Merci à Mystique Luoer et à juliepotter et aussi à Ccilia pour leurs
encouragements aller vous êtes prêt pour une bagarre Dudley/Harry.
C'est parti et BONNE LECTURE à tous !
Le dîner fut des plus délicieux.
Le soir, dans son lit, Harry pense que les vacances sont sur le point de se terminer, dans une semaine précisément, et chaque été, les meilleurs moments qu'il passe sont ceux passés au « terrier ». Il n'aura jamais assez de sa vie pour remercier les Weasley pour tous ce qu'ils lui avaient apporté.
Le début des vacances, comme chaque année d'ailleurs, avait été un cauchemar.
L'ambiance au 4 privet drive n'avait jamais été aussi détestable. Il s'était encore frotté à l'oncle Vernon. Son cousin Dudley n'avait pas perdu un gramme, ce qui est normal quand on passe la moitié de sa vie à manger et l'autre moitié à regarder la TV, et la tante Pétunia semblait persuadée qu'il avait jeté un sort qui faisait enfler Dudley pour se venger des coups de canne, accessoire de l'uniforme de l'école de son fils et dont ce dernier ne se séparait jamais, que son cousin lui donnait systématiquement sur la tête pendant les repas ou pour le réveiller aux aurores, le matin.
Le pire avait été peut-être la bagarre qui avait éclaté entre les deux cousins, un vendredi soir.
Les Dursley étaient partis à un dîner d'affaire concernant l'entreprise de perceuse de l'oncle Vernon.
Dudley et Harry étaient donc restés seul à la maison avec, pour Dudley, un énorme gâteau au chocolat et une montagne de cassettes-vidéo louées pour l'occasion et, pour Harry, un misérable morceau de pain et la menace de se faire découper en rondelles s'il s'avisait d'embêter son cousin.
Après avoir mangé à la hâte sa maigre pitance, il était monté dans sa chambre et s'était penché à la fenêtre dans l'espoir de voir apparaître Hedwige, sa chouette d'un plumage de neige, qu'il avait chargé d'apporter une lettre à Hagrid, le garde de chasse de Poudlard et son ami de longue date (sa première année d'étude de la magie exactement).
Quand tout à coup, il avait entendu un énorme fracas provenant du salon, ainsi que les cris de désespoirs de Dudley. Il était alors sorti de sa chambre et avait couru jusqu'au living : l'énorme gâteau au chocolat de la tante Pétunia venait de s'écraser sur le canapé tout neuf acheté quelques semaines plus tôt par l'oncle Vernon. Dudley, la main toute tachée de chocolat, l'avait fait tomber par « inadvertance » en voulant se servir une part deux fois plus grosse que sa bouche sans, pour autant, rater une minute du film d'action qu'il était en train de regarder.
A la vue de Harry dans l'embarrure de la porte, Dudley était devenu rouge cramoisie, comme l'oncle Vernon quand il était en colère, ses yeux lancés des éclairs menaçants et ses lèvres et son triple menton tremblaient de fureur.
Et avant même qu'il est pu comprendre ce qu'il allait lui arriver, Dudley l'avait projeté par terre devant la cheminée. Son cousin était maintenant écumant de rage.
Ce ne fut après qu'un tourbillon de coups de poings et de coups de pieds, morcelé de quelques griffures et morsures.
Dudley se débattait tel un beau diable et lui, tentait tant bien que mal de se protéger la face avec tous les objets qui se trouvaient à sa portée : le miroir offert par la tante Marge, le cadre où dormait la photo du mariage de l'oncle Vernon et de la tante Pétunia, les CDS démodés de l'oncle Vernon, les cousins tachés de chocolat du canapé.mais tous était systématiquement détruit par Dudley dans la seconde qui suivait.
Quand les Dursley étaient revenus de leur cocktail, ils avaient retrouvé le salon saccagé, leur neveu couvert de plaies et de bosses et leur fils avec un ?il au beurre noir.
La tante pétunia s'était jetée sur son « Dudlynouché »et l'avait traîné à la salle de bain pour le soigner. L'oncle Vernon s'était occupé de lui ; La punition avait été très dure : enfermer dans sa chambre, avec juste de quoi manger le matin et le soir et interdiction de retourner dans cette école de fou.
C'est en remerciant les dieux qu'il avait vu arriver, quelques jours après, Errol, le hibou de la famille Weasley. Les Dursley n'avaient fait aucune difficulté pour le laisser partir, surtout quand il avait donné l'illusion à l'oncle Vernon qu'il allait écrire à son parrain : un dangereux meurtrier du monde des sorciers.
De plus, sa « famille » n'était pas du toute mécontente qu'il les quitte pour aller chez son ami, comme l'avait fait penser la dernière phrase que l'oncle Vernon lui avait lancé quand M. Weasley était venu le chercher dans une voiture empreinte au ministère : « Allez du vent, tu vas voir l'été prochain !»
J'espère que ça vous a plu dans le prochain chapitre, on retrouve Lily, ma petite héroïne.
LILY
C'est parti et BONNE LECTURE à tous !
Le dîner fut des plus délicieux.
Le soir, dans son lit, Harry pense que les vacances sont sur le point de se terminer, dans une semaine précisément, et chaque été, les meilleurs moments qu'il passe sont ceux passés au « terrier ». Il n'aura jamais assez de sa vie pour remercier les Weasley pour tous ce qu'ils lui avaient apporté.
Le début des vacances, comme chaque année d'ailleurs, avait été un cauchemar.
L'ambiance au 4 privet drive n'avait jamais été aussi détestable. Il s'était encore frotté à l'oncle Vernon. Son cousin Dudley n'avait pas perdu un gramme, ce qui est normal quand on passe la moitié de sa vie à manger et l'autre moitié à regarder la TV, et la tante Pétunia semblait persuadée qu'il avait jeté un sort qui faisait enfler Dudley pour se venger des coups de canne, accessoire de l'uniforme de l'école de son fils et dont ce dernier ne se séparait jamais, que son cousin lui donnait systématiquement sur la tête pendant les repas ou pour le réveiller aux aurores, le matin.
Le pire avait été peut-être la bagarre qui avait éclaté entre les deux cousins, un vendredi soir.
Les Dursley étaient partis à un dîner d'affaire concernant l'entreprise de perceuse de l'oncle Vernon.
Dudley et Harry étaient donc restés seul à la maison avec, pour Dudley, un énorme gâteau au chocolat et une montagne de cassettes-vidéo louées pour l'occasion et, pour Harry, un misérable morceau de pain et la menace de se faire découper en rondelles s'il s'avisait d'embêter son cousin.
Après avoir mangé à la hâte sa maigre pitance, il était monté dans sa chambre et s'était penché à la fenêtre dans l'espoir de voir apparaître Hedwige, sa chouette d'un plumage de neige, qu'il avait chargé d'apporter une lettre à Hagrid, le garde de chasse de Poudlard et son ami de longue date (sa première année d'étude de la magie exactement).
Quand tout à coup, il avait entendu un énorme fracas provenant du salon, ainsi que les cris de désespoirs de Dudley. Il était alors sorti de sa chambre et avait couru jusqu'au living : l'énorme gâteau au chocolat de la tante Pétunia venait de s'écraser sur le canapé tout neuf acheté quelques semaines plus tôt par l'oncle Vernon. Dudley, la main toute tachée de chocolat, l'avait fait tomber par « inadvertance » en voulant se servir une part deux fois plus grosse que sa bouche sans, pour autant, rater une minute du film d'action qu'il était en train de regarder.
A la vue de Harry dans l'embarrure de la porte, Dudley était devenu rouge cramoisie, comme l'oncle Vernon quand il était en colère, ses yeux lancés des éclairs menaçants et ses lèvres et son triple menton tremblaient de fureur.
Et avant même qu'il est pu comprendre ce qu'il allait lui arriver, Dudley l'avait projeté par terre devant la cheminée. Son cousin était maintenant écumant de rage.
Ce ne fut après qu'un tourbillon de coups de poings et de coups de pieds, morcelé de quelques griffures et morsures.
Dudley se débattait tel un beau diable et lui, tentait tant bien que mal de se protéger la face avec tous les objets qui se trouvaient à sa portée : le miroir offert par la tante Marge, le cadre où dormait la photo du mariage de l'oncle Vernon et de la tante Pétunia, les CDS démodés de l'oncle Vernon, les cousins tachés de chocolat du canapé.mais tous était systématiquement détruit par Dudley dans la seconde qui suivait.
Quand les Dursley étaient revenus de leur cocktail, ils avaient retrouvé le salon saccagé, leur neveu couvert de plaies et de bosses et leur fils avec un ?il au beurre noir.
La tante pétunia s'était jetée sur son « Dudlynouché »et l'avait traîné à la salle de bain pour le soigner. L'oncle Vernon s'était occupé de lui ; La punition avait été très dure : enfermer dans sa chambre, avec juste de quoi manger le matin et le soir et interdiction de retourner dans cette école de fou.
C'est en remerciant les dieux qu'il avait vu arriver, quelques jours après, Errol, le hibou de la famille Weasley. Les Dursley n'avaient fait aucune difficulté pour le laisser partir, surtout quand il avait donné l'illusion à l'oncle Vernon qu'il allait écrire à son parrain : un dangereux meurtrier du monde des sorciers.
De plus, sa « famille » n'était pas du toute mécontente qu'il les quitte pour aller chez son ami, comme l'avait fait penser la dernière phrase que l'oncle Vernon lui avait lancé quand M. Weasley était venu le chercher dans une voiture empreinte au ministère : « Allez du vent, tu vas voir l'été prochain !»
J'espère que ça vous a plu dans le prochain chapitre, on retrouve Lily, ma petite héroïne.
LILY
