Chapitre 17 : Rêves et prémonitions. (4)
Berduck, assaillit par ces événements en chaîne, était en colère. Son impuissance face à une telle situation rendait ces images insupportables.
Carruta : Berduck, je sais ce que tu en penses. Mais sache que cette vision te sera favorable pour l'avenir. Mais ce n'est pas encore fini…Ta prémonition est loin d'être terminée.
Berduck : J'en ai assez de cette prémonition. J'en ai eu ma dose.
Carruta : Je suis désolé, mais il le faut…
Berduck : Non !…Arrête !…Carruta ne m'oblige pas à te renier.
Carruta : Notre fils la déjà fait !
Berduck : Carot ?…Mais quand ?
Carruta : Peu de temps avant que Nappa intervienne, je suis entrée en contact avec lui… Il n'a pas voulu me parler. Je lui ai révélé mon identité, je lui ai dit que j'étais sa mère, mais il n'a pas voulu m'écouter. J'ai insisté, mais lorsque j'ai vu qu'il souffrait beaucoup trop, j'ai laissé tomber.
Berduck : Tout…Je comprends tout. Voilà pourquoi il s'est effondré en criant le mot " maman ". Mais pourquoi ?
Carruta : Sûrement parce qu'il n'a jamais connu de mère sur Terre, il ne sait pas ce que sait…Si on y réfléchi, sa réaction est tout à fait normale…
Sa voix tremblait, ce qui laissait transparaître un énorme sentiment de tristesse. Y a-t-il une chose plus terrible que de ne pas être reconnu par son fils ? Courageuse, Carruta reprit la parole.
Carruta : J'espère qu'un jour, au fil du temps, il m'acceptera comme sa vrai mère…
Berduck : Tu as raison… Je… Je dois regarder la suite de ma prémonition comme tout saïyen affronterais la vérité, pour l'avenir de Végéta et pour le nôtre !!
Carruta : Tu commence à redevenir le saïyen fier et courageux que tu étais lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois…Tu dois continuer sur cette voie, elle te donnera la victoire !
L'ombre s'était éclipsée sans causer le moindre bruit ce qui aurait pu attirer l'attention de Berduck. Devant lui, Végéta, une planète morte, un cimetière. Tout à coup, Végéta explosa . Le bruit fut insupportable tellement il était bruyant. Berduck par réflexe, voulu se protéger mais les rochers qui volaient à une vitesse faramineuse dut au choc de l'explosion, lui traversèrent le corps.
Berduck, pensant : Du calme Berduck, tu ne vas pas mourir, ce n'est qu'un rêve !
Le décor changea de nouveau, Berduck se retrouva sur la terre ferme. Dans un désert de sable, le ciel rouge orangé, Berduck savait qu'il se trouver sur Végéta avant qu'elle ne subisse le terrible avenir qui lui était destinée. Quelque chose se dressa devant lui. Un vaisseau. Berduck vu tout–de-suite qu'il n'était pas saïyen au premier regard. Mais d'où venait-il ? Il avait la forme d'une boule avec quatre pattes, équipé de hublots sur tout son arc. Une porte s'ouvrit. Quelqu'un descendit en silence. La personne était curieuse et nostalgique à la fois. Elle observait le ciel, la terre, leva les bras à l'horizontale comme si elle voulait embrasser la légère brise qui traversait ce lieu. Les cheveux noirs, droit sur la tête, l'étranger portait un débardeur marron et un pantalon marine. Par son expression abordée, on pouvait remarquer qu'il connaissait déjà cette planète.
Berduck : Cette homme…Ce n'est pas possible ! Même avec trente ans de plus, je le reconnais. Cette homme …n'est autre que le fils du roi, l'héritier du trône, le prince Végéta en personne !
(A suivre…)
