Salut à tous, alors me revoilà avec un nouveau chapitre. J'ai mis un peu de temps à l'écrire, mais il est enfin la.
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disclaimer : les personnages ne m'appartiennent toujours pas, ils sont toujours à JKR, à moins que quelqu'un ai réussi à lui piquer. Je n'ai que Sarah, et l'histoire
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réponses aux reviews :
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Elanor : MARCI MA ELADOREE¤ merci boucoup boucoup pour tous tes conseils, et pi pour me soutenir, tes reviews me font super plaisir. (c'est pas vrai je t'ai pas forcé à les poster)
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Ccilia Johnson : marci beaucoup
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Olive : je te remercie, pour l'idée de fic Ginny/Harry c'est plutôt banal, mais ça restera pas banal longtemps ;)
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Math : merci beaucoup
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Hanakana : merci beaucoup (ne m'empale pas j'ai encore rien dit de méchant) et puis si tu veux continuer à faire les pompom girl, y'a pas de problème ;)
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lune d'argent : merci pour tous tes conseils, il me sont très très précieux et pour le titre de la fic, comme tu as vu je l'ai changé, et c'est mieux comme ça.
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cristal : OUAIS ! ! ! tu as réussi à poster une review, je pensais pas que tu y arriverai (heureusement que j'étais la sinon ;)) ET NE ME TRAHIS PLUS ! ! !
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je crois que j'ai répondu à tout le monde donc, maintenant place à la fic.
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Chapitre 6 : jour de joie… jour de peine
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- Comment ça va Harry ? demanda Ginny
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- Euh bien, enfin non, je voulais te dire que je m'en voulais énormément pour hier, je ne voulais vraiment pas dire cela mais je n'étais pas vraiment présent, et je ne savais pas ce que je disa…
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Il se stoppa quand il vit que Ginny avait un large sourire sur les lèvres
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- Respires de temps en temps Harry, dit elle ironiquement. A ces mots elle vit ka tête d'Harry s'empourprer. il ne s'était pas rendu compte de la façon dont il avait débité sa phrase, sans faire aucunes pauses ou reprendre sa respiration.
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.
- Je voulais tout simplement te demander de m'excuser, reprit-il plus calmement
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- Mais tu sais Harry, tu étais déjà tous excusé, ça arrive a tout le monde de s'emporter
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- Alors tu m'as laissé faire ma tirade et m'emmêler avec mes mots alors que tu ne m'en voulais plus s'indigna-t-il.
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- Je ne t'en au jamais voulu, je voulais juste voir comment tu réagirais et je ne suis pas déçu du tout, s'exclama-t-elle en réprimant un fou rire.
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Harry qui voulait faire payer à Ginny cette boutade qu'elle venait de lui faire, se mit a faire la moue et se retourna indigné, mais Ginny ne sembla pas réagir comme il l'aurait espéré.
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- Oh ! Harry Potter boude, se moqua-t-elle
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Il pris un air encore plus indigné, mais cette fois ci, c'était presque vrai. Il ne réalisait pas qu'elles s'était approchée de lui et que ses lèvres n'était maintenant qu'à quelques centimètres des siennes. Une angoisse le pris soudain, mais il n'eut pas le temps de se poser de questions car déjà il sentait les lèvres de la jeune se poser sur les siennes. Il n'imaginait pas qu'elles pouvaient être si douce, qu'un baiser pouvait être si merveilleux, il était simple et léger comme une plume, il y pensait de temps en tant, cependant il n'avait pas imaginé cela. Mais il sentit tout a coup un manque, Ginny s'était éloignée de lui.
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Il aurait tout fait pour ressentir a nouveau cette sensation, et à son étonnement, il attrapa Ginny par la taille, et l'embrassa de nouveau. Un baiser plus intense que le premier, plus profond. Il sentait déjà ses mains se promener sur son cou, puis dans ces cheveux. Mais elle interrompit ce baiser un peu trop tôt a son goût, mais ne retira pas ses mains de son cou.
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- Cela vous suffit-il comme excuse monsieur Potter ?
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A ces mots, Harry rougit ce qui amusa énormément Ginny.
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- Mais… euh… ça veut dire que… euh…
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- Qu'on est ensemble, monsieur Potter est un peu long à la comprenette.
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Harry rougit de plus belle. Elle plongea la tête sur son épaule et lui fit de même. Il ne savait pas combien de temps ils étaient restés enlacée comme ça, mais cela leur avait semblé une éternité. Harry relâcha doucement son étreinte, et regarda Ginny dans ses magnifiques yeux bleu. Il n'avait plus ce regard à la fois, timide et étonné, mais un regard profond, dans lesquels on pouvait voir la puissance de ses sentiments.
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Il rompit le silence qui s'était installé entre eux.
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- Au fait Ginny, comment en parler à Ron ? je ne sais vraiment pas comment il va le prendre.
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- De toute façon il n'a rien a dire, c'est ma vie, est ce que je lui dis quelque chose quand il lorgne sa serpentard lui.
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- Mais…
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- Il n'y a pas de mais, coupa-t-elle et puis de toute façon quoiqu'il dise, c'est la même chose. Ce n'est pas comme si je sortais avec le dernier des imbéciles, comme Malefoy, pour ne pas citer.
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- Au fait, il serait peut être temps que nous allions déjeuner, sinon on va être en retard en cours.
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Elle approuva et lui pris la main pendant qu'ils partaient (pas capable de prendre une seule initiative ce Harry). Harry se demandait bien comment Ron allait réagir, il espérait qu'il n'allait pas se fâcher avec lui comme lors de leur quatrième année. Quand ils arrivèrent la grande salle était déjà presque vide, et ni Ron ni Hermione n'était encore là. Ils s'installèrent et mangèrent en silence jusqu'à l'apparition de Ron et d'Hermione. l'atmosphère était quand même lourde, mais seul Harry et Ginny comprenaient pourquoi. Ce fut Ginny qui coupa le silence.
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- Alors bien dormis tous les deux ?
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- Euh… oui, répondit Ron, et vous ?
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- Oui pas trop mal, ajouta Hermione
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- Au fait Harry, tu n'étais pas la quand je me suis levé, tu étais ou ?
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- Ben, je me suis levé tôt, alors je suis allé courir. Bon sur ce, je vais aller prendre ma douche, et je vous rejoint en cours. Mais au moment où il s'apprêtait à partir Ginny lui attrapa le bras et lui dit avec un air espiègle :
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- Alors on ne dit pas au revoir
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- Mais bien sur que si, répondit-il en souriant.
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Il lui déposa un baiser plume sur les lèvres et s'en alla.
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Ron resta choqué par ce qu'il venait de voir. Il voyait qu'il y avait un malaise avec lui mais il n'aurait jamais imaginé cela. Il resta bouche bée regardant Harry partir, incapable de dire un seul mot. Hermione et Ginny le regardait amusées. Hermione n'était pas choquée du tout, elle s'y attendait depuis quelques temps, mais elle se rendit compte que Ron, lui, ne s'était aperçu de rien du tout. Après quelque minutes à observer la porte, il se tourna vers Ginny qui était prise d'un fou rire.
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- Mais… mais… mais…
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- Oui, c'est vrai, « mais », c'est un très joli mot, se moqua-t-elle
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- DepuisquandestcequetusorsavecmonmeilleuramiGinny ?
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A ces mots son fou rire redoubla.
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- Depuis quelques minutes, répondit-elle après s'être calmée
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- De… de… depuis quelques minutes ?
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- Bon eh bien je vais vous laisser M. Ronald Perroquet Weasley. Puis elle partie en direction de la salle commune.
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Lorsqu'elle arriva Harry descendait de son dortoir, les cheveux dégoulinant. il ne l'avait pas vu, elle en profita donc pour se cacher près des escaliers. Au moment ou il descendit la dernière marche, elle lui attrapa la taille et le tira vers elle. Il ne comprenait pas ce qui se passait, mais ne résista pas. Mais il se rendit vite compte que c'était Ginny qui l'attirait à elle.
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- Alors on ne fait pas attention à ses arrière
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- Eh bien, si c'est toujours toi, je n'ai vraiment pas envie de faire attention a mes arrières. A ces mots il l'embrassa langoureusement, leur langues s'effleurèrent, puis se baiser se fit plus profond. Il ne savait pas ou il avait trouvé cette assurance, à l'aube il n'était même pas capable d'aligner 2 mots, maintenant il prenait les devants. Leur étreinte se resserra, mais soudain un cri se fit entendre. Les deux amoureux se séparèrent, et virent une tête rousse dépasser de l'entrée. Harry s'empourpra en voyant l'état de son meilleur ami. Mais cette intrusion n'eu pas le même effet sur Ginny, elle s'esclaffa.
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- J'y vais, dit elle avant de déposer un baiser à Harry puis se dirigea vers la sortie en laissant Harry et Ron seul.
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- Avant de dire quoi que ce soit, je voudrais que tu m'écoute jusqu'au bout.
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Ron aurait bien voulu parler, mais il était bien trop choqué (il lui en faut peu) pour dire quelque chose.
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- Je voulais te dire, et je pense que tu t'en doutes, que je ne suis pas avec ta sœur pour m'amuser, mais parce que je ressent des choses pour elle et que je ne veux pas la quitter.
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Il avait dit cela comme s'il avait préparé son discours, ce qui était vrai, en effet, il avait répété au moins cent fois sous sa douche cette phrase.
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- Tu sais bien que je ne veux pas lui faire de mal, je n'en serait pas capable.
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A ces parole Ron se calma quelque peu.
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- Tu as raison Harry, mais ça me fait bizarre de voir ma sœur avec quelqu'un. C'est ma petite sœur et je n'ai pas envie qu'il lui arrive quoi que ce soit.
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- Je te comprend Ron, et sache qu'avec moi il n'y aura pas de problèmes, j'en prendrait grand soin. Je te donne même le droit de me frapper si je la fait souffrir. (Harry deviendrait-il sage et responsable ?)
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- Je peux te faire confiance. Cette phrase eu l'effet sur Harry de le faire sourire. Mais, repris-t-il, NE L'EMBRASSE PAS DEVANT MOI ! ! !
Cela avait été trop beau jusque là, et cette déclaration, plutôt cet ordre l'avait surpris, mais en y réfléchissant bien, c'était plutôt logique. Mais cela risquait d'être difficile à respecter.
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- D'accord Ron, finit-il par dire sans trop de conviction. Au fait, il serait peut être temps d'aller en métamorphose, je n'ai pas vraiment envie d'énerver la vieille Mc Go.
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- Oh non, on est en commun avec les serpentard
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Puis ils partirent en direction de la salle de métamorphose.
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- Ah ! ! ! on a de la chance on est pas en retard s'exclama Ron
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- Si vous l'êtes répondit Hermione, c'est le professeur Mc Gonagall qui n'est pas encore arrivé.
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- Toujours le mot qui fâche toi ! ! ! puis il s'assit sur le banc de derrière plutôt renfrogné.
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Au bout de quelques minutes Harry se rendit compte que chez le serpentard un élève manquait à l'appel, il devrait plutôt dire UNE élève. Effectivement Sarah n'était pas la.
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Cela faisait plus de quinze minutes que Mc Go aurait du être présente. Les réactions étaient diverses. Du coté des gryffondor l'inquiétude dominait, mais chez les serpentard c'était plutôt la joie qui était présente.
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Hermione décida de se lever, puisque aucun des préfet ne se déplaçaient elle décida de se rendre dans le bureau de Dumbledore. Elle n'était pas préfète, non que cela ne lui ai pas été proposé, mais car elle avait tellement enfreint le règlement les années précédentes qu'elle ne voulait pas être obligé de s'en enlever. Elle s'arrêta donc devant la statue cachant l'entrée du passage pour atteindre le bureau du directeur, et elle se rendit compte qu'elle ne connaissait pas le mot de passe, mais avant même qu'elle fouille dans sa mémoire, la statue de pierre pivota et elle laissa apparaître le directeur.
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- Que me vaut cette visite Mlle Granger ?
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- Professeur Dumbledore, le professeur Mc Gonagall, n'est pas venu en cours ce matin, et nous commençons à nous inquiéter, car nous n'avons jamais vu le professeur Mc Gonagall arriver en retard à un de ses cours et encore moins en louper un.
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Le professeur fronça les sourcil, et se dirigea sans un mot dans la salle de métamorphose. il salua tous les élèves et se dirigea plus particulièrement vers le fond de la salle, ou on pouvait distinguer une petite porte. Il s'approcha de la porte et murmura un mot que personne ne réussi à entendre, puis il disparu derrière la porte prenant bien le soin de la refermer derrière lui.
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- Hermione, qu'est ce qu'il t'as dis ?
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- Il t'as expliqué ?
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- As tu des nouvelles ?
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Des voix fusaient de partout, mais elle n'avait ni le temps de répondre aux questions, ni le temps de les comprendre. Au bout de quelques le directeur réapparu dans l'encadrement de la porte, seul.
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Tout le monde l'affubla de question, mais il ne dit aucun mot, il alla se placer au bureau du professeur Mc Gonagall.
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- Aujourd'hui c'est moi qui me chargerai du cours du professeur Mc Gonagall, déclara-t-il, avec une voix sans ton particulier.
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- Mais où est le professeur Mc Gonagall ? demanda un élève.
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- Nous parlerons de cela plus tard, en attendant dites moi ou vous en étiez au cours précédent.
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Le professeur Dumbledore continua son cours, jusqu'à ce que l'heure de la fin du cours arrive. Il convoqua les préfets, et leur dis d'avertir les autres professeur de ne pas aller à leur cours suivant, de le rejoindre dans son bureau le plus vite possible, et de laisser quartier libre aux élèves jusqu'au déjeuné.
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Il allait partir lorsque
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- Professeur, pouvez-vous me dire ce qui se passe ? Harry semblait inquiet.
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- Tu le saura en temps voulu Harry, en attendant il faut que j'aille dans mon bureau.
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Et le professeur quitta la pièce sans se retourner.
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Les élèves ne cessaient de se poser des questions, mais ils ne réussissaient pas à trouver de réponse. Serait-elle malade ? ou bien en difficulté ? pourquoi le professeur Dumbledore n'avait-il rien dit ?
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Harry et ses amis était dans la salle commune. Harry exposait sa théorie, mais Ron n'avait pas l'air d'accord.
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- Je suis sure que cet Dujoser à quelque chose à voir avec ça. Ce matin elle n'était pas en cours, et puis hier… mais il ne finit pas sa phrase se rendant compte de ce qu'il allait dire.
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- Que c'est-il passé hier demanda Ginny ?
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- Euh… rien du tout répondit Harry.
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Bizarrement, Ron n'avait rien demandé et semblait très rêveur.
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- Mais Harry, tu ne peux rien dire sur le fait que Dujoser n'était pas la, il n'y a sûrement aucun rapport.
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Cette fois ci Ron se réveilla
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- Quoi, Sarah, qu'est ce qu'elle a fait ?
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- SARAH ? demandèrent-il en cœur
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- Depuis quand tu appelles un serpentard par son prénom Ron ?
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- Euh… je en sais pas dis Ron précipitamment. Bon j'ai quelque chose à faire ajouta-t-il, puis il se dirigea vers la sortie.
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- Il est étrange en ce moment, il est absent, il n'écoute pas ce qu'on dit, je n'y comprend vraiment rien. En attendant, il faut que je découvre ce que manigance cette Dujoser de malheur. Il voulu sortir de la salle pour essayer de chercher des indice, mais les préfet venaient déjà les chercher.
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- Réunion d'urgence dans la grande salle, tous les élèves doivent s'y rendre immédiatement.
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Le professeur Dumbledore se leva et s'apprêta à parler. Tous les élèves remarquèrent que le professeur Mc Gonagall, n'était pas présent, et vu à l'allure ou circulent les rumeurs à Poudlard, il y avait déjà plusieurs versions des fait. Certains disaient qu'elle était morte de vieillesse, d'autre qu'elle était très malade et qu'elle ne s'en sortirai pas, les plus optimistes disait qu'elle était juste trop fatigué et qu'elle devait se reposer. Seul certains élèves ne se prononçaient pas.
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- Mes chers élèves, comme vous l'avez remarqué, ce matin, le professeur Mc Gonagall, n'est pas présente. Plusieurs rumeurs circulent en ce moment, et je voudrais vous dire qu'elles sont toutes fausse. Ce que je peux vous dire c'est que le professeur Mc Gonagall à disparu, je ne sais pas comment, mais elle n'est plus là. Nous allons tenter de la retrouver au plus vite, je vous demande donc de ne pas vous inquiéter, le ton de Dumbledore était plus grave que ce qu'il espérait. Je vais donc suspendre les cours pour aujourd'hui.
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Sur ces mots, il partit de grande salle suivit des autres professeurs.
Deux personnes n'avaient pas assistés au discours du professeur, toujours Mlle Dujoser, mais aussi, Ron Weasley.
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- Hermione, Ron n'est pas là, et Dujoser non plus paniqua Harry, qu'est ce qu'elle lui a fait ?
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- Harry calme toi, et n'accuse pas les gens sans savoir.
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- Mais je te dis qu'elle ne m'inspire pas confiance depuis le début.
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- Mais…
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- Et je suis sure que c'est elle qui as fait quelque chose à Mc Gonagall
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- Harry…
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- Et elle doit aussi avoir fait quelque chose à Ron
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- HARRY ! ! !
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- Oui ?
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- Est ce que tu vas arrêter de fantasmer, Ron vient d'arriver, et il n'a rien du tout.
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- J'était en train de me promener, et les préfet n'on pas pu me prévenir, don je n'ai pas su qu'il y avait une réunion. Et pourquoi parlais tu de Dujoser ?
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Harry était bouche bée, son raisonnement tombait à l'eau.
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- Mais je prouverai qu'elle a quelque chose a voir avec cela.
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- Allez viens Harry, tu as besoin de te changer les idées, Ginny le pris par la main et ils sortir da la grande salle.
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voilà voili voilou c'est fini, j'espere que ça vous a plut. Et si vous voulez la suite
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REVIEW ! ! ! !
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Eile
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disclaimer : les personnages ne m'appartiennent toujours pas, ils sont toujours à JKR, à moins que quelqu'un ai réussi à lui piquer. Je n'ai que Sarah, et l'histoire
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réponses aux reviews :
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Elanor : MARCI MA ELADOREE¤ merci boucoup boucoup pour tous tes conseils, et pi pour me soutenir, tes reviews me font super plaisir. (c'est pas vrai je t'ai pas forcé à les poster)
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Ccilia Johnson : marci beaucoup
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Olive : je te remercie, pour l'idée de fic Ginny/Harry c'est plutôt banal, mais ça restera pas banal longtemps ;)
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Math : merci beaucoup
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Hanakana : merci beaucoup (ne m'empale pas j'ai encore rien dit de méchant) et puis si tu veux continuer à faire les pompom girl, y'a pas de problème ;)
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lune d'argent : merci pour tous tes conseils, il me sont très très précieux et pour le titre de la fic, comme tu as vu je l'ai changé, et c'est mieux comme ça.
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cristal : OUAIS ! ! ! tu as réussi à poster une review, je pensais pas que tu y arriverai (heureusement que j'étais la sinon ;)) ET NE ME TRAHIS PLUS ! ! !
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je crois que j'ai répondu à tout le monde donc, maintenant place à la fic.
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Chapitre 6 : jour de joie… jour de peine
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- Comment ça va Harry ? demanda Ginny
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- Euh bien, enfin non, je voulais te dire que je m'en voulais énormément pour hier, je ne voulais vraiment pas dire cela mais je n'étais pas vraiment présent, et je ne savais pas ce que je disa…
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Il se stoppa quand il vit que Ginny avait un large sourire sur les lèvres
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- Respires de temps en temps Harry, dit elle ironiquement. A ces mots elle vit ka tête d'Harry s'empourprer. il ne s'était pas rendu compte de la façon dont il avait débité sa phrase, sans faire aucunes pauses ou reprendre sa respiration.
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- Je voulais tout simplement te demander de m'excuser, reprit-il plus calmement
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- Mais tu sais Harry, tu étais déjà tous excusé, ça arrive a tout le monde de s'emporter
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- Alors tu m'as laissé faire ma tirade et m'emmêler avec mes mots alors que tu ne m'en voulais plus s'indigna-t-il.
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- Je ne t'en au jamais voulu, je voulais juste voir comment tu réagirais et je ne suis pas déçu du tout, s'exclama-t-elle en réprimant un fou rire.
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Harry qui voulait faire payer à Ginny cette boutade qu'elle venait de lui faire, se mit a faire la moue et se retourna indigné, mais Ginny ne sembla pas réagir comme il l'aurait espéré.
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- Oh ! Harry Potter boude, se moqua-t-elle
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Il pris un air encore plus indigné, mais cette fois ci, c'était presque vrai. Il ne réalisait pas qu'elles s'était approchée de lui et que ses lèvres n'était maintenant qu'à quelques centimètres des siennes. Une angoisse le pris soudain, mais il n'eut pas le temps de se poser de questions car déjà il sentait les lèvres de la jeune se poser sur les siennes. Il n'imaginait pas qu'elles pouvaient être si douce, qu'un baiser pouvait être si merveilleux, il était simple et léger comme une plume, il y pensait de temps en tant, cependant il n'avait pas imaginé cela. Mais il sentit tout a coup un manque, Ginny s'était éloignée de lui.
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Il aurait tout fait pour ressentir a nouveau cette sensation, et à son étonnement, il attrapa Ginny par la taille, et l'embrassa de nouveau. Un baiser plus intense que le premier, plus profond. Il sentait déjà ses mains se promener sur son cou, puis dans ces cheveux. Mais elle interrompit ce baiser un peu trop tôt a son goût, mais ne retira pas ses mains de son cou.
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- Cela vous suffit-il comme excuse monsieur Potter ?
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A ces mots, Harry rougit ce qui amusa énormément Ginny.
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- Mais… euh… ça veut dire que… euh…
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- Qu'on est ensemble, monsieur Potter est un peu long à la comprenette.
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Harry rougit de plus belle. Elle plongea la tête sur son épaule et lui fit de même. Il ne savait pas combien de temps ils étaient restés enlacée comme ça, mais cela leur avait semblé une éternité. Harry relâcha doucement son étreinte, et regarda Ginny dans ses magnifiques yeux bleu. Il n'avait plus ce regard à la fois, timide et étonné, mais un regard profond, dans lesquels on pouvait voir la puissance de ses sentiments.
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Il rompit le silence qui s'était installé entre eux.
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- Au fait Ginny, comment en parler à Ron ? je ne sais vraiment pas comment il va le prendre.
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- De toute façon il n'a rien a dire, c'est ma vie, est ce que je lui dis quelque chose quand il lorgne sa serpentard lui.
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- Mais…
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- Il n'y a pas de mais, coupa-t-elle et puis de toute façon quoiqu'il dise, c'est la même chose. Ce n'est pas comme si je sortais avec le dernier des imbéciles, comme Malefoy, pour ne pas citer.
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- Au fait, il serait peut être temps que nous allions déjeuner, sinon on va être en retard en cours.
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Elle approuva et lui pris la main pendant qu'ils partaient (pas capable de prendre une seule initiative ce Harry). Harry se demandait bien comment Ron allait réagir, il espérait qu'il n'allait pas se fâcher avec lui comme lors de leur quatrième année. Quand ils arrivèrent la grande salle était déjà presque vide, et ni Ron ni Hermione n'était encore là. Ils s'installèrent et mangèrent en silence jusqu'à l'apparition de Ron et d'Hermione. l'atmosphère était quand même lourde, mais seul Harry et Ginny comprenaient pourquoi. Ce fut Ginny qui coupa le silence.
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- Alors bien dormis tous les deux ?
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- Euh… oui, répondit Ron, et vous ?
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- Oui pas trop mal, ajouta Hermione
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- Au fait Harry, tu n'étais pas la quand je me suis levé, tu étais ou ?
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- Ben, je me suis levé tôt, alors je suis allé courir. Bon sur ce, je vais aller prendre ma douche, et je vous rejoint en cours. Mais au moment où il s'apprêtait à partir Ginny lui attrapa le bras et lui dit avec un air espiègle :
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- Alors on ne dit pas au revoir
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- Mais bien sur que si, répondit-il en souriant.
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Il lui déposa un baiser plume sur les lèvres et s'en alla.
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Ron resta choqué par ce qu'il venait de voir. Il voyait qu'il y avait un malaise avec lui mais il n'aurait jamais imaginé cela. Il resta bouche bée regardant Harry partir, incapable de dire un seul mot. Hermione et Ginny le regardait amusées. Hermione n'était pas choquée du tout, elle s'y attendait depuis quelques temps, mais elle se rendit compte que Ron, lui, ne s'était aperçu de rien du tout. Après quelque minutes à observer la porte, il se tourna vers Ginny qui était prise d'un fou rire.
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- Mais… mais… mais…
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- Oui, c'est vrai, « mais », c'est un très joli mot, se moqua-t-elle
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- DepuisquandestcequetusorsavecmonmeilleuramiGinny ?
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A ces mots son fou rire redoubla.
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- Depuis quelques minutes, répondit-elle après s'être calmée
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- De… de… depuis quelques minutes ?
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- Bon eh bien je vais vous laisser M. Ronald Perroquet Weasley. Puis elle partie en direction de la salle commune.
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Lorsqu'elle arriva Harry descendait de son dortoir, les cheveux dégoulinant. il ne l'avait pas vu, elle en profita donc pour se cacher près des escaliers. Au moment ou il descendit la dernière marche, elle lui attrapa la taille et le tira vers elle. Il ne comprenait pas ce qui se passait, mais ne résista pas. Mais il se rendit vite compte que c'était Ginny qui l'attirait à elle.
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- Alors on ne fait pas attention à ses arrière
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- Eh bien, si c'est toujours toi, je n'ai vraiment pas envie de faire attention a mes arrières. A ces mots il l'embrassa langoureusement, leur langues s'effleurèrent, puis se baiser se fit plus profond. Il ne savait pas ou il avait trouvé cette assurance, à l'aube il n'était même pas capable d'aligner 2 mots, maintenant il prenait les devants. Leur étreinte se resserra, mais soudain un cri se fit entendre. Les deux amoureux se séparèrent, et virent une tête rousse dépasser de l'entrée. Harry s'empourpra en voyant l'état de son meilleur ami. Mais cette intrusion n'eu pas le même effet sur Ginny, elle s'esclaffa.
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- J'y vais, dit elle avant de déposer un baiser à Harry puis se dirigea vers la sortie en laissant Harry et Ron seul.
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- Avant de dire quoi que ce soit, je voudrais que tu m'écoute jusqu'au bout.
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Ron aurait bien voulu parler, mais il était bien trop choqué (il lui en faut peu) pour dire quelque chose.
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- Je voulais te dire, et je pense que tu t'en doutes, que je ne suis pas avec ta sœur pour m'amuser, mais parce que je ressent des choses pour elle et que je ne veux pas la quitter.
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Il avait dit cela comme s'il avait préparé son discours, ce qui était vrai, en effet, il avait répété au moins cent fois sous sa douche cette phrase.
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- Tu sais bien que je ne veux pas lui faire de mal, je n'en serait pas capable.
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A ces parole Ron se calma quelque peu.
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- Tu as raison Harry, mais ça me fait bizarre de voir ma sœur avec quelqu'un. C'est ma petite sœur et je n'ai pas envie qu'il lui arrive quoi que ce soit.
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- Je te comprend Ron, et sache qu'avec moi il n'y aura pas de problèmes, j'en prendrait grand soin. Je te donne même le droit de me frapper si je la fait souffrir. (Harry deviendrait-il sage et responsable ?)
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- Je peux te faire confiance. Cette phrase eu l'effet sur Harry de le faire sourire. Mais, repris-t-il, NE L'EMBRASSE PAS DEVANT MOI ! ! !
Cela avait été trop beau jusque là, et cette déclaration, plutôt cet ordre l'avait surpris, mais en y réfléchissant bien, c'était plutôt logique. Mais cela risquait d'être difficile à respecter.
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- D'accord Ron, finit-il par dire sans trop de conviction. Au fait, il serait peut être temps d'aller en métamorphose, je n'ai pas vraiment envie d'énerver la vieille Mc Go.
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- Oh non, on est en commun avec les serpentard
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Puis ils partirent en direction de la salle de métamorphose.
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- Ah ! ! ! on a de la chance on est pas en retard s'exclama Ron
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- Si vous l'êtes répondit Hermione, c'est le professeur Mc Gonagall qui n'est pas encore arrivé.
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- Toujours le mot qui fâche toi ! ! ! puis il s'assit sur le banc de derrière plutôt renfrogné.
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Au bout de quelques minutes Harry se rendit compte que chez le serpentard un élève manquait à l'appel, il devrait plutôt dire UNE élève. Effectivement Sarah n'était pas la.
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Cela faisait plus de quinze minutes que Mc Go aurait du être présente. Les réactions étaient diverses. Du coté des gryffondor l'inquiétude dominait, mais chez les serpentard c'était plutôt la joie qui était présente.
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Hermione décida de se lever, puisque aucun des préfet ne se déplaçaient elle décida de se rendre dans le bureau de Dumbledore. Elle n'était pas préfète, non que cela ne lui ai pas été proposé, mais car elle avait tellement enfreint le règlement les années précédentes qu'elle ne voulait pas être obligé de s'en enlever. Elle s'arrêta donc devant la statue cachant l'entrée du passage pour atteindre le bureau du directeur, et elle se rendit compte qu'elle ne connaissait pas le mot de passe, mais avant même qu'elle fouille dans sa mémoire, la statue de pierre pivota et elle laissa apparaître le directeur.
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- Que me vaut cette visite Mlle Granger ?
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- Professeur Dumbledore, le professeur Mc Gonagall, n'est pas venu en cours ce matin, et nous commençons à nous inquiéter, car nous n'avons jamais vu le professeur Mc Gonagall arriver en retard à un de ses cours et encore moins en louper un.
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Le professeur fronça les sourcil, et se dirigea sans un mot dans la salle de métamorphose. il salua tous les élèves et se dirigea plus particulièrement vers le fond de la salle, ou on pouvait distinguer une petite porte. Il s'approcha de la porte et murmura un mot que personne ne réussi à entendre, puis il disparu derrière la porte prenant bien le soin de la refermer derrière lui.
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- Hermione, qu'est ce qu'il t'as dis ?
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- Il t'as expliqué ?
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- As tu des nouvelles ?
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Des voix fusaient de partout, mais elle n'avait ni le temps de répondre aux questions, ni le temps de les comprendre. Au bout de quelques le directeur réapparu dans l'encadrement de la porte, seul.
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Tout le monde l'affubla de question, mais il ne dit aucun mot, il alla se placer au bureau du professeur Mc Gonagall.
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- Aujourd'hui c'est moi qui me chargerai du cours du professeur Mc Gonagall, déclara-t-il, avec une voix sans ton particulier.
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- Mais où est le professeur Mc Gonagall ? demanda un élève.
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- Nous parlerons de cela plus tard, en attendant dites moi ou vous en étiez au cours précédent.
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Le professeur Dumbledore continua son cours, jusqu'à ce que l'heure de la fin du cours arrive. Il convoqua les préfets, et leur dis d'avertir les autres professeur de ne pas aller à leur cours suivant, de le rejoindre dans son bureau le plus vite possible, et de laisser quartier libre aux élèves jusqu'au déjeuné.
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Il allait partir lorsque
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- Professeur, pouvez-vous me dire ce qui se passe ? Harry semblait inquiet.
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- Tu le saura en temps voulu Harry, en attendant il faut que j'aille dans mon bureau.
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Et le professeur quitta la pièce sans se retourner.
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Les élèves ne cessaient de se poser des questions, mais ils ne réussissaient pas à trouver de réponse. Serait-elle malade ? ou bien en difficulté ? pourquoi le professeur Dumbledore n'avait-il rien dit ?
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Harry et ses amis était dans la salle commune. Harry exposait sa théorie, mais Ron n'avait pas l'air d'accord.
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- Je suis sure que cet Dujoser à quelque chose à voir avec ça. Ce matin elle n'était pas en cours, et puis hier… mais il ne finit pas sa phrase se rendant compte de ce qu'il allait dire.
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- Que c'est-il passé hier demanda Ginny ?
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- Euh… rien du tout répondit Harry.
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Bizarrement, Ron n'avait rien demandé et semblait très rêveur.
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- Mais Harry, tu ne peux rien dire sur le fait que Dujoser n'était pas la, il n'y a sûrement aucun rapport.
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Cette fois ci Ron se réveilla
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- Quoi, Sarah, qu'est ce qu'elle a fait ?
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- SARAH ? demandèrent-il en cœur
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- Depuis quand tu appelles un serpentard par son prénom Ron ?
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- Euh… je en sais pas dis Ron précipitamment. Bon j'ai quelque chose à faire ajouta-t-il, puis il se dirigea vers la sortie.
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- Il est étrange en ce moment, il est absent, il n'écoute pas ce qu'on dit, je n'y comprend vraiment rien. En attendant, il faut que je découvre ce que manigance cette Dujoser de malheur. Il voulu sortir de la salle pour essayer de chercher des indice, mais les préfet venaient déjà les chercher.
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- Réunion d'urgence dans la grande salle, tous les élèves doivent s'y rendre immédiatement.
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Le professeur Dumbledore se leva et s'apprêta à parler. Tous les élèves remarquèrent que le professeur Mc Gonagall, n'était pas présent, et vu à l'allure ou circulent les rumeurs à Poudlard, il y avait déjà plusieurs versions des fait. Certains disaient qu'elle était morte de vieillesse, d'autre qu'elle était très malade et qu'elle ne s'en sortirai pas, les plus optimistes disait qu'elle était juste trop fatigué et qu'elle devait se reposer. Seul certains élèves ne se prononçaient pas.
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- Mes chers élèves, comme vous l'avez remarqué, ce matin, le professeur Mc Gonagall, n'est pas présente. Plusieurs rumeurs circulent en ce moment, et je voudrais vous dire qu'elles sont toutes fausse. Ce que je peux vous dire c'est que le professeur Mc Gonagall à disparu, je ne sais pas comment, mais elle n'est plus là. Nous allons tenter de la retrouver au plus vite, je vous demande donc de ne pas vous inquiéter, le ton de Dumbledore était plus grave que ce qu'il espérait. Je vais donc suspendre les cours pour aujourd'hui.
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Sur ces mots, il partit de grande salle suivit des autres professeurs.
Deux personnes n'avaient pas assistés au discours du professeur, toujours Mlle Dujoser, mais aussi, Ron Weasley.
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- Hermione, Ron n'est pas là, et Dujoser non plus paniqua Harry, qu'est ce qu'elle lui a fait ?
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- Harry calme toi, et n'accuse pas les gens sans savoir.
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- Mais je te dis qu'elle ne m'inspire pas confiance depuis le début.
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- Mais…
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- Et je suis sure que c'est elle qui as fait quelque chose à Mc Gonagall
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- Harry…
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- Et elle doit aussi avoir fait quelque chose à Ron
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- HARRY ! ! !
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- Oui ?
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- Est ce que tu vas arrêter de fantasmer, Ron vient d'arriver, et il n'a rien du tout.
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- J'était en train de me promener, et les préfet n'on pas pu me prévenir, don je n'ai pas su qu'il y avait une réunion. Et pourquoi parlais tu de Dujoser ?
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Harry était bouche bée, son raisonnement tombait à l'eau.
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- Mais je prouverai qu'elle a quelque chose a voir avec cela.
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- Allez viens Harry, tu as besoin de te changer les idées, Ginny le pris par la main et ils sortir da la grande salle.
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voilà voili voilou c'est fini, j'espere que ça vous a plut. Et si vous voulez la suite
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REVIEW ! ! ! !
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Eile
