompé.
Max : A quel sujet ?
Elle soupira.
Maya : Vous tous ici, faites la même erreur. J'ai l'impression de me répéter, c'est lassant.
Kenny : Pourrais-tu être plus précise ?
Maya : Je n'aime pas Kai, c'est juste de l'admiration que j'ai pour lui mais en aucun cas je suis amoureuse de lui. J'aime une autre personne.
Tyson : Et c'est Ray.
Maya : Ah, enfin quelqu'un qui a compris ! Merci Tyson.
Ainsi, tout le monde comprit que Ray et elle étaient ensemble, ils se réjouirent pour eux. Tyson remarqua au passage que Kai était plus fait pour le Beyblade que pour n'importe quelle fille sur Terre.
Après le déjeuner, les Bladebreakers se rendirent au President, l'hôtel où résidaient les Kings. Kimberly les attendait dans le hall. Elle accourut quand elle les vit arriver.
Kimberly : Salut, les champions ! Vous êtes là tôt. Suivez-moi, Owen et les autres nous attendent.
Ils empruntèrent les ascenseurs jusqu'au douzième étage. Tyson examina les lieux.
Tyson : Votre hôtel est plus grand que le nôtre, c'est pas juste.
Kai : Laisse ta jalousie de côté, Tyson.
Kenny : Et c'est reparti.
Kimberly : Qu'est-ce qui est reparti ?
Max : Kai et Tyson, ils n'arrêtent pas de se bouffer le nez, comme le dit Maya.
Maya : Cette expression vient de chez moi.
Kimberly : Elle est marrante.
Ray : Si on avait eu Walter dans notre équipe, ça aurait été pire.
Tyson : Que veux-tu dire ?
Ray : Walter aurait passé son temps à critiquer Kai qui aurait fait une crise de nerfs.
Tyson : C'est vrai, Kai ?
Kai : Je ne suis pas du genre à supporter quelqu'un que je n'apprécie pas. Et mon calme a des limites.
Kimberly : Finalement, c'est bien que vous ayiez rencontré Maya.
Max : On l'aime bien, notre Maya. Et tout particulièrement Ray !
Maya : Max !
Ray soupira, l'air désespéré.
Kimberly : On est arrivé, c'est là.
Elle ouvrit la porte. Les Bladebreakers découvrirent une grande pièce, leur suite était immense.
Max : Tyson, je crois que t'as des raisons d'être jaloux, là. C'est énorme.
Owen les accueillit.
Owen : Asseyez-vous, je vous en prie.
Tout le monde prit place autour d'une grande table. Le thé et les biscuits étaient disposés sur un plateau. Walter, qui était présent à la demande d'Owen, fixait Maya d'un regard méprisant. Celle-ci sentait ses yeux bruns peser sur elle, elle se sentit de plus en plus gênée. Kimberly distribua les tasses et versa le thé pour chaque personne. Ils la remercièrent tous, sauf Walter.
Rick : Alors, le tournoi mondial, vous le sentez comment ?
Tyson : Ça va être du gâteau, on va tous les massacrer !
Kai : Arrête de t'exciter, Tyson et réfléchis un peu. Le championnat du monde est réservé aux meilleurs, aux groupes d'élite, les perdants n'ont pas leur place parmi eux. Ce n'est pas comme au tournoi national où tout était trop facile.
Max : Ce que Kai vient de dire est tout à fait juste. Le moindre faux pas et nous sommes tous éliminés.
Owen : Vu sous cet angle, ça fait un peu peur, mais c'est une raison de plus pour se donner à fond.
Tom : Surtout, ne sous-estimez jamais vos adversaires, ça pourrait se retourner contre vous.
Tout le monde ici savait que Walter en avait fait les frais durant la finale.
Tom : Vous allez faire quoi après l'Amérique ?
Kenny : Nous allons rester ici encore quatre jours, ensuite on retournera au Japon pour nous préparer psychologiquement à la France.
Rick : Le Japon ? C'est votre pays d'origine ?
Tyson : Moi, oui. Chef et Max aussi, mais ce n'est pas le cas pour les autres.
Maya : Je suis new-yorkaise et ma mère est chinoise.
Ray : Je suis chinois, j'ai été dans les White Tigers avant de venir au Japon.
Rick : Les White Tigers !
Tom : Monsieur est un fan.
Rick : S'il te plaît, accorde-moi un autographe !
Ray : Euh. . . si tu veux.
Owen : Et toi Kai, d'où viens-tu ?
Kai : Je suis australien.
Kenny : Et quand tu es venu au Japon, tu as fondé ta propre bande, les Bladesharks.
Kai : Je ne vois pas en quoi ça te regarde.
Kenny : Désolé.
Tyson : Eh oh, relax Kai ! Chef est curieux de nature, tu le sais bien.
Kai : Hhum ! Ça va.
Owen : Je vois, tu n'aimes pas révéler ton passé.
Kai : Non.
Ils passèrent un bon moment à parler de Beyblade, du tournoi asiatique et d'autres choses. Kai ne prenait la parole que rarement. Quant à Maya, à chaque fois qu'elle levait les yeux, elle rencontrait le regard furieux de Walter. Elle ne supportait plus cette situation qui finit par la mettre hors d'elle. Elle frappa ses mains sur la table et se leva d'un bond.
Maya : Eh Walter ! Pourquoi tu me fixes de la sorte ? C'est quoi ton problème ?
Walter : C'est toi, mon problème !
Maya : Si tu es mauvais perdant, il ne fallait pas te lancer dans le Beyblade ! Tu ne supportes pas ta défaite. C'est décevant de la part d'un beybladeur digne de ce nom !
Walter : Répète un peu pour voir !
Walter se leva à son tour, Owen fit de même.
Owen : Walter, il suffit ! Je ne saurais tolérer cette attitude plus longtemps !
Walter : Mais Owen, elle. . .
Owen : Plus un mot ! D'ailleurs, parlons un peu de toi. Depuis quand proposes-tu des marchés à tes équipiers potentiels ?
Walter : De quoi parles-tu ?
Owen : Tu sais très bien de quoi je veux parler. Tu as proposé à Kai un duel et en cas de victoire, tu serais devenu le capitaine des Bladebreakers, c'est vraiment honteux de ta part !
Walter : Qui t'a parlé de ça ? C'est cette Maya. . .
Owen : Arrête de chercher des excuses. Tu ne supportes pas le fait que, maintenant tu n'es plus rien, depuis la métamorphose de Tyler. Je n'ai pas l'intention de garder quelqu'un avec un esprit aussi étroit. Ta carrière de beybladeur est terminée ! Tu es viré !
Walter serra les poings, furieux d'avoir été traité ainsi.
Walter : Très bien, tu fais ce que tu veux. Mais ne viens pas pleurnicher pour me reprendre !
Owen : Je n'ai aucunement l'intention de te reprendre.
Walter : Tu as tort, tu ne sais pas ce qu'il en coûte de virer un beybladeur de ma qualité ! Tu t'en mordras les doigts !
Il s'en alla en claquant la porte derrière lui. Owen et Maya se rassirent calmement.
Tyson : Ce qu'il est nerveux ! J'ai jamais vu ça !
Maya : Arrêtons de parler de lui, je suis encore sur les nerfs.
Ils passèrent à un autre sujet de conversation. Tyson glissa lentement sur Ray et Maya.
Tyson : Vous saviez que Ray et Maya étaient ensemble depuis ce matin ?
Ray et Maya : Tyson !
Tyson : Pouquoi le cacher quand vous êtes heureux ? Faites comme Owen et Kimberly !
Kimberly : Comment c'est arrivé ?
Maya : Je lui ai dit que je l'aimais, c'est tout.
Ray : Ça, c'était après que ta mère m'ait laissé monter dans ta chambre.
Max : Je comprends mieux, c'est arrivé quand tu étais chez toi, ce matin.
Maya : C'est ça.
Tom : Quel dommage, pour une fois qu'une jolie fille me plaisait !
Owen : Ne sois pas malheureux. De toute façon, elle sera heureuse avec ou sans toi.
Tom : Tu as raison. Ce qui compte avant tout en amour, c'est le bonheur de l'autre.
Ils discutèrent ainsi pendant encore deux bonnes heures. En fin d'après-midi, Kenny proposa de rentrer. Tout le monde se leva.
Owen : Merci d'être venus.
Tyson : Merci à vous.
Ils se serrèrent tous la main. Les Kings souhaitèrent bonne chance aux Bladebreakers pour le tournoi mondial. Ils repartirent vers leur hôtel.
Maya : Ils sont vraiment sympas, d'un fair-play à toute épreuve. Ils vont me manquer quelque part.
Ray : Maintenant, notre objectif, c'est le championnat du monde.
Max : Ce serait bien de profiter de New-York pendant les quatre jours qu'il nous reste.
Kenny : C'est une bonne idée. Surtout que pendant le tournoi américain, on n'a pas eu le temps de tout visiter.
Maya : Demain, c'est le jour de congé de mon père, on pourrait faire un pique-nique dans le parc avec mes parents et Mr Dickenson !
Tyson : Bonne idée, avec ton père, on peut parler de Beyblade à longueur de temps.
Maya : Ma mère aussi, elle s'y est mise.
Tyson : Chouette, ça va être cool !
Maya : C'est réglé ! J'appelle mes parents en rentrant.
L'avant-dernier chapitre est terminé !! J'ai adoré quand Owen a viré Walter, pas vous ? Et puis Ray et Maya, ils sont trop mignons, ces deux- là !!! N'hésitez pas à me donner vos impressions surtout !!
Rei kon : Voilà, t'es contente de ce qui arrive à Walter ? Enfin, pour moi, il a eu sa dose (bien que j'ai été quand même trop gentille. . . ^_^).
Ewan421 : Ray et Maya sont trop mignons, je suis tout à fait d'accord avec toi, dans ce chapitre plus que dans les autres. J'espère qu'il t'a plu. D'ailleurs, je n'en ai pas fini avec eux, vu qu'ils seront dans ma prochaine fic bientôt en ligne.
Shiny : Merci pour tes compliments ! J'apprécie, au moins, tu ne te perds pas dans les descriptions de mes matches, parce que Etoile du soir, des fois, elle comprend rien et ça me décourage. . . Chez toi aussi, t'as droit aux rediffusions ? En France aussi, on en est à la troisième redif, alors ça fait un peu long et ça devient vite énervant.
Merci à toutes les lectrices qui m'en font part depuis le début de cette fic !!
Pour m'écrire un mail : minhou@club-internet.fr
Titre du prochain chapitre : En route pour le Japon. C'est une sorte d'épilogue à cette histoire, ce sera une fermeture aux aventures de Maya au sein des Bladebreakers !! Mais pour ceux à qui elle va manquer, elle reviendra dans la suite : Beyblade : Le championnat du monde. Bien sûr, elle ne sera plus l'héroïne principale. Pour ce rôle, j'ai choisi quelqu'un d'autre que vous découvrirez quand j'aurai mis la suite en ligne sur le site. @+++ dans le prochain chapitre !!
C'est l'avant-dernier chapitre : romance et « licenciement » !!
Chapitre 13 : L'après-match
Maya quitta la chambre à 9 heures, pendant que les garçons faisaient leur grasse matinée. Elle se rendit chez elle, son sac dans une main, son panda dans l'autre. Elle frappa à la porte avec son coude. Sa mère ouvrit.
Maman : Ma chérie ! Mais pourquoi frappes-tu à la porte pour entrer dans ta propre maison ?
Maya : Maman, j'ai les bras chargés. Est-ce que Papa est là ?
Sa mère la débarassa et l'embrassa fort en lui souhaitant la bienvenue. Maya alla dans le salon et embrassa son père.
Maya : Tu n'es pas au travail ?
Papa : Je vais partir bientôt. Ta mère et moi avons suivi la finale à la télé. Tu as été sensationnelle et je suis fier de t'avoir légué Tyler. Tu as fait des miracles avec lui.
Maya : C'est Chef qu'il faut féliciter, il a arrangé ma toupie.
Elle leur montra sa toupie.
Maman : C'est vrai que c'est une belle toupie, maintenant. Les deux anneaux d'attaque confèrent une grande puissance à Tyler.
Maya : Je vois que tu t'es aussi mise au Beyblade.
Maman : Et oui !
Papa : Mr Dickenson nous a parlé de votre prochain voyage. C'est génial, tu vas voir plein de pays et te faire de nouveaux amis !
Maya : Oui, on va d'abord passer au Japon et ensuite on partira à Paris, le tournoi mondial a lieu là-bas.
Papa : Bonne chance, mon ange. Bon, je vais être en retard au boulot, j'y vais.
Maya : Salut, P'pa !
Après le départ de son père, elle monta dans sa chambre avec sa mère pour préparer sa prochaine valise. Elles regardèrent ensemble les affaires de Maya, celles qu'elle emmènerait et celles qu'elle laisserait. Le tri fait, sa mère laissa Maya les ranger pendant qu'elle ferait ses gâteaux préférés.
Alors qu'elle chauffait le four, on sonna à la porte. Elle alla ouvrir.
Maman : Ray ?
Ray : Bonjour, Madame. Excusez-moi de vous déranger. Est-ce que Maya est là, s'il vous plaît ?
Maman : Bien sûr, entre. Je vais l'appeler.
Ray : Non, je voudrais lui faire une surprise.
Maman : Très bien, tu peux monter. Elle est en train de préparer sa valise. C'est la première chambre à droite.
Ray : Merci, Madame.
Maman : De rien, mon grand.
Elle retourna dans la cuisine. Ray monta les marches de l'escalier. Il passa devant la chambre ouverte de Maya. Elle était de dos et finissait de plier sa dernière veste et de la ranger dans sa valise. Elle la ferma sans trop de difficulté. Elle mit son panda sur la valise. Ray frappa à la porte.
Maya : T'as vu, Maman ? J'ai réussi à fermer. . .
Elle se retourna, elle ne s'attendait pas du tout à voir Ray sur le pas de sa porte.
Maya : . . . ma valise. Qu'est-ce que tu fais là, Ray ?
Ray : Bonjour. Il fallait que je te voie pour parler.
Maya pense : Mince.
Maya : Ça ne pourrait pas attendre ?
Ray : Non.
Maya se leva, elle fut forcée d'accepter. Ray ferma la porte derrière lui.
Maya : De quoi veux-tu qu'on parle ?
Ray : Hier au tournoi, pourquoi m'as-tu embrassé ?
Maya : Ecoute, j'étais vraiment trop contente pour réfléchir à quoi que ce soit. Je ne l'ai pas fait exprès. Je t'ai embrassé parce que. . . parce que j'en avais envie.
Ray : Poutant, je suis au courant des sentiments que tu as pour Kai, je ne voudrais pas que tu t'égares.
Maya : Pardon ?
Ray : Tu as des sentiments pour Kai.
Maya : Oh non, tu es la deuxième personne qui se trompe à mon sujet. Pourtant, je n'ai rien fait pour ça !
Ray : Et qui était la première personne ?
Maya : Kai. Il était persuadé que j'étais amoureuse de lui mais ce n'était pas le cas. Je l'admire beaucoup, c'est tout. C'est arrangé, maintenant.
Ray : Que lui as-tu répondu, ensuite ?
Maya : Que j'aimais quelqu'un d'autre.
Ray ressentit un pincement au coeur. Maya se fit de plus en plus hésitante.
Maya : Si tu veux. . . Je pourrais te dire de qui il s'agit.
Ray voulait le savoir même s'il devait avoir mal au coeur. Il devait être fixé.
Maya : Euh. . . C'est. . . Zut, pourquoi c'est aussi dur ?
Ray : Dis-le d'un trait.
Maya : D'accord. C'est toi que j'aime, Ray !
Elle se laissa tomber sur son lit et sembla soulagée d'un grand poids.
Maya :Ça y est, je l'ai dit !
Ray ne bougea pas, il se contenta de la fixer de son regard de lynx. Lentement, il s'approcha d'elle, il prit son visage entre ses mains et posa doucement ses lèvres sur les siennes. Ce fut un baiser d'une douceur inouïe, tellement doux que Maya en fut bouleversée. Il s'écarta lentement, leurs visages étaient si près qu'ils pouvaient sentir leurs souffles chauds leur caresser les joues.
Ray : Je m'en veux de ne pas t'avoir dit plus tôt ce que j'éprouvais pour toi.
Maya : Je ne t'en veux pas, Ray. Je ne pourrais en vouloir à celui que j'aime.
Ray sourit, il l'embrassa encore une fois. Ce baiser se fit plus profond que le précédent. Elle se leva, noua ses bras autour de son cou tandis qu'il l'enlaçait par la taille. La porte s'ouvrit.
Maman : Les enfants. . .
Ils se dégagèrent violemment des bras l'un de l'autre.
Maya : Maman ?
Maman : Je vois, cela devait bien arriver un jour.
Maya : Maman. . .
Maman : Je n'ai rien à dire, ton choix s'est porté sur Ray. Je suis sûre qu'il est un gentil garçon. Entendons-nous bien, jeune fille, ton père doit être au courant.
Maya sourit.
Maya : D'accord.
Maman : Et toi, Ray, si tu lui fais de la peine, tu n'auras pas fini d'entendre parler de moi.
Ray sourit à son tour.
Ray : Ça n'arrivera pas.
Maman : Bien, tout est réglé. Les gâteaux sont prêts à être mangés.
Maya et Ray y allèrent ensemble main dans la main.
Ils rentrèrent à l'hôtel, Maya traînait une autre valise derrière elle, tandis que Ray portait son panda pour elle.
Max : Eh, salut vous deux !
Ils virent Max, Kai et Kenny mais pas Tyson.
Maya : Où est Tyson ?
Kenny : Il dort encore.
Ray : Il peut se le permettre vu que le tournoi américain est terminé.
Kai : Ce n'est pas une raison pour se relâcher de cette façon.
Tyson sortit de la chambre en s'étirant et en bâillant.
Tyson : Ah, ça faisait longtemps que je n'avais pas autant dormi. Oh, mais qu'est-ce que je vois là ?
Il s'approcha curieusement des nouveaux arrivants.
Tyson : Depuis quand vous vous tenez par la main ?
Ils devinrent écarlates. Ils se lâchèrent la main.
Ray : Pourquoi, ça te gêne ?
Maya : Je vais poser ma valise.
Elle se dirigeait vers la chambre quand Ray l'appela.
Ray : Tiens, ton panda.
Elle le prit et alla dans la chambre. Tyson fixa Ray.
Ray : Pouquoi tu me regardes comme ça ?
Tyson : Dis-moi tout, il y a quelque chose entre Maya et toi, hein ?
Max : Enfin, Tyson, tu sais bien qu'il n'y a que Kai qui compte pour Maya.
Kai : Hhum !
Ray murmure : Je ne suis pas le seul à m'être trompé.
Bien qu'il avait murmuré cela, toutes les personnes présentes tournèrent la tête vers lui.
Ray : Quoi ?
Kenny : Tu peux répéter ce que tu viens de dire ?
Maya sortit de la chambre.
Maya : Il a dit qu'il n'était pas le seul à s'être trompé.
Max : A quel sujet ?
Elle soupira.
Maya : Vous tous ici, faites la même erreur. J'ai l'impression de me répéter, c'est lassant.
Kenny : Pourrais-tu être plus précise ?
Maya : Je n'aime pas Kai, c'est juste de l'admiration que j'ai pour lui mais en aucun cas je suis amoureuse de lui. J'aime une autre personne.
Tyson : Et c'est Ray.
Maya : Ah, enfin quelqu'un qui a compris ! Merci Tyson.
Ainsi, tout le monde comprit que Ray et elle étaient ensemble, ils se réjouirent pour eux. Tyson remarqua au passage que Kai était plus fait pour le Beyblade que pour n'importe quelle fille sur Terre.
Après le déjeuner, les Bladebreakers se rendirent au President, l'hôtel où résidaient les Kings. Kimberly les attendait dans le hall. Elle accourut quand elle les vit arriver.
Kimberly : Salut, les champions ! Vous êtes là tôt. Suivez-moi, Owen et les autres nous attendent.
Ils empruntèrent les ascenseurs jusqu'au douzième étage. Tyson examina les lieux.
Tyson : Votre hôtel est plus grand que le nôtre, c'est pas juste.
Kai : Laisse ta jalousie de côté, Tyson.
Kenny : Et c'est reparti.
Kimberly : Qu'est-ce qui est reparti ?
Max : Kai et Tyson, ils n'arrêtent pas de se bouffer le nez, comme le dit Maya.
Maya : Cette expression vient de chez moi.
Kimberly : Elle est marrante.
Ray : Si on avait eu Walter dans notre équipe, ça aurait été pire.
Tyson : Que veux-tu dire ?
Ray : Walter aurait passé son temps à critiquer Kai qui aurait fait une crise de nerfs.
Tyson : C'est vrai, Kai ?
Kai : Je ne suis pas du genre à supporter quelqu'un que je n'apprécie pas. Et mon calme a des limites.
Kimberly : Finalement, c'est bien que vous ayiez rencontré Maya.
Max : On l'aime bien, notre Maya. Et tout particulièrement Ray !
Maya : Max !
Ray soupira, l'air désespéré.
Kimberly : On est arrivé, c'est là.
Elle ouvrit la porte. Les Bladebreakers découvrirent une grande pièce, leur suite était immense.
Max : Tyson, je crois que t'as des raisons d'être jaloux, là. C'est énorme.
Owen les accueillit.
Owen : Asseyez-vous, je vous en prie.
Tout le monde prit place autour d'une grande table. Le thé et les biscuits étaient disposés sur un plateau. Walter, qui était présent à la demande d'Owen, fixait Maya d'un regard méprisant. Celle-ci sentait ses yeux bruns peser sur elle, elle se sentit de plus en plus gênée. Kimberly distribua les tasses et versa le thé pour chaque personne. Ils la remercièrent tous, sauf Walter.
Rick : Alors, le tournoi mondial, vous le sentez comment ?
Tyson : Ça va être du gâteau, on va tous les massacrer !
Kai : Arrête de t'exciter, Tyson et réfléchis un peu. Le championnat du monde est réservé aux meilleurs, aux groupes d'élite, les perdants n'ont pas leur place parmi eux. Ce n'est pas comme au tournoi national où tout était trop facile.
Max : Ce que Kai vient de dire est tout à fait juste. Le moindre faux pas et nous sommes tous éliminés.
Owen : Vu sous cet angle, ça fait un peu peur, mais c'est une raison de plus pour se donner à fond.
Tom : Surtout, ne sous-estimez jamais vos adversaires, ça pourrait se retourner contre vous.
Tout le monde ici savait que Walter en avait fait les frais durant la finale.
Tom : Vous allez faire quoi après l'Amérique ?
Kenny : Nous allons rester ici encore quatre jours, ensuite on retournera au Japon pour nous préparer psychologiquement à la France.
Rick : Le Japon ? C'est votre pays d'origine ?
Tyson : Moi, oui. Chef et Max aussi, mais ce n'est pas le cas pour les autres.
Maya : Je suis new-yorkaise et ma mère est chinoise.
Ray : Je suis chinois, j'ai été dans les White Tigers avant de venir au Japon.
Rick : Les White Tigers !
Tom : Monsieur est un fan.
Rick : S'il te plaît, accorde-moi un autographe !
Ray : Euh. . . si tu veux.
Owen : Et toi Kai, d'où viens-tu ?
Kai : Je suis australien.
Kenny : Et quand tu es venu au Japon, tu as fondé ta propre bande, les Bladesharks.
Kai : Je ne vois pas en quoi ça te regarde.
Kenny : Désolé.
Tyson : Eh oh, relax Kai ! Chef est curieux de nature, tu le sais bien.
Kai : Hhum ! Ça va.
Owen : Je vois, tu n'aimes pas révéler ton passé.
Kai : Non.
Ils passèrent un bon moment à parler de Beyblade, du tournoi asiatique et d'autres choses. Kai ne prenait la parole que rarement. Quant à Maya, à chaque fois qu'elle levait les yeux, elle rencontrait le regard furieux de Walter. Elle ne supportait plus cette situation qui finit par la mettre hors d'elle. Elle frappa ses mains sur la table et se leva d'un bond.
Maya : Eh Walter ! Pourquoi tu me fixes de la sorte ? C'est quoi ton problème ?
Walter : C'est toi, mon problème !
Maya : Si tu es mauvais perdant, il ne fallait pas te lancer dans le Beyblade ! Tu ne supportes pas ta défaite. C'est décevant de la part d'un beybladeur digne de ce nom !
Walter : Répète un peu pour voir !
Walter se leva à son tour, Owen fit de même.
Owen : Walter, il suffit ! Je ne saurais tolérer cette attitude plus longtemps !
Walter : Mais Owen, elle. . .
Owen : Plus un mot ! D'ailleurs, parlons un peu de toi. Depuis quand proposes-tu des marchés à tes équipiers potentiels ?
Walter : De quoi parles-tu ?
Owen : Tu sais très bien de quoi je veux parler. Tu as proposé à Kai un duel et en cas de victoire, tu serais devenu le capitaine des Bladebreakers, c'est vraiment honteux de ta part !
Walter : Qui t'a parlé de ça ? C'est cette Maya. . .
Owen : Arrête de chercher des excuses. Tu ne supportes pas le fait que, maintenant tu n'es plus rien, depuis la métamorphose de Tyler. Je n'ai pas l'intention de garder quelqu'un avec un esprit aussi étroit. Ta carrière de beybladeur est terminée ! Tu es viré !
Walter serra les poings, furieux d'avoir été traité ainsi.
Walter : Très bien, tu fais ce que tu veux. Mais ne viens pas pleurnicher pour me reprendre !
Owen : Je n'ai aucunement l'intention de te reprendre.
Walter : Tu as tort, tu ne sais pas ce qu'il en coûte de virer un beybladeur de ma qualité ! Tu t'en mordras les doigts !
Il s'en alla en claquant la porte derrière lui. Owen et Maya se rassirent calmement.
Tyson : Ce qu'il est nerveux ! J'ai jamais vu ça !
Maya : Arrêtons de parler de lui, je suis encore sur les nerfs.
Ils passèrent à un autre sujet de conversation. Tyson glissa lentement sur Ray et Maya.
Tyson : Vous saviez que Ray et Maya étaient ensemble depuis ce matin ?
Ray et Maya : Tyson !
Tyson : Pouquoi le cacher quand vous êtes heureux ? Faites comme Owen et Kimberly !
Kimberly : Comment c'est arrivé ?
Maya : Je lui ai dit que je l'aimais, c'est tout.
Ray : Ça, c'était après que ta mère m'ait laissé monter dans ta chambre.
Max : Je comprends mieux, c'est arrivé quand tu étais chez toi, ce matin.
Maya : C'est ça.
Tom : Quel dommage, pour une fois qu'une jolie fille me plaisait !
Owen : Ne sois pas malheureux. De toute façon, elle sera heureuse avec ou sans toi.
Tom : Tu as raison. Ce qui compte avant tout en amour, c'est le bonheur de l'autre.
Ils discutèrent ainsi pendant encore deux bonnes heures. En fin d'après-midi, Kenny proposa de rentrer. Tout le monde se leva.
Owen : Merci d'être venus.
Tyson : Merci à vous.
Ils se serrèrent tous la main. Les Kings souhaitèrent bonne chance aux Bladebreakers pour le tournoi mondial. Ils repartirent vers leur hôtel.
Maya : Ils sont vraiment sympas, d'un fair-play à toute épreuve. Ils vont me manquer quelque part.
Ray : Maintenant, notre objectif, c'est le championnat du monde.
Max : Ce serait bien de profiter de New-York pendant les quatre jours qu'il nous reste.
Kenny : C'est une bonne idée. Surtout que pendant le tournoi américain, on n'a pas eu le temps de tout visiter.
Maya : Demain, c'est le jour de congé de mon père, on pourrait faire un pique-nique dans le parc avec mes parents et Mr Dickenson !
Tyson : Bonne idée, avec ton père, on peut parler de Beyblade à longueur de temps.
Maya : Ma mère aussi, elle s'y est mise.
Tyson : Chouette, ça va être cool !
Maya : C'est réglé ! J'appelle mes parents en rentrant.
L'avant-dernier chapitre est terminé !! J'ai adoré quand Owen a viré Walter, pas vous ? Et puis Ray et Maya, ils sont trop mignons, ces deux- là !!! N'hésitez pas à me donner vos impressions surtout !!
Rei kon : Voilà, t'es contente de ce qui arrive à Walter ? Enfin, pour moi, il a eu sa dose (bien que j'ai été quand même trop gentille. . . ^_^).
Ewan421 : Ray et Maya sont trop mignons, je suis tout à fait d'accord avec toi, dans ce chapitre plus que dans les autres. J'espère qu'il t'a plu. D'ailleurs, je n'en ai pas fini avec eux, vu qu'ils seront dans ma prochaine fic bientôt en ligne.
Shiny : Merci pour tes compliments ! J'apprécie, au moins, tu ne te perds pas dans les descriptions de mes matches, parce que Etoile du soir, des fois, elle comprend rien et ça me décourage. . . Chez toi aussi, t'as droit aux rediffusions ? En France aussi, on en est à la troisième redif, alors ça fait un peu long et ça devient vite énervant.
Merci à toutes les lectrices qui m'en font part depuis le début de cette fic !!
Pour m'écrire un mail : minhou@club-internet.fr
Titre du prochain chapitre : En route pour le Japon. C'est une sorte d'épilogue à cette histoire, ce sera une fermeture aux aventures de Maya au sein des Bladebreakers !! Mais pour ceux à qui elle va manquer, elle reviendra dans la suite : Beyblade : Le championnat du monde. Bien sûr, elle ne sera plus l'héroïne principale. Pour ce rôle, j'ai choisi quelqu'un d'autre que vous découvrirez quand j'aurai mis la suite en ligne sur le site. @+++ dans le prochain chapitre !!