Disclaimer : Vous connaissez la chanson.
Chapitre 26 : Les parents de Lia
Après le dîner qu'elle avait passé avec les Blade Breakers, Marina les remercia et descendit à la salle de musique, au sous-sol. C'était là que se trouvaient toutes les salles d'entraînement, les gymnases et plein d'autres. Elle vit toutes sortes d'instruments de musique dont un violon, l'instrument que jouait Tammy. Elle vit un piano et son visage s'éclaira. C'était sa spécialité, elle en pratiquait depuis qu'elle avait cinq ans. Elle s'installa donc et joua un morceau qu'elle avait composé avec ses parents. Elle joua pendant plusieurs minutes et une larme roula sur sa joue malgré elle. Elle fit une fausse note et s'arrêta de jouer. Elle entendit des applaudissements discrets. Elle regarda vers la porte. C'était Tyson. Marina sécha vite ses larmes alors que Tyson se dirigeait vers elle.

- Tu joues très bien. Où as-tu appris à en faire ?

- Dans une école spécialisée, ça me semble pourtant logique.

Tyson fut surpris par le ton de sa voix. Il était indifférent et froid.

- Excuse-moi. . . murmura-t-il.

Marina se traita d'idiote.

- Non, c'est à moi de m'excuser. J'ai été surprise, c'est tout.

- C'est pas grave. C'est vrai, je n'aurais jamais dû t'espionner.

- Qu'est-ce que tu viens faire là ? Tu pratiques un instrument toi aussi ?

- Euh. . . ben. . . c'est que. . . J'me demandais seulement où t'étais.

- Tu t'inquiétais pour moi ?

- Ben oui. Eh ! On dirait bien que tu as pleuré.

Elle fut surprise.

- Oh, c'est rien. Des souvenirs douloureux, rien de plus. Mon grand défaut, c'est d'être très sensible. Alors il n'y a aucune raison de s'inquiéter.

- Si tu as besoin de quelque chose, viens nous voir. D'accord ?

- C'est promis. Merci Tyson, c'est la première fois que quelqu'un me porte autant d'intérêt. C'est difficile de croire qu'on est rivaux.

- Oui. Mais pour l'instant, nous sommes amis et quand viendra le Tournoi mondial, notre amitié se transformera en rivalité.

- Tournoi mondial ?

- Y'a un problème ?

- C'est le Tournoi américain, pas mondial. Si vous gagnez, vous partirez pour Londres où se déroulera le premier tour des éliminatoires mondiales. Ensuite, vous ferez le tour du monde pour arriver en finale qui se passe en Australie. Mais en aucun cas, ce Tournoi-ci est le Tournoi mondial.

- Mais j'croyais que c'était le Président de la Fédération mondiale qui s'occupait de tout.

- Oui, parce que c'est le Président. Il s'est occupé du Tournoi chinois aussi.

- Ah bon ? J'me coucherais pas idiot ce soir. Il faut que je prévienne les autres. Désolé de te quitter aussi vite mais y'a une urgence. Salut et bonne nuit ! Oh, j'allais oublier. Accorde-moi une faveur. Pense à des choses joyeuses ce soir avant de t'endormir. Je déteste te voir pleurer. A demain !

Marina resta muette pendant plusieurs secondes. Mais elle finit par reprendre ses esprits et sourit.

- Je te le promets. . .
***

- Maman ?

. . .

- Oh, ma fille ! Quel plaisir de te revoir ! Mais viens, entre donc !

Elle fit entrer Lia et ferma la porte sous le nez de Tammy.

- Je ne rêve pas. Elle vient de me fermer la porte au nez.

A l'intérieur. . .

- Maman ! Ce sont mes amis !

- Tes amis ?

Lia rouvrit la porte.

- Oh ! Bien sûr, tes amis. Je ne les avais pas vus. Chéri ! Lia est revenue !

Un grand homme brun fit son apparition.

- Lia ! Ma petite fille ! Quel âge as-tu maintenant ? Douze ans ? Treize peut-être ?

- Quinze papa. J'ai quinze ans.

- Que tu as grandi ! Tu es une grande fille maintenant.

Il lui donna une grande claque dans le dos qui fit tomber Lia sur le sol.

- Lia ! s'écria Iris.

- Pardon, j'n'ai pas fait exprès.

- Je ne suis pas venue ici pour raconter ma vie mais pour parler de votre lettre.

- Elle était émouvante n'est-ce pas ?

- Oui, très maman, dit ironiquement Lia. Que voulez-vous exactement ?

- Et si nous nous installions d'abord ?

- On n'a pas le temps.

- Lia, murmura Monsieur Lowell. Faisons plaisir à tes parents.

Elle soupira.

- Bon d'accord.

Ils s'assirent tous et commencèrent à discuter. Le père de Lia engagea la conversation avec Monsieur Lowell.

- Alors Monsieur. . . Bramell. . . ?

- Lowell.

- Oui, Bramell, Lowell, peu importe. Vous avez beaucoup voyagé avec Lia. N'était-ce pas trop dur ?

- Que voulez-vous dire ?

- Lia est une jeune fille. . . pleine de vie et très agitée. Elle peut être un fardeau. . .

Lia serra les poings de rage mais se contrôla pour Monsieur Lowell.

- Non, pas du tout. Lia est une jeune fille très sage et intelligente. Mais, je suppose que ça ne vient pas de ses parents.

Le père de Lia se contrôla également. Pour qui se prenait-il ce Monsieur Bramell ? Les deux hommes se sourirent hypocritement. Tammy et Iris n'en pouvaient plus tellement la situation était comique à voir mais elles se retinrent d'éclater de rire. La discussion glissa lentement sur le sujet préféré des parents de Lia : l'argent.

- Maintenant que vous êtes célèbres, à combien s'élève votre fortune ?

- Chacune de mes élèves possède entre dix et vingt millions de dollars.

- Aaah !!

Ce cri venait de la mère de Lia. Celle-ci sourit ironiquement.

- Qu'as-tu donc maman ? Tu es toute pâle. Tu ne te sens pas bien ? Peut- être que quelques billets te rendront tes couleurs.

Le père répondit.

- Si tu reviens avec nous, nous saurons gérer tout cet argent.

- Papa, toi aussi tu es un peu pâle. De l'eau vous ferait peut-être du bien. Je vais en chercher.

Elle se leva et alla remplir un grand verre d'eau minérale. Elle revint avec un grand sourire aux lèvres. Elle commença par sa mère. Elle vida la moitié du verre sur le visage de sa mère. Tammy et Iris la regardèrent étonnées puis éclatèrent de rire.

- Tu vois maman, je te préfère comme ça.

Elle vida l'autre moitié du verre sur la tête de son père.

- Et toi papa, tu n'as jamais été aussi beau.

Elle posa bruyamment le verre sur la table.

- Venez, on s'en va.

- Un instant jeune fille.

Monsieur Lowell l'interpella.

- Monsieur Lowell ?

- Lia, viens par ici.

- Mais Monsieur Lowell, ils sont. . .

- Viens !

Elle s'avança. Monsieur Lowell s'adressa aux parents de Lia.

- Monsieur, Madame, je suis conscient que ce que Lia a fait est tout à fait dépassé. Mais je lui donne entièrement raison.

Lia sourit.

- Je peux recommencer ?

- Lia, comment as-tu pu me faire ça ?

- Oh, désolée maman si je t'ai blessée dans ton amour-propre.

- Mais. . .

- Vous n'en voulez qu'à mon argent ! C'est vraiment le dernier de mes soucis ! Et vous savez pourquoi ? Parce que je sais que Monsieur Lowell s'en occupe très bien. Mes priorités, ce sont mes amis et le Beyblade que cela vous plaise ou non. Je sais, tous les parents ne sont pas parfaits mais au moins, ils aiment leurs enfants non pas pour ce qu'ils ont mais pour ce qu'ils sont. Iris a des parents qui l'aiment et qui s'inquiètent pour elle. Tammy, pareil. Et Marina, elle n'a pas eu la chance d'avoir ses parents à ses côtés. Mais ils l'aimaient. La seule chose que je regrette, c'est de vous avoir comme parents !

Lia sortit en courant.

- Lia !

Iris courut à sa poursuite.

- Attends-moi Iris !

Avant de partir, Tammy lança à ses parents :

- Je ne vous connais pas mais je donne entièrement raison à Lia. Elle n'est pas parfaite mais chacun à ses défauts. Je suis certaine que vous avez même oublié son anniversaire. Pour votre information personnelle, c'était aujourd'hui. Et je trouve désolant que vous ne puissiez comprendre qu'elle est malheureuse. Je me demande comment vous pouvez encore vous considérer comme ses parents.

Tammy partit à la poursuite de ses amies. Monsieur Lowell resta seul avec les deux personnes.

- Vous comprenez maintenant ? Je crois que vous avez perdu Lia pour toujours. Je suis désolé pour vous. . . mais vous n'avez que ce que vous méritez. Avant de partir, je tiens à préciser que Lia était la plus belle chose qui pouvait vous arriver mais vous l'avez laissé partir bêtement. Passez une bonne journée.

Il s'apprêta à partir.

- Monsieur Bramell, attendez !

Le père de Lia l'arrêta.

- Lia est notre fille. Nous l'aimons de tout notre coeur.

- J'ai bien peur que vos paroles soient inutiles.

Il sortit et ferma la porte. Il entendit une dispute.

- A cause de toi, on a perdu une grosse fortune !

- C'est de ta faute, pas la mienne !

Monsieur Lowell secoua la tête puis murmura :

- Ils n'ont toujours rien compris.

Il alla rejoindre Iris, Tammy et Lia. Celle-ci était en larmes.

- Lia, tes parents ne valent rien, dit Iris.

- Oui, tu ne devrais pas pleurer pour eux, continua Tammy.

Iris et Tammy lancèrent un regard désespéré à Monsieur Lowell. Il décida d'intervenir.

- Lia, regarde-moi.

Comme elle ne semblait pas s'exécuter, il essaya de lui enlever ses mains de son visage.

- Lia, écoute-moi. Tout est fini maintenant. Tu n'as plus rien à craindre. Nous allons rentrer et tu pourras revoir Marina et tous les autres. Allez, calme-toi maintenant, ne te donne pas la peine d'user tes forces à cause d'eux. Viens ici.

Monsieur Lowell prit Lia dans ses bras. Elle pleura un bon moment dans ses bras mais finit par se calmer. Monsieur Lowell murmura à Tammy.

- Tu es sûre que c'est aujourd'hui son anniversaire ?

Elle sourit.

- Non, c'est dans deux jours.

Il soupira de soulagement. Il lui avait déjà acheté un cadeau mais s'il avait oublié. . . Mais bon ! Heureusement que ce n'était pas aujourd'hui.

- Rentrons à présent.

Il était 11h30. Ils déjeunèrent rapidement et se rendirent à l'aéroport.
Dans l'avion. . .

Tammy jouait nerveusement avec ses doigts. A côté d'elle, Iris lui dit :

- Arrête ça, c'est stressant. Qu'est-ce que tu as ?

- Je suis pressée de voir Marina.

- Encore seize heures et tu pourras la serrer dans tes bras. Pourquoi tu ne prends pas exemple sur Lia ?

Lia dormait profondément. Elle était tellement fatiguée d'avoir pleuré qu'elle s'était aussitôt endormie une fois dans l'avion.

- Désolée mais je ne peux pas dormir. Passe-moi ton portable.

- Pourquoi faire ?

- Pour lui écrire.

- A quoi ça sert ?

- S'il te plaît ?

Iris soupira.

- Tiens.

- Merci.

Elle écrivit un petit message pour Marina.
New York, « Washington Palace », sixième étage, chambre 4057. . .

- Vous avez un nouveau message !

Marina le consulta.

- C'est Tammy.

Elle sourit au fur et à mesure qu'elle lisait le petit mot. Elle décida de répondre.
Dans l'avion. . .

- Eh Iris ! Elle m'a répondue !

Iris et Tammy lurent le message.

- J'vais lui répondre.

- Si vous continuez comme ça, vous allez passer seize heures à vous écrire.

Et c'est ainsi que, près de deux heures, elles s'écrivaient et se répondaient.

- Oh non ! Elle doit aller dormir. Il est 22h30 là-bas.

- Laisse-la se reposer. Elle a eu une éprouvante journée.

- Bon, ben j'vais lui souhaiter bonne nuit.

Elle écrivit un message qui disait « bonne nuit ». Marina répondit par un « merci », puis éteignit l'ordinateur avant que Tammy ne trouve un autre moyen pour parler.

Tammy soupira. Iris la rassura.

- T'inquiète pas. Ça passe vite seize heures. Non, il ne nous reste plus que quatorze heures vu que tu as passé deux heures à parler avec Marina.

Tammy hocha la tête.

- Tu me réveilles quand on arrive ?

- Oui.

- Merci Iris.

- Je vais te laisser la place. J'vais parler avec Monsieur Lowell.

Iris s'installa à côté de Monsieur Lowell.

- Tu as l'air de t'ennuyer.

- Oh non, ne vous inquiétez pas. J'ai seulement de la peine pour Lia. Ses parents sont des personnes méprisables, je leur en veux vraiment d'avoir fait du mal à Lia. Je ne sais pas ce qui m'a retenu de les envoyer en enfer !

- Du calme fillette. Tu sais bien que le meurtre ne mène nulle part.

- Je suis sûre que vous aussi vous vous êtes retenu.

- Oui, c'est vrai.

Ils soupirèrent tous deux.

- Quel cadeau avez-vous acheté pour Lia ?

- Il y a quelques semaines, elle a vu dans une boutique fantaisie, une broche en forme d'ange. Ça lui plaisait alors j'ai décidé d'y retourner seul pour lui acheter.

- Vous êtes adorable.

- Et toi ?

- Moi ? Je n'ai encore rien acheté mais même si je lui offrais quelque chose, elle refuserait parce que je lui ai déjà offert mon pendentif- pégase.

- Un beau cadeau. Elle t'en sera éternellement reconnaissante.

- Je vais quand même lui offrir quelque chose. Et j'ai déjà ma p'tite idée.

Monsieur Lowell rit.

- Tu devrais dormir un peu.

Iris passa son bras sous celui de Monsieur Lowell.

- D'accord.

Elle appuya sa tête sur l'épaule de Monsieur Lowell et ferma les yeux.

- Je me sens bien avec vous. Je ne crains rien ni personne quand vous êtes là.

Elle marqua une pause.

- Nous allons gagner le Tournoi. Pour vous.

Elle se détendit et s'assoupit. Monsieur Lowell risqua un regard vers elle. Il repoussa une mèche de cheveux qui s'était échouée sur son visage.
Quelques heures plus tard, Lia et Iris se réveillèrent. Elles se firent un petit signe de la main vu qu'elles étaient installées dans deux rangées différentes. Iris se leva doucement pour ne pas réveiller Monsieur Lowell qui s'étaient endormi lui aussi et s'assit à côté de son amie.

- Ça va mieux ?

- Oui, ne t'en fais pas. Tiens, j'ai quelque chose à te rendre.

Elle défit le pendentif qu'elle portait.

- Non, garde-le, je t'en ai fait cadeau.

- Il m'a déjà beaucoup servi. De toute façon, je n'avais pas l'intention de le garder. Il te sert bien plus qu'à moi. Pour le Tournoi.

- Lia. . .

- C'est ta grand-mère qui te l'a donné, je ne peux pas le prendre. C'est trop précieux et je suis sûre que ta grand-mère apprécie ce que tu fais pour moi mais. . . ce pendentif est à toi. Reprends-le.

- D'accord.

Iris prit le pendentif.

- Merci Lia.

- C'est à moi de te remercier.

Tammy bougea un peu sur son siège. Iris et Lia tournèrent le regard vers elle.

- Max. . .

Iris et Lia se regardèrent et rirent discrètement.

- Il faudrait penser à leur arranger un coup.

- Oui.
Enfin un chapitre qui se termine bien !! Ça faisait longtemps. Les parents de Lia sont vraiment. . . ! Je ne trouve même pas les mots pour décrire ces espèces d'énergumènes ! Je les hais ! Du calme Etoile du soir !! Souffle et respire. Ça va mieux. Je vous remercie de lire ma fic et je tiens tout particulièrement à remercier mes deux nouveaux revieweurs :

Ewan 421 : merci pour ta review qui m'a fait très plaisir ! C'est trop gentil à toi de me dire que j'écris très bien. Mais dis-moi, ce serait pas plutôt de la flatterie ? J'en ai l'impression, c'est tout. En tous cas, merci infiniment !

Meraude : j'ai bien aimé ta review, elle m'a fait bien plaisir. C'est la première fois que tu m'écris et je crois que j'ai fait le tour de FF.net et je crois que je n'aurais plus de nouveaux revieweurs. Donc, tu es le dernier de mes revieweurs (je ne sais pas si tu es une fille ou un garçon alors ne te fâche pas !)

Pour Shiny : je me sens si triste pour toi. Tu n'as pas eu d'amis à un moment ? C'est exactement pareil pour moi. Même aujourd'hui je n'en ai pas. Je ne sais pas si c'est mon caractère ou quelque chose d'autre mais personne ne veut me parler. Alors j'ai noyé ma tristesse en écrivant des fics. Et grâce à Beyblade et à tous mes revieweurs (et surtout grâce à toi !), j'ai pu oublier le monde dans lequel je vivais. C'est un peu comme mon monde à moi, je ne veux plus en sortir tellement je m'y sens bien. Je considère mes revieweurs comme mes amis, de vrais amis, tu comprends ? Bien sûr il y a mes soeurs mais ce n'est pas pareil. A chaque fois que je vais à l'école, c'est comme si je n'existais pas pour tous mes camarades. Mais heureusement, j'ai des bonnes notes et ça me console un peu. Surtout qu'à mon âge, c'est difficile d'affronter toute seule les problèmes que l'on rencontre. C'est ce que j'endure tous les jours. Bon, je vais arrêter de me lamenter sur mon triste sort sinon, j'en aurais pour toute la nuit à te raconter ma vie. Je vais m'enfermer dans mon monde à cet instant précis et je vais continuer à écrire « Les Ailes de la Victoire ». Je te remercie de m'écouter car tu as une grande qualité que j'apprécie beaucoup. J'espère que je ne te prends pas trop la tête avec mes histoires. Pour me faire pardonner, je vais te privilégier un peu. J'ai décidé de faire une deuxième partie à ma fic. Ça se terminera par la fin du Tournoi et en route pour le championnat mondial pour une équipe que tu ne soupçonnes même pas.

J'ai décidé de faire une fic avec un slash. Vous devinez ? Ce sont mes deux personnages préférés. . .

Le prochain chapitre s'intitulera : Amoureuses. Des idées ? Bon, je vais vous faire une fleur, je vais dire de quoi il parle. Une jeune fille du nom de Allison défiera Max et ils se livreront un combat acharné. Quoique. . . Qui gagnera ?

Ce serait génial de correspondre avec vous tous alors n'hésitez pas ; faites craquer ma boîte aux lettres !!!