A/N Je vais probablement updater à ce rythme... Je sais que ce n'est pas très souvent, mais ma vie scolaire est prenante ses temps-ci. Avant les vacances de Noël, j'i remit un immense travail. Pendant deux semaines, je n'ai fait que ça ! Puis, j'ai reçu pour Noël!!! C'était très amusant. Je sais que ce chapitre n'est pas trop long, mais je ne voulait plus vous faire attendre. Merci à tout ceux qui ont reviewer :

Nymoue : On va comprendre qui sont les derniers à parler dans le dernier chapitre dans celui-ci.

Luna : Et voici la suite !

juliepotter : Pas abandonnée, seulement en manque d'idées. Aussi, je ne suis pas une grande fan de cliffhanger... Sauf quand c'est moi qui les écrit... Muahaha...

Kale : Merci pour ce superbe effort.

Jaligny : Merci pour cette farandole de compliments

dumbledore : Les trois années abrégées... C'est ce qui m'a fait hésiter dans l'histoire... Je crois que je vais les abrégées, mais pas trop. Je suis pas encore sûr. Pour ce qui est des amis d'Harry, nous en apprenons plus dans ce chapitre.

Vaness : Merci

pharianneh : Merci et quel nom original !

Mystikal : Encore dsl pour l'attente. Et le méchant, lit le chapitre pour en apprendre plus !

L'école des arts de la sorcellerie de Merlin

Chapitre 4

Assis à son bureau, s'attendant à certaines visites d'ici quelques instants.

-ALBUS ! OÙ EST HARRY ?

-Sirius, s'il vous plaît, calmez-vous.

-Vous ne comprenez pas ! Remus disparaît mystérieusement et, comme par hasard, j'apprends près de deux jours plus tard que Harry à aussi disparu. Albus, je sais que vous savez quelque chose, dites-moi donc ce que c'est.

L'on cogna à la porte, trois coups saccadés qui, par leur seul son imposaient une certaine autorité.

-Entrez.

D'un pas déterminé, Hermione Granger entra la pièce, la tête haute et demanda :

-Professeur, Harry n'était pas présent sur le train, ni au banquet. Remarquant la façon dont aucun professeur n'est partit à sa recherche comme au début de notre deuxième année, je considère que vous savez quelque chose, et puisque nous sommes ses meilleurs amis, nous avons le droit de savoir la vérité sur cette absence impromptue.

Ron était aussi présent, regardant maintenant Hermione avec des yeux ronds, étonné de cette longue tirade.

-En effet mademoiselle Granger, je sais où se trouve Harry. Il m'est malheureusement impossible de vous communiqué sa position pour des raisons de sécurité.

Sirius se leva, les adolescents le remarquant pour la première fois.

-Vous ne pouvez pas ne pas nous dire où il est. Quoi ? Vous êtes fou ? Dois-je absolument vous arracher les verres du nez ?

-Sirius, pour l'amour du ciel, calmez-vous !

Ce n'était pas Dumbledore qui avait parlé, mais bien Hermione. Un seul de ses regards autoritaires le remit à sa place. Elle continua :

-Ce n'est pas comme ça que nous allons l'apprendre. S'il ne peut nous le dire, il ne peut nous empêcher de le découvrir par nous même.

-Effectivement, mademoiselle Granger. Mais, je vais tout de même vous demander de ne pas trop approfondir le sujet. Harry pourra tout nous expliquer en temps et lieu.

-Comment savez-vous qu'il va revenir ? demanda désespérément Sirius

-Je le sais, c'est tout.

~*~*~*~

-Cette journée est tellement longue... Je pense qu'elle ne va jamais finir ! se lamenta Cunégonde, se laissant tomber dans une chaise.

C'était maintenant le souper est tout le groupe 1 était complètement exténué.

-Qu'est ce que vous aviez comme cours ? demanda gentiment Selestat

-Duel, double combat, double créatures, double défense, médecine, double combat, double transfiguration, psycho et astrologie, récita Harry

-Souffrance... soupira William

-Effectivement, ça a l'air d'une journée difficile, acquiesça Arosa, je compatis.

-Veux-tu prendre ma place, supplia Alizée.

-Je voudrais bien, surtout que la journée est presque finit, mais je ne pense pas que les professeurs accepteraient.

Soudain, Merlin arriva avec tous les professeurs. Harry, qui n'avait remarqué leur absence, se sentit un peu bête.

-Chers élèves, nous avons un problème. Un homme du nom de Sardel a prit du pouvoir. Je croyais que, parce que votre présence n'était pas naturelle, elle n'engendrerait aucune conséquence, mais j'avais tord. Au contraire, elle a permit à cet insignifiant de prendre plus de pouvoir et il n'est plus aussi insignifiant que je le souhaiterais. Pour le moment, il ne représente pas une si grande menace, mais il risque de rapidement rattraper le bien qui règne dans le monde en ce moment. L'idéal, ce serait de le confronter maintenant. Malheureusement, je ne vous considère pas assez avancé pour affronter un sorcier de cette puissance et nous ne pouvons en aucun cas, nous permettre de perdre l'un d'entre vous. Je me suis donc arrangé avec vos professeurs, vous allez avoir la possibilité dans plusieurs de vos cours, de vous préparer à cet homme en particulier. Autant cela peut paraître dramatique, nous pouvons l'utiliser à notre avantage.

Tous les élèves l'observèrent, ébahis. Deux gros vilains pas gentil à affronter ? C'est tout à fait injuste. Tout le monde resta sous cette impression jusqu'à ce que Cunégonde dise tout simplement : "D'accord."

Tous les autres comprirent qu'ils pourraient l'utiliser à leur avantage, alors, habituer à cet esprit qu'une bataille pourrait éclater à tout moment, les élèves levèrent leurs épaules en signe d'impuissance et recommencèrent à manger, comme si on leur avait annoncé que dorénavant, le mercredi midi ce serait des pâtes.

Étonné et en quelque sorte content, Merlin laissa un léger sourire apparaître sur ses lèvres. N'attendant plus longtemps, il s'assit et mangea.

~*~*~*~

-Je considère que nous sommes près à affronter Merlin.

À cette affirmation, plusieurs parurent sceptique, mais hochèrent tout de même leur tête.

-Nous devons lui apprendre qui est le maître. Il a une école de magie. Je veux qu'un de vous l'espionne et me rapporte le plus d'information possible sur qui vit avec lui dans cet endroit. Je veux connaître l'identité de chacun. Partez et revenez dans deux jours, à la même heure avec des informations.

~*~*~*~

Les élèves du groupe 1 étaient installés autour d'une des grandes tables de la bibliothèque. Ils étaient en double défense contre les forces du mal et recherchaient le plus d'informations sur Sardel et ses acolytes.

-Il n'y a absolument rien dans ce livre, déclara avec frustration Cunégonde, fermant son livre avec puissance pour affirmer sa thèse.

Remus leva les yeux de son livre.

-Si tu le dit. Tu peux aller en chercher un autre.

-Quoi ? Un autre ? On a pas le droit de se reposer ici ? J'ai juste le goût de dormir à cause de tout ses livres vieux et poussiéreux. On pourrait passer à du pratique. Je sais pas ! Trouvons un détraqueur (dementor...) et attaquons le. Je suis sûr que le gars... là... lui... vous savez de qui je parle !

-Sardel, lui proposa Remus

-Oui, ce gars-là, je suis sûr à 100% qu'il va avoir des détraqueurs ! Tous les grands vilains pas gentils ont des détraqueurs à leurs côtés pour démoraliser l'adversaire. Mais, si l'on se prépare, nous serons près à ne pas se laisser déprimer par des grands méchants pas beau. Un détraqueur, est-ce que c'est beau.

-Oh que non, soupira Harry

-Quoi ? Tu en a vu un ! s'excita William

-Oui, il a essayé de me donner "le baiser". C'est vert gluant avec un espèce de trou pour la bouche... Je dois avouer que je n'étais pas très attentif quand je l'ai vu... Je pensais plus à sauver ma peau.

-Réaction tout à fait normal, ne t'en fais pas, dit Remus

Tous se regardèrent un instant puis, Remus reprit:

-Et si l'on continuait ses recherches.

-Dans quoi est-ce qu'on peut chercher ! On ne sait rien sur lui ! dit Cunégonde, toujours aussi frustrée

-Cherche des moyens de l'éliminer, proposa Remus

~*~*~*~

Moltor, l'homme qui avait été envoyé en tant qu'espion écoutait cette conversation avec intérêt. Ils étaient donc au courant de ce qu'il se passait. Il aurait au moins une information à rapporter à son maître. Effectivement, il avait eut beau interroger tout le voisinage et toutes les personnes susceptibles d'avoir des informations, personne ne connaissait quoi que ce soit sur qui que ce soit, à l'exception de Merlin. C'est comme si tous les professeurs et tous les élèves venaient d'apparaître dont ne sait où. Ne pouvant trouver d'informations, mais ayant tout de même, dans un dernier espoir, envoyé son compagnon, il ne pouvait qu'espionné. Pour le moment, il savait qu'il y avait trois groupes et qu'ils avaient beaucoup de cours et plusieurs professeurs. Il connaissait le prénom de la plupart des élèves, régulièrement des noms étranges et qui portent à confusion. Depuis quand est-ce que les noms Alizée et Albus existent-ils. Le maître ne serait certainement pas content. Mais, connaissant sa patience, O si légendaire, ils attaqueraient mal grés tout ceci. Il n'avait pas encore pu observer la force magique des élèves ou des professeurs. Ils semblaient motivés qu'à parler et relaxer. Il faudrait qu'il trouve une classe plus excitante, mais il savait très bien qu'il ne lui restait qu'assez de temps pour retourner à son maître sans retard. Il n'eut d'autres choix que de se lever et de partir.

~*~*~*~

-Est-ce que vous avez entendu quelque chose ? demanda William

-Non, dit simplement Cunégonde

-Ha ah ! s'exclama Alizée

Tous se tournèrent vers elle et elle les regarda, un sourire connaisseur aux lèvres.

-La première chose à savoir sur un adversaire, c'est son plus grand défaut. Ici, j'ai un livre sur tout les sorciers qui sont allés dans une école de sorcellerie avec un petit message de la part de ses amis écrit sous sa photo. "Travail tes réflexes ! Ton prochain duel sera peut-être moins pathétique (Tu n'as qu'à relaxer)". Donc, grâce à ce super message, il est naturel de déduire qu'il n'est pas très bon en duel, ou qu'il ne l'était pas. Même si il s'est amélioré, nous devons prendre en considération que ce n'est pas un talent naturel.

-Très bon travail Alizée, complimenta Remus

-Bon, maintenant, est-ce qu'on peut faire quelque chose de pratique ? demanda Cunégonde. Puisque les duels sont ses points faibles, duelons !

-Je crois bien que vous avez huit cours de duels par semaine.

-Oui, mais...

-Mais ?

-Mais.

-Tes arguments sont plutôt absents, Cunégonde.

-Je le sais. Mais, il faut toujours essayer.

~*~*~*~

-VOUS NE SAVEZ RIEN!

-En fait, nous savons qu'il sont au courant de votre présence et nous savons la plupart de leur prénoms. Il doit y avoir une petite vingtaine de professeurs et une quinzaine d'élèves.

-Plus de professeurs que d'élèves, demanda Sardel, légèrement surpris.

-J'en ai bien l'impression.

-Mal grés cette lacune dans les informations espérées, nous allons attaquer. Ce n'est certainement pas un groupe de professeurs et d'adolescents qui va nous arrêter! Nous allons nous battre, et nous allons vaincre!

Tout le groupe qui les entouraient l'acclama bruyamment.

~*~*~*~

Ils étaient tous en train de souper quand leur professeur d'herbologie, Jacques Gossec, entra dans la pièce en criant:

-ILS NOUS ATTAQUENT!

Merlin se leva, les sourcils légèrement froncis.

-Qui donc?

-Sardel... Sardel et toute une armée.

~*~*~*~

C'est cela...

SVP, reviwer |

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V