Chapitre 5
Les semaines qui suivirent furent plutôt calmes. Toutes la petite bande avait continué de plancher sur l'énigme qui entourait la prophétie du deuxième monde. Cependant il n'avait toujours pas réussit à trouver la signification. Ils étaient même allés dans la réserve pour essayer d'en savoir plus et avait failli se faire prendre par Rusard, sans être plus avancé. Harry n'avait plus fait de rêve concernant Anastasia, ou en rapport avec l'histoire du deuxième monde, mais continuait à rêver à la mort de Cédric et aux terribles actes de Lord Voldemort. Harry avait redemandé de la potion anti-rêves à Mrs. Pomfresh, mais elle avait refusé malgré ses nombreuses supplications. Il ne voulait pas prendre de chances de rêver une fois de plus aux misères du monde comme la nuit où il avait vu la mère d'Anastasia mourir. En même temps, cela l'avait intrigué et il aurait aimé, mieux connaître cette fille étrange, mais il ne voulait pas savoir tout ce qu'elle avait dû endurer. Ils n'avaient pas vraiment reparlé à cette fille depuis Pré-au-Lard, si ce n'était que lorsqu'ils se croisaient dans les couloirs et qu'ils s'adressaient un petit sourire ou un mince "salut". Wiliam avait bien essayer de renforcer les liens, mais cette nouvelle restait indifférente à ses efforts. Puis l'automne avançait et l'halloween était maintenant arrivé. Ce matin-là Hermione, Ron et Harry étaient assis bien confortablement devant un grand feu puisque c'était un jour de weekend. Harry continuait de lire le livre offert par Sirius, Ron entreprenait de nettoyer sa baguette, et Hermione continuait de travailler sur la prophétie.
- Hermione arrête de réfléchir comme ça, sinon ta tête va éclater.
- Hum, hum...
-Tu vois Harry, elle ne m'écoute même pas quand je lui parle, s'exclama Ron qui se serait attendu à une remarque cinglante de la part de son amie.
-Je crois qu'elle est trop concentré. Qu'est ce que tu dirai de. Et ils se regardèrent tout les deux comprenant ce que l'autre avait derrière la tête. Harry fit venir une bombe-à-mousse, acheté chez Zonko, par un sortilège d'attraction et le fit voler jusqu'à ce qu'il soit à proximité de la tête d'Hermione. Là Ron prononça la formule pour le faire exploser et.
-Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!
Hermione venait de faire un bond de presque 20 centimètres sur sa chaise. Elle se retourna vers Harry et Ron avec des yeux qui se voulaient très méchants. Sans avoir le temps de prendre gare, les deux garçons se retrouvèrent avec un coussin en pleine figure. S'en suivit alors une bataille à coup de coussins du canapé jusqu'à ce que Harry soit parvenu à maîtriser ses deux amis. Il s'effondra de nouveau dans le canapé.
-Vous savez où est Wiliam? Demanda Hermione qui avait repris son souffle.
-Non pourquoi? Dit Ron.
-Ah, je voulais le voir pour vérifier quelque chose, répondit-elle en ramassant ses effets. Je vais aller voir s'il ne serait pas à la bibliothèque.
- Il me semble que tu le vois souvent c'est temps-ci, ajouta Ron sur un ton qui se voulait de plus en plus interrogatif.
- Heu,.. Oui c'est vrai, c'est parce qu'on s'entend très bien, c'est tout, dit-elle sur un ton un peu embarrassé.
-Ah... parce que tu nous le dirais s'il y avait quelque chose entre vous?
- Heu je m'excuse mais ça, ça ne regarde que moi. Tu ne serais pas jaloux Ronald Weasley? Lança-t-elle en sortant, laissant un Ron perplexe.
-Tu vois Harry, ce qu'elle fait à ce pauvre Victor!dit-il une fois qu'elle fut hors de vue.
Harry pouffa alors de rire sous les yeux interrogateur de Ron qui ne voyait pas ce qu'il y avait de drôle. Harry se reprit et se tourna vers Ron.
-Tu crois qu'on aura un Halloween normal cette année? Lui demanda-t-il.
En effet, cette fête n'avait jamais été des plus normal pour Harry. Lors de son premier Halloween, ses parents s'étaient fait assassinés par Lord Voldemort, les autres il les avait tous passé dans un petit placard à balais. Lors de sa première année d'étude, il y avait eu un troll et Hermione avait faillit y rester. Ensuit l'année suivante ce soir-là la chambre des secrets avait été réouverte. Il y a deux ans, Sirius Black avait pénétré dans l'enceinte du château provoquant une émeute et finalement l'an dernier il avait été choisi pour être champion au tournois des trois sorciers. Harry se rendit compte, que ce n'était pas tout à fait une fête qu'il portait avidement dans son c?ur. Il en venait même à la redouter un peu. Mais que pouvait-il arriver de pire que de tomber face à face avec Voldemort? Rien alors, il ne voyait pas pourquoi il avait à s'inquiéter puisque c'était déjà arriver plusieurs fois, et que celui-ci, qui était maintenant le danger actuel, n'avait aucune chance de pénétrer à l'intérieur de l'enceinte de Poudlard.
-Je croirais qu'il sera des plus normal, Harry, lui répondit Ron avec un grand sourire.
Harry ne sembla pas rassuré pour autant, mais décida de bien profiter de ce petit moment de festivité. Durant le reste de la journée, ils vaquèrent tous à des occupations les unes plus différentes des autres. Finalement, ils finirent tous sur les même canapés que le matin, et faisait tous quelque chose de leur main, avant que la fête ne commence. Harry continuait de lire son livre, alors que Ron et Wiliam avait une discussion sur le Quidditch et Hermione regardait le feu, perdu dans ses pensées.
- Hé, il parle de vous dans mon livre, s'exclama Harry. Il y a un paragraphe sur Ron et sur Hermione!
Tout le petit groupe s'était alors retourné vers Harry qui commença sa lecture.
- "Ronald Weasley est un des meilleurs amis de Harry Potter. Lors des nombreuses aventures vécus par notre petit héros, cet ami fidèle se trouvait à ses côtés, l'aidant grâce à son savoir-faire et son courage. Sa débrouillardise et son sens de l'humour font de lui quelqu'un de spécial, complétant bien l'équipe qu'il fait avec Harry Potter."
Ron avait tourné au rouge pivoine. Il abordait un sourire fier mais gêné. Harry comprenait un peu puisque son ami avait toujours été dans l'ombre. Il n'était que le meilleur ami, ou bien le frère. Et pour une fois, il avait une occasion de se démarquer.
-" Hermione Granger fait aussi parti du trio infernal. Elle prenait aussi part aux dangereuses confrontations et péripéties de notre jeune sorcier. Elle l'a plusieurs fois aidé grâce à son intelligence remarquable et son sang-froid.
Hermione s'était callé dans son fauteuil dès qu'Harry avait commencé la lecture.
Elle est très ami avec ce dernier, et lors du tournois de trois sorciers, une rumeur a circulé qu'elle était peut-être la petite amie de Harry Potter. Le tout a été nié par ce dernier, mais est-ce qu'elle serait plus qu'une simple amie?"
Hermione avait retrouvé ses couleurs normales et semblaient maintenant indigné de ce qu'ils avaient écrit à propos de la relation Harry/elle et ses yeux lançaient des éclairs. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais fut interrompu par Ron qui semblait encore plus en colère qu'elle.
-Hermione Granger! À quoi tu joues? D'abord tu commences par courir après Victor lors du tournois, ensuite tu passes tes vacances avec lui, mais dès que Wiliam arrive en bout de ligne tu le laisse pour lui. Et maintenant c'est Harry! Non, mais ça va pas? Tu pourrais pas te brancher?
Elle s'était rapproché dangereusement de Ron lorsqu'il avait dit cela, mais exceptionnellement il n'avait pas bougé d'un poil.
-Me brancher sur quoi? Dit-elle étrangement calme, ce qui eut pour effet de déstabiliser Ron.
-Heu.ben.sur celui que tu veux, tu pourras pas passer ta vie à courir après trois garçons! Répondit-il légèrement embarassé.
- D'accord alors laisse-moi te dire que le choix n'est pas difficile!
Sur ces derniers mots, elle s'était de plus en plus rapproché et n'était plus qu'à quelques centimètres du rouquin. Puis tout se précipita et Harry ne vit plus que ses deux amis lèvres contre lèvres et qui s'étreignaient. Ils se laissèrent quelques secondes plus tard se regardant avec un sourire gêné.
-Heu, Hermione, c'était quoi ça?
- Un baiser! Dit-elle en baissant les yeux vers le sol.
Ron avait parlé d'un ton étrange. On ne pouvait percevoir si il était content, ou si il avait détesté. Cela eut pour effet de mettre Hermione dans le doute du geste qu'elle venait de poser.
- C'est parce que..parce que.tu m'as demandé de choisir.et puis.mon choix était déjà fait..mais si jamais tu veux pas.je comprends.et non plus je ne veux pas briser.notre amitié. avait-elle enchaîner toujours en regardant ses pieds, sous les yeux septique et quelques peu glacial de Ron. Ses yeux étaient maintenant embués et Ron ne tarda pas à le remarquer.
-Hermione, dit-il d'une voix plus douce en lui prenant le menton de façon à relever son visage pour qu'elle le regarde dans les yeux, moi aussi je t'aime!
Elle avait complètement changé d'expression en l'espace de deux secondes. Ses yeux restaient toujours aussi humides, mais pas pour les même raisons.
-Je sais pas quoi te dire Ron, dit-elle en le regardant droit dans les yeux.
-Alors dit rien et embrasse-moi!
Et elle agrippa ses bras à son coup et approcha ses lèvres de celles de Ron. Pendant ce temps Harry et Wiliam était resté à l'écart, les épiant derrière un canapé, puisque les deux nouveaux tourtereaux avaient oublié leur présence. Ils se levèrent et se chuchotèrent quelques mots.
-Ho Hermione, tu ne peux pas savoir comment j'ai été stupide de te dire toutes ses âneries seulement pour te faire fâcher, question de voir comment tu est belle lorsque tu t'énerves, imita Harry.
- Et moi de même Ron! Et j'ai fait exprès pour te parler de Victor et te rendre jaloux! Dit Wiliam avec une petite voix aigu.
Hermione et Ron se lâchèrent regardant les imitations de leurs deux copains et se mirent à rire. Mais Harry et Wiliam les enviait un peu puisqu'ils semblaient totalement heureux. Puis vint enfin l'heure de descendre au banquet. Ron et Hermione prirent les devant main dans la main, et en les regardant, Harry se dit que ça faisait du bien de les voir ensemble. Puis il vint à penser à Cho. Il n'y avait pas vraiment fait attention depuis la rentrée, ou plutôt il s'était forcé à ne pas y penser puisque la mort de Cédric n'était pas très loin dans son esprit. Il se disait qu'en quelque sorte la jeune fille aussi devait y penser sans cesse, et qu'elle devait lui en vouloir, soit au moins un peu. Puis Wiliam qui marchait en avant de lui s'arrêta brusquement, poussant ainsi Harry à le percuter de plein fouet. Il s'était arrêté devant la porte de la grande salle. Il semblait ébloui par la décoration faite à cet endroit. Effectivement, c'était spectaculaire. On avait décorer d'immenses citrouilles positionner dans chaque coin de la pièce et elles étaient toutes illuminés par une chandelles déposée en leur centre. Puis, des toiles d'araignée ornait le plafond et quelques fils descendait de façon à venir toucher le nez de quelques sorciers. Le plafond ressemblait à ciel déchiré d'un orage violent et laissait échapper un éclair de temps en temps. Les fantômes parcouraient la grande salle en faisant leurs tours les plus épeurant et faisant sursauter les élèves. Une dizaines de chauves-souris avaient été relâché et virvoltaient partout. Des centaines de chandelles ornait les tables pour éclairer d'une façon lugubre la pièce. Finalement une musique ajoutait une atmosphère mystérieuse à l'endroit.
-C'est trop génial, s'exclama Wiliam devant le spectacle qui s'offrait à lui.
- Oui c'est assez bien, répondit Harry avant de continuer. Mais c'est encore mieux à Noël!
Et ils firent leur entrée, et se rendirent à la table des Griffondors. Assis, ils furent embarqué dans un tourbillon de conversations toutes les plus différentes les unes des autres. Certaines parlaient du premier match de Quidditch Serpentard vs Griffondor la semaine suivante. Une autre parlait du fait que Hermione et Ron soit désormais ensemble. Harry surprit même un bout de conversation de Lavande et Pavarati qui parlait de Wiliam en le qualifiant de "mignon". Puis il se tourna pour voir Wiliam qui criait après Dean et Seamus.
-Vous êtes vraiment imbéciles et stupides de croire tous ces racontars et de juger quelqu'un que vous ne connaissez même pas!
Harry n'avait pas vraiment suivi le fil de la conversation et se demandait bien pourquoi Wiliam hurlait comme un dément sur les deux pauvres sorciers qui semblaient ne même pas comprendre se qui leur arrivait. Il se tourna alors vers Lavande et Pavarati qui regardait la scène. Pavarati se rapprocha de lui pour commencer à lui expliquer.
-En fait il a piqué une colère parce que Dean a insulté Anastasia. Je crois que ça a commencé par une insulte fait aux Serpentards, puis Seamus a répondu «Regardes-les, tous de parfaits imbéciles qui ne savent même pas se défendre» et là Wiliam lui a dit qu'il n'était pas tous comme cela, qu'ils n'avaient qu'à regarder Anastasia. Dean ne s'est pas gêner pour ajouter que c'était vrai qu'elle était différente. Il a dit qu'elle avait toute qu'un caractère et que contrairement aux autres, elle finirait probablement mangemort, mais ne laisserait pas tomber comme son père puisqu'elle avait plus de couille! Puis Seamus a continuer qu'elle serait probablement adeptes de magie noire! Mais personnellement je crois qu'il a un peu raison, si on regarde tous les garçons qui lui cours après, elle a sûrement dût utiliser un charme!
La dernière phrase de Pavarati n'avait pas échappé à Wiliam et il se tourna vers elle.
-Toi tu penses peut-être que tu es mieux! Avec toutes tes histoires à dormir debout à propos des garçons tu n'es tout simplement que JALOUSE! Je peux pas croire qu'une bande de Griffondor comme vous puisse s'abaisser aussi bas qu'à critiquer et juger une personne qu'il ne connaisse même pas. Franchement! Il ne vous est jamais passé par la tête que peut-être cette fille était à Serpentard tout simplement à cause de quelque chose que nous ne connaissons pas d'elle? Vous n'avez pas vu qu'elle semblait avoir pleins de secrets mais qu'ils n'avaient pas tous l'air joyeux..et bien je crois que personnellement si j'avais été le choipeaux et qu'à cet instant j'avais eu à vous répartir, je vous aurais tous envoyé à Serpentard, car à se moment même, vous venez tous de vous abaissez à leur niveau!
Wiliam avait baissé le ton, mais il restais toujours dur et froid et il avait fait son effet sur les autres. Il se rassit et commença une nouvelle discussion avec Ron et Hermione. Harry remarqua que les autres tables ne s'étaient pas arrêté à écouter et qu'ils ne semblaient avoir rien vu. Ceci était mieux pour Wiliam qui se serait rapidement fait des ennemis. Puis les plats apparurent et Dean et Seamus reparlèrent à Wiliam. Ils semblèrent tous avoir oublié ce qui s'était passé un peu plus tôt dans la soirée. Enfin il croyait que tout le monde avait oublié, mais ce n'était pas tout à fait le cas. À l'autre bout de la grande salle, une certaine Serpentard avait tout entendu de la conversation et ne cessait de repenser aux paroles prononcé, pour sauver son honneur. "Mais pourquoi, pourquoi fait-il cela?" *****************************
La fin du repas arriva et tout le monde semblait s'être bien régalé. Les elfes de maisons s'étaient une fois de plus surpassé et les plats étaient tout simplement exquis. Même Hermione avait apprécié et n'avait passé aucun commentaire par rapport au surménagement fait aux elfes. Probablement parce qu'elle était trop occupée à chuchoter des petits mots doux à Ron ou à savourer les moments qu'elle passait accoté sur son torse. Harry avait surtout apprécié les desserts, mais surtout lorsqu'il avait vu l'énorme gâteau qui représentait le stade de Quidditch. Mais sa surprise avait été encore plus grande lorsqu'il avait vut les petits personnages en sucrerie qui voletait et qui affichait les couleurs de Griffondor. Évidemment à chaque table, la couleur des habits des joueurs avait changé puisque chaque maison avait la sienne. Il avait presque des regrets à avoir avaler ce magnifique chef d'?uvre, mais comme il s'averrait qu'il était excellent.. il n'en fit pas toute une histoire. Puis une fois les couverts débarrassés, Mc Gonagall vint le voir.
-Mr. Potter?
-Oui professeur?
-Mr. Le directeur aimerait vous voir dans son bureau. J'imagine que vous connaissez le chemin.
- Oui professeur.
Il se leva et lança un regard à Ron, voulant dire " Ne fait pas cette tête- là, moi non plus je ne sais pas ce qu'il me veut!" Puis avant qu'il ne parte Hermione lui chuchota:
-Tu crois qu'il sait pour le parchemin?
Et il espéra que ce n'était pas pour cela qu'il était convoquer au bureau du directeur. Si jamais Dumbledore était venu à apprendre qu'il avait volé un de ses manuscrits il pourrait être renvoyer et avoir de sérieux problèmes. Il se dit que dans ce cas il ne dénoncerais pas Hermione, Ron ou Wiliam et endosserait la parfaite responsabilité de cet acte. Mais il préféra ne plus y penser. Il arriva devant la majestueuse gargouille et souffla le mot de passe. Celle-ci céda le passage permettant ainsi à Harry d'accéder au bureau du directeur. Il frappa.
-Entrez!
Harry poussa là porte et se trouva devant un Dumbledore qui lisait la gazette du sorcier.
-Vous avez demandé à me voir professeur? Demanda-t-il essayant de contrôler sa voix pour qu'elle ne soit pas trop chevrotante.
-Effectivement, veuillez vous asseoir Harry. Ce dont j'ai à vous parler est très sérieux, dit-il l'air grave.
Harry redoutait ce moment mais ce dit que maintenant qu'il était arrivé il devrait y faire face. Il s'exécuta et prit la chaise en face de Dumbledore.
-Harry, ce que je vais te dire, est par rapport à quelqu'un qui t'es très cher.
Harry oublia complètement l'histoire du parchemin et était maintenant très attentif aux propos de Dumbledore. Y avait-il quelqu'un qu'il connaissait qui aurait des problèmes. Puis une seule personne lui vint en tête.
-Sirius! s'écria-t-il, Que lui est-il arrivé?
Il était vrai qu'il n'avait pas eut beaucoup de nouvelles depuis quelques semaines et que ce n'était pas dans l'habitude de son parrain de le laisser choir ainsi.
-Calmez vous jeune homme. Il ne lui est rien arrivé de grave, au contraire, il se porte plutôt bien. Tenez, dit-il en lui donnant la gazette du sorcier. C'est celle de demain matin, mais on me l'a envoyé plus tôt pour vous faire part de la nouvelle.
Harry prit ce que lui tendait Dumbledore et regarda la page couverture. Une image de Sirius faisait la première page. Sur cette photo, il semblait en bien meilleur forme que lorsque Harry l'avait vu pour la dernière fois. Ses cheveux semblait propre et sa barbe fraîchement coupé. De plus il abordait un sourire à faire craquer n'importe qu'elle femme. En gros titre était marqué:
"Sirius Black libéré, une énorme erreur de la part du ministère."
Harry n'en croyait pas ses yeux. Son parrain était libéré, ce qui voulait dire qu'il pourrait désormais le voir quand bon lui semblerait et qu'il pourrait peut-être même..
-Professeur, est-ce qu'il serait possible que je le vois maintenant?
-Bien sûr Harry, c'est justement pourquoi je t'ai fait venir. Il t'attend chez lui pour aller régler les problèmes concernant ton adoption! Si tu veux bien allez préparer les effets dont tu auras besoin pour les prochains jours. Harry remercia chaleureusement son directeur et partit en direction de sa tour. Il fit ses valises et fit un bond dans la grande salle pour expliquer à Hermione et Ron ce qui arrivait et leur dit qu'ils auraient les détails le lendemain dans la gazette. Il repartit alors vers le bureau de Dumbledore. Quand il se retrouva face à face il s'arrêta et regarda le directeur.
-Hum. professeur, vous ne m'avez pas dit comment me rendre chez lui, lui fit remarquer Harry.
-C'est vrai, alors tu n'a qu'à t'approcher. Tu connais la poudre de cheminette?
Il acquiesça bien que ça ne soit pas son moyen de transport préféré. Il s'installa à l'endroit indiqué et attendit. Dumbledore lança la poudre et Harry l'entendit prononcer " Chez Sirius" puis il ne vit qu'une centaines de cheminer défiler devant ses yeux. Il arriva rapidement et pour la première fois de sa vie, il retomba sur ses pieds. Il sortit dans une vaste pièce. Il déposa sa valise et aussitôt, Sirius qui avait été alerté par le bruit arriva.
-Harry!
-Siruis! Il s'avança rapidement vers son parrain, mais arrivé à quelques pas de lui, se demandait comment il devait réagir. Devait-il le serrer dans ses bras comme un père, ou simplement une poigné de main. Ils se regardèrent droit dans les yeux et après quelques secondes Harry se jeta dans ses bras. Après tout, il était comme un père pour lui!
-Je suis tellement content que tu sois enfin libre, dit-il après ce moment si émouvant.
-Pas autant que moi! Mais je voulais savoir.enfin, c'est seulement si tu veux.voudrais tu habiter ici?
Harry était totalement abasourdi par tout ce qui lui arrivait. Il n'en croyait pas ses yeux. C'était trop beau pour être vrai.
-Bien sûr, s'écria-t-il.
-Parfait.. Nous devrons seulement passer au ministère pour signer quelques documents officiels. Mais considère déjà cette maison comme la tienne.
Sirius lui fit visiter la maison de long en large et elle se révéla magnifique. Elle était grande et spacieuse. Ils finirent par la chambre qui lui était réservé, et il trouva que cette pièce était la plus belle de toute la maison. Les mûrs étaient peinturés de rouge et de fines bordures en bois qui faisaient le tour de la chambre étaient teintes de jaune ainsi que le plafond. Son lit était immense et plusieurs meubles remplissaient l'espace restant. Il se tourna vers son parrain en ne sachant pas comment le remercier. Mais Sirius semblait avoir compris et lui adressa un grand sourire.
-Je crois que c'est ce que ton père aurais voulu, dit-il en se rendant encore compte de la ressemblance entre le père et le fils. Bon il se fait tard, tu devrais peut-être te mettre au lit Harry! La journée de demain promet d'être chargé.
C'est ce qu'il fit immédiatement, mais tout en se pinçant, pour être sur qu'il ne rêvait pas. Au moment où il vint pour éteindre les lumières, il aperçut l'article que Dumbledore lui avait donner et se rendit compte qu'il n'avait même pas prit le temps de le lire. Il le saisit et se mit à la lecture.
" Sirius Black libéré, une énorme erreur de la part du ministère!"
Sirius Black, ce prétendu criminel qui a passé près de 12 ans à Azbakan et qui voilà déjà deux ans s'était échappé, a été déclaré innocent hier par monsieur notre ministre Cornelius Fudge. L'accusation contre Mr. Black n'a été qu'une énorme erreur entourant le mystère de la mort des Potters. Après que plusieurs amis et témoins soient allés témoignés, nous avons pu établir la véritable histoire. James et Lily Potter avait bel et bien eut recours à un sortilège de Fidelitas, mais n'avait pas fait de Black leur gardien, mais plutôt Peter Pettigrow,qui par la suite les a vendu à son maître, Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Le lendemain, Black dont on croyait être le responsable de la mort de Pettigrow n'était en fait là que pour venir venger ses amis. Malheureusement, Pettigrow était un animagi non déclaré, comprenant ce que Black voulait faire, se transforma en rat et lança un sortilège tuant ainsi ceux qui passaient par là. Il se fit passer pour mort et Black écopa de la sentence à sa place. Mais Pettigrow ayant été repéré par un groupe d'auror a été arrêté permettant ainsi à Black d'être relâché. Le ministère tient à offrir à monsieur Black ses plus sincères excuses pour cet erreur fondamental. Pour ce qui est de Pettigrow, alors qu'ont l'emmenait à Azbakan, il a réussi à berner la vigilance de ses escortes et à s'enfuir. Toute personne l'ayant aperçu est prié de contacter le ministère et celui ou celle qui l'attrapera se méritera une récompense.
Milare Portere
Harry avait de la difficulté à contenir toute la rage qui l'habitait au moment où il lu l'article. Pettigrow avait réussi à s'échapper et était probablement retourné vers Voldemort! Mais pourquoi ne l'avait-il pas tué alors qu'il en avait l'opportunité? Il se leva avec presse et tenta de retrouver Sirius. Il était dans sa chambre et s'apprêtait lui aussi à se mettre au lit.
-Sirius! s'écria-t-il avec fureur.
-Mais qu'est-ce qu'il y a Harry? Répondit son parrain avec la crainte qu'il soit arriver quelque chose de grave.
-Pourquoi tu ne m'as pas dit que Queudver s'était échappé?
- Et bien je croyais que tu le savais.c'était marqué dans l'article. Tu ne l,avais pas encore lu?
Harry fit signe que non et Sirius lui fit signe de s'avancer.
-Désolé, je ne savais pas. Lorsque les coronaires qui devaient l'amener jusqu'à Azbakan l'on attacher, ils n'ont pas été assez prudent et il a pris sa forme de rat et s'est sauver.
- Mais enfin. ils savaient bien que c'était un animagus, ils auraient pu prendre plus de précautions!
- Et bien il faut dire que ces grosses bêtes n'ont pas vraiment quelque chose dans la tête. Ils sont surtout là pour faire peur aux nouveaux prisonniers et les escorter!
- Comme Crabbe et Goyle, ajouta Harry qui commençait peu à peu à trouver son sang-froid.
- Oui, répliqua Sirius en riant. Toujours est-il que les deux qui l'accompagnait n'avait pas assisté au procès donc n'était pas au courant de ce petit détail.
Harry acquiesça même s'il pensait toujours qu'il était injuste que Peter soit encore en liberté.
-Bon allez Harry, maintenant il faut dormir parce que sinon demain on ne tiendra pas debout.
Harry remercia encore une fois son parrain pour tout ce qu'il avait fait pour lui et se dirigea vers sa chambre, où il ne tarda pas à s'endormir.
Le lendemain Harry, comme à son habitude, se réveilla à l'aube. Il resta quelques minutes dans son lit, à repenser à tout ce qui était arrivé depuis la veille au soir. Maintenant qu'il habitait avec son parrain, plusieurs choses changeraient. Tout d'abord il n'aurait plus à souffrir des moqueries de son énorme cousin et de son oncle et sa tante. Ensuite il pourrait maintenant voir ses amis tant qu'il voudrait. Finalement il resterait en contact avec le monde magique, donc il n'y avait plus vraiment de problème. Puis il décida de se lever sans faire de bruit pour ne pas réveiller Sirius qui dormait probablement encore.et ce pour quelques heures. Il décida de réinspecter la maison de fond en comble pour voir des détails qu'il n'aurait pas remarqué. Il remarqua des foules de petits gadgets qu'il n'avait jamais vu avant et il se demanda comment Sirius pouvait posséder tout cela et se promit de lui demander plus tard. Puis il déboucha dans le salon, endroit où il était arrivé le soir d'avant. Il n'avait pas vraiment pris le temps de l'observer, puisqu'il était alors très excité de la situation et Sirius n'avait pas jugé nécessaire de la lui remontrer. La pièce semblait très confortable et accueillante par ses couleurs chaudes. Ensuite de grandes fenêtres laissaient entrer les rayons du soleil qui se levait. Des divans étaient disposés par-ci et par-là et semblaient très douillets. Ensuite il y avait bel-et-bien la cheminée par laquelle il était arrivé et plusieurs meubles. Harry se rendit compte qu'il n'y avait pas de télévision, puisque les sorciers ne connaissaient pas ça. Il se dit qu'il ferait tenter l'expérience à Sirius qui adorerait probablement cette invention moldue. Puis il s'approcha des commodes et remarqua plusieurs cadres. Ils illustraient tous en parti James, Sirius, Lupin, Pettigrow( qui se retrouvait souvent en deuxième plan..il n'était pas particulièrement le plus apprécié des maraudeurs..). Parfois sur certains on voyaient une fille qui avait probablement été une des conquêtes des maraudeurs. Puis plus on avançait dans le temps, plus Lily se faisait présente aux côtés de James. Une des filles que Harry ne connaissait pas, était aussi là plus souvent que les autres, mais il se dit que c'était probablement une ancienne amie de sa mère. Puis une photo attira particulièrement son attention. Dessus, on pouvait voir dans le coin gauche James qui tenait Lily enlacé par la taille et la tête de sa mère posée sur l'épaule de son père. À droit il y avait Rémus qui souriait énigmatiquement et au centre, Sirius qui abordait un sourire charmeur. (Pettigrow n'était pas sur la photo, il était probablement le photographe!) Sur cette photo, ses parents semblaient tellement insouciants, ainsi que leur amis. Ils semblaient tous heureux, prêts à affronter la vie qui s'offrait à eux. S'ils avaient su.se prit Harry à penser. Il resta assit à regarder cette photo jusqu'à ce que Sirius le trouve là et vienne le rejoindre.
-Harry?
Le jeune sorcier sursauta, n'ayant pas entendu Sirius approché.
-Hum?
-Ça va?
-Sirius.. est-ce que mes parents s'aimaient autant que ce qui paraît sur cette photo?
Sirius fut surprit par la question de son neveu.
- Oh que oui. si tu savais Harry!
- Parle-moi d'eux, comment c'est arrivé!
-Et bien tout d'abord on pourrait dire que tes parents se détestaient mutuellement et se vouaient une guerre sans fin. Bien sûr, James était un élève brillant mais pas pour autant moins turbulent. Il adorait joué de sales blagues et c'est lui qui est à la base des maraudeurs. Tandis que Lily était quelque peu plus studieuse et discipliné, mais elle n'avait pas peur de la vengeance et du danger. Alors tête de mule vs tête de mule n'a fait que mettre du piquant dans nos études pendant près de 5 ans. Et nous on suivait James sans même savoir pourquoi on s'en prenait à elle. Aucun prétexte n'est nécessaire aux maraudeurs! Alors lors de leur cinquième année Lily et James ont été jumelés pour un cours de potion, et Rogue s'en ait pris à eux. Alors ils ont préparé une vengeance tous les deux et le résultats fut plus que meilleur. Résultat: Rogue se ramasse en bas-collant vert avec une couche en plein milieu de la grande salle. À partir de ce moment Lily et James ont décidé de faire leur plan diabolique en commun envers les Serpentards plutôt que l'un envers l'autre. Finalement Lily s'est rapproché des maraudeurs et faisait non-officiellement parti des maraudeurs. Puis au cours de notre sixième année d'étude, James l'avait invité à l'accompagner au bal de Noël et ils étaient apparus ensemble non sans que tout le monde s'en soit douté. Puis un jour Lily but une potion raté de "Revitalisium" et ça se révéla très dangereux et se retrouva à l'infirmerie dans un état critique. Elle n'était pas consciente, et James passait ses journées à ses côtés à lui chuchoter des mots qu'elle n'entendait pas. Puis finalement, un jour où il la croyait endormie, il lui avait fait un genre de déclaration.et la petite Lily avait tout entendu. Alors à partir de ce moment ils ont commencé à se fréquenté. Si tu veux savoir Harry, je crois que je n'ai jamais vu deux personnes aussi fidèles, aussi attachés l'un à l'autre et qui se complétaient aussi bien. Ensuite il y a la fin des études, les nouvelles possibilités, le mariage et toi! Je crois que tu connais la suite.
Harry avait d'abord été déçu que ses parents aient commencé par ce détester et avait fini par accepter l'idée en se disant qu'il fallait bien qu'il y aille un commencement. Ça devait même être plutôt drôle de les voir aller. Puis tout en écoutant Sirius, il s'était vite rendu compte qu'ils avaient profité de tout le temps qu'ils avaient eu pour s'aimer.du moins le peu de temps qu'ils avaient eu.
-Bon, je ne voudrais pas arrêter le cours de tes pensées jeune homme, mais une visite au ministère est prévu au programme et nous n'avons pas encore mangé! Dit-Sirius.
-Ministère?
-Pour les adoptions..à moins que tu ais changé d'idée durant la nuit..
-Non, s'empressa d'ajouter Harry qui n'avait pas compris la suptilitée de Sirius.
-Alors allons mangé, dit son parrain en riant.
Ils allèrent à la cuisine où Sirius fit apparaître un déjeuner digne de roi et ensuite ils se dépêchèrent de faire leur toilette et de partir vers le ministère.
-Pas encore de la poudre de cheminette? Demanda Harry avec des yeux suppliants.
-J'aimerais bien te dire non, mais sinon nous risquons d'être en retard... je crois que tu connais Cornelius Fudge..?
-D'accord pour la poudre! Ajouta Harry.
Harry passa le premier dans la cheminée et s'assura d'avoir bien articuler pour ne pas arriver à un endroit non-escompté. Il sentit les milliers de cheminées défiler autours de lui et lorsque son bras se buta contre la parois il se rappela de les coller le long de son corps. Il sentit enfin le tourbillon ralentir et sans prévenir le sol arriver sous ses pieds qui ne tinrent pas le choc. Il se retrouva donc face contre terre et couvert d'une couche de suie. L'effet de propreté était maintenant gâché. Il s'écarta pour ne pas être en plus percuté par Sirius lorsque celui-ci arriverait. Cela ne tarda pas, mais contrairement à son filleul, il atterrit impeccablement. Il scruta Harry de yeux et ne put empêcher son fou rire, avant de lancer un " Proparum".
-Il faut croire que c'est dans la famille se don de ne pas réussir à se servir correctement de ce moyen de transport. Ton père était aussi nul que toi! Ajouta-t-il en continuant toujours de rire.
Harry n'était pas vraiment sûr qu'il devait voir cela comme un compliment mais de se faire comparer à son père lui faisait tout de même un peu chaud au c?ur. Puis ils partirent à la recherche du bureau de Fudge. Le ministère était une très grande bâtisse et il était très facile de s'y perdre. Elle était divisée en plusieurs ailes, chacune selon le département auquel on travaillait. Plusieurs aires pour les cheminées et les transplaneurs avaient été aménager pour la circulation. Un tapis rouge recouvrait le sol donnant des airs de palais à l'endroit. Puis ils trouvèrent la place et s'arrêtèrent devant la porte. Sirius cogna et on vint ouvrir. À l'intérieur se trouvait le ministre lui-même entouré d'autres personnes que Harry ne connaissaient pas, mais qui devaient être très hautes placées dans la hiérarchie de la magie.
-Entrez mes amis, dit Fudge en désignant deux chaises et en serrant la main de Harry. Tant qu'à Sirius, il était un peu plus réticent à le toucher et avait de la difficulté à croire en son innocence. Il fut tout de même courtois avec lui.
-Alors vous venez pour régler les papiers concernant l'adoption de Harry je crois, dit un des hommes assis à la droite du ministre.
-Oui c'est bien ça, acquiesça Sirius.
-Très bien alors il y aura quelques endroits où vous devrez signer mais avant je voudrais savoir si Harry est bien d'accord avec cela.
-Bien sûr, s'exclama-t-il, non à la grande surprise des hommes présents.
-Bon très bien alors..
-Mais qu'est-ce qui va se passer avec les Dursleys? Enchaîna-t-il.
- Nous nous sommes penchés sur la question, et comme ils ne semblent pas être une famille très facile..nous commencerons par leur envoyer une lettre pour leur faire part de la situation et s'ils protestent nous leur ferons subir le sortilège d'amnésie sur le fait que tu as déjà fait partit de leur famille Harry. Mais seulement sur ton accord.
Harry écoutait à présent d'une oreille très distraite se qui ce disait, et était plutôt à songer que maintenant il aurait vraiment un chez soi. La pensée l'empli de joie et il accepta de signer quelques formulaires.
-Hum Harry, dit Fudge, je voudrais parler à Sirius.entre adultes. si tu vois ce que je veux dire.
-C'es beau, j'ai compris. Et il sortit, aller attendre Sirius dans le couloir. Il se demandait bien ce que lui voulait le ministre. Mais il n'eut pas plus le temps d'y penser car tout à coup, il se sentit pris de tremblement et perdit tout contact avec la réalité. Tout devint noir autour de lui.
-Harryyyyyyyyyyyyyyyyyy
Encore cette plainte. Pour la deuxième fois il l'entendait et elle lui semblait étrangement familière. Puis comme la première fois, la voie se fit plus proche, mais cette fois-ci il eut le flash de deux yeux verts, dans l'espace d'une seconde.
-Harry, la licorne, Harry n'oublie pas la licorne!
Et la voie disparut une fois de plus. Il ouvrit les yeux et vit le mur blanc du ministère devant lui. Cette fois-ci personne n'avait été alerté par son manque de présence puisqu'il s'était assit sur un banc. Il essayait de comprendre ce qui s'était passé et à qui appartenait ses beaux yeux. Et la licorne..mais quelle licorne? Puis Sirius sortit et il fit comme si rien ne s'était passé, mais en étant toujours tracassé par le mystère qui l'entourait.
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Alors vraiment j'aurais besoin de reviews pcq je vais arrêter de publier.j'ai l'impression que personne lis ma fic...au pire si elle est trop poche dites-moi le! Bon alors merci de me lire..
Les semaines qui suivirent furent plutôt calmes. Toutes la petite bande avait continué de plancher sur l'énigme qui entourait la prophétie du deuxième monde. Cependant il n'avait toujours pas réussit à trouver la signification. Ils étaient même allés dans la réserve pour essayer d'en savoir plus et avait failli se faire prendre par Rusard, sans être plus avancé. Harry n'avait plus fait de rêve concernant Anastasia, ou en rapport avec l'histoire du deuxième monde, mais continuait à rêver à la mort de Cédric et aux terribles actes de Lord Voldemort. Harry avait redemandé de la potion anti-rêves à Mrs. Pomfresh, mais elle avait refusé malgré ses nombreuses supplications. Il ne voulait pas prendre de chances de rêver une fois de plus aux misères du monde comme la nuit où il avait vu la mère d'Anastasia mourir. En même temps, cela l'avait intrigué et il aurait aimé, mieux connaître cette fille étrange, mais il ne voulait pas savoir tout ce qu'elle avait dû endurer. Ils n'avaient pas vraiment reparlé à cette fille depuis Pré-au-Lard, si ce n'était que lorsqu'ils se croisaient dans les couloirs et qu'ils s'adressaient un petit sourire ou un mince "salut". Wiliam avait bien essayer de renforcer les liens, mais cette nouvelle restait indifférente à ses efforts. Puis l'automne avançait et l'halloween était maintenant arrivé. Ce matin-là Hermione, Ron et Harry étaient assis bien confortablement devant un grand feu puisque c'était un jour de weekend. Harry continuait de lire le livre offert par Sirius, Ron entreprenait de nettoyer sa baguette, et Hermione continuait de travailler sur la prophétie.
- Hermione arrête de réfléchir comme ça, sinon ta tête va éclater.
- Hum, hum...
-Tu vois Harry, elle ne m'écoute même pas quand je lui parle, s'exclama Ron qui se serait attendu à une remarque cinglante de la part de son amie.
-Je crois qu'elle est trop concentré. Qu'est ce que tu dirai de. Et ils se regardèrent tout les deux comprenant ce que l'autre avait derrière la tête. Harry fit venir une bombe-à-mousse, acheté chez Zonko, par un sortilège d'attraction et le fit voler jusqu'à ce qu'il soit à proximité de la tête d'Hermione. Là Ron prononça la formule pour le faire exploser et.
-Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!
Hermione venait de faire un bond de presque 20 centimètres sur sa chaise. Elle se retourna vers Harry et Ron avec des yeux qui se voulaient très méchants. Sans avoir le temps de prendre gare, les deux garçons se retrouvèrent avec un coussin en pleine figure. S'en suivit alors une bataille à coup de coussins du canapé jusqu'à ce que Harry soit parvenu à maîtriser ses deux amis. Il s'effondra de nouveau dans le canapé.
-Vous savez où est Wiliam? Demanda Hermione qui avait repris son souffle.
-Non pourquoi? Dit Ron.
-Ah, je voulais le voir pour vérifier quelque chose, répondit-elle en ramassant ses effets. Je vais aller voir s'il ne serait pas à la bibliothèque.
- Il me semble que tu le vois souvent c'est temps-ci, ajouta Ron sur un ton qui se voulait de plus en plus interrogatif.
- Heu,.. Oui c'est vrai, c'est parce qu'on s'entend très bien, c'est tout, dit-elle sur un ton un peu embarrassé.
-Ah... parce que tu nous le dirais s'il y avait quelque chose entre vous?
- Heu je m'excuse mais ça, ça ne regarde que moi. Tu ne serais pas jaloux Ronald Weasley? Lança-t-elle en sortant, laissant un Ron perplexe.
-Tu vois Harry, ce qu'elle fait à ce pauvre Victor!dit-il une fois qu'elle fut hors de vue.
Harry pouffa alors de rire sous les yeux interrogateur de Ron qui ne voyait pas ce qu'il y avait de drôle. Harry se reprit et se tourna vers Ron.
-Tu crois qu'on aura un Halloween normal cette année? Lui demanda-t-il.
En effet, cette fête n'avait jamais été des plus normal pour Harry. Lors de son premier Halloween, ses parents s'étaient fait assassinés par Lord Voldemort, les autres il les avait tous passé dans un petit placard à balais. Lors de sa première année d'étude, il y avait eu un troll et Hermione avait faillit y rester. Ensuit l'année suivante ce soir-là la chambre des secrets avait été réouverte. Il y a deux ans, Sirius Black avait pénétré dans l'enceinte du château provoquant une émeute et finalement l'an dernier il avait été choisi pour être champion au tournois des trois sorciers. Harry se rendit compte, que ce n'était pas tout à fait une fête qu'il portait avidement dans son c?ur. Il en venait même à la redouter un peu. Mais que pouvait-il arriver de pire que de tomber face à face avec Voldemort? Rien alors, il ne voyait pas pourquoi il avait à s'inquiéter puisque c'était déjà arriver plusieurs fois, et que celui-ci, qui était maintenant le danger actuel, n'avait aucune chance de pénétrer à l'intérieur de l'enceinte de Poudlard.
-Je croirais qu'il sera des plus normal, Harry, lui répondit Ron avec un grand sourire.
Harry ne sembla pas rassuré pour autant, mais décida de bien profiter de ce petit moment de festivité. Durant le reste de la journée, ils vaquèrent tous à des occupations les unes plus différentes des autres. Finalement, ils finirent tous sur les même canapés que le matin, et faisait tous quelque chose de leur main, avant que la fête ne commence. Harry continuait de lire son livre, alors que Ron et Wiliam avait une discussion sur le Quidditch et Hermione regardait le feu, perdu dans ses pensées.
- Hé, il parle de vous dans mon livre, s'exclama Harry. Il y a un paragraphe sur Ron et sur Hermione!
Tout le petit groupe s'était alors retourné vers Harry qui commença sa lecture.
- "Ronald Weasley est un des meilleurs amis de Harry Potter. Lors des nombreuses aventures vécus par notre petit héros, cet ami fidèle se trouvait à ses côtés, l'aidant grâce à son savoir-faire et son courage. Sa débrouillardise et son sens de l'humour font de lui quelqu'un de spécial, complétant bien l'équipe qu'il fait avec Harry Potter."
Ron avait tourné au rouge pivoine. Il abordait un sourire fier mais gêné. Harry comprenait un peu puisque son ami avait toujours été dans l'ombre. Il n'était que le meilleur ami, ou bien le frère. Et pour une fois, il avait une occasion de se démarquer.
-" Hermione Granger fait aussi parti du trio infernal. Elle prenait aussi part aux dangereuses confrontations et péripéties de notre jeune sorcier. Elle l'a plusieurs fois aidé grâce à son intelligence remarquable et son sang-froid.
Hermione s'était callé dans son fauteuil dès qu'Harry avait commencé la lecture.
Elle est très ami avec ce dernier, et lors du tournois de trois sorciers, une rumeur a circulé qu'elle était peut-être la petite amie de Harry Potter. Le tout a été nié par ce dernier, mais est-ce qu'elle serait plus qu'une simple amie?"
Hermione avait retrouvé ses couleurs normales et semblaient maintenant indigné de ce qu'ils avaient écrit à propos de la relation Harry/elle et ses yeux lançaient des éclairs. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais fut interrompu par Ron qui semblait encore plus en colère qu'elle.
-Hermione Granger! À quoi tu joues? D'abord tu commences par courir après Victor lors du tournois, ensuite tu passes tes vacances avec lui, mais dès que Wiliam arrive en bout de ligne tu le laisse pour lui. Et maintenant c'est Harry! Non, mais ça va pas? Tu pourrais pas te brancher?
Elle s'était rapproché dangereusement de Ron lorsqu'il avait dit cela, mais exceptionnellement il n'avait pas bougé d'un poil.
-Me brancher sur quoi? Dit-elle étrangement calme, ce qui eut pour effet de déstabiliser Ron.
-Heu.ben.sur celui que tu veux, tu pourras pas passer ta vie à courir après trois garçons! Répondit-il légèrement embarassé.
- D'accord alors laisse-moi te dire que le choix n'est pas difficile!
Sur ces derniers mots, elle s'était de plus en plus rapproché et n'était plus qu'à quelques centimètres du rouquin. Puis tout se précipita et Harry ne vit plus que ses deux amis lèvres contre lèvres et qui s'étreignaient. Ils se laissèrent quelques secondes plus tard se regardant avec un sourire gêné.
-Heu, Hermione, c'était quoi ça?
- Un baiser! Dit-elle en baissant les yeux vers le sol.
Ron avait parlé d'un ton étrange. On ne pouvait percevoir si il était content, ou si il avait détesté. Cela eut pour effet de mettre Hermione dans le doute du geste qu'elle venait de poser.
- C'est parce que..parce que.tu m'as demandé de choisir.et puis.mon choix était déjà fait..mais si jamais tu veux pas.je comprends.et non plus je ne veux pas briser.notre amitié. avait-elle enchaîner toujours en regardant ses pieds, sous les yeux septique et quelques peu glacial de Ron. Ses yeux étaient maintenant embués et Ron ne tarda pas à le remarquer.
-Hermione, dit-il d'une voix plus douce en lui prenant le menton de façon à relever son visage pour qu'elle le regarde dans les yeux, moi aussi je t'aime!
Elle avait complètement changé d'expression en l'espace de deux secondes. Ses yeux restaient toujours aussi humides, mais pas pour les même raisons.
-Je sais pas quoi te dire Ron, dit-elle en le regardant droit dans les yeux.
-Alors dit rien et embrasse-moi!
Et elle agrippa ses bras à son coup et approcha ses lèvres de celles de Ron. Pendant ce temps Harry et Wiliam était resté à l'écart, les épiant derrière un canapé, puisque les deux nouveaux tourtereaux avaient oublié leur présence. Ils se levèrent et se chuchotèrent quelques mots.
-Ho Hermione, tu ne peux pas savoir comment j'ai été stupide de te dire toutes ses âneries seulement pour te faire fâcher, question de voir comment tu est belle lorsque tu t'énerves, imita Harry.
- Et moi de même Ron! Et j'ai fait exprès pour te parler de Victor et te rendre jaloux! Dit Wiliam avec une petite voix aigu.
Hermione et Ron se lâchèrent regardant les imitations de leurs deux copains et se mirent à rire. Mais Harry et Wiliam les enviait un peu puisqu'ils semblaient totalement heureux. Puis vint enfin l'heure de descendre au banquet. Ron et Hermione prirent les devant main dans la main, et en les regardant, Harry se dit que ça faisait du bien de les voir ensemble. Puis il vint à penser à Cho. Il n'y avait pas vraiment fait attention depuis la rentrée, ou plutôt il s'était forcé à ne pas y penser puisque la mort de Cédric n'était pas très loin dans son esprit. Il se disait qu'en quelque sorte la jeune fille aussi devait y penser sans cesse, et qu'elle devait lui en vouloir, soit au moins un peu. Puis Wiliam qui marchait en avant de lui s'arrêta brusquement, poussant ainsi Harry à le percuter de plein fouet. Il s'était arrêté devant la porte de la grande salle. Il semblait ébloui par la décoration faite à cet endroit. Effectivement, c'était spectaculaire. On avait décorer d'immenses citrouilles positionner dans chaque coin de la pièce et elles étaient toutes illuminés par une chandelles déposée en leur centre. Puis, des toiles d'araignée ornait le plafond et quelques fils descendait de façon à venir toucher le nez de quelques sorciers. Le plafond ressemblait à ciel déchiré d'un orage violent et laissait échapper un éclair de temps en temps. Les fantômes parcouraient la grande salle en faisant leurs tours les plus épeurant et faisant sursauter les élèves. Une dizaines de chauves-souris avaient été relâché et virvoltaient partout. Des centaines de chandelles ornait les tables pour éclairer d'une façon lugubre la pièce. Finalement une musique ajoutait une atmosphère mystérieuse à l'endroit.
-C'est trop génial, s'exclama Wiliam devant le spectacle qui s'offrait à lui.
- Oui c'est assez bien, répondit Harry avant de continuer. Mais c'est encore mieux à Noël!
Et ils firent leur entrée, et se rendirent à la table des Griffondors. Assis, ils furent embarqué dans un tourbillon de conversations toutes les plus différentes les unes des autres. Certaines parlaient du premier match de Quidditch Serpentard vs Griffondor la semaine suivante. Une autre parlait du fait que Hermione et Ron soit désormais ensemble. Harry surprit même un bout de conversation de Lavande et Pavarati qui parlait de Wiliam en le qualifiant de "mignon". Puis il se tourna pour voir Wiliam qui criait après Dean et Seamus.
-Vous êtes vraiment imbéciles et stupides de croire tous ces racontars et de juger quelqu'un que vous ne connaissez même pas!
Harry n'avait pas vraiment suivi le fil de la conversation et se demandait bien pourquoi Wiliam hurlait comme un dément sur les deux pauvres sorciers qui semblaient ne même pas comprendre se qui leur arrivait. Il se tourna alors vers Lavande et Pavarati qui regardait la scène. Pavarati se rapprocha de lui pour commencer à lui expliquer.
-En fait il a piqué une colère parce que Dean a insulté Anastasia. Je crois que ça a commencé par une insulte fait aux Serpentards, puis Seamus a répondu «Regardes-les, tous de parfaits imbéciles qui ne savent même pas se défendre» et là Wiliam lui a dit qu'il n'était pas tous comme cela, qu'ils n'avaient qu'à regarder Anastasia. Dean ne s'est pas gêner pour ajouter que c'était vrai qu'elle était différente. Il a dit qu'elle avait toute qu'un caractère et que contrairement aux autres, elle finirait probablement mangemort, mais ne laisserait pas tomber comme son père puisqu'elle avait plus de couille! Puis Seamus a continuer qu'elle serait probablement adeptes de magie noire! Mais personnellement je crois qu'il a un peu raison, si on regarde tous les garçons qui lui cours après, elle a sûrement dût utiliser un charme!
La dernière phrase de Pavarati n'avait pas échappé à Wiliam et il se tourna vers elle.
-Toi tu penses peut-être que tu es mieux! Avec toutes tes histoires à dormir debout à propos des garçons tu n'es tout simplement que JALOUSE! Je peux pas croire qu'une bande de Griffondor comme vous puisse s'abaisser aussi bas qu'à critiquer et juger une personne qu'il ne connaisse même pas. Franchement! Il ne vous est jamais passé par la tête que peut-être cette fille était à Serpentard tout simplement à cause de quelque chose que nous ne connaissons pas d'elle? Vous n'avez pas vu qu'elle semblait avoir pleins de secrets mais qu'ils n'avaient pas tous l'air joyeux..et bien je crois que personnellement si j'avais été le choipeaux et qu'à cet instant j'avais eu à vous répartir, je vous aurais tous envoyé à Serpentard, car à se moment même, vous venez tous de vous abaissez à leur niveau!
Wiliam avait baissé le ton, mais il restais toujours dur et froid et il avait fait son effet sur les autres. Il se rassit et commença une nouvelle discussion avec Ron et Hermione. Harry remarqua que les autres tables ne s'étaient pas arrêté à écouter et qu'ils ne semblaient avoir rien vu. Ceci était mieux pour Wiliam qui se serait rapidement fait des ennemis. Puis les plats apparurent et Dean et Seamus reparlèrent à Wiliam. Ils semblèrent tous avoir oublié ce qui s'était passé un peu plus tôt dans la soirée. Enfin il croyait que tout le monde avait oublié, mais ce n'était pas tout à fait le cas. À l'autre bout de la grande salle, une certaine Serpentard avait tout entendu de la conversation et ne cessait de repenser aux paroles prononcé, pour sauver son honneur. "Mais pourquoi, pourquoi fait-il cela?" *****************************
La fin du repas arriva et tout le monde semblait s'être bien régalé. Les elfes de maisons s'étaient une fois de plus surpassé et les plats étaient tout simplement exquis. Même Hermione avait apprécié et n'avait passé aucun commentaire par rapport au surménagement fait aux elfes. Probablement parce qu'elle était trop occupée à chuchoter des petits mots doux à Ron ou à savourer les moments qu'elle passait accoté sur son torse. Harry avait surtout apprécié les desserts, mais surtout lorsqu'il avait vu l'énorme gâteau qui représentait le stade de Quidditch. Mais sa surprise avait été encore plus grande lorsqu'il avait vut les petits personnages en sucrerie qui voletait et qui affichait les couleurs de Griffondor. Évidemment à chaque table, la couleur des habits des joueurs avait changé puisque chaque maison avait la sienne. Il avait presque des regrets à avoir avaler ce magnifique chef d'?uvre, mais comme il s'averrait qu'il était excellent.. il n'en fit pas toute une histoire. Puis une fois les couverts débarrassés, Mc Gonagall vint le voir.
-Mr. Potter?
-Oui professeur?
-Mr. Le directeur aimerait vous voir dans son bureau. J'imagine que vous connaissez le chemin.
- Oui professeur.
Il se leva et lança un regard à Ron, voulant dire " Ne fait pas cette tête- là, moi non plus je ne sais pas ce qu'il me veut!" Puis avant qu'il ne parte Hermione lui chuchota:
-Tu crois qu'il sait pour le parchemin?
Et il espéra que ce n'était pas pour cela qu'il était convoquer au bureau du directeur. Si jamais Dumbledore était venu à apprendre qu'il avait volé un de ses manuscrits il pourrait être renvoyer et avoir de sérieux problèmes. Il se dit que dans ce cas il ne dénoncerais pas Hermione, Ron ou Wiliam et endosserait la parfaite responsabilité de cet acte. Mais il préféra ne plus y penser. Il arriva devant la majestueuse gargouille et souffla le mot de passe. Celle-ci céda le passage permettant ainsi à Harry d'accéder au bureau du directeur. Il frappa.
-Entrez!
Harry poussa là porte et se trouva devant un Dumbledore qui lisait la gazette du sorcier.
-Vous avez demandé à me voir professeur? Demanda-t-il essayant de contrôler sa voix pour qu'elle ne soit pas trop chevrotante.
-Effectivement, veuillez vous asseoir Harry. Ce dont j'ai à vous parler est très sérieux, dit-il l'air grave.
Harry redoutait ce moment mais ce dit que maintenant qu'il était arrivé il devrait y faire face. Il s'exécuta et prit la chaise en face de Dumbledore.
-Harry, ce que je vais te dire, est par rapport à quelqu'un qui t'es très cher.
Harry oublia complètement l'histoire du parchemin et était maintenant très attentif aux propos de Dumbledore. Y avait-il quelqu'un qu'il connaissait qui aurait des problèmes. Puis une seule personne lui vint en tête.
-Sirius! s'écria-t-il, Que lui est-il arrivé?
Il était vrai qu'il n'avait pas eut beaucoup de nouvelles depuis quelques semaines et que ce n'était pas dans l'habitude de son parrain de le laisser choir ainsi.
-Calmez vous jeune homme. Il ne lui est rien arrivé de grave, au contraire, il se porte plutôt bien. Tenez, dit-il en lui donnant la gazette du sorcier. C'est celle de demain matin, mais on me l'a envoyé plus tôt pour vous faire part de la nouvelle.
Harry prit ce que lui tendait Dumbledore et regarda la page couverture. Une image de Sirius faisait la première page. Sur cette photo, il semblait en bien meilleur forme que lorsque Harry l'avait vu pour la dernière fois. Ses cheveux semblait propre et sa barbe fraîchement coupé. De plus il abordait un sourire à faire craquer n'importe qu'elle femme. En gros titre était marqué:
"Sirius Black libéré, une énorme erreur de la part du ministère."
Harry n'en croyait pas ses yeux. Son parrain était libéré, ce qui voulait dire qu'il pourrait désormais le voir quand bon lui semblerait et qu'il pourrait peut-être même..
-Professeur, est-ce qu'il serait possible que je le vois maintenant?
-Bien sûr Harry, c'est justement pourquoi je t'ai fait venir. Il t'attend chez lui pour aller régler les problèmes concernant ton adoption! Si tu veux bien allez préparer les effets dont tu auras besoin pour les prochains jours. Harry remercia chaleureusement son directeur et partit en direction de sa tour. Il fit ses valises et fit un bond dans la grande salle pour expliquer à Hermione et Ron ce qui arrivait et leur dit qu'ils auraient les détails le lendemain dans la gazette. Il repartit alors vers le bureau de Dumbledore. Quand il se retrouva face à face il s'arrêta et regarda le directeur.
-Hum. professeur, vous ne m'avez pas dit comment me rendre chez lui, lui fit remarquer Harry.
-C'est vrai, alors tu n'a qu'à t'approcher. Tu connais la poudre de cheminette?
Il acquiesça bien que ça ne soit pas son moyen de transport préféré. Il s'installa à l'endroit indiqué et attendit. Dumbledore lança la poudre et Harry l'entendit prononcer " Chez Sirius" puis il ne vit qu'une centaines de cheminer défiler devant ses yeux. Il arriva rapidement et pour la première fois de sa vie, il retomba sur ses pieds. Il sortit dans une vaste pièce. Il déposa sa valise et aussitôt, Sirius qui avait été alerté par le bruit arriva.
-Harry!
-Siruis! Il s'avança rapidement vers son parrain, mais arrivé à quelques pas de lui, se demandait comment il devait réagir. Devait-il le serrer dans ses bras comme un père, ou simplement une poigné de main. Ils se regardèrent droit dans les yeux et après quelques secondes Harry se jeta dans ses bras. Après tout, il était comme un père pour lui!
-Je suis tellement content que tu sois enfin libre, dit-il après ce moment si émouvant.
-Pas autant que moi! Mais je voulais savoir.enfin, c'est seulement si tu veux.voudrais tu habiter ici?
Harry était totalement abasourdi par tout ce qui lui arrivait. Il n'en croyait pas ses yeux. C'était trop beau pour être vrai.
-Bien sûr, s'écria-t-il.
-Parfait.. Nous devrons seulement passer au ministère pour signer quelques documents officiels. Mais considère déjà cette maison comme la tienne.
Sirius lui fit visiter la maison de long en large et elle se révéla magnifique. Elle était grande et spacieuse. Ils finirent par la chambre qui lui était réservé, et il trouva que cette pièce était la plus belle de toute la maison. Les mûrs étaient peinturés de rouge et de fines bordures en bois qui faisaient le tour de la chambre étaient teintes de jaune ainsi que le plafond. Son lit était immense et plusieurs meubles remplissaient l'espace restant. Il se tourna vers son parrain en ne sachant pas comment le remercier. Mais Sirius semblait avoir compris et lui adressa un grand sourire.
-Je crois que c'est ce que ton père aurais voulu, dit-il en se rendant encore compte de la ressemblance entre le père et le fils. Bon il se fait tard, tu devrais peut-être te mettre au lit Harry! La journée de demain promet d'être chargé.
C'est ce qu'il fit immédiatement, mais tout en se pinçant, pour être sur qu'il ne rêvait pas. Au moment où il vint pour éteindre les lumières, il aperçut l'article que Dumbledore lui avait donner et se rendit compte qu'il n'avait même pas prit le temps de le lire. Il le saisit et se mit à la lecture.
" Sirius Black libéré, une énorme erreur de la part du ministère!"
Sirius Black, ce prétendu criminel qui a passé près de 12 ans à Azbakan et qui voilà déjà deux ans s'était échappé, a été déclaré innocent hier par monsieur notre ministre Cornelius Fudge. L'accusation contre Mr. Black n'a été qu'une énorme erreur entourant le mystère de la mort des Potters. Après que plusieurs amis et témoins soient allés témoignés, nous avons pu établir la véritable histoire. James et Lily Potter avait bel et bien eut recours à un sortilège de Fidelitas, mais n'avait pas fait de Black leur gardien, mais plutôt Peter Pettigrow,qui par la suite les a vendu à son maître, Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Le lendemain, Black dont on croyait être le responsable de la mort de Pettigrow n'était en fait là que pour venir venger ses amis. Malheureusement, Pettigrow était un animagi non déclaré, comprenant ce que Black voulait faire, se transforma en rat et lança un sortilège tuant ainsi ceux qui passaient par là. Il se fit passer pour mort et Black écopa de la sentence à sa place. Mais Pettigrow ayant été repéré par un groupe d'auror a été arrêté permettant ainsi à Black d'être relâché. Le ministère tient à offrir à monsieur Black ses plus sincères excuses pour cet erreur fondamental. Pour ce qui est de Pettigrow, alors qu'ont l'emmenait à Azbakan, il a réussi à berner la vigilance de ses escortes et à s'enfuir. Toute personne l'ayant aperçu est prié de contacter le ministère et celui ou celle qui l'attrapera se méritera une récompense.
Milare Portere
Harry avait de la difficulté à contenir toute la rage qui l'habitait au moment où il lu l'article. Pettigrow avait réussi à s'échapper et était probablement retourné vers Voldemort! Mais pourquoi ne l'avait-il pas tué alors qu'il en avait l'opportunité? Il se leva avec presse et tenta de retrouver Sirius. Il était dans sa chambre et s'apprêtait lui aussi à se mettre au lit.
-Sirius! s'écria-t-il avec fureur.
-Mais qu'est-ce qu'il y a Harry? Répondit son parrain avec la crainte qu'il soit arriver quelque chose de grave.
-Pourquoi tu ne m'as pas dit que Queudver s'était échappé?
- Et bien je croyais que tu le savais.c'était marqué dans l'article. Tu ne l,avais pas encore lu?
Harry fit signe que non et Sirius lui fit signe de s'avancer.
-Désolé, je ne savais pas. Lorsque les coronaires qui devaient l'amener jusqu'à Azbakan l'on attacher, ils n'ont pas été assez prudent et il a pris sa forme de rat et s'est sauver.
- Mais enfin. ils savaient bien que c'était un animagus, ils auraient pu prendre plus de précautions!
- Et bien il faut dire que ces grosses bêtes n'ont pas vraiment quelque chose dans la tête. Ils sont surtout là pour faire peur aux nouveaux prisonniers et les escorter!
- Comme Crabbe et Goyle, ajouta Harry qui commençait peu à peu à trouver son sang-froid.
- Oui, répliqua Sirius en riant. Toujours est-il que les deux qui l'accompagnait n'avait pas assisté au procès donc n'était pas au courant de ce petit détail.
Harry acquiesça même s'il pensait toujours qu'il était injuste que Peter soit encore en liberté.
-Bon allez Harry, maintenant il faut dormir parce que sinon demain on ne tiendra pas debout.
Harry remercia encore une fois son parrain pour tout ce qu'il avait fait pour lui et se dirigea vers sa chambre, où il ne tarda pas à s'endormir.
Le lendemain Harry, comme à son habitude, se réveilla à l'aube. Il resta quelques minutes dans son lit, à repenser à tout ce qui était arrivé depuis la veille au soir. Maintenant qu'il habitait avec son parrain, plusieurs choses changeraient. Tout d'abord il n'aurait plus à souffrir des moqueries de son énorme cousin et de son oncle et sa tante. Ensuite il pourrait maintenant voir ses amis tant qu'il voudrait. Finalement il resterait en contact avec le monde magique, donc il n'y avait plus vraiment de problème. Puis il décida de se lever sans faire de bruit pour ne pas réveiller Sirius qui dormait probablement encore.et ce pour quelques heures. Il décida de réinspecter la maison de fond en comble pour voir des détails qu'il n'aurait pas remarqué. Il remarqua des foules de petits gadgets qu'il n'avait jamais vu avant et il se demanda comment Sirius pouvait posséder tout cela et se promit de lui demander plus tard. Puis il déboucha dans le salon, endroit où il était arrivé le soir d'avant. Il n'avait pas vraiment pris le temps de l'observer, puisqu'il était alors très excité de la situation et Sirius n'avait pas jugé nécessaire de la lui remontrer. La pièce semblait très confortable et accueillante par ses couleurs chaudes. Ensuite de grandes fenêtres laissaient entrer les rayons du soleil qui se levait. Des divans étaient disposés par-ci et par-là et semblaient très douillets. Ensuite il y avait bel-et-bien la cheminée par laquelle il était arrivé et plusieurs meubles. Harry se rendit compte qu'il n'y avait pas de télévision, puisque les sorciers ne connaissaient pas ça. Il se dit qu'il ferait tenter l'expérience à Sirius qui adorerait probablement cette invention moldue. Puis il s'approcha des commodes et remarqua plusieurs cadres. Ils illustraient tous en parti James, Sirius, Lupin, Pettigrow( qui se retrouvait souvent en deuxième plan..il n'était pas particulièrement le plus apprécié des maraudeurs..). Parfois sur certains on voyaient une fille qui avait probablement été une des conquêtes des maraudeurs. Puis plus on avançait dans le temps, plus Lily se faisait présente aux côtés de James. Une des filles que Harry ne connaissait pas, était aussi là plus souvent que les autres, mais il se dit que c'était probablement une ancienne amie de sa mère. Puis une photo attira particulièrement son attention. Dessus, on pouvait voir dans le coin gauche James qui tenait Lily enlacé par la taille et la tête de sa mère posée sur l'épaule de son père. À droit il y avait Rémus qui souriait énigmatiquement et au centre, Sirius qui abordait un sourire charmeur. (Pettigrow n'était pas sur la photo, il était probablement le photographe!) Sur cette photo, ses parents semblaient tellement insouciants, ainsi que leur amis. Ils semblaient tous heureux, prêts à affronter la vie qui s'offrait à eux. S'ils avaient su.se prit Harry à penser. Il resta assit à regarder cette photo jusqu'à ce que Sirius le trouve là et vienne le rejoindre.
-Harry?
Le jeune sorcier sursauta, n'ayant pas entendu Sirius approché.
-Hum?
-Ça va?
-Sirius.. est-ce que mes parents s'aimaient autant que ce qui paraît sur cette photo?
Sirius fut surprit par la question de son neveu.
- Oh que oui. si tu savais Harry!
- Parle-moi d'eux, comment c'est arrivé!
-Et bien tout d'abord on pourrait dire que tes parents se détestaient mutuellement et se vouaient une guerre sans fin. Bien sûr, James était un élève brillant mais pas pour autant moins turbulent. Il adorait joué de sales blagues et c'est lui qui est à la base des maraudeurs. Tandis que Lily était quelque peu plus studieuse et discipliné, mais elle n'avait pas peur de la vengeance et du danger. Alors tête de mule vs tête de mule n'a fait que mettre du piquant dans nos études pendant près de 5 ans. Et nous on suivait James sans même savoir pourquoi on s'en prenait à elle. Aucun prétexte n'est nécessaire aux maraudeurs! Alors lors de leur cinquième année Lily et James ont été jumelés pour un cours de potion, et Rogue s'en ait pris à eux. Alors ils ont préparé une vengeance tous les deux et le résultats fut plus que meilleur. Résultat: Rogue se ramasse en bas-collant vert avec une couche en plein milieu de la grande salle. À partir de ce moment Lily et James ont décidé de faire leur plan diabolique en commun envers les Serpentards plutôt que l'un envers l'autre. Finalement Lily s'est rapproché des maraudeurs et faisait non-officiellement parti des maraudeurs. Puis au cours de notre sixième année d'étude, James l'avait invité à l'accompagner au bal de Noël et ils étaient apparus ensemble non sans que tout le monde s'en soit douté. Puis un jour Lily but une potion raté de "Revitalisium" et ça se révéla très dangereux et se retrouva à l'infirmerie dans un état critique. Elle n'était pas consciente, et James passait ses journées à ses côtés à lui chuchoter des mots qu'elle n'entendait pas. Puis finalement, un jour où il la croyait endormie, il lui avait fait un genre de déclaration.et la petite Lily avait tout entendu. Alors à partir de ce moment ils ont commencé à se fréquenté. Si tu veux savoir Harry, je crois que je n'ai jamais vu deux personnes aussi fidèles, aussi attachés l'un à l'autre et qui se complétaient aussi bien. Ensuite il y a la fin des études, les nouvelles possibilités, le mariage et toi! Je crois que tu connais la suite.
Harry avait d'abord été déçu que ses parents aient commencé par ce détester et avait fini par accepter l'idée en se disant qu'il fallait bien qu'il y aille un commencement. Ça devait même être plutôt drôle de les voir aller. Puis tout en écoutant Sirius, il s'était vite rendu compte qu'ils avaient profité de tout le temps qu'ils avaient eu pour s'aimer.du moins le peu de temps qu'ils avaient eu.
-Bon, je ne voudrais pas arrêter le cours de tes pensées jeune homme, mais une visite au ministère est prévu au programme et nous n'avons pas encore mangé! Dit-Sirius.
-Ministère?
-Pour les adoptions..à moins que tu ais changé d'idée durant la nuit..
-Non, s'empressa d'ajouter Harry qui n'avait pas compris la suptilitée de Sirius.
-Alors allons mangé, dit son parrain en riant.
Ils allèrent à la cuisine où Sirius fit apparaître un déjeuner digne de roi et ensuite ils se dépêchèrent de faire leur toilette et de partir vers le ministère.
-Pas encore de la poudre de cheminette? Demanda Harry avec des yeux suppliants.
-J'aimerais bien te dire non, mais sinon nous risquons d'être en retard... je crois que tu connais Cornelius Fudge..?
-D'accord pour la poudre! Ajouta Harry.
Harry passa le premier dans la cheminée et s'assura d'avoir bien articuler pour ne pas arriver à un endroit non-escompté. Il sentit les milliers de cheminées défiler autours de lui et lorsque son bras se buta contre la parois il se rappela de les coller le long de son corps. Il sentit enfin le tourbillon ralentir et sans prévenir le sol arriver sous ses pieds qui ne tinrent pas le choc. Il se retrouva donc face contre terre et couvert d'une couche de suie. L'effet de propreté était maintenant gâché. Il s'écarta pour ne pas être en plus percuté par Sirius lorsque celui-ci arriverait. Cela ne tarda pas, mais contrairement à son filleul, il atterrit impeccablement. Il scruta Harry de yeux et ne put empêcher son fou rire, avant de lancer un " Proparum".
-Il faut croire que c'est dans la famille se don de ne pas réussir à se servir correctement de ce moyen de transport. Ton père était aussi nul que toi! Ajouta-t-il en continuant toujours de rire.
Harry n'était pas vraiment sûr qu'il devait voir cela comme un compliment mais de se faire comparer à son père lui faisait tout de même un peu chaud au c?ur. Puis ils partirent à la recherche du bureau de Fudge. Le ministère était une très grande bâtisse et il était très facile de s'y perdre. Elle était divisée en plusieurs ailes, chacune selon le département auquel on travaillait. Plusieurs aires pour les cheminées et les transplaneurs avaient été aménager pour la circulation. Un tapis rouge recouvrait le sol donnant des airs de palais à l'endroit. Puis ils trouvèrent la place et s'arrêtèrent devant la porte. Sirius cogna et on vint ouvrir. À l'intérieur se trouvait le ministre lui-même entouré d'autres personnes que Harry ne connaissaient pas, mais qui devaient être très hautes placées dans la hiérarchie de la magie.
-Entrez mes amis, dit Fudge en désignant deux chaises et en serrant la main de Harry. Tant qu'à Sirius, il était un peu plus réticent à le toucher et avait de la difficulté à croire en son innocence. Il fut tout de même courtois avec lui.
-Alors vous venez pour régler les papiers concernant l'adoption de Harry je crois, dit un des hommes assis à la droite du ministre.
-Oui c'est bien ça, acquiesça Sirius.
-Très bien alors il y aura quelques endroits où vous devrez signer mais avant je voudrais savoir si Harry est bien d'accord avec cela.
-Bien sûr, s'exclama-t-il, non à la grande surprise des hommes présents.
-Bon très bien alors..
-Mais qu'est-ce qui va se passer avec les Dursleys? Enchaîna-t-il.
- Nous nous sommes penchés sur la question, et comme ils ne semblent pas être une famille très facile..nous commencerons par leur envoyer une lettre pour leur faire part de la situation et s'ils protestent nous leur ferons subir le sortilège d'amnésie sur le fait que tu as déjà fait partit de leur famille Harry. Mais seulement sur ton accord.
Harry écoutait à présent d'une oreille très distraite se qui ce disait, et était plutôt à songer que maintenant il aurait vraiment un chez soi. La pensée l'empli de joie et il accepta de signer quelques formulaires.
-Hum Harry, dit Fudge, je voudrais parler à Sirius.entre adultes. si tu vois ce que je veux dire.
-C'es beau, j'ai compris. Et il sortit, aller attendre Sirius dans le couloir. Il se demandait bien ce que lui voulait le ministre. Mais il n'eut pas plus le temps d'y penser car tout à coup, il se sentit pris de tremblement et perdit tout contact avec la réalité. Tout devint noir autour de lui.
-Harryyyyyyyyyyyyyyyyyy
Encore cette plainte. Pour la deuxième fois il l'entendait et elle lui semblait étrangement familière. Puis comme la première fois, la voie se fit plus proche, mais cette fois-ci il eut le flash de deux yeux verts, dans l'espace d'une seconde.
-Harry, la licorne, Harry n'oublie pas la licorne!
Et la voie disparut une fois de plus. Il ouvrit les yeux et vit le mur blanc du ministère devant lui. Cette fois-ci personne n'avait été alerté par son manque de présence puisqu'il s'était assit sur un banc. Il essayait de comprendre ce qui s'était passé et à qui appartenait ses beaux yeux. Et la licorne..mais quelle licorne? Puis Sirius sortit et il fit comme si rien ne s'était passé, mais en étant toujours tracassé par le mystère qui l'entourait.
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Alors vraiment j'aurais besoin de reviews pcq je vais arrêter de publier.j'ai l'impression que personne lis ma fic...au pire si elle est trop poche dites-moi le! Bon alors merci de me lire..
