Chapitre 20 : Sangoku, à la merci de ces ennemis.

Nappa : Crois-tu pouvoir encaisser le meurtre de Carot commis par ses propres frères !!!

Berduck ne réagissait plus. Nappa déposa le corps de Berduck sur une chaise. Un sentiment de regret se dessina sur le visage de Nappa. Que pouvait-il bien regretter ? Il le détestait, le haïssait, alors pourquoi ce sentiment avait-il fait son apparition ? Mais sa fierté saïyenne fit qu'un sourire de satisfaction masqua tout de suite ce sentiment qu'il éprouvait à son insu. Mais il resta silencieux, tourna le dos à la personne qu'il venait de vaincre, et ouvra aussitôt la porte de la chambre de Thalès et Raditz.

Nappa : Vous avez bien joué le jeu jusqu'à maintenant, bravo. Vous pouvez sortir maintenant. Il n'y a plus personne. Où est Carot ?

Thalès : Raditz joue avec lui !

Nappa : Il joue ? Alors il a repris connaissance ! Car juste avant que je vienne ici, je l'ai vu perdre connaissance par l'intermédiaire des caméras grâce à un coup que son père lui avait asséné…

Thalès : Oui, je l'ai réveillé dès que tu es intervenu et depuis il se défoule au fond de la pièce sur Carot. Nous l'avons mis au fond pour faire le moins de bruit possible, pendant que tu parlais avec mon père. Allez viens rendre une visite à Carot, je sais que tu en meurs d'envie !

Nappa souriait d'une façon diabolique, depuis deux ans il attendait ce moment, il voulait absolument prendre sa revanche sur l'humiliation qu'il avait subi sur la Terre. On entendait des rafales de coups de poing provenant de la pièce qui était en recul de la chambre. Le corps de Sangoku gisait par terre. Raditz le massacrait avec une fureur si intense qu'il ne pouvait s'arrêter. Sa colère envers Sangoku était beaucoup trop importante. La victime avait le corps tout boursouflé par ses blessures. Sangoku criait. Il criait encore et toujours. Il ne pouvait plus bouger, il essaya par tous les moyens de parer les coups, mais en vain. Raditz ne le lâchait plus, il cognait surtout la tête tout en lui envoyant les pires jurons. A la vue de Nappa, le frère s'arrêta de le frapper.

Raditz : Nappa !… Alors tout se passe comme prévu ? Où est mon père ?

Nappa eut du mal à répondre. Il y parvint mais avec hésitation.

Nappa : Il…Il est mort.

Les deux frères : Quoi !!!

Thalès : Mais…Mais tu es idiot ou quoi ?!

Nappa : Du calme ! Je suis ton supérieur, ne l'oublie pas ! Il est mort mais c'est un accident ! Je l'ai surestimé. Je voulais juste qu'il perde connaissance mais je l'ai tué. C'est comme Carot !

Raditz : Explique-toi !

Nappa : Qui pouvait savoir que Carot n'allait manifester aucune résistance à votre égard, lorsque devant votre père vous l'avait attaquer tous les deux, cela ne lui avait rien fait. C'est peut être à cause de son étourdissement qu'il est devenu plus vulnérable…

Nappa s'accroupit vers Sangoku qui était inconscient. Le lieutenant lui mis une baffe pour qu'il revienne à lui. Sangoku se réveilla en sursaut et vit l'horreur devant lui : Nappa !

Nappa : Alors… ça fait un bail !

Son ironie l'effraya encore plus, il était dorénavant à la merci de trois saïyens qui voulait sa perte. Ne pouvant plus parler, il essaya de faire quelques gestes, mais cela lui était impossible sans aucune force.

Nappa : Comme ton père, il va falloir mourir maintenant !

(A suivre…)

Note de l'auteur n° 2

Salut c'est encore le Derf !

Afin de fêter le vingtième chapitre, je vais vous raconter quelques histoires futiles pour que vous me connaissiez un peu plus…

C'est vrai, j'en suis contiens que mes chapitres sont trop court, comparé aux autres histoires qui sont sur ce site… Je peux aller me cacher !

Mais malheureusement je ne fais pas que ça dans la vie, j'aimerais bien par moment, mais je vais essayer un jour d'écrire un peu plus chaque semaine mais pour ça, il faudrait que je me trouve du temps libre et c'est loin d'être le cas…

Mon histoire vous passionne ? Des critiques à formuler ? Remarques ? Alors n'hésitez plus et écrivez quelques mots dans la section review.

Bonne lecture ! Et rendez-vous au prochain chapitre !

@+ Derf.