Chapitre 11
NA: Bon alors comme certains ont remarqué, le dernier chapitre était disons inspiré de l'idée de base de Alohomora dans sa fic "Les portes" (qui est excellente, je vous conseille de la lire). J'espère que cet auteur ne m'en voudras pas d'avoir utiliser en quelques sortes son idée... Et pour la suite, tout vient de moi...et je ne crois pas qu'il puisse avoir confusion avec ce qu'Alohomora peut écrire. Je vous assure que je ne suis pas une plagieuse! (Personne ne l'a reproché, mais vaut mieux prévenir que guérir!)
NA(2): Dsl ça été vraiment long pour celui-ci, mais j'ai eu des bigs prob d'ordi!
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Une semaine avait passé, mais l'école au grand complet était toujours en état de choc. Le lendemain de la tragédie, plusieurs familles avaient demander que leur jeune soit de retour à la maison, dans l'éventuel possibilité qu'il y ait une autre attaque. Le château s'était pratiquement vidé en une seule journée. Harry était resté, n'ayant pas de famille où aller. Hermione avait rejoint ses parents, mais Ron, Ginny et les jumeaux étaient restés, car Molly et Arthur Weasley étaient aller rejoindre Bill en Égypte pour les fêtes. Lorsqu'ils avaient appris la nouvelle, ils avaient écrit à leurs progéniture pour les avertir de leur retour imminent, mais Ron leur avait réécris pour leur dire que ce n'était pas nécessaire, que Dumbledore veillait sur eux. Harry avait donc eut de la compagnie, mais le château avait perdu de sa gaieté. Certains élèves blessés avaient pu quitter l'infirmerie, mais une majorité était toujours en convalescence. Quant à ceux qui n'avait pas eu autant de chance, on avait veiller à lancer un sortilège de conservation sur leur corps, et on organiserait les enterrements, une fois la neige fondue. Anastasia était toujours entre la vie et la mort, son état ne s'améliorant pas. Madame Pomfresh commençait à désespéré et essayait de convaincre les proches que peut-être elle irait rejoindre les anges. Wiliam était abattu par la nouvelle, mais continuait d'espérer. Il passait tout son temps à l'infirmerie auprès d'elle, ne la quittant que quelques fois pour aller dormir. Harry se demandait qu'est-ce qui arriverait, si elle succombait de cette blessure. Il ne savait pas exactement ce qui se passait entre Anastasia et Wiliam, mais il s'en doutait et il savait très bien que ce serait difficile pour celui-ci. Un autre qui semblait avoir de la difficulté à croire qu'Anastasia ne survivrait pas, c'était Rogue. Harry l'avait croisé à quelques reprises dans les couloirs, et chaque fois, il lui avait semblé de plus en plus fatigué. Même si la jeune Serpentard s'obstinait à le voir, Severus Rogue avait des sentiments envers elle, et peut importe ce qu'il avait pu faire dans le passé, il regrettait et cherchait à être près d'elle. Maintenant, peut-être qu'il serait trop tard, mais il ne renonçait pas, et chaque fois qu'il en avait le temps, il allait rejoindre Wiliam et s'assoyait au chevet de sa fille.
Le temps que ceux qui avaient désertés l'école pour les vacances reviennent, était arrivé, et ce fut non sans une grande joie qu'Harry vit qu'Hermione était revenue, tout aussi rayonnante. Peut de temps après l'attaque qui visait Poudlard, Voldemort avait continué ses nombreuses activités sanguinaires et de plus en plus, on voyait un nouveau mort par semaine dans une famille où l'un des membres étaient moldu. Et tout le monde savait très bien qu'Hermione descendait de deux parents moldus. Cela faisait chaud au c?ur de la revoir, toujours aussi souriante et belle. Ron semblait d'autant plus heureux, après s'être tant inquiété et ennuyé. Il s'empressa d'aller la rejoindre, pour lui souhaiter la bienvenue, à sa manière. Définitivement, ses deux-là étaient fait pour aller ensemble. Tranquillement, il se décida à s'approcher de sa copine, voyant que la démonstration d'affection des deux tourtereaux était terminée.
-Harry, -dit-elle joyeusement, un sourire dans le visage.
-Salut Hermione, tu nous a bien manqué! -répondit-il.
-Alors pas de nouveau? Enchaîna-t-elle, tout en baissant le ton de sa voix, de façon à ce que ceux qui les entouraient ne les entendent pas.
Les visage que fit Harry à ce moment lui indiqua que les deux garçons n'avaient pas vraiment réussis à avancer dans ce domaine. Cependant, elle pouvait les comprendre, sachant très bien que tous étaient préoccupés par ce qui arrivait à Poudlard. Elle même, n'avait pas cherché à trouver la solution à cette énigme. Elle avait plutôt cherché à comprendre ce qui était arrivé ce soir-là. Comment un être vivant peut être cruel au point d'enlever la vie à des centaines de gens, sans être pris de remords? Bien sûr, tout le monde avait un jour pensez cela, mais on se le demandait bien plus, lorsqu'il agissait sur des personnes de votre entourage. Nombreuses fois, elle avait essayé de se mettre dans la mentalité du mage noire, mais à chaque fois, elle avait renoncé, dégoûtée par ce qu'elle essayait de faire. Une chose cependant était sûre pour elle. Jamais, au grand jamais, elle ne se metterait de son côté.
-Et Anastasia?
-Ça empire à chaque jour.
Hermione sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle ne connaissait pas beaucoup cette fille, mais pour les quelques fois où elle lui avait parlé, elle avait bien vu qu'elle était spéciale. Et puis il y avait bien quelque chose entre elle et Wiliam.
Ron s'approcha et passa ses bras autour de sa taille, histoire de la réconforter. À ce moment, Harry se sentit de trop, et décida de partir vers l'infirmerie, pour tenir compagnie à Wiliam. En chemin, il croisa Malfoy qui se dirigeait vers le même endroit que lui.
-Malfoy?
-Bien vu Potter! Dit-il sarcastiquement.
Le regard que lui lança Harry, lui rappela qu'il avait promis d'essayer de faire équipe avec lui, contre l'ascension de Voldemort.
-Tu vas à l'infirmerie, toi aussi? Demanda-t-il au blond.
-Oui, Wiliam, il m'a fait demander d'urgence! J'imagine qu'il a eu vent des rumeurs qui circule sur quoi je savais ce qui allait se passer et maintenant je vais passer un sale quart d'heure. -il fit une mine dégoûté.
Harry vint presque à le prendre en pitié, sachant très bien que si c'était pour cette raison que Wiliam voulait le voir, il risquait effectivement de passer un mauvais moment. Tous les deux avancèrent en silence jusqu'au lieu de repos des blessées et doucement, ils poussèrent la porte, pour ne pas déranger cette atmosphère paisible qui y régnait. Malgré cette ambiance lourde, plusieurs élèves étaient maintenant rétablis, et ceux qui étaient toujours en convalescence avait tous en majorité presque terminé leur séjour, ce qui coïncidait avec le début des cours. On ne craignait plus pour la vie des blesser, si ce n'était d'Anastasia, car sinon, ceux qui n'avait pu se remettre des dommages causés par les serpents et démons, étaient déjà partis. Tous les deux s'avancèrent jusqu'au lit de la Serpentard, après avoir convaincu Mrs. Pomfresh qu'ils ne resteraient que quelques minutes. Harry aperçut Wiliam le premier et quand celui-ci le vit, il eut un mince sourire, qui disparut pour laisser place à un regard mauvais en apercevant Malfoy.
-Alors Wiliam? Elle va mieux? Demanda le Griffondor à lunette.
Ce dernier ne prit pas le temps de répondre à sa question.
-T'es vraiment sale Malfoy, dit-il d'une voix grinçante.
Ce dernier se contenta de soutenir son regard sans rien ajouter.
-Tu trouves rien à dire pour te défendre cette fois-ci? Après tout ça doit bien te faire plaisir de voir tous ces gens qui ont été tués et blessés par ton maître! Je te jure que si je n'étais pas à Poudlard et que je risquait de faire honte à ma maison, je t'en mettrais une bonne dans la figure pour te montrer c'est quoi de souffrir. Finalement tu ne vaux pas mieux que ton père!
-Je t'interdit de me comparer à lui, siffla le blond entre ses dents, essayant de retenir toute sa colère, tout en faisant face à celle de son adversaire.
-Et pourquoi? Parce que finalement, t'es comme lui, tu ne vaux rien, t'es juste une sale vipère qui rampe au pied d'un homme même pas vivant qui s'amuse à tuer des innocents!
-Parle pas de ce que tu sais pas Wiliam Wright!
-J'ai aucun ordre à recevoir de ta part sale fils de mangemort! Et je sais très bien de quoi je parle, regarde la souffrir et tu vas peut-être comprendre tout le mal que toi et ceux de ta race font! Tu penses qu'elle méritait de finir ses jours écorché vivante? Ça aurait dût être toi à sa place! -Hurla-t-il de rage.
Au même moment, Mrs. Pomfresh arriva et leur pria de faire moins de bruit pour ne pas déranger Anastasia.
-Mais à quoi bon faire moins de bruit, elle est entre la vie et la mort et ne nous entend même pas!, dit-il à l'infirmière qui tourna les talons, furieuse qu'on ose lui parler sur ce ton, après tout ce qu'elle faisait.
-Wiliam veux-tu m'écouter deux...-
-Arrête tout de suite, j'ai pas du tout envie d'entendre ce que le meurtrier que tu es a à me dire. Parce que c'est ça que t'es! T'as beau dire que c'est ton maître qui a agit, mais t'es aussi responsable, t'aurais pu empêcher tout ça, mais t'es trop lâche, tout ce que tu sais faire c'est rester à regarder les actes immonde de Voldemort! C'est de ta faute, t'es qu'un lâche.
-C'est ça, je suis un lâche, un hypocrite, un meurtrier, TOUT EST DE MA FAUTE! C'est ça que tu voulais entendre? -lâcha Drago, fou de colère.
Wiliam le regarda et sans prévenir lui donna un coup de poing près de l'?il. Il récidiva, et Drago restait là, sans bouger à attraper les coups. Au bout du deuxième poings, Harry décida d'intervenir et prit Wiliam, et le balança par terre, pour l'immobiliser.
-Mais qu'est-ce que tu fais Harry? Il doit payer! Si Anastasia meurt, lui aussi!
-Wiliam tu vas te calmer, dit Harry d'une voix agressive. -Tu vas écouter ce que j'ai à te dire. Drago savait ce qui allait se produire mais il était obliger de garder le silence, sous le contrôle d'un charme! Il n'a pas voulu ce qui est arrivé et il est avec nous. Il va nous aider à savoir ce que prépare Voldemort.
Wiliam regardait Harry et Drago avec des yeux suspicieux. Est-ce qu'il devait le croire? Après tout, Harry était un de ses meilleurs amis. Tranquillement il se releva et se retrouva face à Malfoy.
-Je suis désolé, je croyais que tu étais au courant et que tu aurais pu changer quoi que ce soit. Dit-il sincèrement.
-Y'a rien, articula difficilement Malfoy.
Madame Pomfresh qui avait été alerté par le bruit de la bagarre arriva et quelle fut sa surprise de voir Malfoy Le coin de l'?il en sang, et la lèvres aussi. Elle l'amena à son bureau et alors qu'il passait devant Harry, malgré toute la volonté que cela lui coûtait, il murmura un faible "Merci".
Pendant que l'infirmière soignait Malfoy, Harry s'approcha du lit où reposait la belle Serpentard. Il n'y avait rien d'apparent lorsqu'on la regardait dormir. Elle était toujours aussi belle, et ressemblait à n'importe qui qui se retrouverais à l'infirmerie pour une raison bidon. Cependant, Wiliam baissa la couverture et remonta le gilet de la jeune fille, jusqu'à sa poitrine. Une longue et profonde entaille parcourait le ventre de la jeune fille, jusqu'au début de la poitrine. La plaie était toujours très ouverte, et on pouvait voir qu'elle était infectée. Rien de très beau et qui prédisait une guérison proche. Cette déchirure avait endommagé ses poumons et le son qu'elle produisait alors qu'elle respirait ne présageait rien de bon.
Le spectacle ébranla Harry qui fit signe à Wiliam de recouvrir Anastasia. Ce dernier le fit lassement, et s'assit près de la jeune femme, tout en lui prenant la main.
-Qu'est-ce que je vais faire Harry? Je ne pourrai pas continuer de vivre si elle meurt.- Dit-il les yeux embué par cette perspective.
Harry ne savait pas comment réagir face à ce qui arrivait. Ce même Wiliam qui quelques minutes plus tôt se battait avec Malfoy était maintenant devant lui, triste et vulnérable devant la mort.
-Il faudra continuer Wiliam. Après tout, tu sais très bien que c'est ce qu'elle aurait voulu. Elle ne voudrait certainement pas que tu t'apitoie sur ton sort.
-Ne parle pas comme ça, on dirait qu'elle est déjà morte.
-Désolé...
-C'est rien, mais tu vois, c'est tellement dur de voir quelqu'un que tu aimes partir. Juste au moment où je lui avais promis que jamais plus personne ne lui ferais de mal. Pour une promesse, disons que c'est plutôt raté. Mais je l'aime tellement, je peux pas croire qu'elle va partir, elle est bien trop jeune!
Un son rauque se fit alors entendre et tous les deux se retournèrent vers la jeune sorcière qui semblaient se débattre contre des démons que seul elle pouvait voir. Soudainement, elle fut pris de convulsions et Wiliam cria à Harry d'aller chercher Mrs. Pomfresh. Ce ne fut pas long avant que celle-ci arrive au chevet de la malade. Les yeux inquiets qui s'affichèrent sur son visage indiquèrent à Harry d'aller chercher Dumbledore. Cependant, elle le retint et lui dit d'aller chercher Severus Rogue à la place. Elle envoya un fantôme chercher le directeur. Lorsqu'il retourna sur les lieux, son professeur de potion à ses trousses, la pièce avait été aménagé, de façon à ce que personne ne puisse entrer, et que les autres résidants ne voient pas ce qui se passent. Au centre, Anastasia s'agitait toujours, et semblait plus mal en point que jamais. Ses yeux s'ouvraient parfois, lassant voir les deux pupilles tourner dans leurs orbites. Près d'elle, Mrs. Pomfresh faisait tout ce qui était en son possible pour faire baisser la fièvre. Wiliam restait près, tenant toujours la main de la jeune femme, qui restait agripper à lui. Dumbledore restait proche et continuait de l'examiner et d'essayer des sorts pour contrer l'effet. Lorsque Rogue vit dans quel état sa fille se trouvait, son visage devint limpide, et il s'approcha de Dumbledore, pour lui demander ce qui arrivait.
-Je ne sais pas Severus. Il semblerait qu'elle soit sous l'effet d'un sort et qu'elle soit en train de se débattre, contre une force maléfique. Je ne peux rien faire, seule elle pourra réussir à lutter. Cependant, je ne peux pas vous cacher qu'après cet affront, elle aura encore plus perdu de ses capacités. Elle retomberas dans un était de coma, mais les chances qu'elle survive sont très mince.
Rogue s'approcha alors de sa fille et passa une main dans ses longs cheveux bruns.
-D'abord Alyssa et maintenant elle?, demanda-t-il comme si quelqu'un avait la réponse à sa question. Il se pencha et donna un léger baiser sur la joue de sa fille, y laissant la trace d'une larme. Il resta agenouillé près d'elle, et il en serait ainsi jusqu'à ce qu'elle soit enfin libérer de cette torture qu'elle vivait, où personne ne pouvait lui venir en aide.
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-Jamais, jamais je ne me rallierai à vous! M'entendez-vous?
Une silhouette sombre se tenait dans l'ombre. Elle s'avança tranquillement, et on pu nettement distinguer une longue tunique noire, couvrant un homme à l'allure squelettique. Deux yeux rouges perçaient et paralysaient lorsqu'on les regardait. Un capuchon était posé sur sa tête, empêchant de distinguer s'il y avait des cheveux ou pas.
-Ma chère enfant, tu n'as pas le choix! Siffla-t-il.
-Vous avez tué ma mère, et après cela, vous croyez que je vais aller vous rejoindre dans votre camp? Jamais Lord Voldemort! Jamais.
Anastasia était retenue prisonnière, elle ne savait où. Un endroit qu'elle n'avait jamais vu au par avant. Elle était liée, par elle ne savait quel sort, à une grosse roche et il était impossible pour elle de s'enfuir. Face à elle se tenait le seigneur des ténèbres, baguette à la main. Autour d'eux, il n'y avait rien si ce n'était que des rochers. Mais derrière Voldemort, une bulle s'était formé contre la parois de la falaise et à l'intérieur, on pouvait voir des centaines et des centaines de gens, dans un endroit apparament très triste. Aucune émotion sur les visage des gens, comme s'ils n'étaient pas réellement vivants. Aucune couleur s'offrait au paysage, où tout était gris, fané. Même l'herbe était entre le jaune et le gris. Des arbres poussaient de travers, aucune feuille au bout de leurs branche. Rien de très réjouissant.
-J'imagine que tu te demandes ce que c'est, -dit-il en regardant Anastasia qui se tenait droite et fière, mais sans cesser de regarder ce paysage si étrange.
-Non, pas du tout- dit elle froidement, -Je sais très bien ce que c'est.
-Quelle audace jeune fille. Sache que personne ne me parle sur ce ton. "Ravivum"!
Un sort jaune sortit de la baguette et alla la percuter de plein fouet. Il atteignit la plaie qui avait été formé par le démon, et celle-ci se mit à saigner et à la brûler. Depuis près de quelques heures, il la tenait ici, elle ne savait comment et lui faisait subir le martyr. Quelle sorte de magie pratiquait-il pour connaître des sorts auquel elle n'avait jamais fait la connaissance. Depuis longtemps, elle avait le goût de tout abandonner, de rester la et de se laisser mourir. Mais elle savait qu'elle n'était pas en droit d'abandonner. Elle devait le faire pour sa mère, pour cette femme, pour Wiliam... Wiliam, il lui manquait. Elle savait bien qu'elle aurait dût le tenir éloigné. Une fois de plus, elle était la cause de l'enfer qu'il devait vive en ce moment. Et cela n'était rien à côté de ce qui se préparait. Mais elle allait résister, et elle pourrait revoir ses beaux yeux bleus, ses cheveux noirs, si doux. Elle pourrait de nouveau sentir ses douces lèvres contre sa peau. Elle ne devait pas tout lâcher maintenant. C'est pourquoi, elle retint ses cris de douleurs, et qu'elle se força à rester droite, malgré l'atroce douleur qui la consumait.
-Je vois que tu joues l'indifférente!
-Je vois que vous me connaissez très mal! -lança-t-elle sarcastiquement.
-Je sais très bien qui tu es Anastasia Rogue! Ton père était un de mes partisans, j'ai tué ta mère et je sais très bien que tu renfermes une force unique en toi! -lui lança-t-il à la figure.
Celle-ci eu de la difficulté à garder son sang froid, mais elle persista, en se disant que s'énerver, pleurer, ou crier n'arrangerait rien.
-J'espère que vous n'en êtes pas fier! Ajouta-t-elle avec un regard si froid, qu'il aurait fait frémir n'importe qui.
Celui-ci lui retourna et cette fois, elle ne put empêcher son frisson. Qu'allait-il faire? Lui envoyer un autre sort dans sa blessure pour la faire souffrir une fois de plus?
-Ma chère enfant, pour la dernière fois je vais te le demander. Si tu refuses, je serai obligé d'utiliser des moyens qui te forcerons à m'aider dans ce que je veux réaliser.
Anastasia savait bien que peut importe les menaces qu'on lui ferais, elle ne lierait pas ses forces à celles de Voldemort. Cependant, elle n'avait rien à perdre, et décida de tenter le tout pour le tout, histoire de savoir pourquoi il avait besoin d'elle et pour faire quoi.
-Je ne crois pas que cela soit nécessaire, lança-t-elle toujours aussi sarcastiquement.
-Est-ce que je peux comprendre que...-
-Je n'ai rien dit d'affirmatif! Mais avant d'accepter quoi que ce soit, j'aimerais mieux savoir dans quoi je m'embarque.
Voldemort la regarda et à ce moment, elle se sentit sondé, de la tête au pied. Elle se força donc à barrer sa tête, de façon à ce qu'il ne puisse pas lire dans ses pensées.
-Tu me bloques l'accès à ta tête? Dit-il avec un rire qui sonna faux. Malheureusement, tu n'est pas assez puissante pour moi. Je sais très bien que tu veux me soutirer des informations. Mais j'ai été surpris de voir que tu as réussis à bloquer la section où les souvenirs par rapport à ton père sont sensés être.
-Je ne le bloque pas, c'est seulement parce qu'il n'y en a pas.
-Je ne dirais pas ça. Mais toujours est-il que tu m'as mentit. «Aspiritius»!
Un autre sort vint la percuter, et cette fois-ci, ce fut comme si un feu s'était allumé à l'intérieur d'elle-même. Elle put ne retenir le cri, qui déchira le silence lugubre. Elle se tordait de douleur, tout en cherchant un moyen de faire arrêter cette torture. Impossible de s'enfuir, tant qu'il ne romprais pas le sort qui la retenait prisonnière ici.
-"Impero"! -lança-t-il.
Le sort impardonnable vint la fouetter, et elle sentit l'univers qui l'entourait disparaître. Elle devait se concentrer et lutter contre la voix de son mentor.
-" Maintenant, tu vas m'écouter et m'obéir! Tu vas rejoindre mes rangs et m'aider à détruire le deuxième...-
-JAMAIS!!!!!!!-hurla-t-elle.
Voldemort la regarda stupéfait.
-Vous semblez avoir oublié que j'ai étudié à Drumstang, et que j'ai appris à me défendre et mieux connaître les sorts impardonnables! -dit-elle, un sourire sordide sur les lèvres. -Vous avez baissez votre garde pendant que vous lanciez le sort, et c'est ce qui vous mènera à la défaite Lord Voldemort!
Sur ce, elle se concentra bien fort, et en un éclair, Voldemort, la bulle et le décors disparurent, la laissant retombé dans un état de coma.
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-Dumbledore! Elle semble s'être calmée!- dit Mrs. Pomfresh au bord de la panique.
L'infirmière n'avait pas cessé de s'occuper de sa patiente depuis que le dure combat dans sa tête avait commencé. Une compresse par-ci, un remède par-là. Mais on pouvait voir l'inquiétude sur son visage, qui laissait voir qu'elle avait peur de perdre Anastasia.
Dumbledore s'approcha et regarda la jeune femme endormie. Il soupira longuement et se tourna vers l'infirmière.
-Votre verdict Pom Pom?
-Je ne peux pas vous cacher que je suis très inquiète. Sa blessure qui a recommencé à saigner et à s'infecter me met dans le doute le plus profond. Je ne veux pas trop m'avancer, mais je crois bien que vous devrez faire votre deuil d'Anastasia. -Dit-elle tristement.
Severus Rogue qui était toujours agenouillé près de sa fille se leva et partit rapidement en direction de son cachot. Harry était persuadé qu'il voulait vivre sa peine seul. Quant à Wiliam s'était comme s'il avait appris que le monde allait être anéanti. Son visage était blanc, et ses yeux étaient vides, sans expression. Il voulait pleurer, crier, tout détruire, mais il ne pouvait pas, car rien ne viendrait à bout d'apaiser son chagrin.
Harry décida de le laisser seul avec Anastasia et partit en direction de la tour. Des millions de questions se bousculaient dans sa tête. Il ne comprenait pas pourquoi ce devait être elle qui devait partir. Pourquoi il avait fallu que ces démons s'en prenne à des personnes autour de lui. Qu'est ce qui c'était passé dans la tête d'Anastasia? Il savait qu'elle avait été particulièrement visé, mais il ne savait pas pourquoi. Elle devait avoir quelque chose de très spécial. Pourquoi seul elle avait été pris de convulsions, et pas tous ceux qui avaient été blessés? Puis quelque chose lui revint en mémoire. Le rêve, celui qu'il avait fait quelque mois plutôt, et ce Dumbledore lui avait dit. Il courut en direction de son dortoir et bouscula accidentellement Lavande au passage. Ron et Hermione qui l'avait vu entrer en tornade se précipitèrent à ses trousses. Harry arriva près de son lit et trouva ce qu'il cherchait. Il déroula le parchemin et relut:
" Un jour,
quand deux êtres s'élèveront,
Un autre sera détruit,
Les forces du bien,
Affronterons le mal,
Ils combattrons,
Jusqu'à ce qu'il n'y aille plus qu'un,
Quand les étoiles s'accrocherons,
La licorne aidera,
Ils devrons passer de l'autre côté,
Pour rejoindre ceux qu'ils vont sauver,
Mais quand les étoiles tomberons,
S'ils sont resté,
Les mondes ne seront sauvés. "
-C'est elle! -s'exclama Harry
-Quoi? Dirent Ron et Hermione qui semblait croire qu'Harry avait pété un plomb.
-Les deux être qui s'élèveront se sera Anastasia et moi, et nous devrons aller secourir les gens du deuxième monde!
-Harry? Tu te rends compte de ce que tu dis, -laissa Ron
-Qu'est-ce qui te fait penser ça, -ajouta Hermione.
-Pensez-y, dans le rêve où je voyais sa mère mourir, Voldemort venait chercher Anastasia et c'est seulement parce que sa mère ne voulait pas lui donner qu'il l'a tué. Ensuite, lorsque j'ai raconté mon rêve à Dumbledore, je lui ai dit que je ne comprenait pas pourquoi j'aivais pu voir ça, puisque je n'avais aucun lien avec Anastasia, et il m'a dit que je me trompais peut-être. Finalement, Anastasia vient de livrer un combat contre Voldemort, qui avait pris possession de son esprit. Pourquoi il n'y a qu'à elle que ça l'a fait ça, alors que les autres qui avaient été mordu il ne s'est rien passé? Il a besoin d'elle comme il a besoin de moi, et elle est son ennemi comme je suis le siens. Elle doit renfermer une force qu'on ne connaît pas, mais Voldemort le sait et veut l'éliminer tout comme il veut faire avec moi!
Ron et Hermione restaient devant lui, essayant de ne pas laisser passer un détail important dans ce qu'Harry venait de découvrir et d'apprendre.
-Il faudrait que Wiliam soit là, il en sait peut-être plus que nous sur cette fille, ajouta Hermione.
-Il est resté à l'infirmerie, pour veiller sur Anastasia qui vit peut-être ses derniers moments, -dit Harry.
-Quoi? Dirent Ron et Hermione surpris.
-Oui, le combat dont je vous ai parlé l'a achevé...
-Mais qu'est-ce qu'on va faire si tu ne t'ai pas trompé et que son aide est nécessaire?
-Je ne sais pas Ron, mais pour l'instant je crois que nous pouvons juste attendre.
Les deux autre acquiescèrent et le trio descendit lâchement dans la salle commune.
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-Harryyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy..... Vite, tu n'as plus de temps à perdre. Bientôt les ténèbres s'ouvriront. Allies-toi à elle et venez nous aidez!
Harry ouvrit soudainement les yeux. Malgré les rideaux qui entouraient son lit, il pouvait constater qu'il faisait nuit, et qu'une fois de plus, il se réveillait d'un cauchemar. Mais était-ce vraiment un rêve. Il n'en était plus sûr. Cette voix, il l'avait entendu et cela l'avait réveiller, mais se pouvait-il qu'il soit tombé évanouie comme les autres fois? Puis, plus il essayait de se rappeler, la voie devenait de plus en plus claire. Une voie si familière, il en avait souvenir, mais l'avait si peu entendu. Il n'arrivait toujours pas à la replacer.
Il prit une feuille qui était déposée près de son lit et nota ce qu'il avait entendu pour ne rien oublier, et retomba sur ses couvertures, espérant retrouver assez rapidement le sommeil. Au moment où ses paupières devenaient lourdes, la réponse à sa question le frappa. La voie, il savait à qui elle appartenait. Mais c'était impossible. À moins que...
Il se leva, enfila un pantalon et un chandail. Il regarda la carte des maraudeurs et il constata qu'elle était bien dans ses appartements. En silence, sa cape d'invisibilité sur les épaules, il descendit les escalier qui le menait au portrait de la grosse dame.
"Chocogrenouille" chuchota-t-il.
Elle le laissa passer, sans vraiment comprendre ce qui arrivait, mais avant qu'elle n'est pu demander qui la réveillait à cet heure, Harry était déjà bien loin dans les couloirs. Il marcha pendant quelques minutes, faisant bien attention de ne pas tomber face à face avec Rusard ou miss teigne. Finalement, il arriva à sa destination.
Il cogna trois petits coups discrets et après quelques minutes on vint enfin lui ouvrir.
-Harry? Mais qu'est-ce que tu fais ici et à cet heure? -demanda la femme.
-Mrs. Heiggan, j'ai besoin de votre aide! -plaida-t-il.
Elle le regarda surprise, puis le laissa entrer. Il pénétra à l'intérieur des appartements de sa professeur de défense contre les forces du mal. Elle lui fit signe de passer au salon et de s'asseoir dans un des canapés. L'endroit était très chaleureux. Soit peinturé de bleu poudre ou de jaune pâle, la pièce était très chaleureuse. On pouvait facilement dénoter que sa propriétaire avait de très bons goût en matière de décoration. Les meubles étaient tous en bois et semblaient anciens, vu les motifs qui les ornaient. Sur chacun se trouvaient plusieurs objets magiques qu'Harry avait vu chez Sirius.
Mrs. Heiggan vint s'asseoir dans le divan face à lui, mais soudain un bruit se fit entendre. Au bout du couloir, on put voir une silhouette se dessiner. Puis, plus elle s'approchait, plus Harry la reconnaissait. Il s'agissait de Sirius, qui avait enfiler une robe de chambre, par-dessus son boxer. Il semblait être encore endormie et Harry l'avait probablement réveillé.
-Harry? -sursauta-t-il, le voyant assis dans son salon avec sa copine.
Celui-ci lui fit un grand sourire, devant cet air éberlué.
-Sirius, je t,avais dit que tu pouvais resté couché, -le réprimanda doucement Emy.
-Et bien je me suis levé parce que je m'inquiétais pour toi chérie. Tu ne revenais pas alors je me suis dit que peut-être tu t'étais fait capturé ou peut importe...-
-C'est trop gentil, -dit-elle en lui donnant un petit câlin sur la joue. -Mais se serait mieux encore, si tu nous préparais du thé!
Sirius soupira et repartit en direction de la cuisine.
-Alors Harry...Qu'est-ce que tu voulais me dire.
-Mrs. Heiggan...-
-Apelle-moi Emy quand nous sommes en dehors des cours...
-D'accord, alors Emy, vous connaissiez bien ma mère, non?
-Bien sûr, comme je te l,ai dit, c'était une de mes meilleures amies.
-Vous disiez qu'il était possible d'exercer le "Teletempra" même si on ne voyait pas la personne avec qui on voulait entrer en contact!
-C'est ça, mais il faut être très puissant, très peu en sont capable.
-Ma mère l'était-elle? Demanda-t-il.
-Ta mère? Oui, en effet, elle est la seule personne que je n'ai jamais connu qui avait réussi à le faire. Elle était très forte...
Au même moment, Sirius arriva, un plateau à la main. Le portrait était assez cliché, et Harry dût retenir son fou rire devant Sirius, femme au foyer.
-Vous en voulez? Demanda-t-il, concentrez à ne rien renversé.
-Désolé Sirius, mais je dois repartir...
-Mais Harry...-
-Ne t'en fait pas..., -Il s'était levé et s'apprêtait à se diriger vers la sortie. - En passant, le tablier ça te va très bien.
Et il ferma doucement la porte derrière lui, sans avoir donner le temps à Emy de lui demander le pourquoi de ses questions et à Sirius le pourquoi de sa présence. Tout commençait à devenir plus clair maintenant. La voie qu'il entendait, c'était celle de Lily, celle de sa mère. À cause de la brèche causer par Lord Voldemort alors qu'il voulait contrôler le deuxième monde, elle pouvait entrer en contact avec lui. Sa mère se trouvait donc bel et bien dans ce deuxième monde et elle avait besoin de son aide. Il devait vite en parler avec Anastasia et tous les deux devraient sauver ce monde, et par le fait même, le leur, qui en découlait. Mais au moins, il était maintenant sur le même pied d'égalité que Voldemort. Il en savait autant que lui, ayant chacun une prophétie entre les mains et si le mage noir avait su comment rejoindre le deuxième monde, Lily lui aurait sûrement dit. C'était au moins ça comme bonne nouvelle.
Tranquillement, il alla rejoindre son lit, et cette fois-ci il s'endormit rapidement, dans un réveil sans rêve.
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Le dernier jour avant le retour cours normaux était déjà arrivé. Hermione avait été surpris par la tranquillité qui régnait au château, puisqu'elle avait été absente pendant les jours qui avaient suivi la tragédie. Une centaines d'élèves, même si ce n'était pas énorme à côté du nombre qu'il y avait dans le château, ça ne passait pas inaperçu. Mais les gens, malgré le deuil qu'ils vivaient, semblaient continuer à vivre, et peu à peu, les élèves avaient retrouvé leur joie de vivre.
Harry, Ron et Hermione se tenait devant la porte de l'infirmerie.
-Ça va Mione, parce qu'on peut revenir un autre jo...-
-Ça va Ron, le rassura-t-elle.
Tous les trois étaient venus voir Anastasia puisque c'était leur dernière occasion avant de reprendre les classes. Cependant, encore une fois dût à son absence, Hermione n'avait pas revu Anastasia, et elle savait très bien que c'était peut-être la dernière fois qu'elle le pourrait, puisque son état ne s'était pas améliorer dans les derniers jours. Elle était tout de même un peu craintive dans le fait de la voir sur son lit de mort. Mais elle avait Ron et Harry avec elle.
Ils poussèrent la porte et se dirigèrent vers le lit où elle reposait. Wiliam était toujours à ses côtés.
Hermione s'approcha et constata que la Serpentard se ressemblait toujours autant, et était toujours aussi belle, malgré la maladie qui la rongeait. Ses yeux fermés, ajoutait cependant de la mélancolie et de la souffrance à son visage. Elle approcha sa main pour la poser sur le front d'Anastasia, mais elle ne pu retenir un cri lorsqu'elle avait touché cette peau si froide, cette peau morte.
Ron s'était approché et l'avait enlacé de ses bras, l'éloignant de ce spectacle, et séchant les larmes qui coulaient sur ses joues. Elle n'avait pas bien réaliser l'ampleur de ce qui arrivait. Cette fille, elle comprenait maintenant, qu'elle ne la reverrait plus dans les couloirs, que jamais ses yeux glacées scruterais Rogue, qu'indéfiniment ses paupières resteraient fermés. Elle leva les yeux vers Wiliam, alors que Ron essayait de la calmer, et elle pu y lire une détresse encore plus grande.
Tranquillement, elle se défit de l'emprise de Ron, et elle se dirigea lentement vers Wiliam, et le serra dans ses bras. Elle savait que Ron comprendrait. Ce n'était pas elle qui avait besoin d'être consolé, mais bien lui. Depuis des jours, il veillait au chevet de cette fille, sans que personne n'est pensé à lui apporté réconfort. Mais ce qui devait se passer dans sa tête devait être insupportable. Comme si elle devait se résoudre à quitter Ron. Les larmes recommencèrent, et une fois que Wiliam lui eut assurer que ça allait, elle retourna au près de son copain.
-Qu'est-ce que tu vas faire demain, -demanda-t-elle une fois calmé, bien installé dans l'étreinte de Ron.
-Je n'en sais rien. Mc Gonagall est venue me voir et m'a dit qu'il serait meiux que je reprenne les cours. Mais je ne peux pas me résoudre à l'abandonner, ne serait-ce qu'une minute. Et si elle décidait de franchir le pas alors que je ne suis pas là. Peut m'importe de savoir que je dois mettre 4 champignons pour faire du veritasium si elle est ici et livre un combat contre la mort. Elle a besoin de moi.
Hermione ne dit rien, même si en temps que préfète elle aurait du le convaincre de retourner en classe. Elle comprenait sa souffrance.
-Je ne peux pas me résoudre à la laisser partir...
-Mais il faudra bien, -dit lacement Harry.
-Je sais, mais je l'aime tellement. Elle ne peut pas partir comme ça, j'ai encore besoin d'elle...-
-Moi aussi j'ai besoin de toi Wiliam. - prononça difficilement une voie.
Celui-ci se retourna et aperçu Anastasia qui avait ouvert les yeux. Le trio comprit qu'il était temps pour eux de partir et de laisser les deux amoureux ensembles, mais ce ne fut pas sans un c?ur léger qu'ils retournèrent à leur tour.
-Anastasia, tu veux que j'appelle Mrs. Pomfresh?
-Non, attend...
-J'ai tellement eu peur...-dit-il.
-Wiliam, il faut que je te le dise, je t'aime, et peut importe ce qui arrivera, je t'aimerais toujours, même si un jour tu veux t'éloigner de moi parce que je te suis trop dangereuse...
-Jamais, jamais cela n'arriveras. Je serai toujours avec toi, peut importe les conséquences que cela aura. J'ai tellement eu peur de te perdre.
-Et moi tellement de ne jamais te revoir, -dit-elle les yeux embuées.
Sur ce, il se pencha et lui donna un tendre baiser, mais qui exprimait toute sa passion. Leurs lèvres entré en contact en cherchait toujours plus et leur langue se cherchaient et ne voulaient plus se séparer.. Au bout de quelques minutes, ils se séparèrent et se regardèrent. Puis Anastasia fut pris d'une crise et sa respiration se fit plus rauque encore. Wiliam appela l'infirmière qui ne prit pas de temps à maîtriser la situation. Quel ne fut pas sa surprise lorsqu'elle examina sa patiente et constata qu'elle était toujours dans un état critique, mais désormais hors de danger.
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Wow! Un vrai miracle...Ansatasia va pas mourir!!!! Chu sûre que vous vous en doutiez pas!!!!!!!!!!! Bon ok je dois avouer que c'était quand même prévisible, mais ça aurait été poche de la faire partir alors qu'on sait maintenant qu'elle a un lien et que Harry a besoin de son aide!
Aussi, je tiens à dire que je suis tout de même contente, car j'ai eu 8 reviews (si on compte les 4 de Emy) venant de 5 personnes différentes. Alors je vais publier ce chapitre... et je vous demande la même chose... juste me dire ce que vous en pensez...ou si vous avez des questions...ou peut importe...c'est pas trop long laissez votre avis!
Tania Potter: Je dois avouer que j'ai pas ménager le nombres de morts...mais bons...pis pour Alohomora, comme je l'ai spécifier plus haut, j'adore vraiment toutes ses fics...elle est vraiment super, et j'avoue (et oui je l'avoue), je me suis un peu inspirer de son idée de massacre au bal...mais y fallait que je trouve qqc et j'avais juste ça en tête alors j'espère qu'elle m'en voudras pas et tu vas pouvoir constater que la suite est différentes, et que je reprends mon style habituel! Et puis si tu m'envoies un review à chaque chapitre, et bien y'a des chances que je continues à publier, ou ben je m'arrangerai pour que tu ailles la suite, mais quand on a pas beaucoup de reviews, ben ça écrit moins vite! Pis pour Will ben y fait tout pitié, surtout dans ce chapitre, mais ça s'arrange!!!! Je suis vraiment contente que tu aimes, et merci bcp!
Wynzar: Contente que tu aimes et j'espère que tu apprécieras ce chapitre, même si cette fois-ci y'a pas trop trop d'action...mais dans les prochain chapitre...
Jeandan: C'est vraiment plaisant de voir que tu aimes toujours et je compte bien ne pas lâcher tout de suite!
Anolis: Wow! T'as lu ça tout d'un bout? C'est vraiment génial! Alors c'était la suite...chu dsl si ça été un peu long, mais j'ai des légers problème d'ordi ces temps-ci. Mais je continue de me dépêcher.
Emy Potter: Wow 4 reviews!?!?! Je crois que ça prouve que tu aimes bien... ça fait plaisir de voir ça! Alors j'espère pouvoir publier la suite rapidement, si mon ordi y bogue pas trop!
So laissez des reviews... et je voulais savoir si jamais ça vous intéresserais que je laisse des previews à la fin des chapitres ou non...donc à vous de choisir!
NA: Bon alors comme certains ont remarqué, le dernier chapitre était disons inspiré de l'idée de base de Alohomora dans sa fic "Les portes" (qui est excellente, je vous conseille de la lire). J'espère que cet auteur ne m'en voudras pas d'avoir utiliser en quelques sortes son idée... Et pour la suite, tout vient de moi...et je ne crois pas qu'il puisse avoir confusion avec ce qu'Alohomora peut écrire. Je vous assure que je ne suis pas une plagieuse! (Personne ne l'a reproché, mais vaut mieux prévenir que guérir!)
NA(2): Dsl ça été vraiment long pour celui-ci, mais j'ai eu des bigs prob d'ordi!
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Une semaine avait passé, mais l'école au grand complet était toujours en état de choc. Le lendemain de la tragédie, plusieurs familles avaient demander que leur jeune soit de retour à la maison, dans l'éventuel possibilité qu'il y ait une autre attaque. Le château s'était pratiquement vidé en une seule journée. Harry était resté, n'ayant pas de famille où aller. Hermione avait rejoint ses parents, mais Ron, Ginny et les jumeaux étaient restés, car Molly et Arthur Weasley étaient aller rejoindre Bill en Égypte pour les fêtes. Lorsqu'ils avaient appris la nouvelle, ils avaient écrit à leurs progéniture pour les avertir de leur retour imminent, mais Ron leur avait réécris pour leur dire que ce n'était pas nécessaire, que Dumbledore veillait sur eux. Harry avait donc eut de la compagnie, mais le château avait perdu de sa gaieté. Certains élèves blessés avaient pu quitter l'infirmerie, mais une majorité était toujours en convalescence. Quant à ceux qui n'avait pas eu autant de chance, on avait veiller à lancer un sortilège de conservation sur leur corps, et on organiserait les enterrements, une fois la neige fondue. Anastasia était toujours entre la vie et la mort, son état ne s'améliorant pas. Madame Pomfresh commençait à désespéré et essayait de convaincre les proches que peut-être elle irait rejoindre les anges. Wiliam était abattu par la nouvelle, mais continuait d'espérer. Il passait tout son temps à l'infirmerie auprès d'elle, ne la quittant que quelques fois pour aller dormir. Harry se demandait qu'est-ce qui arriverait, si elle succombait de cette blessure. Il ne savait pas exactement ce qui se passait entre Anastasia et Wiliam, mais il s'en doutait et il savait très bien que ce serait difficile pour celui-ci. Un autre qui semblait avoir de la difficulté à croire qu'Anastasia ne survivrait pas, c'était Rogue. Harry l'avait croisé à quelques reprises dans les couloirs, et chaque fois, il lui avait semblé de plus en plus fatigué. Même si la jeune Serpentard s'obstinait à le voir, Severus Rogue avait des sentiments envers elle, et peut importe ce qu'il avait pu faire dans le passé, il regrettait et cherchait à être près d'elle. Maintenant, peut-être qu'il serait trop tard, mais il ne renonçait pas, et chaque fois qu'il en avait le temps, il allait rejoindre Wiliam et s'assoyait au chevet de sa fille.
Le temps que ceux qui avaient désertés l'école pour les vacances reviennent, était arrivé, et ce fut non sans une grande joie qu'Harry vit qu'Hermione était revenue, tout aussi rayonnante. Peut de temps après l'attaque qui visait Poudlard, Voldemort avait continué ses nombreuses activités sanguinaires et de plus en plus, on voyait un nouveau mort par semaine dans une famille où l'un des membres étaient moldu. Et tout le monde savait très bien qu'Hermione descendait de deux parents moldus. Cela faisait chaud au c?ur de la revoir, toujours aussi souriante et belle. Ron semblait d'autant plus heureux, après s'être tant inquiété et ennuyé. Il s'empressa d'aller la rejoindre, pour lui souhaiter la bienvenue, à sa manière. Définitivement, ses deux-là étaient fait pour aller ensemble. Tranquillement, il se décida à s'approcher de sa copine, voyant que la démonstration d'affection des deux tourtereaux était terminée.
-Harry, -dit-elle joyeusement, un sourire dans le visage.
-Salut Hermione, tu nous a bien manqué! -répondit-il.
-Alors pas de nouveau? Enchaîna-t-elle, tout en baissant le ton de sa voix, de façon à ce que ceux qui les entouraient ne les entendent pas.
Les visage que fit Harry à ce moment lui indiqua que les deux garçons n'avaient pas vraiment réussis à avancer dans ce domaine. Cependant, elle pouvait les comprendre, sachant très bien que tous étaient préoccupés par ce qui arrivait à Poudlard. Elle même, n'avait pas cherché à trouver la solution à cette énigme. Elle avait plutôt cherché à comprendre ce qui était arrivé ce soir-là. Comment un être vivant peut être cruel au point d'enlever la vie à des centaines de gens, sans être pris de remords? Bien sûr, tout le monde avait un jour pensez cela, mais on se le demandait bien plus, lorsqu'il agissait sur des personnes de votre entourage. Nombreuses fois, elle avait essayé de se mettre dans la mentalité du mage noire, mais à chaque fois, elle avait renoncé, dégoûtée par ce qu'elle essayait de faire. Une chose cependant était sûre pour elle. Jamais, au grand jamais, elle ne se metterait de son côté.
-Et Anastasia?
-Ça empire à chaque jour.
Hermione sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle ne connaissait pas beaucoup cette fille, mais pour les quelques fois où elle lui avait parlé, elle avait bien vu qu'elle était spéciale. Et puis il y avait bien quelque chose entre elle et Wiliam.
Ron s'approcha et passa ses bras autour de sa taille, histoire de la réconforter. À ce moment, Harry se sentit de trop, et décida de partir vers l'infirmerie, pour tenir compagnie à Wiliam. En chemin, il croisa Malfoy qui se dirigeait vers le même endroit que lui.
-Malfoy?
-Bien vu Potter! Dit-il sarcastiquement.
Le regard que lui lança Harry, lui rappela qu'il avait promis d'essayer de faire équipe avec lui, contre l'ascension de Voldemort.
-Tu vas à l'infirmerie, toi aussi? Demanda-t-il au blond.
-Oui, Wiliam, il m'a fait demander d'urgence! J'imagine qu'il a eu vent des rumeurs qui circule sur quoi je savais ce qui allait se passer et maintenant je vais passer un sale quart d'heure. -il fit une mine dégoûté.
Harry vint presque à le prendre en pitié, sachant très bien que si c'était pour cette raison que Wiliam voulait le voir, il risquait effectivement de passer un mauvais moment. Tous les deux avancèrent en silence jusqu'au lieu de repos des blessées et doucement, ils poussèrent la porte, pour ne pas déranger cette atmosphère paisible qui y régnait. Malgré cette ambiance lourde, plusieurs élèves étaient maintenant rétablis, et ceux qui étaient toujours en convalescence avait tous en majorité presque terminé leur séjour, ce qui coïncidait avec le début des cours. On ne craignait plus pour la vie des blesser, si ce n'était d'Anastasia, car sinon, ceux qui n'avait pu se remettre des dommages causés par les serpents et démons, étaient déjà partis. Tous les deux s'avancèrent jusqu'au lit de la Serpentard, après avoir convaincu Mrs. Pomfresh qu'ils ne resteraient que quelques minutes. Harry aperçut Wiliam le premier et quand celui-ci le vit, il eut un mince sourire, qui disparut pour laisser place à un regard mauvais en apercevant Malfoy.
-Alors Wiliam? Elle va mieux? Demanda le Griffondor à lunette.
Ce dernier ne prit pas le temps de répondre à sa question.
-T'es vraiment sale Malfoy, dit-il d'une voix grinçante.
Ce dernier se contenta de soutenir son regard sans rien ajouter.
-Tu trouves rien à dire pour te défendre cette fois-ci? Après tout ça doit bien te faire plaisir de voir tous ces gens qui ont été tués et blessés par ton maître! Je te jure que si je n'étais pas à Poudlard et que je risquait de faire honte à ma maison, je t'en mettrais une bonne dans la figure pour te montrer c'est quoi de souffrir. Finalement tu ne vaux pas mieux que ton père!
-Je t'interdit de me comparer à lui, siffla le blond entre ses dents, essayant de retenir toute sa colère, tout en faisant face à celle de son adversaire.
-Et pourquoi? Parce que finalement, t'es comme lui, tu ne vaux rien, t'es juste une sale vipère qui rampe au pied d'un homme même pas vivant qui s'amuse à tuer des innocents!
-Parle pas de ce que tu sais pas Wiliam Wright!
-J'ai aucun ordre à recevoir de ta part sale fils de mangemort! Et je sais très bien de quoi je parle, regarde la souffrir et tu vas peut-être comprendre tout le mal que toi et ceux de ta race font! Tu penses qu'elle méritait de finir ses jours écorché vivante? Ça aurait dût être toi à sa place! -Hurla-t-il de rage.
Au même moment, Mrs. Pomfresh arriva et leur pria de faire moins de bruit pour ne pas déranger Anastasia.
-Mais à quoi bon faire moins de bruit, elle est entre la vie et la mort et ne nous entend même pas!, dit-il à l'infirmière qui tourna les talons, furieuse qu'on ose lui parler sur ce ton, après tout ce qu'elle faisait.
-Wiliam veux-tu m'écouter deux...-
-Arrête tout de suite, j'ai pas du tout envie d'entendre ce que le meurtrier que tu es a à me dire. Parce que c'est ça que t'es! T'as beau dire que c'est ton maître qui a agit, mais t'es aussi responsable, t'aurais pu empêcher tout ça, mais t'es trop lâche, tout ce que tu sais faire c'est rester à regarder les actes immonde de Voldemort! C'est de ta faute, t'es qu'un lâche.
-C'est ça, je suis un lâche, un hypocrite, un meurtrier, TOUT EST DE MA FAUTE! C'est ça que tu voulais entendre? -lâcha Drago, fou de colère.
Wiliam le regarda et sans prévenir lui donna un coup de poing près de l'?il. Il récidiva, et Drago restait là, sans bouger à attraper les coups. Au bout du deuxième poings, Harry décida d'intervenir et prit Wiliam, et le balança par terre, pour l'immobiliser.
-Mais qu'est-ce que tu fais Harry? Il doit payer! Si Anastasia meurt, lui aussi!
-Wiliam tu vas te calmer, dit Harry d'une voix agressive. -Tu vas écouter ce que j'ai à te dire. Drago savait ce qui allait se produire mais il était obliger de garder le silence, sous le contrôle d'un charme! Il n'a pas voulu ce qui est arrivé et il est avec nous. Il va nous aider à savoir ce que prépare Voldemort.
Wiliam regardait Harry et Drago avec des yeux suspicieux. Est-ce qu'il devait le croire? Après tout, Harry était un de ses meilleurs amis. Tranquillement il se releva et se retrouva face à Malfoy.
-Je suis désolé, je croyais que tu étais au courant et que tu aurais pu changer quoi que ce soit. Dit-il sincèrement.
-Y'a rien, articula difficilement Malfoy.
Madame Pomfresh qui avait été alerté par le bruit de la bagarre arriva et quelle fut sa surprise de voir Malfoy Le coin de l'?il en sang, et la lèvres aussi. Elle l'amena à son bureau et alors qu'il passait devant Harry, malgré toute la volonté que cela lui coûtait, il murmura un faible "Merci".
Pendant que l'infirmière soignait Malfoy, Harry s'approcha du lit où reposait la belle Serpentard. Il n'y avait rien d'apparent lorsqu'on la regardait dormir. Elle était toujours aussi belle, et ressemblait à n'importe qui qui se retrouverais à l'infirmerie pour une raison bidon. Cependant, Wiliam baissa la couverture et remonta le gilet de la jeune fille, jusqu'à sa poitrine. Une longue et profonde entaille parcourait le ventre de la jeune fille, jusqu'au début de la poitrine. La plaie était toujours très ouverte, et on pouvait voir qu'elle était infectée. Rien de très beau et qui prédisait une guérison proche. Cette déchirure avait endommagé ses poumons et le son qu'elle produisait alors qu'elle respirait ne présageait rien de bon.
Le spectacle ébranla Harry qui fit signe à Wiliam de recouvrir Anastasia. Ce dernier le fit lassement, et s'assit près de la jeune femme, tout en lui prenant la main.
-Qu'est-ce que je vais faire Harry? Je ne pourrai pas continuer de vivre si elle meurt.- Dit-il les yeux embué par cette perspective.
Harry ne savait pas comment réagir face à ce qui arrivait. Ce même Wiliam qui quelques minutes plus tôt se battait avec Malfoy était maintenant devant lui, triste et vulnérable devant la mort.
-Il faudra continuer Wiliam. Après tout, tu sais très bien que c'est ce qu'elle aurait voulu. Elle ne voudrait certainement pas que tu t'apitoie sur ton sort.
-Ne parle pas comme ça, on dirait qu'elle est déjà morte.
-Désolé...
-C'est rien, mais tu vois, c'est tellement dur de voir quelqu'un que tu aimes partir. Juste au moment où je lui avais promis que jamais plus personne ne lui ferais de mal. Pour une promesse, disons que c'est plutôt raté. Mais je l'aime tellement, je peux pas croire qu'elle va partir, elle est bien trop jeune!
Un son rauque se fit alors entendre et tous les deux se retournèrent vers la jeune sorcière qui semblaient se débattre contre des démons que seul elle pouvait voir. Soudainement, elle fut pris de convulsions et Wiliam cria à Harry d'aller chercher Mrs. Pomfresh. Ce ne fut pas long avant que celle-ci arrive au chevet de la malade. Les yeux inquiets qui s'affichèrent sur son visage indiquèrent à Harry d'aller chercher Dumbledore. Cependant, elle le retint et lui dit d'aller chercher Severus Rogue à la place. Elle envoya un fantôme chercher le directeur. Lorsqu'il retourna sur les lieux, son professeur de potion à ses trousses, la pièce avait été aménagé, de façon à ce que personne ne puisse entrer, et que les autres résidants ne voient pas ce qui se passent. Au centre, Anastasia s'agitait toujours, et semblait plus mal en point que jamais. Ses yeux s'ouvraient parfois, lassant voir les deux pupilles tourner dans leurs orbites. Près d'elle, Mrs. Pomfresh faisait tout ce qui était en son possible pour faire baisser la fièvre. Wiliam restait près, tenant toujours la main de la jeune femme, qui restait agripper à lui. Dumbledore restait proche et continuait de l'examiner et d'essayer des sorts pour contrer l'effet. Lorsque Rogue vit dans quel état sa fille se trouvait, son visage devint limpide, et il s'approcha de Dumbledore, pour lui demander ce qui arrivait.
-Je ne sais pas Severus. Il semblerait qu'elle soit sous l'effet d'un sort et qu'elle soit en train de se débattre, contre une force maléfique. Je ne peux rien faire, seule elle pourra réussir à lutter. Cependant, je ne peux pas vous cacher qu'après cet affront, elle aura encore plus perdu de ses capacités. Elle retomberas dans un était de coma, mais les chances qu'elle survive sont très mince.
Rogue s'approcha alors de sa fille et passa une main dans ses longs cheveux bruns.
-D'abord Alyssa et maintenant elle?, demanda-t-il comme si quelqu'un avait la réponse à sa question. Il se pencha et donna un léger baiser sur la joue de sa fille, y laissant la trace d'une larme. Il resta agenouillé près d'elle, et il en serait ainsi jusqu'à ce qu'elle soit enfin libérer de cette torture qu'elle vivait, où personne ne pouvait lui venir en aide.
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-Jamais, jamais je ne me rallierai à vous! M'entendez-vous?
Une silhouette sombre se tenait dans l'ombre. Elle s'avança tranquillement, et on pu nettement distinguer une longue tunique noire, couvrant un homme à l'allure squelettique. Deux yeux rouges perçaient et paralysaient lorsqu'on les regardait. Un capuchon était posé sur sa tête, empêchant de distinguer s'il y avait des cheveux ou pas.
-Ma chère enfant, tu n'as pas le choix! Siffla-t-il.
-Vous avez tué ma mère, et après cela, vous croyez que je vais aller vous rejoindre dans votre camp? Jamais Lord Voldemort! Jamais.
Anastasia était retenue prisonnière, elle ne savait où. Un endroit qu'elle n'avait jamais vu au par avant. Elle était liée, par elle ne savait quel sort, à une grosse roche et il était impossible pour elle de s'enfuir. Face à elle se tenait le seigneur des ténèbres, baguette à la main. Autour d'eux, il n'y avait rien si ce n'était que des rochers. Mais derrière Voldemort, une bulle s'était formé contre la parois de la falaise et à l'intérieur, on pouvait voir des centaines et des centaines de gens, dans un endroit apparament très triste. Aucune émotion sur les visage des gens, comme s'ils n'étaient pas réellement vivants. Aucune couleur s'offrait au paysage, où tout était gris, fané. Même l'herbe était entre le jaune et le gris. Des arbres poussaient de travers, aucune feuille au bout de leurs branche. Rien de très réjouissant.
-J'imagine que tu te demandes ce que c'est, -dit-il en regardant Anastasia qui se tenait droite et fière, mais sans cesser de regarder ce paysage si étrange.
-Non, pas du tout- dit elle froidement, -Je sais très bien ce que c'est.
-Quelle audace jeune fille. Sache que personne ne me parle sur ce ton. "Ravivum"!
Un sort jaune sortit de la baguette et alla la percuter de plein fouet. Il atteignit la plaie qui avait été formé par le démon, et celle-ci se mit à saigner et à la brûler. Depuis près de quelques heures, il la tenait ici, elle ne savait comment et lui faisait subir le martyr. Quelle sorte de magie pratiquait-il pour connaître des sorts auquel elle n'avait jamais fait la connaissance. Depuis longtemps, elle avait le goût de tout abandonner, de rester la et de se laisser mourir. Mais elle savait qu'elle n'était pas en droit d'abandonner. Elle devait le faire pour sa mère, pour cette femme, pour Wiliam... Wiliam, il lui manquait. Elle savait bien qu'elle aurait dût le tenir éloigné. Une fois de plus, elle était la cause de l'enfer qu'il devait vive en ce moment. Et cela n'était rien à côté de ce qui se préparait. Mais elle allait résister, et elle pourrait revoir ses beaux yeux bleus, ses cheveux noirs, si doux. Elle pourrait de nouveau sentir ses douces lèvres contre sa peau. Elle ne devait pas tout lâcher maintenant. C'est pourquoi, elle retint ses cris de douleurs, et qu'elle se força à rester droite, malgré l'atroce douleur qui la consumait.
-Je vois que tu joues l'indifférente!
-Je vois que vous me connaissez très mal! -lança-t-elle sarcastiquement.
-Je sais très bien qui tu es Anastasia Rogue! Ton père était un de mes partisans, j'ai tué ta mère et je sais très bien que tu renfermes une force unique en toi! -lui lança-t-il à la figure.
Celle-ci eu de la difficulté à garder son sang froid, mais elle persista, en se disant que s'énerver, pleurer, ou crier n'arrangerait rien.
-J'espère que vous n'en êtes pas fier! Ajouta-t-elle avec un regard si froid, qu'il aurait fait frémir n'importe qui.
Celui-ci lui retourna et cette fois, elle ne put empêcher son frisson. Qu'allait-il faire? Lui envoyer un autre sort dans sa blessure pour la faire souffrir une fois de plus?
-Ma chère enfant, pour la dernière fois je vais te le demander. Si tu refuses, je serai obligé d'utiliser des moyens qui te forcerons à m'aider dans ce que je veux réaliser.
Anastasia savait bien que peut importe les menaces qu'on lui ferais, elle ne lierait pas ses forces à celles de Voldemort. Cependant, elle n'avait rien à perdre, et décida de tenter le tout pour le tout, histoire de savoir pourquoi il avait besoin d'elle et pour faire quoi.
-Je ne crois pas que cela soit nécessaire, lança-t-elle toujours aussi sarcastiquement.
-Est-ce que je peux comprendre que...-
-Je n'ai rien dit d'affirmatif! Mais avant d'accepter quoi que ce soit, j'aimerais mieux savoir dans quoi je m'embarque.
Voldemort la regarda et à ce moment, elle se sentit sondé, de la tête au pied. Elle se força donc à barrer sa tête, de façon à ce qu'il ne puisse pas lire dans ses pensées.
-Tu me bloques l'accès à ta tête? Dit-il avec un rire qui sonna faux. Malheureusement, tu n'est pas assez puissante pour moi. Je sais très bien que tu veux me soutirer des informations. Mais j'ai été surpris de voir que tu as réussis à bloquer la section où les souvenirs par rapport à ton père sont sensés être.
-Je ne le bloque pas, c'est seulement parce qu'il n'y en a pas.
-Je ne dirais pas ça. Mais toujours est-il que tu m'as mentit. «Aspiritius»!
Un autre sort vint la percuter, et cette fois-ci, ce fut comme si un feu s'était allumé à l'intérieur d'elle-même. Elle put ne retenir le cri, qui déchira le silence lugubre. Elle se tordait de douleur, tout en cherchant un moyen de faire arrêter cette torture. Impossible de s'enfuir, tant qu'il ne romprais pas le sort qui la retenait prisonnière ici.
-"Impero"! -lança-t-il.
Le sort impardonnable vint la fouetter, et elle sentit l'univers qui l'entourait disparaître. Elle devait se concentrer et lutter contre la voix de son mentor.
-" Maintenant, tu vas m'écouter et m'obéir! Tu vas rejoindre mes rangs et m'aider à détruire le deuxième...-
-JAMAIS!!!!!!!-hurla-t-elle.
Voldemort la regarda stupéfait.
-Vous semblez avoir oublié que j'ai étudié à Drumstang, et que j'ai appris à me défendre et mieux connaître les sorts impardonnables! -dit-elle, un sourire sordide sur les lèvres. -Vous avez baissez votre garde pendant que vous lanciez le sort, et c'est ce qui vous mènera à la défaite Lord Voldemort!
Sur ce, elle se concentra bien fort, et en un éclair, Voldemort, la bulle et le décors disparurent, la laissant retombé dans un état de coma.
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-Dumbledore! Elle semble s'être calmée!- dit Mrs. Pomfresh au bord de la panique.
L'infirmière n'avait pas cessé de s'occuper de sa patiente depuis que le dure combat dans sa tête avait commencé. Une compresse par-ci, un remède par-là. Mais on pouvait voir l'inquiétude sur son visage, qui laissait voir qu'elle avait peur de perdre Anastasia.
Dumbledore s'approcha et regarda la jeune femme endormie. Il soupira longuement et se tourna vers l'infirmière.
-Votre verdict Pom Pom?
-Je ne peux pas vous cacher que je suis très inquiète. Sa blessure qui a recommencé à saigner et à s'infecter me met dans le doute le plus profond. Je ne veux pas trop m'avancer, mais je crois bien que vous devrez faire votre deuil d'Anastasia. -Dit-elle tristement.
Severus Rogue qui était toujours agenouillé près de sa fille se leva et partit rapidement en direction de son cachot. Harry était persuadé qu'il voulait vivre sa peine seul. Quant à Wiliam s'était comme s'il avait appris que le monde allait être anéanti. Son visage était blanc, et ses yeux étaient vides, sans expression. Il voulait pleurer, crier, tout détruire, mais il ne pouvait pas, car rien ne viendrait à bout d'apaiser son chagrin.
Harry décida de le laisser seul avec Anastasia et partit en direction de la tour. Des millions de questions se bousculaient dans sa tête. Il ne comprenait pas pourquoi ce devait être elle qui devait partir. Pourquoi il avait fallu que ces démons s'en prenne à des personnes autour de lui. Qu'est ce qui c'était passé dans la tête d'Anastasia? Il savait qu'elle avait été particulièrement visé, mais il ne savait pas pourquoi. Elle devait avoir quelque chose de très spécial. Pourquoi seul elle avait été pris de convulsions, et pas tous ceux qui avaient été blessés? Puis quelque chose lui revint en mémoire. Le rêve, celui qu'il avait fait quelque mois plutôt, et ce Dumbledore lui avait dit. Il courut en direction de son dortoir et bouscula accidentellement Lavande au passage. Ron et Hermione qui l'avait vu entrer en tornade se précipitèrent à ses trousses. Harry arriva près de son lit et trouva ce qu'il cherchait. Il déroula le parchemin et relut:
" Un jour,
quand deux êtres s'élèveront,
Un autre sera détruit,
Les forces du bien,
Affronterons le mal,
Ils combattrons,
Jusqu'à ce qu'il n'y aille plus qu'un,
Quand les étoiles s'accrocherons,
La licorne aidera,
Ils devrons passer de l'autre côté,
Pour rejoindre ceux qu'ils vont sauver,
Mais quand les étoiles tomberons,
S'ils sont resté,
Les mondes ne seront sauvés. "
-C'est elle! -s'exclama Harry
-Quoi? Dirent Ron et Hermione qui semblait croire qu'Harry avait pété un plomb.
-Les deux être qui s'élèveront se sera Anastasia et moi, et nous devrons aller secourir les gens du deuxième monde!
-Harry? Tu te rends compte de ce que tu dis, -laissa Ron
-Qu'est-ce qui te fait penser ça, -ajouta Hermione.
-Pensez-y, dans le rêve où je voyais sa mère mourir, Voldemort venait chercher Anastasia et c'est seulement parce que sa mère ne voulait pas lui donner qu'il l'a tué. Ensuite, lorsque j'ai raconté mon rêve à Dumbledore, je lui ai dit que je ne comprenait pas pourquoi j'aivais pu voir ça, puisque je n'avais aucun lien avec Anastasia, et il m'a dit que je me trompais peut-être. Finalement, Anastasia vient de livrer un combat contre Voldemort, qui avait pris possession de son esprit. Pourquoi il n'y a qu'à elle que ça l'a fait ça, alors que les autres qui avaient été mordu il ne s'est rien passé? Il a besoin d'elle comme il a besoin de moi, et elle est son ennemi comme je suis le siens. Elle doit renfermer une force qu'on ne connaît pas, mais Voldemort le sait et veut l'éliminer tout comme il veut faire avec moi!
Ron et Hermione restaient devant lui, essayant de ne pas laisser passer un détail important dans ce qu'Harry venait de découvrir et d'apprendre.
-Il faudrait que Wiliam soit là, il en sait peut-être plus que nous sur cette fille, ajouta Hermione.
-Il est resté à l'infirmerie, pour veiller sur Anastasia qui vit peut-être ses derniers moments, -dit Harry.
-Quoi? Dirent Ron et Hermione surpris.
-Oui, le combat dont je vous ai parlé l'a achevé...
-Mais qu'est-ce qu'on va faire si tu ne t'ai pas trompé et que son aide est nécessaire?
-Je ne sais pas Ron, mais pour l'instant je crois que nous pouvons juste attendre.
Les deux autre acquiescèrent et le trio descendit lâchement dans la salle commune.
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-Harryyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy..... Vite, tu n'as plus de temps à perdre. Bientôt les ténèbres s'ouvriront. Allies-toi à elle et venez nous aidez!
Harry ouvrit soudainement les yeux. Malgré les rideaux qui entouraient son lit, il pouvait constater qu'il faisait nuit, et qu'une fois de plus, il se réveillait d'un cauchemar. Mais était-ce vraiment un rêve. Il n'en était plus sûr. Cette voix, il l'avait entendu et cela l'avait réveiller, mais se pouvait-il qu'il soit tombé évanouie comme les autres fois? Puis, plus il essayait de se rappeler, la voie devenait de plus en plus claire. Une voie si familière, il en avait souvenir, mais l'avait si peu entendu. Il n'arrivait toujours pas à la replacer.
Il prit une feuille qui était déposée près de son lit et nota ce qu'il avait entendu pour ne rien oublier, et retomba sur ses couvertures, espérant retrouver assez rapidement le sommeil. Au moment où ses paupières devenaient lourdes, la réponse à sa question le frappa. La voie, il savait à qui elle appartenait. Mais c'était impossible. À moins que...
Il se leva, enfila un pantalon et un chandail. Il regarda la carte des maraudeurs et il constata qu'elle était bien dans ses appartements. En silence, sa cape d'invisibilité sur les épaules, il descendit les escalier qui le menait au portrait de la grosse dame.
"Chocogrenouille" chuchota-t-il.
Elle le laissa passer, sans vraiment comprendre ce qui arrivait, mais avant qu'elle n'est pu demander qui la réveillait à cet heure, Harry était déjà bien loin dans les couloirs. Il marcha pendant quelques minutes, faisant bien attention de ne pas tomber face à face avec Rusard ou miss teigne. Finalement, il arriva à sa destination.
Il cogna trois petits coups discrets et après quelques minutes on vint enfin lui ouvrir.
-Harry? Mais qu'est-ce que tu fais ici et à cet heure? -demanda la femme.
-Mrs. Heiggan, j'ai besoin de votre aide! -plaida-t-il.
Elle le regarda surprise, puis le laissa entrer. Il pénétra à l'intérieur des appartements de sa professeur de défense contre les forces du mal. Elle lui fit signe de passer au salon et de s'asseoir dans un des canapés. L'endroit était très chaleureux. Soit peinturé de bleu poudre ou de jaune pâle, la pièce était très chaleureuse. On pouvait facilement dénoter que sa propriétaire avait de très bons goût en matière de décoration. Les meubles étaient tous en bois et semblaient anciens, vu les motifs qui les ornaient. Sur chacun se trouvaient plusieurs objets magiques qu'Harry avait vu chez Sirius.
Mrs. Heiggan vint s'asseoir dans le divan face à lui, mais soudain un bruit se fit entendre. Au bout du couloir, on put voir une silhouette se dessiner. Puis, plus elle s'approchait, plus Harry la reconnaissait. Il s'agissait de Sirius, qui avait enfiler une robe de chambre, par-dessus son boxer. Il semblait être encore endormie et Harry l'avait probablement réveillé.
-Harry? -sursauta-t-il, le voyant assis dans son salon avec sa copine.
Celui-ci lui fit un grand sourire, devant cet air éberlué.
-Sirius, je t,avais dit que tu pouvais resté couché, -le réprimanda doucement Emy.
-Et bien je me suis levé parce que je m'inquiétais pour toi chérie. Tu ne revenais pas alors je me suis dit que peut-être tu t'étais fait capturé ou peut importe...-
-C'est trop gentil, -dit-elle en lui donnant un petit câlin sur la joue. -Mais se serait mieux encore, si tu nous préparais du thé!
Sirius soupira et repartit en direction de la cuisine.
-Alors Harry...Qu'est-ce que tu voulais me dire.
-Mrs. Heiggan...-
-Apelle-moi Emy quand nous sommes en dehors des cours...
-D'accord, alors Emy, vous connaissiez bien ma mère, non?
-Bien sûr, comme je te l,ai dit, c'était une de mes meilleures amies.
-Vous disiez qu'il était possible d'exercer le "Teletempra" même si on ne voyait pas la personne avec qui on voulait entrer en contact!
-C'est ça, mais il faut être très puissant, très peu en sont capable.
-Ma mère l'était-elle? Demanda-t-il.
-Ta mère? Oui, en effet, elle est la seule personne que je n'ai jamais connu qui avait réussi à le faire. Elle était très forte...
Au même moment, Sirius arriva, un plateau à la main. Le portrait était assez cliché, et Harry dût retenir son fou rire devant Sirius, femme au foyer.
-Vous en voulez? Demanda-t-il, concentrez à ne rien renversé.
-Désolé Sirius, mais je dois repartir...
-Mais Harry...-
-Ne t'en fait pas..., -Il s'était levé et s'apprêtait à se diriger vers la sortie. - En passant, le tablier ça te va très bien.
Et il ferma doucement la porte derrière lui, sans avoir donner le temps à Emy de lui demander le pourquoi de ses questions et à Sirius le pourquoi de sa présence. Tout commençait à devenir plus clair maintenant. La voie qu'il entendait, c'était celle de Lily, celle de sa mère. À cause de la brèche causer par Lord Voldemort alors qu'il voulait contrôler le deuxième monde, elle pouvait entrer en contact avec lui. Sa mère se trouvait donc bel et bien dans ce deuxième monde et elle avait besoin de son aide. Il devait vite en parler avec Anastasia et tous les deux devraient sauver ce monde, et par le fait même, le leur, qui en découlait. Mais au moins, il était maintenant sur le même pied d'égalité que Voldemort. Il en savait autant que lui, ayant chacun une prophétie entre les mains et si le mage noir avait su comment rejoindre le deuxième monde, Lily lui aurait sûrement dit. C'était au moins ça comme bonne nouvelle.
Tranquillement, il alla rejoindre son lit, et cette fois-ci il s'endormit rapidement, dans un réveil sans rêve.
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Le dernier jour avant le retour cours normaux était déjà arrivé. Hermione avait été surpris par la tranquillité qui régnait au château, puisqu'elle avait été absente pendant les jours qui avaient suivi la tragédie. Une centaines d'élèves, même si ce n'était pas énorme à côté du nombre qu'il y avait dans le château, ça ne passait pas inaperçu. Mais les gens, malgré le deuil qu'ils vivaient, semblaient continuer à vivre, et peu à peu, les élèves avaient retrouvé leur joie de vivre.
Harry, Ron et Hermione se tenait devant la porte de l'infirmerie.
-Ça va Mione, parce qu'on peut revenir un autre jo...-
-Ça va Ron, le rassura-t-elle.
Tous les trois étaient venus voir Anastasia puisque c'était leur dernière occasion avant de reprendre les classes. Cependant, encore une fois dût à son absence, Hermione n'avait pas revu Anastasia, et elle savait très bien que c'était peut-être la dernière fois qu'elle le pourrait, puisque son état ne s'était pas améliorer dans les derniers jours. Elle était tout de même un peu craintive dans le fait de la voir sur son lit de mort. Mais elle avait Ron et Harry avec elle.
Ils poussèrent la porte et se dirigèrent vers le lit où elle reposait. Wiliam était toujours à ses côtés.
Hermione s'approcha et constata que la Serpentard se ressemblait toujours autant, et était toujours aussi belle, malgré la maladie qui la rongeait. Ses yeux fermés, ajoutait cependant de la mélancolie et de la souffrance à son visage. Elle approcha sa main pour la poser sur le front d'Anastasia, mais elle ne pu retenir un cri lorsqu'elle avait touché cette peau si froide, cette peau morte.
Ron s'était approché et l'avait enlacé de ses bras, l'éloignant de ce spectacle, et séchant les larmes qui coulaient sur ses joues. Elle n'avait pas bien réaliser l'ampleur de ce qui arrivait. Cette fille, elle comprenait maintenant, qu'elle ne la reverrait plus dans les couloirs, que jamais ses yeux glacées scruterais Rogue, qu'indéfiniment ses paupières resteraient fermés. Elle leva les yeux vers Wiliam, alors que Ron essayait de la calmer, et elle pu y lire une détresse encore plus grande.
Tranquillement, elle se défit de l'emprise de Ron, et elle se dirigea lentement vers Wiliam, et le serra dans ses bras. Elle savait que Ron comprendrait. Ce n'était pas elle qui avait besoin d'être consolé, mais bien lui. Depuis des jours, il veillait au chevet de cette fille, sans que personne n'est pensé à lui apporté réconfort. Mais ce qui devait se passer dans sa tête devait être insupportable. Comme si elle devait se résoudre à quitter Ron. Les larmes recommencèrent, et une fois que Wiliam lui eut assurer que ça allait, elle retourna au près de son copain.
-Qu'est-ce que tu vas faire demain, -demanda-t-elle une fois calmé, bien installé dans l'étreinte de Ron.
-Je n'en sais rien. Mc Gonagall est venue me voir et m'a dit qu'il serait meiux que je reprenne les cours. Mais je ne peux pas me résoudre à l'abandonner, ne serait-ce qu'une minute. Et si elle décidait de franchir le pas alors que je ne suis pas là. Peut m'importe de savoir que je dois mettre 4 champignons pour faire du veritasium si elle est ici et livre un combat contre la mort. Elle a besoin de moi.
Hermione ne dit rien, même si en temps que préfète elle aurait du le convaincre de retourner en classe. Elle comprenait sa souffrance.
-Je ne peux pas me résoudre à la laisser partir...
-Mais il faudra bien, -dit lacement Harry.
-Je sais, mais je l'aime tellement. Elle ne peut pas partir comme ça, j'ai encore besoin d'elle...-
-Moi aussi j'ai besoin de toi Wiliam. - prononça difficilement une voie.
Celui-ci se retourna et aperçu Anastasia qui avait ouvert les yeux. Le trio comprit qu'il était temps pour eux de partir et de laisser les deux amoureux ensembles, mais ce ne fut pas sans un c?ur léger qu'ils retournèrent à leur tour.
-Anastasia, tu veux que j'appelle Mrs. Pomfresh?
-Non, attend...
-J'ai tellement eu peur...-dit-il.
-Wiliam, il faut que je te le dise, je t'aime, et peut importe ce qui arrivera, je t'aimerais toujours, même si un jour tu veux t'éloigner de moi parce que je te suis trop dangereuse...
-Jamais, jamais cela n'arriveras. Je serai toujours avec toi, peut importe les conséquences que cela aura. J'ai tellement eu peur de te perdre.
-Et moi tellement de ne jamais te revoir, -dit-elle les yeux embuées.
Sur ce, il se pencha et lui donna un tendre baiser, mais qui exprimait toute sa passion. Leurs lèvres entré en contact en cherchait toujours plus et leur langue se cherchaient et ne voulaient plus se séparer.. Au bout de quelques minutes, ils se séparèrent et se regardèrent. Puis Anastasia fut pris d'une crise et sa respiration se fit plus rauque encore. Wiliam appela l'infirmière qui ne prit pas de temps à maîtriser la situation. Quel ne fut pas sa surprise lorsqu'elle examina sa patiente et constata qu'elle était toujours dans un état critique, mais désormais hors de danger.
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Wow! Un vrai miracle...Ansatasia va pas mourir!!!! Chu sûre que vous vous en doutiez pas!!!!!!!!!!! Bon ok je dois avouer que c'était quand même prévisible, mais ça aurait été poche de la faire partir alors qu'on sait maintenant qu'elle a un lien et que Harry a besoin de son aide!
Aussi, je tiens à dire que je suis tout de même contente, car j'ai eu 8 reviews (si on compte les 4 de Emy) venant de 5 personnes différentes. Alors je vais publier ce chapitre... et je vous demande la même chose... juste me dire ce que vous en pensez...ou si vous avez des questions...ou peut importe...c'est pas trop long laissez votre avis!
Tania Potter: Je dois avouer que j'ai pas ménager le nombres de morts...mais bons...pis pour Alohomora, comme je l'ai spécifier plus haut, j'adore vraiment toutes ses fics...elle est vraiment super, et j'avoue (et oui je l'avoue), je me suis un peu inspirer de son idée de massacre au bal...mais y fallait que je trouve qqc et j'avais juste ça en tête alors j'espère qu'elle m'en voudras pas et tu vas pouvoir constater que la suite est différentes, et que je reprends mon style habituel! Et puis si tu m'envoies un review à chaque chapitre, et bien y'a des chances que je continues à publier, ou ben je m'arrangerai pour que tu ailles la suite, mais quand on a pas beaucoup de reviews, ben ça écrit moins vite! Pis pour Will ben y fait tout pitié, surtout dans ce chapitre, mais ça s'arrange!!!! Je suis vraiment contente que tu aimes, et merci bcp!
Wynzar: Contente que tu aimes et j'espère que tu apprécieras ce chapitre, même si cette fois-ci y'a pas trop trop d'action...mais dans les prochain chapitre...
Jeandan: C'est vraiment plaisant de voir que tu aimes toujours et je compte bien ne pas lâcher tout de suite!
Anolis: Wow! T'as lu ça tout d'un bout? C'est vraiment génial! Alors c'était la suite...chu dsl si ça été un peu long, mais j'ai des légers problème d'ordi ces temps-ci. Mais je continue de me dépêcher.
Emy Potter: Wow 4 reviews!?!?! Je crois que ça prouve que tu aimes bien... ça fait plaisir de voir ça! Alors j'espère pouvoir publier la suite rapidement, si mon ordi y bogue pas trop!
So laissez des reviews... et je voulais savoir si jamais ça vous intéresserais que je laisse des previews à la fin des chapitres ou non...donc à vous de choisir!