Disclaimer : La chanson habituelle.
Chapitre 36 : Conversations
Kai demanda à parler à Eliane.
- Eliane, je veux que tu sois forte.
- Maître Kai. . .
- Eliane, tu aimes beaucoup ma grand-mère, n'est-ce pas ?
- Oui, Madame Lena a toujours été gentille avec moi.
- Et tu sais qu'elle est très malade.
- Oui, répondit-elle hésitante.
- En ce moment, elle est à l'hôpital. . . dans le coma.
Eliane se pétrifia.
- Madame Lena va. . .
- Eliane, moi aussi, je l'aimais de tout mon coeur. C'était une femme remarquable. Elle m'a demandé de prendre soin de toi. Je respecte sa dernière volonté. Elle pensait tout le temps aux autres avant elle. Ce que je regrette le plus, c'est de ne pas être à ses côtés pour voir une dernière fois son visage.
- Madame m'a dit une fois que ce qu'elle souhaitait le plus, c'était de vous voir heureux, avec la personne que vous aimez. Alors si vous aimez quelqu'un, dites-le lui pour qu'elle sache au moins le nom de cette personne !
Les yeux d'Eliane se remplirent de larmes. Kai voulut la prendre dans ses bras mais la jeune fille se recula.
- Eliane. . .
- Non ! J'vous déteste !
Elle éclata en pleurs puis s'enfuit en courant.
- Eliane !
Il soupira.
Eliane passa tout l'après-midi à pleurer dans les bras d'Iris. Elle finit par s'endormir. Iris l'installa dans le lit puis descendit au réfectoire. Elle y vit Kai.
- Bonsoir.
Il leva son regard sombre vers elle.
- Qu'est-ce que tu as fait à Eliane pour qu'elle soit dans cet état ?
- Est-ce qu'elle va bien ?
- A part qu'elle a passé trois heures à déverser toutes les larmes de son corps, elle va bien. Il m'a fallu de la patience pour la consoler. Heureusement, elle s'est endormie. Alors, je t'écoute.
- Ce ne sont pas tes affaires.
Iris en resta muette. Mais elle se reprit.
- Ha ! Alors ça, c'est typique de ta part. Je ne comprends pas ta réaction. Un jour, tu me demandes si je peux te rendre un service et l'autre, tu m'envoies sur les roses. Excuse-moi si je t'agace mais si tu refuses sans cesse l'aide qu'on te propose si gentiment, c'est clair que tu n'en auras jamais.
Iris quitta la table pour aller s'installer à une autre où se trouvait ses amies.
- Qu'est-ce que tu lui as dit ? demanda Tammy, une fois qu'elle se fut installée.
- Rien du tout. Arrêtons de parler de lui. Ça va vite m'énerver et ça ne servirait à rien.
Lia, Tammy et Marina restèrent bouche bée.
- Iris, tu n'es pas malade au moins ? Une cheville foulée, c'est déjà beaucoup alors si tu nous couves quelque chose. . . , dit Lia.
- Je vais très bien, ne t'inquiète pas.
- Mais alors. . .
- Tu veux savoir quoi au juste ?
- Normalement, tu fais toujours des discours élogieux sur Kai. Et maintenant, on dirait que tu lui en veux.
- Oui, après ce qu'il a fait à Eliane.
- Salut les filles !
- Tiens, salut Tyson ! Où sont Max, Ray et Kenny ?
- Ray est dans la chambre, Max s'entraîne et Kenny répare encore et encore nos toupies. Ça devenait lassant alors je suis descendu. De toute façon, c'est bientôt l'heure du dîner.
Kai se leva de sa table. Il se dirigea vers l'ascenseur. Iris l'interpella :
- Eh Kai ! Ne va pas voir Eliane, elle dort. Et puis, je doute qu'elle veuille te voir en ce moment.
Il ne répondit rien et entra dans l'ascenseur. Il arriva au sixième étage et se dirigea vers sa chambre. Ray était seul. Cette fois, il ne pouvait l'en empêcher. Il entra et vit Ray, installé sur le canapé, lisant son livre sur les arts martiaux.
- Ray ?
Ray leva les yeux de son livre. « Oh non ! » pensa-t-il. « Qu'est-ce qu'il va me sortir encore ? »
- Oui, Kai ?
Ray posa son livre sur la table basse tandis que Kai s'installait à côté de lui.
- Ray, j'aimerais que tu me laisses parler, jusqu'au bout.
- Je t'ai toujours laissé parler.
- Non, pas ces derniers temps. On dirait que tu as peur de ce que tu vas entendre. Que crains-tu exactement ?
- Je ne crains rien du tout.
- Bien. Alors tu vas me laisser parler.
Pris au piège ! Ray était pris au piège. Il ne pouvait plus se défiler maintenant. Quel imbécile ! Pourquoi avait-il dit une idiotie pareille ? Mais c'était trop tard. . .
- Ray, j'essaye de te dire quelque chose depuis que je suis au Japon. Tu t'es toujours défilé. Tu dois te douter de quelque chose.
- Oui, la personne que tu aimes.
- Exact. La personne que j'aime, c'est. . .
Un coup frappé à la porte les interrompit.
- C'est pas vrai. . .
Ray sourit discrètement. Il remercia silencieusement le Bon Dieu. Kai alla ouvrir.
- Quoi ?!
- Qu'est-ce que c'est que cette façon d'accueillir les gens ?
- Monsieur Dickenson ?
Celui-ci jeta un coup d'oeil à l'intérieur. Il vit Ray.
- Ah ! Je crois que j'ai interrompu une importante conversation.
- En effet.
- C'est l'heure du dîner.
- Je n'ai pas faim.
- Et Ray ?
- Il n'a pas faim non plus.
- Au contraire, déclara Ray. Je suis mort de faim.
C'était un mensonge mais plutôt mourir que de rester seul avec Kai. Celui-ci regarda Ray d'un regard appuyé.
- Je t'ai dit que tu n'avais pas faim.
- Et moi, j'te dis que si.
- Non !
- A ce soir Kai. Tu me reparleras ce soir, devant Tyson, Max et Kenny. Ils seront ravis d'entendre eux aussi ce que tu as à dire.
Ray s'en alla avec Monsieur Dickenson. Kai claqua furieusement la porte.
- Il ne peut pas m'échapper éternellement !
Kai s'assit sur le canapé et resta là, plus d'une heure. Soudain, le téléphone retentit. Kai devint pâle. D'une main tremblante, il saisit le combiné. Non ! Il ne pouvait pas ! Il n'était pas prêt pour ce genre de choses. Il laissa sonner. Six fois, sept fois, puis ça raccrocha. Kai dut se rendre à l'évidence. Il avait peur. Peur de ce qu'il pouvait entendre. . .
Ray prit ses précautions et entra dans la chambre avec ses amis. Il était 21h30. Ray remarqua l'expression soucieuse qui marquait le visage de Kai. Ce soir, il ne poserait pas de questions. Ça attendrait le lendemain. Pour l'instant, il était trop fatigué pour lui parler. Surtout qu'il remettrait le sujet sur le tapis. A vingt-deux heures, ils se mirent tous au lit. Des « bonne nuit » fusèrent puis ils s'endormirent. Ray et Kai restèrent éveillés un bon moment. Ray vit Kai bouger sans arrêt, sans trouver une position confortable. Mais ça ne servait à rien puisqu'il ne trouverait pas le sommeil. Finalement, plus la nuit avançait, plus Kai se calmait. Et c'est l'esprit perturbé qu'il s'endormit.
Le lendemain, Kai se leva en premier. Il laissa ses amis dormir. Il s'habilla et descendit au réfectoire. Eliane était présente. Kai s'approcha.
- Bonjour Eliane.
Eliane baissa la tête.
- Bonjour Maître Kai.
- Eliane, tu m'en veux toujours ?
- Oui. Pourquoi vous ne voulez pas le dire à Madame Lena ?
- Parce que je ne veux pas qu'elle parte dans le doute. Le doute de mes sentiments.
- Mais peu importe ! Madama Lena pensera que la personne que vous aimez vous rendra heureux. Si elle sait au moins ça, elle sera heureuse. De toute façon, tout le monde vous aime, il n'y pas de raison valable pour vous détester. Vous faites des choses bien, vous aidez vos amis. . . C'est une grande qualité ça.
- Eliane, il est trop tard. Je ne peux pas la mettre dans le doute.
- C'est vous qui vous vous mettez tout seul dans le doute !
Elle partit.
- Je ne sais même plus quoi penser.
Kai resta au réfectoire jusqu'à midi, heure à laquelle ses amis descendaient pour déjeuner. Lorsqu'il les vit, Kai se leva et s'éclipsa. Il rencontra le regard de Ray. Celui-ci perçut une lueur de tristesse dans ses yeux.
Kai remonta dans sa chambre. Il attendait le coup de fil qu'il avait lâchement laissé en plan la veille. Il était prêt à affronter la dure réalité. Il attendit une heure puis deux. Enfin, le téléphone sonna. Il laissa sonner trois fois puis décrocha.
- Oui ?
- C'est moi.
- Je t'écoute.
- Ça y est.
Kai tressaillit.
- Qu'est-ce qui y est ?
- Son âme veille sur toi à présent. Ta grand-mère est morte. . .
Le chapitre 36 est terminé ! En ce moment, je ne sais pas trop ce qui m'arrive. Je suis tellement triste pour Kai. Que va-t-il se passer maintenant ? Quel sera la décision de Kai ? Il y a tellement de questions sans réponse. Je ne peux pas croire que moi-même, l'auteur de cette fic, n'ai pas de réponse. Et Eliane ? Le saura-t-elle ? Ça non plus, je ne le sais pas. . .
Ce ne sont pas vraiment des réponses aux revieweurs parce qu'au moment où j'uploade ce chapitre ; je n'ai pas encore lu mes reviews. Donc, je les ferai au prochain.^-^
Ary : salut !! Tout d'abord, pour faire les trois points, tu dois mettre, quand tu saisis sur ordi, des espaces entre chaque point. Et pour les mots, genre coeur ou oeuvre ça doit te mettre quelque chose comme « c?ue ». Eh bien les lettres o et u ne doivent pas être collées. C'est simple. Moi aussi, j'ai eu un petit problème. Et si tu as toujours besoin de mon aide, y'a qu'a demander !! Je te fais de gros bisous !
Kimiko : tu trouves Kai mignon ?! C'est pas trop mon avis mais bon. . . Il est plutôt. . . bizarre. Et quand tu vas lire le chapitre 37, tu vas vite t'apercevoir qu'il est pas mignon du tout !! Et pour ce qui concerne les sentiments de Kai, tu vas vite être fixée. Au fait, tu préfères qu'il aime Ray ou Iris ? Gros bisous !!
Merci de continuer à lire ma fic et à bientôt !!
Chapitre 36 : Conversations
Kai demanda à parler à Eliane.
- Eliane, je veux que tu sois forte.
- Maître Kai. . .
- Eliane, tu aimes beaucoup ma grand-mère, n'est-ce pas ?
- Oui, Madame Lena a toujours été gentille avec moi.
- Et tu sais qu'elle est très malade.
- Oui, répondit-elle hésitante.
- En ce moment, elle est à l'hôpital. . . dans le coma.
Eliane se pétrifia.
- Madame Lena va. . .
- Eliane, moi aussi, je l'aimais de tout mon coeur. C'était une femme remarquable. Elle m'a demandé de prendre soin de toi. Je respecte sa dernière volonté. Elle pensait tout le temps aux autres avant elle. Ce que je regrette le plus, c'est de ne pas être à ses côtés pour voir une dernière fois son visage.
- Madame m'a dit une fois que ce qu'elle souhaitait le plus, c'était de vous voir heureux, avec la personne que vous aimez. Alors si vous aimez quelqu'un, dites-le lui pour qu'elle sache au moins le nom de cette personne !
Les yeux d'Eliane se remplirent de larmes. Kai voulut la prendre dans ses bras mais la jeune fille se recula.
- Eliane. . .
- Non ! J'vous déteste !
Elle éclata en pleurs puis s'enfuit en courant.
- Eliane !
Il soupira.
Eliane passa tout l'après-midi à pleurer dans les bras d'Iris. Elle finit par s'endormir. Iris l'installa dans le lit puis descendit au réfectoire. Elle y vit Kai.
- Bonsoir.
Il leva son regard sombre vers elle.
- Qu'est-ce que tu as fait à Eliane pour qu'elle soit dans cet état ?
- Est-ce qu'elle va bien ?
- A part qu'elle a passé trois heures à déverser toutes les larmes de son corps, elle va bien. Il m'a fallu de la patience pour la consoler. Heureusement, elle s'est endormie. Alors, je t'écoute.
- Ce ne sont pas tes affaires.
Iris en resta muette. Mais elle se reprit.
- Ha ! Alors ça, c'est typique de ta part. Je ne comprends pas ta réaction. Un jour, tu me demandes si je peux te rendre un service et l'autre, tu m'envoies sur les roses. Excuse-moi si je t'agace mais si tu refuses sans cesse l'aide qu'on te propose si gentiment, c'est clair que tu n'en auras jamais.
Iris quitta la table pour aller s'installer à une autre où se trouvait ses amies.
- Qu'est-ce que tu lui as dit ? demanda Tammy, une fois qu'elle se fut installée.
- Rien du tout. Arrêtons de parler de lui. Ça va vite m'énerver et ça ne servirait à rien.
Lia, Tammy et Marina restèrent bouche bée.
- Iris, tu n'es pas malade au moins ? Une cheville foulée, c'est déjà beaucoup alors si tu nous couves quelque chose. . . , dit Lia.
- Je vais très bien, ne t'inquiète pas.
- Mais alors. . .
- Tu veux savoir quoi au juste ?
- Normalement, tu fais toujours des discours élogieux sur Kai. Et maintenant, on dirait que tu lui en veux.
- Oui, après ce qu'il a fait à Eliane.
- Salut les filles !
- Tiens, salut Tyson ! Où sont Max, Ray et Kenny ?
- Ray est dans la chambre, Max s'entraîne et Kenny répare encore et encore nos toupies. Ça devenait lassant alors je suis descendu. De toute façon, c'est bientôt l'heure du dîner.
Kai se leva de sa table. Il se dirigea vers l'ascenseur. Iris l'interpella :
- Eh Kai ! Ne va pas voir Eliane, elle dort. Et puis, je doute qu'elle veuille te voir en ce moment.
Il ne répondit rien et entra dans l'ascenseur. Il arriva au sixième étage et se dirigea vers sa chambre. Ray était seul. Cette fois, il ne pouvait l'en empêcher. Il entra et vit Ray, installé sur le canapé, lisant son livre sur les arts martiaux.
- Ray ?
Ray leva les yeux de son livre. « Oh non ! » pensa-t-il. « Qu'est-ce qu'il va me sortir encore ? »
- Oui, Kai ?
Ray posa son livre sur la table basse tandis que Kai s'installait à côté de lui.
- Ray, j'aimerais que tu me laisses parler, jusqu'au bout.
- Je t'ai toujours laissé parler.
- Non, pas ces derniers temps. On dirait que tu as peur de ce que tu vas entendre. Que crains-tu exactement ?
- Je ne crains rien du tout.
- Bien. Alors tu vas me laisser parler.
Pris au piège ! Ray était pris au piège. Il ne pouvait plus se défiler maintenant. Quel imbécile ! Pourquoi avait-il dit une idiotie pareille ? Mais c'était trop tard. . .
- Ray, j'essaye de te dire quelque chose depuis que je suis au Japon. Tu t'es toujours défilé. Tu dois te douter de quelque chose.
- Oui, la personne que tu aimes.
- Exact. La personne que j'aime, c'est. . .
Un coup frappé à la porte les interrompit.
- C'est pas vrai. . .
Ray sourit discrètement. Il remercia silencieusement le Bon Dieu. Kai alla ouvrir.
- Quoi ?!
- Qu'est-ce que c'est que cette façon d'accueillir les gens ?
- Monsieur Dickenson ?
Celui-ci jeta un coup d'oeil à l'intérieur. Il vit Ray.
- Ah ! Je crois que j'ai interrompu une importante conversation.
- En effet.
- C'est l'heure du dîner.
- Je n'ai pas faim.
- Et Ray ?
- Il n'a pas faim non plus.
- Au contraire, déclara Ray. Je suis mort de faim.
C'était un mensonge mais plutôt mourir que de rester seul avec Kai. Celui-ci regarda Ray d'un regard appuyé.
- Je t'ai dit que tu n'avais pas faim.
- Et moi, j'te dis que si.
- Non !
- A ce soir Kai. Tu me reparleras ce soir, devant Tyson, Max et Kenny. Ils seront ravis d'entendre eux aussi ce que tu as à dire.
Ray s'en alla avec Monsieur Dickenson. Kai claqua furieusement la porte.
- Il ne peut pas m'échapper éternellement !
Kai s'assit sur le canapé et resta là, plus d'une heure. Soudain, le téléphone retentit. Kai devint pâle. D'une main tremblante, il saisit le combiné. Non ! Il ne pouvait pas ! Il n'était pas prêt pour ce genre de choses. Il laissa sonner. Six fois, sept fois, puis ça raccrocha. Kai dut se rendre à l'évidence. Il avait peur. Peur de ce qu'il pouvait entendre. . .
Ray prit ses précautions et entra dans la chambre avec ses amis. Il était 21h30. Ray remarqua l'expression soucieuse qui marquait le visage de Kai. Ce soir, il ne poserait pas de questions. Ça attendrait le lendemain. Pour l'instant, il était trop fatigué pour lui parler. Surtout qu'il remettrait le sujet sur le tapis. A vingt-deux heures, ils se mirent tous au lit. Des « bonne nuit » fusèrent puis ils s'endormirent. Ray et Kai restèrent éveillés un bon moment. Ray vit Kai bouger sans arrêt, sans trouver une position confortable. Mais ça ne servait à rien puisqu'il ne trouverait pas le sommeil. Finalement, plus la nuit avançait, plus Kai se calmait. Et c'est l'esprit perturbé qu'il s'endormit.
Le lendemain, Kai se leva en premier. Il laissa ses amis dormir. Il s'habilla et descendit au réfectoire. Eliane était présente. Kai s'approcha.
- Bonjour Eliane.
Eliane baissa la tête.
- Bonjour Maître Kai.
- Eliane, tu m'en veux toujours ?
- Oui. Pourquoi vous ne voulez pas le dire à Madame Lena ?
- Parce que je ne veux pas qu'elle parte dans le doute. Le doute de mes sentiments.
- Mais peu importe ! Madama Lena pensera que la personne que vous aimez vous rendra heureux. Si elle sait au moins ça, elle sera heureuse. De toute façon, tout le monde vous aime, il n'y pas de raison valable pour vous détester. Vous faites des choses bien, vous aidez vos amis. . . C'est une grande qualité ça.
- Eliane, il est trop tard. Je ne peux pas la mettre dans le doute.
- C'est vous qui vous vous mettez tout seul dans le doute !
Elle partit.
- Je ne sais même plus quoi penser.
Kai resta au réfectoire jusqu'à midi, heure à laquelle ses amis descendaient pour déjeuner. Lorsqu'il les vit, Kai se leva et s'éclipsa. Il rencontra le regard de Ray. Celui-ci perçut une lueur de tristesse dans ses yeux.
Kai remonta dans sa chambre. Il attendait le coup de fil qu'il avait lâchement laissé en plan la veille. Il était prêt à affronter la dure réalité. Il attendit une heure puis deux. Enfin, le téléphone sonna. Il laissa sonner trois fois puis décrocha.
- Oui ?
- C'est moi.
- Je t'écoute.
- Ça y est.
Kai tressaillit.
- Qu'est-ce qui y est ?
- Son âme veille sur toi à présent. Ta grand-mère est morte. . .
Le chapitre 36 est terminé ! En ce moment, je ne sais pas trop ce qui m'arrive. Je suis tellement triste pour Kai. Que va-t-il se passer maintenant ? Quel sera la décision de Kai ? Il y a tellement de questions sans réponse. Je ne peux pas croire que moi-même, l'auteur de cette fic, n'ai pas de réponse. Et Eliane ? Le saura-t-elle ? Ça non plus, je ne le sais pas. . .
Ce ne sont pas vraiment des réponses aux revieweurs parce qu'au moment où j'uploade ce chapitre ; je n'ai pas encore lu mes reviews. Donc, je les ferai au prochain.^-^
Ary : salut !! Tout d'abord, pour faire les trois points, tu dois mettre, quand tu saisis sur ordi, des espaces entre chaque point. Et pour les mots, genre coeur ou oeuvre ça doit te mettre quelque chose comme « c?ue ». Eh bien les lettres o et u ne doivent pas être collées. C'est simple. Moi aussi, j'ai eu un petit problème. Et si tu as toujours besoin de mon aide, y'a qu'a demander !! Je te fais de gros bisous !
Kimiko : tu trouves Kai mignon ?! C'est pas trop mon avis mais bon. . . Il est plutôt. . . bizarre. Et quand tu vas lire le chapitre 37, tu vas vite t'apercevoir qu'il est pas mignon du tout !! Et pour ce qui concerne les sentiments de Kai, tu vas vite être fixée. Au fait, tu préfères qu'il aime Ray ou Iris ? Gros bisous !!
Merci de continuer à lire ma fic et à bientôt !!
