LE POIDS DU CHAGRIN
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Chapitre 9
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Épilogue
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Kathy courait dans la rue. Elle courait à pleine vitesse et était à bout de souffle. Dans sa main, la jeune fille tenait fermement une toupie bleue et orange. À chacun de ses pas, ses deux couettes bleu argentées balançaient sur ses épaules.
Elle ralentit un peu le rythme et reprit doucement son souffle. Kathy jeta un bref regard à sa montre, attachée à son poignet gauche. Il était 17h14 et elle était en retard. Misère. . . À cette pensée elle recommença à courir.
Puis, sa demeure apparut dans son champs de vision. C'était une maison magnifique, située au bord d'un lac. La maison n'était ni grosse, ni petite et était faite en bois brun. Elle était parfaite pour habriter quatre personnes mais, seulement trois personnes y vivaient. La demeure était située dans un quartier plutôt éloigné de la ville où les maisons étaient quand même assez distancées les une des autres. Mais cela n'empêchait pas que les gens ici soient très gentils, il y avait même plusieurs jeunes de l'âge de Kathy.
Kathy arriva finalement devant la maison. La jeune fille de six ans se dirigea vers la porte arrière et l'ouvrit. La porte émit un grincement et la fillette entra, sans refermer la porte derrière elle. Aucun bruit ne se faisait entendre dans la maison.
- Maman ? Papa ? s'écria Kathy en scrutant autour d'elle.
Il n'y avait personne, ce qui ne l'étonnait guère. Par les jours de soleil comme celui-ci, il était rare de voir ses parents à l'intérieur. . . Ils étaient toujours dehors, même s'il n'y avait rien à y faire, ils trouvaient toujours quelque chose.
La jeune fille ressortit dehors, ferma la porte derrière elle et se dirigea vers le jardin. La cours arrière de la maison était superbe, elle était parsemée d'arbres de toutes sortes, des gros, des petits. . . de tout quoi ! Plus près du lac, à environ quatre mètres du rivage, il y avait un banc où l'on pouvait s'asseoir pour admirer le paysage. À environ treize mètres à la droite du banc, il y avait aussi un potager où sa mère faisait pousser des légumes d'une variété incroyable ! Les favoris de Kathy étaient les radis. . . À chaque jour, la fillette allait voir si un des ces savoureux légumes était mûr. Mais en passant près du potager, elle vit que ces parents n'y étaient pas.
Kathy continua sa route, à la recherche de quelqu'un. Son père lui avait bien dit qu'il avait quelque chose d'important à lui montrer, si elle était à l'heure, bien sûr. Kathy se mordit doucement la lèvre en jetant un coup d'oeil à sa montre, 17h25, beaucoup de retard. . .
" Peut-être que papa refusera de me montrer cette chose importante. . . " songea-t-elle en accélérant le pas.
La jeune fille marcha vers le bord du lac, se dirigeant du côté de l'énorme saule où son père avait l'habitude d'aller. . . Lorsqu'elle y arriva, ses yeux s'illuminèrent. Attaché au tronc de l'arbre, un chiot noir et blanc, petit et potelé, se tenait assit, battant frénétiquement de la queue. Quand il aperçut Kathy, il émit un couinement impatient. La fillette, quant à elle, accourut vers l'animal et le serra dans ses bras.
- Un chiot !
Puis, son père apparut derrière elle, souriant. Il échappa un léger rire en apercevant l'air heureux de sa fille. . . rien n'est mieux que faire plaisirs à ceux qu'on aime. . .
- C'est pour moi ? Demanda Kathy en tournant la tête vers son père.
- Bien sûr, qu'est-ce que tu crois ! Ça fait si longtemps que tu m'en demandes un, mais il faudra que tu t'en occupes bien.
La jeune fille échappa un cri de contentement et étreignit le chiot qui lui lécha à la figure.
- T'as entendu p'tit chien ? Tu es à moi maintenant ! Ton nouveau nom sera. . . hum. . . Dranzer ! Comme le spectre de papa !
Kai ouvrit la bouche pour exprimer son désaccord avec ce nom, mais avant qu'il ne dise quoi que ce soit sa femme répliqua :
- Très bonne idée Kathy ! Dit-elle en lançant un regard amusé à son mari qui lui jeta à son tour un regard exaspéré.
- Alors, ma chérie, ça a été les combats beyblades avec tes amis ? Ajouta-t-elle au bout d'un instant.
Kathy fit la moue puis soupira, tout en caressant le chiot.
- Ça irait mieux si j'avais un spectre moi aussi ! Ils n'arrêtent pas de m'éjecter. . . râla-t-elle, un air déconfit à la figure.
- Je suis certaine que tu es bien plus forte qu'eux, ce n'est qu'une question de temps.
- Ouais, mais c'est long. . . Dit la jeune fille avant de reporter son attention sur son nouveau chiot.
Puis, le couple s'éloigna lentement, côte à côte. Kai marchait beaucoup mieux qu'avant, grâce au progrès de la médecine, mais surtout grâce à ses propres efforts. . . On lui avait fait comprendre que ce n'est qu'en persévérant qu'on peut progresser. . .
Lorsqu'ils furent à une certaine distance de leur fille, une conversation s'installa entre les deux parents.
- Je ne comprends pas pourquoi tu refuses de céder Dranzer à Kathy. Ça fait bientôt seize ans que tu ne joues plus au beyblade. Depuis ce malheureux incident . . .
- C'est que je tiens encore à Dranzer, tu comprends ? Ça me rappelle pleins de souvenirs. . . bons comme mauvais. Et de toute façon Dranzer n'est pas fait pour Kathy. Je crois que chacun à son propre spectre, selon sa personnalité . Un spectre ne se donne pas comme ça, il faut qu'il y ait des sortes de liens. . . plus profond que le sang. Elle aura son spectre, ce n'est qu'une question de temps, déclara Kai en baissant les yeux.
Puis, il releva la tête et regarda sa femme droit dans les yeux, avec un sourire ironique.
- Et de toute façon, toi aussi ça fait un bout de temps que tu as arrêté le beyblade, pourquoi tu ne lui donnes pas Galux, à Kathy ?
Mariah fronça les sourcils et rétorqua :
- Je te rappelle que c'est pour toi que j'ai stopper les combats ! Alors garde tes sarcasmes pour toi !
Kai éclata de rire sous le regard exaspéré de Mariah.
- Ce que tu peux être détestable parfois. . . !
Voyant que Kai continuait à pouffer de rire, elle déposa un doigt sur les lèvres de ce dernier et lui dit :
- Si tu ne t'arrêtes pas de rire à l'instant, ce soir, je te fais dormir dehors.
Cette phrase eu tôt fait de remettre Kai d'aplomb.
- Tu n'oserais pas. Fit-il, un air douteux au visage. Puis devant l'air déterminé de sa femme, il rectifia :
- Tu oserais. Ça va, je me tais.
Ce fut au tour de Mariah de s'esclaffer de rire. Puis, elle passa un bras derrière la tête de Kai et l'embrassa tendrement. La jeune femme recula ensuite son visage de celui de Kai et fit, le sourire aux lèvres :
- Jamais je ne ferais ça, ce soir je te veux avec moi, dans notre lit.
Plus loin, Kathy les regardait en parlant au chiot.
- T'a vu Dranzer, eux, ce sont mes parents. Ils s'aiment beaucoup, je le sais ils se le disent tout le temps. Mais, chut. . . tu veux savoir un secret ? Fit-elle en mettant son index devant sa bouche.
Le chien émit un petit jappement aigu. La jeune fille approcha sa tête du chien et leva son oreille pendante.
- L'autre jour, j'les ai espionné pendant qu'ils parlaient et, tu sais quoi ? Je crois que je vais avoir un nouveau petit frère ou une petite soeur. . . très bientôt. . . Ce sera bien, on aura une nouvelle personne pour jouer.
Kathy jeta un regard du coin de l'oeil à ses parents qui marchaient serrés l'un contre l'autre en direction de la maison.
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Vous devez me trouver ennuyante, non ? ¬¬
Vous en faites pas, , , y'aura sûrement plus de suite maintenant. Je stop, j'arrête ! Je vais me mettre à fond dans la fic de beyblade que je suis en train d'écrire ''parallèlement''. Je l'écris plusieurs chp en avance comme ça ce sera : Adieu le stress de se stresser pour se grouiller d'écrire un chp parce que j'écris extrêmement lentement ! '' Je sais qu'il faut écrire à son rythme mais j'ai le rythme d'une tortue qui s'est cassé une patte ¬¬ . . .
--'' Je réussis toujours à déraper du sujet principal, remarquez. Bon enfin, j'espère que vous avez aimé ! ! ! Toujours la même chanson. . . Et j'ai remarquer que je n'avais jamais fait le disclamer. ÔÔ ! Ne me poursuivez pas ! Yo soy pas coupable ! . . . ¬¬''
Pyrewan
Est-ce que je réponds aux reviews ? Bah, , , j'ai le temps, je vais le faire ! Une exception peut se reproduire plusieurs fois et de toute façon : c'est mon (vraiment) dernier chp ! ! !
Danoue : Merci ! Mais t'en mets pas un peut trop ?
Noami Azuki : Ton review m'a trop fait marrer ! Et tout ce que t'a écrit m'a t-r-è-s flattée ! ! ! J'vais finir par croire que je n'écris pas aussi mal que je le crois. . . J'espère que t'a aimé cet épilogue ! Bon bien, be-bye ! ôô !
Shiny : Ravie que tu aies aimé ! Moi aussi je plains Kai. . . même si c'est moi qui lui fait subir ça ! Parfois je peux être sadique ! Non mais, ! Bye !
Kimiko : Merci !
Calisto : Vraiment ? Tu la trouves aussi super ? Ravie que tu es aimé ! ! ! Et pour le cas de Kai j'ai fais une p'tite recherche J'voulais être plus précise. Manque d'inspiration ? Ça arrive à tout le monde. (surtout à moi). '' Mais t'a vu je suis quand même arrivé à faire quelque chose de potable ! Un yaoi Rei/Kai ? Hum,,, ça promet ! Je te souhaite pleins de bonnes idées ! Bisou !
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Bon ici prend (officiellement) fin la fiction. . . Réponse au défi de Shiny n.6
Faudrait que je pense à lui trouver un nom, non ? Ça sonne bizarre.
(Ce n'est pas une insulte contre toi Shiny ! ! ! (je t'assure)) Ah. . . Je sais !
À partir de maintenant, connaissez cette ficton sous le nom de . . . .
Le poids du chagrin.
AU REVOIR ! ! !
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