Chapitre 14
N/A: Bah la demandez=vous pas pk ça été si long, réponse à la fin du chapitre!
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Étrangement, elle trouvait les couloirs longs, très longs, peut-être trop longs. Comme si jamais elle n'atteindrais la fin. Ils étaient déserts. Mais où était passé les autres élèves? Elle n'était pas restée si longtemps avec son père pourtant. Et elle était seul, au milieu des corridors qui n'avaient plus de fin. Tout cela lui semblait irréel, incroyable. L'obscurité l'empêchait de voir à très longue distance. Mais peut-être n'était-ce que son imagination qui lui jouait de mauvais tour.
La lune éclairait faiblement à travers les fenêtres, mais étrangement, les ombres qu'elle projetait étaient effrayantes. Jamais elle n'avait eu peur de cet astre, au contraire elle l'avait toujours adoré. Mais bizarrement, sans qu'elle ne puisse dire pourquoi, cette fois elle ne le pouvait.
Elle continua de marcher, alignant pas devant pas. Elle ne comprenait pas pourquoi elle ne voyait pas l'extrémité se tendre vers elle. Un frisson la parcourut alors. Elle avait un mauvais pressentiment. Elle n'aurait pu l'identifier, mais quelque chose ici ne tournait pas rond.
Elle accéléra le pas, espérant toujours croiser quelqu'un, mais si elle était persuadée que cela n'arriverait pas. Le doute et la crainte s'emparait doucement d'elle, au fur et a mesure que de léger courant d'air parcouraient son échine.
Soudain elle entendit un son feutré derrière elle. La noirceur était frappante, comme si elle augmentait sans cesse. En fait, la lune était désormais cachée derrière les nuages et la nuit avait envahie le château. Elle se retourna doucement pour se rende compte qu'il n'y avait personne derrière elle.
Elle se pressa alors, sachant très bien que s'abandonner à la panique ne servirait à rien. Le son se fit entendre de nouveau, comme si quelqu'un la suivait et que sa cape frôlait le sol.
-Y'a quelqu'un?" demanda t'elle?
Comme seule réponse, elle eut l'écho qui lui renvoya la même phrase. Elle se persuada que ce n'était que la fatigue qui la faisait alluciner et continua son chemin.
Mais alors qu'elle essayait d'avancer, ses pieds se firent de plus en plus lourds. Elle sortit sa baguette et lança un charme pour retrouver de l'énergie. Ça n'avait marcher qu'en partie, mais c'était mieux que rien.
Elle essaya alors de courir, mais tout devint flou autour d'elle, et chaque pas qu'elle faisait, augmentait la distance entre elle et sa destination.
Puis, elle sentit deux mains l'agripper et alors qu'elle hurlait, elle eut juste le temps d'apercevoir deux yeux rouges sangs...
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2h30. Le petit cadran vert qui se tenait sur sa table de chevet, affichait 2h30. Ainsi donc, ce n'était qu'un rêve? Quelle soulagement elle avait ressenti en ouvrant les yeux et faisant disparaître ce mystérieux agresseur. Mais de nouveau le doute l'assaillit. Ce rêve...aussi absurde avait-il été, il ne lui présageait rien de bon. Une impression la tenaillait et elle était d'autant plus inquiète, ne sachant pas pourquoi.
Quelque chose allait se passer dans le château...quelque chose de croche. Devait-elle aller voir Dumbledore pour l'avertir? Non, il ne croirait certainement pas une jeune fille qui s'approcherait pour lui dire qu'elle avait rêvé à...elle ne savait même pas quoi. Il lui dirait probablement que ce n'était qu'un mauvais rêve.
Peut-être pouvait-elle aller voir Harry...Après tout peut-être que lui comprendrait le sens de son rêve. Il fallait effectivement qu'elle essaie. Seule ombre au tableau, une fois arrivé devant le tableau, elle ne saurait pas le mot de passe. Elle n'était pas pour poireauter là pendant des heures à l'attendre...
Peu importe, elle se débrouillerait. Elle enfila alors quelque chose et en prenant gare à ne pas faire de bruit, elle sortit du dortoir pour se rende dans la salle commune, qui à cet heure était totalement déserte.
Une fois dans les couloirs, elle prit soin d'être discrète, pour ne pas alerter ni Rusard ou quelconque autre membre du personnel. Elle avança quelques minutes, mais rapidement, elle entendit du bruit qui venait de l'autre direction. Elle scruta les alentours et vit une porte derrière laquelle elle pourrait aller se réfugier.
Qui pouvait bien parcourir les couloirs de Poudlard à 3h00 du matin? Elle songea avec une petit rictus qu'elle n'était pas vraiment bien placé pour parler. Elle s'installa de façon à pouvoir voir ce qui se passait, sans prendre le risque d'être vu.
Le bruit de pas se rapprocha et bientôt la silhouette fut à son niveau. Des cheveux noirs qu'elle reconnaissait et une carrure aussi.
-Wiliam? -demanda-t-elle en sortant de l'endroit où elle se trouvait.
Celui-ci se retourna pour lui faire face, et lorsqu'il s'aperçut de son identité, il lui fit un sourire énigmatique.
-Anastasia...-dit-il mystérieusement.
-Mais qu'est-ce que tu fais ici? -répliqua-t-elle, l'effet de la surprise passé.
-Ce serait plutôt à moi de te le demander...
-J'ai fait un drôle de rêve et je devais aller voir Harry pour lui en parler. J'ai peur que quelque chose se prépare. -dit-elle en haussant des sourcils. -Mais toi, tu m'as toujours pas répondu!
-En fait, je venais te chercher! -dit-il avec un sourire charmeur.
-Me chercher? -demanda-t-elle surprise.
-Tu crois que ton rêve peut attendre?
Sur ce, il lui prit les mains et l'entraîna avec elle vers l'extérieur du château. Elle n'avait aucune idée de où il voulait en venir, mais elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance. Arrivés à la grande porte, ils s'arrêtèrent et Wiliam prononça un sort presque inaudible et leur cape apparurent sur le champs. Même si le mois de mars venait de débuter, les nuits étaient toujours fraîches et la neige n'avait pas tout fondue.
Une fois sa cape sur le dos, elle le suivit à l'extérieur. Il l'amena jusqu'au lac, au même endroit où il lui avait demandé de l'accompagné au bal. Tous les deux s'assirent côtes à côtes dans la neige. Il avait voulu lui montrer le spectacle flamboyant des étoiles et de la lune qui se reflétait sur la neige.
Il la regardait et à ce moment il la trouva magnifique. Ses longs cheveux bruns étaient retenus par un petit bandeau noir et cascadait dans son dos. Elle avait rabattu sa cape de façon à ne pas avoir froid. Ses joues étaient désormais rosis par le froid et ses yeux étaient habités par une lueur qu'il avait cru à jamais éteinte. Jamais il n'avait pensé possible la voir ainsi, ne serait-ce une fois avant sa mort.
Elle se sentit observé et se retourna vers lui. Il la regardait et elle se sentit alors un peu gênée. Elle ne baissa pas pour autant les yeux. Elle continua à le regarder avec le même petit sourire qu'il aimait tant.
Wiliam était très beau garçon. Yeux d'un bleu profond et cheveux noir. Ses traits étaient bien dessinés, et le tout lui donnait un air sérieux. Il était assez bâti pour son âge. Mais ce qu'elle aimait le plus chez lui c'était sa détermination, ce qui l'avait poussé à voir plus loin que les apparences. Bien d'autres auraient été à sa place et se serait enfui devant le manque de bonne volonté dont elle avait fait face à son égard.
Doucement, leur lèvres se rapprochèrent et entrèrent en contact. Un baiser emplie de passion, d'amour, et le tout sous la pleine lune. Peu de temps après, ils se séparèrent et elle se rapprocha de lui. Elle était maintenant assise entre ses jambes, la tête appuyé sur son torse.
À ce moment, elle se senti en sécurité, un sentiment qu'elle n'avait pas ressentit depuis déjà bien des années. Wiliam caressait ses cheveux, tout en embrassant tendrement son lobe d'oreille.
-Pourquoi? -demanda-t-elle doucement, de peur de faire disparaître toute l'atmosphère.
-Pourquoi quoi? -chuchota-t-il à son oreille.
-Pourquoi tu m'as amené ici? -dit-elle en retournant son visage vers lui.
-Parce que je voulais te montrer ça. J'ai vu le paysage de la chambre et j'ai trouvé ça éblouissant, tout comme toi.
Elle le regarda et sentit son c?ur manqué un battement. Elle lui sourit et ses yeux devinrent humides. Jamais personne depuis la mort de sa mère n'avait été aussi tendre avec elle.
Mais lui il était arrivé, et maintenant il était là. Elle s'avait qu'il s'occuperait d'elle et qu'il l'aimait bien d'avantage qu'elle n'aurait pu se l'imaginer.
Jamais elle ne voulait le voir partir. Elle l'aimait. Pour la première fois elle aimait et jamais elle ne voulait que ça se termine.
Elle reposa sa tête sur son torse et replongea dans ses pensées.
Ils restèrent ainsi pendant une bonne trentaine de minutes, puis décidèrent de rentrer pour ne pas s'attirer d'ennuie lorsque les autres se réveilleraient.
Une fois à l'intérieur, Wiliam insista pour la raccompagner à sa salle commune. Ils atteignirent rapidement les couloirs sombres qui menaient à la salle commune des Serpentards.
Ils empruntèrent le premier, soudain Anastasia eut un sentiment de déjà vu, une peur inconnue s'empara d'elle. Elle se retourna et n'aperçut que du brouillard autour d'elle. Elle ne distinguait même plus Wiliam. Elle essaya de l'appeler, mais ses cris se répercutèrent autour d'elle.
Du brouillard dans un couloirs large pour que quatre personnes seulement puissent y circuler?
Le couloir ne semblait plus avoir aucun fin, comme dans son rêve. Puis elle sentit ses pieds nus contre le sol froid et dur. Que se passait-il? Où était Wiliam?
Elle entendit le même froissement d'étoffe sur le sol et tout comme dans son rêve, quelqu'un l'agrippa. Mais cette fois elle ne se réveilla pas.
Elle essaya en vain de se débattre, mais son agresseur était beaucoup plus fort et soudain elle sentit quelque chose de lourd s'abattre sur elle et son corps s'effondra, l'entraînant dans l'abîme d'un sommeil sans rêve.
*******************************
Elle ouvrit difficilement les yeux, la lumière de la pièce l'aveuglant. Mais elle s'habitua rapidement, puisque celle-ci était tamisée. Puis elle se souvint. Les étoiles, le couloirs, l'objet sur son crâne, Wiliam...
Péniblement elle releva son corps pour pouvoir voir autour d'elle, et aperçut Wiliam dans un coin, inconscient. Pourvu qu'il ne soit pas...non, elle n'osait même pas imaginer cette possibilité. Jamais elle ne réussirait à s'en remettre.
Se rendant compte qu'il n'y avait qu'eux dans la pièce, elle rampa jusqu'à lui, et avec soulagement, elle vit qu'il n'était qu'inconscient.
Elle regarda sur la montre du jeune homme et vit que peu de temps s'était écroulé depuis qu'ils s'étaient fait attaqué.
Puis il bougea et ouvrit difficilement les yeux. Après de longue minutes où il réussit à se mettre sur pied, il s'assura que sa copine n'avait pas été blessé. Il ne posa pas la moindre question, sachant très bien qu'elle n'aurait pas plus de réponse à lui donner.
Puis la porte s'ouvrit laissant apparaître deux personnages. Le premier était le plus petit, grassouillet, et sa main droite était complètement argenté. Une expression de terreur bien dissimulé imprégnait son visage et il était évident de deviner que l'autre était son maître.
Anastasia ne perdit pas de temps pour reconnaître le second. Elle l'avait déjà combattu au par avant. Voldemort se tenait toujours aussi fier devant elle, la narguant de ses deux yeux, ou plutôt fentes rouges. La première fois où elle l'avait aperçu, elle avait eu peur, même si elle l'avait caché. Mais cette fois-ci elle n'éprouvait que de l'indifférence et de la haine.
Quant à Wiliam, malgré la peur qui le tenaillait, il se forçait à garder tout son sang-froid pour pouvoir protéger Anastasia. Il lui avait promit et jamais il ne la trahirait.
-Alors ma chère, as-tu réfléchi à ma proposition? -demanda Voldemort avec sa voix cinglante en s'adressant à Anastasia.
-Jamais, m'entendez-vous, jamais je ne vous aiderez! -lui cracha-t-elle, tel du venin.
-Petite effrontée, ne me parle plus sur ce ton! -Dit-il, visiblement dérangé par le ton calme de sa prisionnère.
Wiliam commença à s'agiter et le seigneur des ténèbres sembla à peine le remarquer.
-Pourquoi vous l'avez amené? -demanda Anastasia en désignant Wiliam. Elle avait peur qu'il lui arrive quelque chose.
-Il semblerait qu'il soit un très bon élément pour te persuader à me rejoindre! -dit-il
-JAMAIS!
-Sale sotte! Si tu ne veux pas je t'aurai par la force. Vivante ou morte peu d'importance! -et il se lança dans un rire diabolique. -J'ai autant besoin de toi, que j'ai eu besoin de Potter pour me libérer du charme qui m'empêchait de retrouver mon corps et par le fait même, l'interdiction de m'approcher de lui. Mais maintenant il est à ma merci. Pauvre petit Harry...! Mais toi aussi tu me seras utile. Le seul moyen possible pour accéder au deuxième monde, en dehors de ces licornes imaginaires, ce serait d'avoir le sang de la pureté elle-même, c'est-à-dire le tien! Morte ou vivante, aucune importance. Mais si tu te ralliais à moi...il serait possible de ne pas avoir à t'éliminer...
-Vous êtes sourd où quoi? -dit-elle en le dévisageant. -Je préférerais mourir!
Sur ce, Voldemort sembla perdre patience et fit signe à son bras droit de s'emparer de la fille.
Mais elle anticipa le mouvement et le repoussa. Wiliam bondit alors sur Queudver et le renversa. Anastasia voulut prendre sa baguette, mais réalisa qu'elle n'était plus sur elle. Elle vit alors Voldemort, tenant sa baguette, ainsi que celle de Wiliam, qui continuait à s'acharner sur Peter, lui sourire et se retourner vers l'adolescent.
-Wiliam!! Attention! -s'entendit-elle s'époumoner alors qu'elle courrait dans leur direction.
Mais le sort lancé par Voldemort était parti plus vite et l'avait atteint avant qu'il n'ait pu se protéger. À ce moment, tout ce qu'il l'entourait disparaissait. Elle ne vit pas le rictus qu'affichait Voldemort, ni Peter qui alla rejoindre son maître, ni tous les mangemorts arrivé. Elle voyait seulement Wiliam qui était pris de convulsion au sol. Il avait utilisé le même sort qu'il avait lancé à sa mère pour la tuer. Il semblait se désintégrer de l'intérieur.
Elle arriva à ses côtés, sans sentir les larmes qui lui brûlaient les yeux. Il n'y avait plus aucun espoir pour lui.
-Wiliam, ne me laisse pas, je t'aime, pardonne-moi, tout est de ma faute, je n'aurais pas dû, je t'aime, ne part pas...-disait-elle au milieu de ses sanglots, alors qu'elle s'accrochait désespérément à celui qui lui avait procuré tant de bonheur.
-Je t'aime aussi...tu seras toujours mon...ange de marbre...-prononça-t-il difficilement. Puis une dernière lueur de tendresse passa dans ses yeux et ses paupières se fermèrent pour toujours.
Anastasia ne put retenir un cri déchirant et se laissa tomber sur le corps sans vie de Wiliam. Il était parti. Tout était de sa faute. Elle n'aurait jamais dû écouter son coeur et le laisser approcher. Dès le début elle savait qu'elle le mettait en danger. Mais elle l'aimait. Est-ce que à chaque fois, les histoires les plus belles devaient se terminer tragiquement?
Alors qu'elle continuait des laisser couler ses larmes d'amertumes et de désespoir sur le corps, Voldemort se tourna vers elle.
-Maintenant à toi! -dit-il.
Au moment où il allait jeter le sort impardonnable, une lumière argentée envahie la pièce et lorsqu'elle réouvrit les yeux elle se touvait au milieu de la grande salle de Poudlard, Dumbledore, Sirius et son père à ses côtés. Elle restait toujours agrippée au corps de Wiliam qu'elle n'avait pas lâché.
Elle ne comprenait pas ce qui c'était passé et elle ne voulait pas le savoir. Le jour n'était pas encore levé, mais plus jamais pour elle, il ne se lèverait. Wiliam était mort!
À cette pensé elle le larmes recommencèrent de plus belle. Mais même cela ne pouvait la libérer de tout le mal qui la dévorait à l'intérieur. Elle avait perdu le seul être qu'elle aimait d'un amour sincère. Elle était seule. Bien sûr il y avait son père, et Harry et tout les autres, mais sans Wiliam, elle était seule.
-Anastasia? Que c'est-il passé?- demandait Dumbledore alors que Sirius la regardait, inquiet.
Elle n'entendait pas ce qui se passait autour d'elle. Tout ce qu'elle voyait c'était le corps sans vie de Wiliam qu'elle refusait de lâcher. Aller réveille-toi! Pourquoi ne te réveilles-tu pas? Songeait-elle en le brassant. Mais elle savait que cela ne servait à rien. Jamais plus il ne se réveillerait. C'était fini pour lui.
La nausée la prit et elle fut soudain malade, sous les yeux inquiets des trois adultes présents. Puis, elle ne vit plus rien, ne sentit plus rien, n'entendit plus rien. Elle s'évanouit, avec la seule conviction qu'elle devait aller dans le deuxième monde au plus vite.
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Voilà un autre chapitre...
Paf!!!! Dans les dents!! Ça fesse! 2 REVIEWS???????AHHHHHHHHH qq1 aidez moi...bon ben là je remerci quand même mes deux fidèles lecteurs...mais demandez-vous pas pk ça pris autant de temps!
Si vous voulez que la suite arrive pas dans 3 mois, ben reviewers pcq c'est assez décourageant! Bon je remercie quand même Tania et Winzar...
Winzar: Alors pour revenir sur le Harry/Anastasia...ben là on peut dire que Will yé sortit du paysage...mais bon je crois que la petite serpentard est assez affectée...so...je te laisse tirer tes propres conclusions...Pis pour Wiliam...dans ce chapitre je l'ai plus aimé...y'était mignon...domage qu"il soit mort...pcq finalement Anastasia je l'ai créer pas mal selon ce que je suis, autant physique que caractère (bah y,a des différence mais...) et je trouve ça triste qui soit mort...mais disons que c'était inévitable! J'espère que tu as aimé! Et merci pour ton review!
Tania Potter: Soulagement de voir que tu m'avais posté un message!!!! C'est à croire que y'a une pénurie de reviews...enfin, Pour la phrase du chapitre précédent, ben comme tu peux voir le tit conte de fée y'a pas durée longtemps...mais y'a quand même un peu de magie au début de celui-ci. Mais je ferai quand même attention dans les prochain chapitre...dont un qui s'annonce parfaitement émouvant... Et pour ta question sur les morts je pense que t'as eu ta réponse!!!
N/A: Bah la demandez=vous pas pk ça été si long, réponse à la fin du chapitre!
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Étrangement, elle trouvait les couloirs longs, très longs, peut-être trop longs. Comme si jamais elle n'atteindrais la fin. Ils étaient déserts. Mais où était passé les autres élèves? Elle n'était pas restée si longtemps avec son père pourtant. Et elle était seul, au milieu des corridors qui n'avaient plus de fin. Tout cela lui semblait irréel, incroyable. L'obscurité l'empêchait de voir à très longue distance. Mais peut-être n'était-ce que son imagination qui lui jouait de mauvais tour.
La lune éclairait faiblement à travers les fenêtres, mais étrangement, les ombres qu'elle projetait étaient effrayantes. Jamais elle n'avait eu peur de cet astre, au contraire elle l'avait toujours adoré. Mais bizarrement, sans qu'elle ne puisse dire pourquoi, cette fois elle ne le pouvait.
Elle continua de marcher, alignant pas devant pas. Elle ne comprenait pas pourquoi elle ne voyait pas l'extrémité se tendre vers elle. Un frisson la parcourut alors. Elle avait un mauvais pressentiment. Elle n'aurait pu l'identifier, mais quelque chose ici ne tournait pas rond.
Elle accéléra le pas, espérant toujours croiser quelqu'un, mais si elle était persuadée que cela n'arriverait pas. Le doute et la crainte s'emparait doucement d'elle, au fur et a mesure que de léger courant d'air parcouraient son échine.
Soudain elle entendit un son feutré derrière elle. La noirceur était frappante, comme si elle augmentait sans cesse. En fait, la lune était désormais cachée derrière les nuages et la nuit avait envahie le château. Elle se retourna doucement pour se rende compte qu'il n'y avait personne derrière elle.
Elle se pressa alors, sachant très bien que s'abandonner à la panique ne servirait à rien. Le son se fit entendre de nouveau, comme si quelqu'un la suivait et que sa cape frôlait le sol.
-Y'a quelqu'un?" demanda t'elle?
Comme seule réponse, elle eut l'écho qui lui renvoya la même phrase. Elle se persuada que ce n'était que la fatigue qui la faisait alluciner et continua son chemin.
Mais alors qu'elle essayait d'avancer, ses pieds se firent de plus en plus lourds. Elle sortit sa baguette et lança un charme pour retrouver de l'énergie. Ça n'avait marcher qu'en partie, mais c'était mieux que rien.
Elle essaya alors de courir, mais tout devint flou autour d'elle, et chaque pas qu'elle faisait, augmentait la distance entre elle et sa destination.
Puis, elle sentit deux mains l'agripper et alors qu'elle hurlait, elle eut juste le temps d'apercevoir deux yeux rouges sangs...
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2h30. Le petit cadran vert qui se tenait sur sa table de chevet, affichait 2h30. Ainsi donc, ce n'était qu'un rêve? Quelle soulagement elle avait ressenti en ouvrant les yeux et faisant disparaître ce mystérieux agresseur. Mais de nouveau le doute l'assaillit. Ce rêve...aussi absurde avait-il été, il ne lui présageait rien de bon. Une impression la tenaillait et elle était d'autant plus inquiète, ne sachant pas pourquoi.
Quelque chose allait se passer dans le château...quelque chose de croche. Devait-elle aller voir Dumbledore pour l'avertir? Non, il ne croirait certainement pas une jeune fille qui s'approcherait pour lui dire qu'elle avait rêvé à...elle ne savait même pas quoi. Il lui dirait probablement que ce n'était qu'un mauvais rêve.
Peut-être pouvait-elle aller voir Harry...Après tout peut-être que lui comprendrait le sens de son rêve. Il fallait effectivement qu'elle essaie. Seule ombre au tableau, une fois arrivé devant le tableau, elle ne saurait pas le mot de passe. Elle n'était pas pour poireauter là pendant des heures à l'attendre...
Peu importe, elle se débrouillerait. Elle enfila alors quelque chose et en prenant gare à ne pas faire de bruit, elle sortit du dortoir pour se rende dans la salle commune, qui à cet heure était totalement déserte.
Une fois dans les couloirs, elle prit soin d'être discrète, pour ne pas alerter ni Rusard ou quelconque autre membre du personnel. Elle avança quelques minutes, mais rapidement, elle entendit du bruit qui venait de l'autre direction. Elle scruta les alentours et vit une porte derrière laquelle elle pourrait aller se réfugier.
Qui pouvait bien parcourir les couloirs de Poudlard à 3h00 du matin? Elle songea avec une petit rictus qu'elle n'était pas vraiment bien placé pour parler. Elle s'installa de façon à pouvoir voir ce qui se passait, sans prendre le risque d'être vu.
Le bruit de pas se rapprocha et bientôt la silhouette fut à son niveau. Des cheveux noirs qu'elle reconnaissait et une carrure aussi.
-Wiliam? -demanda-t-elle en sortant de l'endroit où elle se trouvait.
Celui-ci se retourna pour lui faire face, et lorsqu'il s'aperçut de son identité, il lui fit un sourire énigmatique.
-Anastasia...-dit-il mystérieusement.
-Mais qu'est-ce que tu fais ici? -répliqua-t-elle, l'effet de la surprise passé.
-Ce serait plutôt à moi de te le demander...
-J'ai fait un drôle de rêve et je devais aller voir Harry pour lui en parler. J'ai peur que quelque chose se prépare. -dit-elle en haussant des sourcils. -Mais toi, tu m'as toujours pas répondu!
-En fait, je venais te chercher! -dit-il avec un sourire charmeur.
-Me chercher? -demanda-t-elle surprise.
-Tu crois que ton rêve peut attendre?
Sur ce, il lui prit les mains et l'entraîna avec elle vers l'extérieur du château. Elle n'avait aucune idée de où il voulait en venir, mais elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance. Arrivés à la grande porte, ils s'arrêtèrent et Wiliam prononça un sort presque inaudible et leur cape apparurent sur le champs. Même si le mois de mars venait de débuter, les nuits étaient toujours fraîches et la neige n'avait pas tout fondue.
Une fois sa cape sur le dos, elle le suivit à l'extérieur. Il l'amena jusqu'au lac, au même endroit où il lui avait demandé de l'accompagné au bal. Tous les deux s'assirent côtes à côtes dans la neige. Il avait voulu lui montrer le spectacle flamboyant des étoiles et de la lune qui se reflétait sur la neige.
Il la regardait et à ce moment il la trouva magnifique. Ses longs cheveux bruns étaient retenus par un petit bandeau noir et cascadait dans son dos. Elle avait rabattu sa cape de façon à ne pas avoir froid. Ses joues étaient désormais rosis par le froid et ses yeux étaient habités par une lueur qu'il avait cru à jamais éteinte. Jamais il n'avait pensé possible la voir ainsi, ne serait-ce une fois avant sa mort.
Elle se sentit observé et se retourna vers lui. Il la regardait et elle se sentit alors un peu gênée. Elle ne baissa pas pour autant les yeux. Elle continua à le regarder avec le même petit sourire qu'il aimait tant.
Wiliam était très beau garçon. Yeux d'un bleu profond et cheveux noir. Ses traits étaient bien dessinés, et le tout lui donnait un air sérieux. Il était assez bâti pour son âge. Mais ce qu'elle aimait le plus chez lui c'était sa détermination, ce qui l'avait poussé à voir plus loin que les apparences. Bien d'autres auraient été à sa place et se serait enfui devant le manque de bonne volonté dont elle avait fait face à son égard.
Doucement, leur lèvres se rapprochèrent et entrèrent en contact. Un baiser emplie de passion, d'amour, et le tout sous la pleine lune. Peu de temps après, ils se séparèrent et elle se rapprocha de lui. Elle était maintenant assise entre ses jambes, la tête appuyé sur son torse.
À ce moment, elle se senti en sécurité, un sentiment qu'elle n'avait pas ressentit depuis déjà bien des années. Wiliam caressait ses cheveux, tout en embrassant tendrement son lobe d'oreille.
-Pourquoi? -demanda-t-elle doucement, de peur de faire disparaître toute l'atmosphère.
-Pourquoi quoi? -chuchota-t-il à son oreille.
-Pourquoi tu m'as amené ici? -dit-elle en retournant son visage vers lui.
-Parce que je voulais te montrer ça. J'ai vu le paysage de la chambre et j'ai trouvé ça éblouissant, tout comme toi.
Elle le regarda et sentit son c?ur manqué un battement. Elle lui sourit et ses yeux devinrent humides. Jamais personne depuis la mort de sa mère n'avait été aussi tendre avec elle.
Mais lui il était arrivé, et maintenant il était là. Elle s'avait qu'il s'occuperait d'elle et qu'il l'aimait bien d'avantage qu'elle n'aurait pu se l'imaginer.
Jamais elle ne voulait le voir partir. Elle l'aimait. Pour la première fois elle aimait et jamais elle ne voulait que ça se termine.
Elle reposa sa tête sur son torse et replongea dans ses pensées.
Ils restèrent ainsi pendant une bonne trentaine de minutes, puis décidèrent de rentrer pour ne pas s'attirer d'ennuie lorsque les autres se réveilleraient.
Une fois à l'intérieur, Wiliam insista pour la raccompagner à sa salle commune. Ils atteignirent rapidement les couloirs sombres qui menaient à la salle commune des Serpentards.
Ils empruntèrent le premier, soudain Anastasia eut un sentiment de déjà vu, une peur inconnue s'empara d'elle. Elle se retourna et n'aperçut que du brouillard autour d'elle. Elle ne distinguait même plus Wiliam. Elle essaya de l'appeler, mais ses cris se répercutèrent autour d'elle.
Du brouillard dans un couloirs large pour que quatre personnes seulement puissent y circuler?
Le couloir ne semblait plus avoir aucun fin, comme dans son rêve. Puis elle sentit ses pieds nus contre le sol froid et dur. Que se passait-il? Où était Wiliam?
Elle entendit le même froissement d'étoffe sur le sol et tout comme dans son rêve, quelqu'un l'agrippa. Mais cette fois elle ne se réveilla pas.
Elle essaya en vain de se débattre, mais son agresseur était beaucoup plus fort et soudain elle sentit quelque chose de lourd s'abattre sur elle et son corps s'effondra, l'entraînant dans l'abîme d'un sommeil sans rêve.
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Elle ouvrit difficilement les yeux, la lumière de la pièce l'aveuglant. Mais elle s'habitua rapidement, puisque celle-ci était tamisée. Puis elle se souvint. Les étoiles, le couloirs, l'objet sur son crâne, Wiliam...
Péniblement elle releva son corps pour pouvoir voir autour d'elle, et aperçut Wiliam dans un coin, inconscient. Pourvu qu'il ne soit pas...non, elle n'osait même pas imaginer cette possibilité. Jamais elle ne réussirait à s'en remettre.
Se rendant compte qu'il n'y avait qu'eux dans la pièce, elle rampa jusqu'à lui, et avec soulagement, elle vit qu'il n'était qu'inconscient.
Elle regarda sur la montre du jeune homme et vit que peu de temps s'était écroulé depuis qu'ils s'étaient fait attaqué.
Puis il bougea et ouvrit difficilement les yeux. Après de longue minutes où il réussit à se mettre sur pied, il s'assura que sa copine n'avait pas été blessé. Il ne posa pas la moindre question, sachant très bien qu'elle n'aurait pas plus de réponse à lui donner.
Puis la porte s'ouvrit laissant apparaître deux personnages. Le premier était le plus petit, grassouillet, et sa main droite était complètement argenté. Une expression de terreur bien dissimulé imprégnait son visage et il était évident de deviner que l'autre était son maître.
Anastasia ne perdit pas de temps pour reconnaître le second. Elle l'avait déjà combattu au par avant. Voldemort se tenait toujours aussi fier devant elle, la narguant de ses deux yeux, ou plutôt fentes rouges. La première fois où elle l'avait aperçu, elle avait eu peur, même si elle l'avait caché. Mais cette fois-ci elle n'éprouvait que de l'indifférence et de la haine.
Quant à Wiliam, malgré la peur qui le tenaillait, il se forçait à garder tout son sang-froid pour pouvoir protéger Anastasia. Il lui avait promit et jamais il ne la trahirait.
-Alors ma chère, as-tu réfléchi à ma proposition? -demanda Voldemort avec sa voix cinglante en s'adressant à Anastasia.
-Jamais, m'entendez-vous, jamais je ne vous aiderez! -lui cracha-t-elle, tel du venin.
-Petite effrontée, ne me parle plus sur ce ton! -Dit-il, visiblement dérangé par le ton calme de sa prisionnère.
Wiliam commença à s'agiter et le seigneur des ténèbres sembla à peine le remarquer.
-Pourquoi vous l'avez amené? -demanda Anastasia en désignant Wiliam. Elle avait peur qu'il lui arrive quelque chose.
-Il semblerait qu'il soit un très bon élément pour te persuader à me rejoindre! -dit-il
-JAMAIS!
-Sale sotte! Si tu ne veux pas je t'aurai par la force. Vivante ou morte peu d'importance! -et il se lança dans un rire diabolique. -J'ai autant besoin de toi, que j'ai eu besoin de Potter pour me libérer du charme qui m'empêchait de retrouver mon corps et par le fait même, l'interdiction de m'approcher de lui. Mais maintenant il est à ma merci. Pauvre petit Harry...! Mais toi aussi tu me seras utile. Le seul moyen possible pour accéder au deuxième monde, en dehors de ces licornes imaginaires, ce serait d'avoir le sang de la pureté elle-même, c'est-à-dire le tien! Morte ou vivante, aucune importance. Mais si tu te ralliais à moi...il serait possible de ne pas avoir à t'éliminer...
-Vous êtes sourd où quoi? -dit-elle en le dévisageant. -Je préférerais mourir!
Sur ce, Voldemort sembla perdre patience et fit signe à son bras droit de s'emparer de la fille.
Mais elle anticipa le mouvement et le repoussa. Wiliam bondit alors sur Queudver et le renversa. Anastasia voulut prendre sa baguette, mais réalisa qu'elle n'était plus sur elle. Elle vit alors Voldemort, tenant sa baguette, ainsi que celle de Wiliam, qui continuait à s'acharner sur Peter, lui sourire et se retourner vers l'adolescent.
-Wiliam!! Attention! -s'entendit-elle s'époumoner alors qu'elle courrait dans leur direction.
Mais le sort lancé par Voldemort était parti plus vite et l'avait atteint avant qu'il n'ait pu se protéger. À ce moment, tout ce qu'il l'entourait disparaissait. Elle ne vit pas le rictus qu'affichait Voldemort, ni Peter qui alla rejoindre son maître, ni tous les mangemorts arrivé. Elle voyait seulement Wiliam qui était pris de convulsion au sol. Il avait utilisé le même sort qu'il avait lancé à sa mère pour la tuer. Il semblait se désintégrer de l'intérieur.
Elle arriva à ses côtés, sans sentir les larmes qui lui brûlaient les yeux. Il n'y avait plus aucun espoir pour lui.
-Wiliam, ne me laisse pas, je t'aime, pardonne-moi, tout est de ma faute, je n'aurais pas dû, je t'aime, ne part pas...-disait-elle au milieu de ses sanglots, alors qu'elle s'accrochait désespérément à celui qui lui avait procuré tant de bonheur.
-Je t'aime aussi...tu seras toujours mon...ange de marbre...-prononça-t-il difficilement. Puis une dernière lueur de tendresse passa dans ses yeux et ses paupières se fermèrent pour toujours.
Anastasia ne put retenir un cri déchirant et se laissa tomber sur le corps sans vie de Wiliam. Il était parti. Tout était de sa faute. Elle n'aurait jamais dû écouter son coeur et le laisser approcher. Dès le début elle savait qu'elle le mettait en danger. Mais elle l'aimait. Est-ce que à chaque fois, les histoires les plus belles devaient se terminer tragiquement?
Alors qu'elle continuait des laisser couler ses larmes d'amertumes et de désespoir sur le corps, Voldemort se tourna vers elle.
-Maintenant à toi! -dit-il.
Au moment où il allait jeter le sort impardonnable, une lumière argentée envahie la pièce et lorsqu'elle réouvrit les yeux elle se touvait au milieu de la grande salle de Poudlard, Dumbledore, Sirius et son père à ses côtés. Elle restait toujours agrippée au corps de Wiliam qu'elle n'avait pas lâché.
Elle ne comprenait pas ce qui c'était passé et elle ne voulait pas le savoir. Le jour n'était pas encore levé, mais plus jamais pour elle, il ne se lèverait. Wiliam était mort!
À cette pensé elle le larmes recommencèrent de plus belle. Mais même cela ne pouvait la libérer de tout le mal qui la dévorait à l'intérieur. Elle avait perdu le seul être qu'elle aimait d'un amour sincère. Elle était seule. Bien sûr il y avait son père, et Harry et tout les autres, mais sans Wiliam, elle était seule.
-Anastasia? Que c'est-il passé?- demandait Dumbledore alors que Sirius la regardait, inquiet.
Elle n'entendait pas ce qui se passait autour d'elle. Tout ce qu'elle voyait c'était le corps sans vie de Wiliam qu'elle refusait de lâcher. Aller réveille-toi! Pourquoi ne te réveilles-tu pas? Songeait-elle en le brassant. Mais elle savait que cela ne servait à rien. Jamais plus il ne se réveillerait. C'était fini pour lui.
La nausée la prit et elle fut soudain malade, sous les yeux inquiets des trois adultes présents. Puis, elle ne vit plus rien, ne sentit plus rien, n'entendit plus rien. Elle s'évanouit, avec la seule conviction qu'elle devait aller dans le deuxième monde au plus vite.
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Voilà un autre chapitre...
Paf!!!! Dans les dents!! Ça fesse! 2 REVIEWS???????AHHHHHHHHH qq1 aidez moi...bon ben là je remerci quand même mes deux fidèles lecteurs...mais demandez-vous pas pk ça pris autant de temps!
Si vous voulez que la suite arrive pas dans 3 mois, ben reviewers pcq c'est assez décourageant! Bon je remercie quand même Tania et Winzar...
Winzar: Alors pour revenir sur le Harry/Anastasia...ben là on peut dire que Will yé sortit du paysage...mais bon je crois que la petite serpentard est assez affectée...so...je te laisse tirer tes propres conclusions...Pis pour Wiliam...dans ce chapitre je l'ai plus aimé...y'était mignon...domage qu"il soit mort...pcq finalement Anastasia je l'ai créer pas mal selon ce que je suis, autant physique que caractère (bah y,a des différence mais...) et je trouve ça triste qui soit mort...mais disons que c'était inévitable! J'espère que tu as aimé! Et merci pour ton review!
Tania Potter: Soulagement de voir que tu m'avais posté un message!!!! C'est à croire que y'a une pénurie de reviews...enfin, Pour la phrase du chapitre précédent, ben comme tu peux voir le tit conte de fée y'a pas durée longtemps...mais y'a quand même un peu de magie au début de celui-ci. Mais je ferai quand même attention dans les prochain chapitre...dont un qui s'annonce parfaitement émouvant... Et pour ta question sur les morts je pense que t'as eu ta réponse!!!
