Chapitre 24 : Aucune échappatoire.
Soldat 1 : Berduck, ta route s'arrête ici, nous avons reçu l'ordre de te capturer. Je peux d'ors et déjà te dire que ton ancien statut ne nous impressionne pas du tout, je suis même prêt a me battre seul contre toi.
Soldat 2 : remet-nous Carot sans discuter et rends-toi si tu ne veux pas qu'il t'arrive des bricoles…
Berduck : Pff, tu rêves !
Soldat 1 : Tu crois réellement pouvoir te battre avec ton fils sur le dos ! Ha ha ha !!
Berduck savait pertinemment que son assaillant avait raison et, qu'il ne pouvait en aucun cas déposer son fils à terre sans qu'il lui arrive quelque chose. Le saïyen cherchait en vain une échappatoire, il n'avait pas d'autre solution, désormais il était trop tard pour qu'il puisse prévenir ses amis. Le soldat qui avait alors provoqué Berduck, s'avança vers lui sous les yeux perfides de ses trois camarades.
Soldat 3 : Fait lui mordre la poussière !
Soldat 4 : Méfies toi, Berduck est loin d'être faible…
Soldat 1 : Ha ha ha !! Cela risque de rapidement se terminer si il ne lâche pas son fiston pour se préparer à m'affronter… transforme-toi Berduck ! Je ne veux pas d'un combat gagné d'avance.
Berduck : Non !
Soldat 1 : Hein ?! Et pourquoi ?
Berduck : Question de principe… Je ne peux pas me transformer alors que j'en suis contre, et je peux vous assurer que je ferais tout pour élucider le mystère qui entoure notre planète.
Soldat 1 : Tu réfléchis trop ! L'état de super saïyen est inné chez nous. Arrête de raconter n'importe quoi ! En garde !!
Berduck ne bougea pas, il ne voulait pas perdre de temps sachant que bientôt Nappa et ses deux autres fils allaient certainement le rattraper. Son adversaire, au rire démoniaque lui donnait quelques sueurs, il ne savait plus comment se sortir de cette mauvaise passe.
Soldat 1 : Puisque tu sembles jeter l'éponge, il ne me reste plus qu'à te cueillir ! Prend ça !
Le poing arriva à une vitesse incroyable, Berduck savait qu'il ne pourrait pas l'éviter, il était paniqué, ne sachant plus quoi faire, il espérait un miracle.
??? : STOP !
Finalement, ce miracle se produisit, le poing s'arrêta net et Berduck tourna la tête afin de voir à qui pouvait bien appartenir cette voix.
Berduck : Nappa !
Soldat 1 : Thalès, Raditz ! Mais… Depuis quand sont-ils avec toi ? Je pensais qu'ils suivraient, eux aussi Berduck dans son entêtement !
Nappa : Tu penses mal ! Il est temps de suivre… Ils sont sous mes ordres maintenant et pour eux comme pour nous, Berduck est un traître !
Berduck : Thalès !… Raditz !
Raditz : Ferme la ! Toi et Carot vous n'avez que ce que vous méritez !
Berduck : …
Nappa : Bien, maintenant qu'il est à notre merci, vous pouvez disposer !
Soldat 1 : Pas question ! Nous avons pour mission de le récupérer, et puis mon cher Nappa dois-je te rappeler qu'en voulant cacher ta petite mascarade au roi tu te l'ai mis à dos.
Nappa : Ferme-la un peu ! Je fais ce qu'il me plaît ! Je me fous du roi et de ce qu'il pense.
Soldat 1 : Le roi a eu tort de te nommer premier lieutenant, tu n'es même pas reconnaissant ! En plus cela t'as permis d'être au courant de pleins de choses comme le projet du roi de fabriquer de nouvelles armes afin d'anéantir les rebelles…
Nappa : Tais-toi, tu me dois obéissance !
Soldat 1 : Désolé, mais je n'obéis qu'au roi. D'ailleurs, il ne devrait pas tarder pour constater la situation.
Nappa : Comment ?
( A suivre…)