Ginny, répéta-t-il, je voulais te déclarer mes sentiments ce soir. Je ne
savais pas encore comment, mais je voulais le faire. J'y réfléchissait
toute la soirée, depuis ton arrivée par le Poudlard express.
« Hier, lorsque ta mère, Ron, Hermione et moi sommes allés acheter ta robe, j'y pensais déjà. Et, au cas où tu répondais à ma déclaration, je t'ai acheté. oh, une bricole.
Il sortit un petit paquet de sa poche, enveloppé dans un papier bleu marine fermé par un ruban blanc. Il le tendit timidement à Ginny qui recommença à rougir. Tremblante, elle saisit le paquet. C'était le premier cadeau, à part le baiser, que Harry lui faisait.
Elle tira doucement le ruban et défit doucement le papier. Elle y trouva un écrin de velours, bleu marine lui aussi, fermé par un cordon doré. Tremblant de plus en plus, elle tira le cordon, retourna le sac et un objet brillant tomba dans sa main.
Oh, Harry,. murmura-t-elle en mettant une main devant sa bouche. C'est magnifique !
Harry lui avait offerte une magnifique bague. L'anneau était en argent, sculpté de minuscules roses tout autour du cercle. Il était surmonté d'une très discrète émeraude, brillant de milles feux, exactement comme les yeux de Harry.
Ce dernier prit la bague, saisit tendrement la main droite de sa jeune amie, et passa le bijou à l'annulaire de Ginny. Des larmes remplirent les yeux de Ginny qui regarda son ami. Harry, une fois la bague mise sur le doigt de Ginny, la regarda dans les yeux. Il déclara d'une voix douce :
Ginny, je t'aime.
Ginny prit le visage de Harry entre ses mains, et l'approcha de son propre visage. Une deuxième fois, elle l'embrassa, des larmes de bonheur coulant de ses yeux. Il restèrent ainsi une demi-heure durant, s'embrassant tendrement, se regardant, souriants. Au bout de la demi-heure, Harry songea qu'il était temps de retourner avec les autres. Main dans la main, Ginny et Harry se levèrent et retournèrent à l'endroit où se déroulait la fête.
Lorsqu'ils arrivèrent, se tenant par la main, tous les regardèrent. Mrs Weasley regarda Harry, puis sa fille, et sourit de toutes ses dents. Par contre, tous les frères Weasley se regardèrent, puis regardèrent Harry. De toute évidence, tous devaient savoir ce qui s'était passé. Charlie, Ron, Fred et George rentrèrent un moment dans la maison, puis ressortirent, leurs balais à la main. Percy et Bill, qui étaient restés là à observer Harry dans un silence de mort, commencèrent à remonter les manches de leurs robes de sorciers. Percy enleva ses lunettes et les mit dans sa poche. Ils semblaient tous avoir envie d'éclater de rire, mais ils gardaient les sourcils froncés et ne sourirent pas. Harry lâcha la main de Ginny qui ne devait pas savoir plus que lui ce qui se passait.
Harry, comment ça ce fait que tu as les lèvres dorées ? Tu sais que ça ne vas pas du tout avec la couleur de tes yeux ? demanda Bill.
Lui et Percy se rapprochèrent de Harry, pendant que les quatre autres enfourchaient leurs balais. Harry se pinça les lèvres pour ne pas éclater de rire devant leurs expressions meurtrières qui ne leurs allaient pas du tout. Cependant, comme Bill faisait à peu près deux têtes de plus que lui, il préféra reculer. Ginny regardait la scène la bouche ouverte, regardant alternativement ses frères sur les balais qui complotaient, Bill et Percy qui menaçait Harry, Harry reculant devant la menace et Mrs Weasley qui ne disait absolument rien. Elle remarqua aussi que Alicia, Angelina et Katie étaient parties.
Cher ami, pourquoi tes lunettes sont-elles dans la main de ma jeune s?ur ? Aurait-elle des problèmes de vue ? questionna Ron.
Ça ne sent pas bon Harry. remarqua Charlie. Je serais toi, je déguerpirai vite fait. Même maintenant. Attention, je compte jusqu'à trois : un. deux.
A L'ATTAQUE ! ! ! s'écria Fred.
Tout ses frères répondirent à cet ordre ; les balais foncèrent, Bill et Percy commencèrent à courir. Harry, voyant les six Weasley foncer vers lui à la vitesse de l'éclair, commença à courir comme il n'avait jamais couru. On pouvait cependant l'entendre rire comme un dément.
Mais c'est qu'il s'amuse, le petit bouffon ! s'écria George. Donnons-lui une bonne leçon !
Ginny, qui regardait la scène d'un air horrifié, vit que Charlie et Fred commençaient sérieusement à se rapprocher de Harry. Elle cria à pleins poumons :
CHARLIE ! FRED ! FOUTEZ-LUI LA PAIX ! ! !
Ses frères, au lieu de l'écouter, éclatèrent de rire. Ginny se mit en colère, enleva vite ses chaussures et commença à courir derrière ses frères. Un groupe de fées se joignit à la course, en riant. Cela donnais un tableau très amusant : Harry, courant à perdre haleine, suivit de près par quatre personnes sur des balais, puis Percy et Charlie, fatigués, se laissèrent dépassés par une fille en robe de bal et à pieds nus, elle-même suivit par des fées qui semblaient bien s'amuser.
Harry, n'en pouvant plus, tomba à quatre pattes sur l'herbe et se protégea des quatre paires de pieds qui passèrent au-dessus de sa tête. Ron, Charlie, Fred et George freinèrent quelques mètres plus loin, entraînés dans leur élan. Ils posèrent le pied à terre, et Ginny rejoignit aussitôt Harry, étendu face contre terre, ne bougeant plus. Ses frères la rejoignirent. Fred dit :
Allé, Harry, vient te battre, comme un homme !
Mais Harry ne bougea toujours pas.
Harry ? demanda Ron.
Mais toujours aucune réponse.
C'est bon, c'était juste une blague, on ne voulait pas vraiment te faire de mal. Harry ? demanda la voix inquiète de George.
Mais Harry ne répondit pas. Ginny, apeurée, se tourna vers ses frères et hurla :
VOUS L'AVEZ TUE ! VOUS L'AVEZ TUE ! VOUS L'AVEZ EPUISE, ET MAINTENANT, IL EST MORT !
Ndla : Voilà ! fin de l'avant dernier chapitre ! que de suspens ! c'est triste, hein ? au début, j'avais pas prévu ça, mais bon.. Prochain chapitre : « Une mort en trop. ». ça fout les boules, hein ? I LOVE REVIEWS ! dites-moi ce que vous pensez de ma fic! Et si ça marche pas, n'hésitez pas à m'envoyer un mail !
« Hier, lorsque ta mère, Ron, Hermione et moi sommes allés acheter ta robe, j'y pensais déjà. Et, au cas où tu répondais à ma déclaration, je t'ai acheté. oh, une bricole.
Il sortit un petit paquet de sa poche, enveloppé dans un papier bleu marine fermé par un ruban blanc. Il le tendit timidement à Ginny qui recommença à rougir. Tremblante, elle saisit le paquet. C'était le premier cadeau, à part le baiser, que Harry lui faisait.
Elle tira doucement le ruban et défit doucement le papier. Elle y trouva un écrin de velours, bleu marine lui aussi, fermé par un cordon doré. Tremblant de plus en plus, elle tira le cordon, retourna le sac et un objet brillant tomba dans sa main.
Oh, Harry,. murmura-t-elle en mettant une main devant sa bouche. C'est magnifique !
Harry lui avait offerte une magnifique bague. L'anneau était en argent, sculpté de minuscules roses tout autour du cercle. Il était surmonté d'une très discrète émeraude, brillant de milles feux, exactement comme les yeux de Harry.
Ce dernier prit la bague, saisit tendrement la main droite de sa jeune amie, et passa le bijou à l'annulaire de Ginny. Des larmes remplirent les yeux de Ginny qui regarda son ami. Harry, une fois la bague mise sur le doigt de Ginny, la regarda dans les yeux. Il déclara d'une voix douce :
Ginny, je t'aime.
Ginny prit le visage de Harry entre ses mains, et l'approcha de son propre visage. Une deuxième fois, elle l'embrassa, des larmes de bonheur coulant de ses yeux. Il restèrent ainsi une demi-heure durant, s'embrassant tendrement, se regardant, souriants. Au bout de la demi-heure, Harry songea qu'il était temps de retourner avec les autres. Main dans la main, Ginny et Harry se levèrent et retournèrent à l'endroit où se déroulait la fête.
Lorsqu'ils arrivèrent, se tenant par la main, tous les regardèrent. Mrs Weasley regarda Harry, puis sa fille, et sourit de toutes ses dents. Par contre, tous les frères Weasley se regardèrent, puis regardèrent Harry. De toute évidence, tous devaient savoir ce qui s'était passé. Charlie, Ron, Fred et George rentrèrent un moment dans la maison, puis ressortirent, leurs balais à la main. Percy et Bill, qui étaient restés là à observer Harry dans un silence de mort, commencèrent à remonter les manches de leurs robes de sorciers. Percy enleva ses lunettes et les mit dans sa poche. Ils semblaient tous avoir envie d'éclater de rire, mais ils gardaient les sourcils froncés et ne sourirent pas. Harry lâcha la main de Ginny qui ne devait pas savoir plus que lui ce qui se passait.
Harry, comment ça ce fait que tu as les lèvres dorées ? Tu sais que ça ne vas pas du tout avec la couleur de tes yeux ? demanda Bill.
Lui et Percy se rapprochèrent de Harry, pendant que les quatre autres enfourchaient leurs balais. Harry se pinça les lèvres pour ne pas éclater de rire devant leurs expressions meurtrières qui ne leurs allaient pas du tout. Cependant, comme Bill faisait à peu près deux têtes de plus que lui, il préféra reculer. Ginny regardait la scène la bouche ouverte, regardant alternativement ses frères sur les balais qui complotaient, Bill et Percy qui menaçait Harry, Harry reculant devant la menace et Mrs Weasley qui ne disait absolument rien. Elle remarqua aussi que Alicia, Angelina et Katie étaient parties.
Cher ami, pourquoi tes lunettes sont-elles dans la main de ma jeune s?ur ? Aurait-elle des problèmes de vue ? questionna Ron.
Ça ne sent pas bon Harry. remarqua Charlie. Je serais toi, je déguerpirai vite fait. Même maintenant. Attention, je compte jusqu'à trois : un. deux.
A L'ATTAQUE ! ! ! s'écria Fred.
Tout ses frères répondirent à cet ordre ; les balais foncèrent, Bill et Percy commencèrent à courir. Harry, voyant les six Weasley foncer vers lui à la vitesse de l'éclair, commença à courir comme il n'avait jamais couru. On pouvait cependant l'entendre rire comme un dément.
Mais c'est qu'il s'amuse, le petit bouffon ! s'écria George. Donnons-lui une bonne leçon !
Ginny, qui regardait la scène d'un air horrifié, vit que Charlie et Fred commençaient sérieusement à se rapprocher de Harry. Elle cria à pleins poumons :
CHARLIE ! FRED ! FOUTEZ-LUI LA PAIX ! ! !
Ses frères, au lieu de l'écouter, éclatèrent de rire. Ginny se mit en colère, enleva vite ses chaussures et commença à courir derrière ses frères. Un groupe de fées se joignit à la course, en riant. Cela donnais un tableau très amusant : Harry, courant à perdre haleine, suivit de près par quatre personnes sur des balais, puis Percy et Charlie, fatigués, se laissèrent dépassés par une fille en robe de bal et à pieds nus, elle-même suivit par des fées qui semblaient bien s'amuser.
Harry, n'en pouvant plus, tomba à quatre pattes sur l'herbe et se protégea des quatre paires de pieds qui passèrent au-dessus de sa tête. Ron, Charlie, Fred et George freinèrent quelques mètres plus loin, entraînés dans leur élan. Ils posèrent le pied à terre, et Ginny rejoignit aussitôt Harry, étendu face contre terre, ne bougeant plus. Ses frères la rejoignirent. Fred dit :
Allé, Harry, vient te battre, comme un homme !
Mais Harry ne bougea toujours pas.
Harry ? demanda Ron.
Mais toujours aucune réponse.
C'est bon, c'était juste une blague, on ne voulait pas vraiment te faire de mal. Harry ? demanda la voix inquiète de George.
Mais Harry ne répondit pas. Ginny, apeurée, se tourna vers ses frères et hurla :
VOUS L'AVEZ TUE ! VOUS L'AVEZ TUE ! VOUS L'AVEZ EPUISE, ET MAINTENANT, IL EST MORT !
Ndla : Voilà ! fin de l'avant dernier chapitre ! que de suspens ! c'est triste, hein ? au début, j'avais pas prévu ça, mais bon.. Prochain chapitre : « Une mort en trop. ». ça fout les boules, hein ? I LOVE REVIEWS ! dites-moi ce que vous pensez de ma fic! Et si ça marche pas, n'hésitez pas à m'envoyer un mail !
