Chapitre 5
Alors qu'elle réfléchissait à comment l'isoler pour pouvoir lui parler, Charlie lui tapota l'épaule. Ginny se retourna. Son frère, en une magnifique tenue de soirée de velours noir, faisait une gracieuse révérence tout en tendant la main à sa s?ur.
« Mademoiselle voudrait-elle m'accorder cette danse ? demanda-t-il à Ginny qui rougit.
Mais bien volontiers, noble cavalier, lui répondit-elle en mettant sa main dans la sienne.
Tout les deux, Ginny et Charlie allèrent sur la piste et dansèrent une valse. Ginny avait l'impression de flotter dans les bras de son frère, aux bras musclés mais à la poigne douce. A la fin de la danse, Charlie se pencha encore une fois et lui fit un baisemain, ce qui déclencha un fou rire chez Ginny. Charlie se redressa, et commença lui aussi à rire. Au bout d'un moment qui sembla durer des heures, ils s'arrêtèrent et s'essuyèrent les larmes de rire qui remplissaient leurs yeux. A peine Charlie était parti que ce fut Bill qui l'invita. Ensuite, tour à tour, chacun de ses frères, même Percy qui dansait comme un dieu, l'invitèrent à danser. Alors que Ginny, qui commençait à avoir des ampoules aux pieds, s'apprêtait à aller s'asseoir après avoir danser avec Ron sous l'?il amusé de Hermione, c'est son propre père qui l'invita à danser. Là, ce fut magique. Son père, qui avait l'air fragile, donnait l'impression de ne pas être un poids lorsque l'on dansait avec lui. Ginny avait l'agréable impression de voler.
Seuls Fred et George ne l'avait pas encore invitée, mais ils semblaient comploter et regardait de temps en temps leur s?ur. Soudain, George leva sa baguette et un rythme de samba se fit entendre. Son père quitta Ginny, qui vit avec horreur ses deux frères avancer vers elle, leurs visages ayant la même expression diabolique. Chacun prit une main de Ginny et il commencèrent à la faire tourner, voler, danser, et virevolter à la vitesse d'un boulet de canon. A la fin du morceau qui semblait avoir duré des heures, Ginny n'en pouvait plus. Elle pu enfin s'asseoir.
Après avoir jeté un coup d'?il à Harry et qu'elle vit que son attitude n'avait toujours pas changée, elle décida que c'était le moment d'agir.
Il était près de minuit.
Elle se levait de sa chaise après s'être assurée que ses pieds ne la torturaient plus. Elle avançait vers lui, pendant qu'il parlait avec Bill. Son c?ur recommença à battre. Elle connaissait bien cette sensation. Une habitude.
Elle s'arrêta juste devant lui, le regarda dans les yeux. Oooh, ses yeux ! elle aurait voulu s'y plonger et y rester pour toujours, perdue dans une mer couleur émeraude.
Oui ? demanda-t-il.
Euh. Ginny jeta un coup d'?il à Bill comme pour lui dire de ne pas l'interrompre. Harry, je peux te parler. en privé ?
Oui, bien sûr, répondit Harry , en posant son verre sur la table. Bill, tu m'excuses ?
Ouais, pas de problème, allez-y !
Ginny se dirigea au fond du jardin, à vingt mètres de l'emplacement de la fête, ou se trouvait un banc. Elle et Harry passèrent près de Hermione et Ron qui s'embrassaient langoureusement, bien caché derrière un massif de roses . Harry pouffa de rire, mais pas Ginny. Elle se remémorait tout ce qu'elle avait souffert durant toutes ces années. Elle était au bord des larmes. Une fois arrivés devant le banc, Harry lui demanda :
« Alors, Ginny, qu'est-ce-que tu voulait me dire ? »
Alors qu'elle réfléchissait à comment l'isoler pour pouvoir lui parler, Charlie lui tapota l'épaule. Ginny se retourna. Son frère, en une magnifique tenue de soirée de velours noir, faisait une gracieuse révérence tout en tendant la main à sa s?ur.
« Mademoiselle voudrait-elle m'accorder cette danse ? demanda-t-il à Ginny qui rougit.
Mais bien volontiers, noble cavalier, lui répondit-elle en mettant sa main dans la sienne.
Tout les deux, Ginny et Charlie allèrent sur la piste et dansèrent une valse. Ginny avait l'impression de flotter dans les bras de son frère, aux bras musclés mais à la poigne douce. A la fin de la danse, Charlie se pencha encore une fois et lui fit un baisemain, ce qui déclencha un fou rire chez Ginny. Charlie se redressa, et commença lui aussi à rire. Au bout d'un moment qui sembla durer des heures, ils s'arrêtèrent et s'essuyèrent les larmes de rire qui remplissaient leurs yeux. A peine Charlie était parti que ce fut Bill qui l'invita. Ensuite, tour à tour, chacun de ses frères, même Percy qui dansait comme un dieu, l'invitèrent à danser. Alors que Ginny, qui commençait à avoir des ampoules aux pieds, s'apprêtait à aller s'asseoir après avoir danser avec Ron sous l'?il amusé de Hermione, c'est son propre père qui l'invita à danser. Là, ce fut magique. Son père, qui avait l'air fragile, donnait l'impression de ne pas être un poids lorsque l'on dansait avec lui. Ginny avait l'agréable impression de voler.
Seuls Fred et George ne l'avait pas encore invitée, mais ils semblaient comploter et regardait de temps en temps leur s?ur. Soudain, George leva sa baguette et un rythme de samba se fit entendre. Son père quitta Ginny, qui vit avec horreur ses deux frères avancer vers elle, leurs visages ayant la même expression diabolique. Chacun prit une main de Ginny et il commencèrent à la faire tourner, voler, danser, et virevolter à la vitesse d'un boulet de canon. A la fin du morceau qui semblait avoir duré des heures, Ginny n'en pouvait plus. Elle pu enfin s'asseoir.
Après avoir jeté un coup d'?il à Harry et qu'elle vit que son attitude n'avait toujours pas changée, elle décida que c'était le moment d'agir.
Il était près de minuit.
Elle se levait de sa chaise après s'être assurée que ses pieds ne la torturaient plus. Elle avançait vers lui, pendant qu'il parlait avec Bill. Son c?ur recommença à battre. Elle connaissait bien cette sensation. Une habitude.
Elle s'arrêta juste devant lui, le regarda dans les yeux. Oooh, ses yeux ! elle aurait voulu s'y plonger et y rester pour toujours, perdue dans une mer couleur émeraude.
Oui ? demanda-t-il.
Euh. Ginny jeta un coup d'?il à Bill comme pour lui dire de ne pas l'interrompre. Harry, je peux te parler. en privé ?
Oui, bien sûr, répondit Harry , en posant son verre sur la table. Bill, tu m'excuses ?
Ouais, pas de problème, allez-y !
Ginny se dirigea au fond du jardin, à vingt mètres de l'emplacement de la fête, ou se trouvait un banc. Elle et Harry passèrent près de Hermione et Ron qui s'embrassaient langoureusement, bien caché derrière un massif de roses . Harry pouffa de rire, mais pas Ginny. Elle se remémorait tout ce qu'elle avait souffert durant toutes ces années. Elle était au bord des larmes. Une fois arrivés devant le banc, Harry lui demanda :
« Alors, Ginny, qu'est-ce-que tu voulait me dire ? »
