Disclaimer : Beyblade ne m'appartient pas mais comme vous avez pu le
deviner, certains personnages m'appartiennent.
Chapitre 13 : En ville
- Whaa ! Regarde comme elles sont belles !
Tammy et Max regardaient les objets exposés dans les vitrines des magasins. Tammy était en train de s'extasier devant des poupées de collection en porcelaine.
- Dommage que j'n'ai pas assez d'argent pour m'en offrir une. C'n'est pas grave. De toute façon, Monsieur Lowell m'en voudrait. Tu viens ?
Ils traînèrent dans les rues pendant près d'une heure. Tammy adorait tous les magasins de New-York. Max avait remarqué qu'elle aimait faire la cuisine vu qu'elle avait acheté plusieurs ustensiles différents.
- Tu aimes faire la cuisine, j'me trompe ?
- C'est vrai, j'adore. Quand je m'ennuie ou quand je suis triste, je fais la cuisine pour passer le temps. Et c'est toute la famille qui en profite. Quand je parle de famille, c'est évidemment de Monsieur Lowell, Iris, Lia et Marina dont je parle. Mais ça me fait plaisir. J'ai toujours été seule et quand j'ai rencontré Monsieur Lowell, Iris et Lia, j'ai pensé que ça ne marcherait pas. Mais ils ont su se montrer compréhensifs et patients. Ce sont de vrais amis, je peux compter sur eux.
- On dirait que Monsieur Lowell vous adore. Ce que je veux dire, c'est qu'il vous chérit. C'est l'impression qu'il me donne.
- J'n'en sais rien. En tout cas, nous considérons Monsieur Lowell comme notre père. Il s'est toujours bien occupé de nous. Et je peux te dire que si nous devions nous séparer de lui -ce qui est inévitable-, la séparation serait à la limite du supportable. Vous ne ressentez pas les mêmes choses pour Monsieur Dickenson ?
- Non, pas vraiment. Ça ne fait pas longtemps que nous le connaissons. Enfin. . . pas assez pour bien le connaître. Et puis, nous sommes des garçons.
- C'est vrai. Monsieur Lowell s'est occupé de nous quatre ans durant. Iris et Lia avaient onze ans, Marina en avait neuf et moi, j'avais dix ans. Nous étions encore très jeunes. Au fil du temps, nous avons appris à nous connaître les uns les autres. Cela a été bénéfique car nous nous sommes faites de vrais amis, sur qui on peut compter. Surtout pour Marina. Elle n'avait confiance en personne. En plus, à neuf ans, on est encore une enfant et quand on vient de perdre ses parents, c'est difficile de s'adapter. Nous avons tout fait pour qu'elle se sente à l'aise. Elle en a mis du temps, notre petite Marina à nous faire confiance. Mais maintenant, c'est le présent qui compte, n'est-ce pas ?
Max qui écoutait attentivement le récit de Tammy, fut surpris de l'entendre s'adresser à lui.
- Oui, oui, bien sûr.
Tammy parut déçue.
- Dis-le moi si je t'ennuis, j'arrêterai de parler.
- Non, pas du tout ! C'est parce que j'étais plongé dans ton histoire ; c'est pour ça que j'ai été pris au dépourvu quand tu m'as parlé. Mais en aucun cas tu ne m'ennuies. Ne t'inquiète donc pas.
Le visage de la jeune fille s'éclaira. Elle eut une idée.
- Je t'ai promis une promenade, non ? Tu viens ?
Elle l'entraîna par la main.
- Tu as déjà visité le lac, près du « Washington Palace » ?
- Non.
- Alors c'est le moment. Au fait, tu as prévenu tes amis ?
- Oui, bien sûr.
- Bien ! Allons-y.
Tammy entraîna Max vers le bord du lac.
- C'est mon endroit préféré ici. Je ne sais pas pourquoi, mais il me rappelle plein de souvenirs. Je crois que je suis déjà venue ici étant petite avec mes parents. C'est sûrement pour cela que ça me rappelle certaines choses. Mais. . . c'est très flou et je ne me souviens pas très bien. Et toi ? Où sont tes parents ?
- Mon père est resté au Japon et ma mère. . . travaillait ici mais. . . elle est morte.
- Je suis désolée.
- C'est rien. J'ai une photo d'eux. Tu veux la voir ?
- Oui.
Il sortit la photo qu'il gardait toujours dans sa poche.
- Tiens, ce sont eux. Je ne sais pas quand a été pris la photo. Mais ce n'est qu'un simple image.
Tammy put voir une jeune femme très belle avec des cheveux blonds coupés au carré avec un bandeau violet ornant son front et des yeux extrêmement clairs. On ne pouvait en distinguer la couleur.
- Ta mère est tellement. . . belle.
- Merci.
- Ce devait être une femme remarquable.
- Oh non. Pas tant que ça, tu sais.
- Pourquoi tu dis ça ?
- J'n'ai pas envie d'en parler. J'vous envie, Iris et toi. Vous avez toutes deux des parents qui vous aiment, qui prennent soin de vous. . . en vie.
- Ne dis pas ça ! Je suis sûre que ton père t'aime plus que tout et que ta mère est très fière de toi ! Je suis certaine qu'elle veille sur toi là où elle est !
Max fut surpris par ses paroles mais sourit.
- Merci Tamara.
- Appelle-moi Tammy, répondit-elle avec un grand sourire.
- D'accord.
- Je ne sais pas si c'est moi ou si c'est la vérité, mais j'ai l'impression que les Blade Breakers n'ont pas eu une enfance très heureuse.
- Ton impression est bonne. C'est vrai, nos parents n'ont pas été très présents. Comme tu le sais, moi, j'ai perdu ma mère. Les parents de Kai sont morts dans des circonstances mystérieuses, ceux de Tyson ont disparu et Ray ne voit presque jamais les siens. On ne sait pas ce qu'ils sont devenus.
- On dirait bien que vous avez un point commun. Sauf que toi, tu as encore ton père.
- Oui, je devrais m'estimer heureux au lieu de me lamenter.
- Non, ne dis pas ça. Il est normal à ton âge de penser à sa mère.
Max resta silencieux. Tammy, ne supportant pas ce silence, s'exclama :
- Regarde ! Le soleil va bientôt se coucher. On devrait rentrer, tu ne crois pas ?
Tammy s'apprêta à partir quand Max la retint par le poignet.
- Tammy ! Merci beaucoup.
D'abord surprise, le jeune fille se retourna face à lui et lui dit doucement :
- Tu sais, je déteste voir les gens souffrir. Alors je fais tout mon possible pour qu'ils soient heureux. Je n'ai pas besoin de remerciements. Car s'ils sont heureux grâce à moi, c'est déjà beaucoup plus qu'un mot. Alos tu vois ? C'n'est vraiment pas la peine de me remercier.
Elle lui fit un grand sourire. Max songea qu'elle devait souvent être seule pour parler de cette façon.
- Tu viens ?
Il acquiesça.
Voilà enfin le chapitre 13 ! Qu'en pensez-vous ? Moi, je le trouve assez émouvant. J'en suis déjà à 50 feuilles A4 recto-verso et j'avoue que j'n'ai plus d'idées. Mais ne vous inquiétez pas, je trouverai forcément quelque chose. Pour l'instant, j'ai à mon actif 21 chapitres écrits.
J'ai vraiment envie de faire un slash mais ça va être difficile parce que les choses ont beaucoup trop évolué et. . . Dites-moi vos idées s'il vous plaît ! Mais bon ! Je ne pense pas que j'en ferai un dans cette histoire. J'ai commencé à écrire une autre fic sur Beyblade et je pourrai enfin faire mon slash.
Merci mille fois de lire ma fic et continuez à me mettre des reviews !! Au fait, désolée si le mot « fic » est parfois employé au féminin puis au masculin. Je ne sais pas alors je le fais au feeling.
Chapitre 13 : En ville
- Whaa ! Regarde comme elles sont belles !
Tammy et Max regardaient les objets exposés dans les vitrines des magasins. Tammy était en train de s'extasier devant des poupées de collection en porcelaine.
- Dommage que j'n'ai pas assez d'argent pour m'en offrir une. C'n'est pas grave. De toute façon, Monsieur Lowell m'en voudrait. Tu viens ?
Ils traînèrent dans les rues pendant près d'une heure. Tammy adorait tous les magasins de New-York. Max avait remarqué qu'elle aimait faire la cuisine vu qu'elle avait acheté plusieurs ustensiles différents.
- Tu aimes faire la cuisine, j'me trompe ?
- C'est vrai, j'adore. Quand je m'ennuie ou quand je suis triste, je fais la cuisine pour passer le temps. Et c'est toute la famille qui en profite. Quand je parle de famille, c'est évidemment de Monsieur Lowell, Iris, Lia et Marina dont je parle. Mais ça me fait plaisir. J'ai toujours été seule et quand j'ai rencontré Monsieur Lowell, Iris et Lia, j'ai pensé que ça ne marcherait pas. Mais ils ont su se montrer compréhensifs et patients. Ce sont de vrais amis, je peux compter sur eux.
- On dirait que Monsieur Lowell vous adore. Ce que je veux dire, c'est qu'il vous chérit. C'est l'impression qu'il me donne.
- J'n'en sais rien. En tout cas, nous considérons Monsieur Lowell comme notre père. Il s'est toujours bien occupé de nous. Et je peux te dire que si nous devions nous séparer de lui -ce qui est inévitable-, la séparation serait à la limite du supportable. Vous ne ressentez pas les mêmes choses pour Monsieur Dickenson ?
- Non, pas vraiment. Ça ne fait pas longtemps que nous le connaissons. Enfin. . . pas assez pour bien le connaître. Et puis, nous sommes des garçons.
- C'est vrai. Monsieur Lowell s'est occupé de nous quatre ans durant. Iris et Lia avaient onze ans, Marina en avait neuf et moi, j'avais dix ans. Nous étions encore très jeunes. Au fil du temps, nous avons appris à nous connaître les uns les autres. Cela a été bénéfique car nous nous sommes faites de vrais amis, sur qui on peut compter. Surtout pour Marina. Elle n'avait confiance en personne. En plus, à neuf ans, on est encore une enfant et quand on vient de perdre ses parents, c'est difficile de s'adapter. Nous avons tout fait pour qu'elle se sente à l'aise. Elle en a mis du temps, notre petite Marina à nous faire confiance. Mais maintenant, c'est le présent qui compte, n'est-ce pas ?
Max qui écoutait attentivement le récit de Tammy, fut surpris de l'entendre s'adresser à lui.
- Oui, oui, bien sûr.
Tammy parut déçue.
- Dis-le moi si je t'ennuis, j'arrêterai de parler.
- Non, pas du tout ! C'est parce que j'étais plongé dans ton histoire ; c'est pour ça que j'ai été pris au dépourvu quand tu m'as parlé. Mais en aucun cas tu ne m'ennuies. Ne t'inquiète donc pas.
Le visage de la jeune fille s'éclaira. Elle eut une idée.
- Je t'ai promis une promenade, non ? Tu viens ?
Elle l'entraîna par la main.
- Tu as déjà visité le lac, près du « Washington Palace » ?
- Non.
- Alors c'est le moment. Au fait, tu as prévenu tes amis ?
- Oui, bien sûr.
- Bien ! Allons-y.
Tammy entraîna Max vers le bord du lac.
- C'est mon endroit préféré ici. Je ne sais pas pourquoi, mais il me rappelle plein de souvenirs. Je crois que je suis déjà venue ici étant petite avec mes parents. C'est sûrement pour cela que ça me rappelle certaines choses. Mais. . . c'est très flou et je ne me souviens pas très bien. Et toi ? Où sont tes parents ?
- Mon père est resté au Japon et ma mère. . . travaillait ici mais. . . elle est morte.
- Je suis désolée.
- C'est rien. J'ai une photo d'eux. Tu veux la voir ?
- Oui.
Il sortit la photo qu'il gardait toujours dans sa poche.
- Tiens, ce sont eux. Je ne sais pas quand a été pris la photo. Mais ce n'est qu'un simple image.
Tammy put voir une jeune femme très belle avec des cheveux blonds coupés au carré avec un bandeau violet ornant son front et des yeux extrêmement clairs. On ne pouvait en distinguer la couleur.
- Ta mère est tellement. . . belle.
- Merci.
- Ce devait être une femme remarquable.
- Oh non. Pas tant que ça, tu sais.
- Pourquoi tu dis ça ?
- J'n'ai pas envie d'en parler. J'vous envie, Iris et toi. Vous avez toutes deux des parents qui vous aiment, qui prennent soin de vous. . . en vie.
- Ne dis pas ça ! Je suis sûre que ton père t'aime plus que tout et que ta mère est très fière de toi ! Je suis certaine qu'elle veille sur toi là où elle est !
Max fut surpris par ses paroles mais sourit.
- Merci Tamara.
- Appelle-moi Tammy, répondit-elle avec un grand sourire.
- D'accord.
- Je ne sais pas si c'est moi ou si c'est la vérité, mais j'ai l'impression que les Blade Breakers n'ont pas eu une enfance très heureuse.
- Ton impression est bonne. C'est vrai, nos parents n'ont pas été très présents. Comme tu le sais, moi, j'ai perdu ma mère. Les parents de Kai sont morts dans des circonstances mystérieuses, ceux de Tyson ont disparu et Ray ne voit presque jamais les siens. On ne sait pas ce qu'ils sont devenus.
- On dirait bien que vous avez un point commun. Sauf que toi, tu as encore ton père.
- Oui, je devrais m'estimer heureux au lieu de me lamenter.
- Non, ne dis pas ça. Il est normal à ton âge de penser à sa mère.
Max resta silencieux. Tammy, ne supportant pas ce silence, s'exclama :
- Regarde ! Le soleil va bientôt se coucher. On devrait rentrer, tu ne crois pas ?
Tammy s'apprêta à partir quand Max la retint par le poignet.
- Tammy ! Merci beaucoup.
D'abord surprise, le jeune fille se retourna face à lui et lui dit doucement :
- Tu sais, je déteste voir les gens souffrir. Alors je fais tout mon possible pour qu'ils soient heureux. Je n'ai pas besoin de remerciements. Car s'ils sont heureux grâce à moi, c'est déjà beaucoup plus qu'un mot. Alos tu vois ? C'n'est vraiment pas la peine de me remercier.
Elle lui fit un grand sourire. Max songea qu'elle devait souvent être seule pour parler de cette façon.
- Tu viens ?
Il acquiesça.
Voilà enfin le chapitre 13 ! Qu'en pensez-vous ? Moi, je le trouve assez émouvant. J'en suis déjà à 50 feuilles A4 recto-verso et j'avoue que j'n'ai plus d'idées. Mais ne vous inquiétez pas, je trouverai forcément quelque chose. Pour l'instant, j'ai à mon actif 21 chapitres écrits.
J'ai vraiment envie de faire un slash mais ça va être difficile parce que les choses ont beaucoup trop évolué et. . . Dites-moi vos idées s'il vous plaît ! Mais bon ! Je ne pense pas que j'en ferai un dans cette histoire. J'ai commencé à écrire une autre fic sur Beyblade et je pourrai enfin faire mon slash.
Merci mille fois de lire ma fic et continuez à me mettre des reviews !! Au fait, désolée si le mot « fic » est parfois employé au féminin puis au masculin. Je ne sais pas alors je le fais au feeling.
