Bon je vais essayer de m' améliorer comme me l' a fait remarqué une
gentille review.
Ps donnez moi des conseils !!! et n' hésitez pas s.v.p. !!!
Septra Venus.
****************************
Départ .
Harry remonta dans sa chambre, emballé par la lettre qu' il venait de lire. Il s' assit à son bureau, où quelques parchemins épars furent balayés d' un geste rapide. Il en saisit deux d' entre eux et répondit aux lettre du professeur de métamorphose ainsi qu' au directeur de Poudlard. Il donna les missives au hibou de Poudlard toujours perché sur la cage d' Hedwige et s' assit devant son bureau, en sombrant dans ses pensées .L'adolescent se demandait quels tours il pourrait bien jouer aux Dursley lorsque quelques coups secs se firent entendre à la fenêtre. Harry se dépêcha d' aller l' ouvrir et trois hiboux s' engouffrèrent dans la chambre. L' un d' entre eux n' était autre qu' Hedwige, la chouette d' Harry, mais les deux autres, eux , étaient étrangers au jeune sorcier. Il déchargea les oiseaux et ceux-ci allèrent directement assouvir leur soif dans le bol d' Hedwige. Harry saisit le paquet apporté par sa chouette et un sourire illumina son visage lorsqu' il reconnut l' écriture de son parrain, Sirius. Il ouvrit la lettre et remarqua qu' elle était particulièrement longue.
Cher Harry,
J' ai des tas de bonnes nouvelles ! Tout d' abord, j' ai été affranchi ! Les aurores ont vu Pettigrow de leurs propres yeux et ils m' ont donc déclaré innocent ! J' ai récupéré tous mes biens dont une magnifique maison située tout près de Poudlard ! Si tu le souhaites ( je sais que le choix va être extrêmement difficile,.) tu peux venir vivre avec moi ! Ensuite, je voulais te dire que le carte du maraudeur dont tu as officiellement hérité n'est pas seulement le moyen de voler de la nourriture en cachette, je t' informerai des ses utilités lorsque tu viendras à la maison . Chez toi.
Lucius Malfoy a disparu. Arthur Weasley a décidé d'aller jeter un petit coup d' ?il chez lui après son départ « imprévisible » et il a découvert une très jolie collection d' objets classées dans la catégorie « magie noir » Etrange tu ne trouves pas ?Surtout de la part d' un homme aussi respectueux que Malfoy.. Après cela, il a été récompensé par l' ordre de merlin troisième classe et lui et sa famille ont bénéficié d' une demeure digne de ce nom ! Tu peux me croire ! Cependant, en s' attaquant aux Malfoy, Arthur s' est mis, lui et sa famille , dans le pétrin. Tous les mages mangemorts sont à leurs trousses. C' est pourquoi tu ne pourras pas aller chez eux ces vacances. Mais ne t' inquiète pas trop, ils sont protégés par de nombreux sorcier et aucun accident n' a encore eu lieu. Au fait, Dumbledore viendra t' expliquer quelques choses lorsque tu viendras, c' est extrêmement important.
Essaye d' avoir une existence acceptable pendant les quelques heures où tu devras encore supporter les Dursley ( et ne te gène pas pour tester le sortilège des furoncles et des champignons - comme celui que vous avez lancé sur votre cher ami Draco qui en garde encore des cicatrices - Il suffit d' en jeter un en pensant à l' autre et les deux seront combinés ! ) Je passe te chercher ce soir à 18h00.
A tout à l' heure, Sirius.
Harry n' arrivait pas à croire tout ce qu' il avait lu, c' était merveilleux et terrible à la fois. Il s' inquiétait affreusement pour Ron malgré les dires de son parrain, mais d' un autre côté, il avaient enfin obtenu de l' argent et Harry ne connaissait personne d' autre qui aurait plus mérité de l' obtenir. Il ouvrit le paquet qui accompagnait la lettre, songeant avec ravissement à la nouvelle vie qu' il allait mener. Après avoir déchiré le dernier emballage , un petit carton décoré de la photo de Sirius lui souriant tomba sur les genoux d' Harry et commença à lui chanter un bon anniversaire. L' adolescent sourit et découvrit avec étonnement le contenu du paquet. Un minuscule miroir tomba sur le lit. Mais, celui-ci n' avait rien d' ordinaire. Il n' était pas orné d' une glace normale, mais d' un bout de cristal imbibé d' une épaisse fumée blanche. Lorsqu' Harry s' y regarda, ce ne fut pas son reflet qui apparut, mais l' image d' un grand et beau phénix au plumage rouge et aux ailes faites de flammes. En dessous de l' image, des lettres se tracèrent d' elle -même et indiquèrent « phénix de feu ». Harry se demanda qu' es-ce que cela pouvait bien signifier et il décida d' ouvrir les autres paquets. L' un venait d' Hermione , qui l' invitait à venir passer la dernière semaine des vacances chez elle. Son cadeau contenait une petite baguette magique, d' environ quinze centimètres , qui brillait d' une lueur rouge. Harry lit la lettre qui l' accompagnait.
Cher Harry,
Ceci est un « emplificatus ». Cette baguette permet d' augmenter la puissance de tes sorts. Il suffit de toucher l' extrémité de ta vraie baguette avec l' emplificatus lorsque tu jettes ton sort et , selon le sorcier, le sort est amplifié de 2 à 15 fois. Je l' ai trouvée en Bulgarie.
Amitiés, Hermione.
Harry se dit que se pourrait être utile pour son sort de furoncles et il ouvrit la dernière lettre, provenant de Ron. Le sorcier fut choqué lorsqu' il acheva sa lecture. En effet, la missive disait très froidement ;
Harry,
Comme tu le sais sûrement ,je ne suis plus pauvre maintenant, et je te rendrai les 1000 gallions que tu as donné à mes frères, à la rentrée. La pitié c' est pas mon truc. Il paraît que tu vas chez Hermione. Merci ! Cela aurait été stupide de venir chez moi ! Après tout, maintenant que je ne dois plus porter des guenilles ,c' est inutile de m' avoir pour amis ! Tu ne pourrais plus faire le riche, le beau, le célèbre à coté de moi !
Ron.
Harry saisit un morceau de parchemin avec un geste incontrôlé, tellement sa fureur était grande, et il griffonna rapidement.
Alors Weasley ! On est jaloux ! Holà, Hermione ne t' a pas invité toi ! J' ignorait que tu étais amoureux d' elle ! Alors si c' est ça l' amitié pour toi ! Ciao !!!
Harry.
Le sorcier attacha sa lettre à la patte du hibou de Ron et le jeta par la fenêtre. L' oiseau poussa un cri perçant d' indignement et s' en fut au loin le plus vite possible. Harry rejoignit ensuite son lit, sensiblement calmé, et remarqua l' évidence de l' amour de Ron pour Hermione. Un soudain sentiment de jalousie envahit alors Harry . Pour une raison inconnue d' ailleurs, car Harry n' avait rien à envier à Ron du côté d' Hermione. Mais de toute façon, Harry n' aillait tout de même pas tomber amoureux s' une de ses amies. De sa seule amie, tout bien réfléchi. Le sorcier, toujours songeur, descendit les escalier afin d' aller avertir les Dursley de la venue de Sirius le soir même. Lorsqu' il entra dans la cuisine, Les trois Dursley levèrent les yeux de leurs occupations et regardèrent Harry craintivement. Celui-ci amusé par le changement de comportement de la famille à son égard leur dit d' une vois détachée.
- Je tenais à vous annoncer une excellente nouvelle !
- Quoi donc ? demanda l' oncle Vernon avec une voix tremblante d' appréhension et de désir.
-Je pars ! répondit Harry, une grand sourire accroché aux lèvres.
-Ha. Dit Vernon, déçu. C' est ce que tu fais chaque année je te signale.
-Non, vous ne comprenez pas, je pars pour toujours, mon parrain, vous savez ,le « criminel », il vient me chercher à 18h00 tout à l' heure.
L' oncle Vernon allait exploser. Mais pas seulement de joie, il était également rouge de colère.
-COMMENT OSES -TU INVITER UN CRIMINEL SOUS MON TOIT !!!!!!!!! tonna-t-il.
-Je n' aime pas beaucoup tes manières Vernon, mais ma baguette pourrait peut-être régler cela., dit Harry, se faisant menaçant.
-JE TE CHASS.
L' oncle Vernon s' arrêta brusquement . Maintenant qu' Harry allait partir, il ne pourrait plus le chasser . Il ne possédait donc plus aucune arme contre son neveu et se contenta de s' excuser froidement, virant au cramoisi plus vite qu' un feu de signalisation . Harry, étonné, sortit de la cuisine et partit rassembler ses affaires dans son énorme valise.
Il passa le reste de la journée dans son lit , à contempler le miroir que Sirius lui avait offert, et à feuilleter l' album photo de ses parents. Sur le carton d' anniversaire qu'il avait reçu, son parrain était redevenu exactement comme lorsqu' il était le témoin de Lily et James Potter. Le même visage souriant, les mêmes yeux charmeurs et les mêmes cheveux noirs ( quoique légèrement tintés de gris sur le carton) . A 17h00, il décida de jeter un coup d' ?il à la carte du maraudeur. Lorsqu' il tapota dessus en prononçant les paroles magiques, des phrases apparurent aussitôt sur le bout de parchemin.
A Poudlard , tu n' es pas ,et nous ne connaissons pas d' autres endroits. Si tu veux accomplir autre chose qu' un mauvais tour avec cette carte faite d' intentions honorables, le mot de passe immédiat tu donneras , sinon, au revoir.
Lunard, Patmol, Queudver et Cornedrue, appelés plus communément, les maraudeurs.
Harry retira son nez de la carte et commença à citer un bon nombre de mots de passe. « maraudeurs », « animagus », « mauvais tours », « rogue tu pue », « saule cogneur » , et des dizaines d' autres encore jusqu' à ce que le réveil matin indique 17h50. Harry descendit alors, sa valise dans une main, la cage d' Hedwige dans l' autre. Il déposa le tout dans le couloir et entra dans le salon, anxieux , en se dirigeant vers le canapé en velours orange , placé dans un coin de la pièce. Il s' effondra dans celui-ci, mais, au même moment, la sonnette de la porte d' entrée retentir dans le hall d' entrée. Harry sursauta et passa devant la cuisine, où il vit les trois Dursley, terrifiés à l' idée de voir un sorcier criminel . Lorsqu' Harry se retrouva derrière la porte, il souffla un grand coup et ouvrit le battent . Là, un grand homme se tenait debout, une main dans la poche . lorsqu' il vit Harry, l' homme lui fit un énorme sourire et le serra dans ses bras, en lui disant d' une voix très émue ;
- Harry, je suis si heureux de te retrouver. Dit-il.
- Sirius, tu peux pas savoir comme je suis content ! dit Harry en riant .On part quand ? J' en ai marre de cette famille.
- Viens , on va prendre tes affaires et on s' en va. Dit Sirius en lui rendant son sourire. Je veux juste leur dire quelque mots. Tu sais, histoire de leur faire comprendre qu' on touche pas à mon neveux.
Harry sourit et se dépêcha de sortir sa chouette et sa valise de la maison . Il jeta un regard circulaire à la rue, pour savoir quel moyen de transport ils allaient utiliser, mais le sorcier ne vit rien qui puisse servir de véhicule. Il déposa alors ses valises par terre, et rentra dans la maison pour voir ce que faisait Sirius . Lorsqu' il entra dans la cuisine, la tante Pétunia était assise par terre , au bord de la crise de larme. Sa cuisine était tout à fait inondée. Les rideaux de celle-ci avaient pris une teinte rose fluo, et les éviers étaient couverts de rouille. Sans parler du papier peint qui s' était décollé et qui pendait lamentablement aux murs . L' oncle Vernon, lui, tentait en vain de faire partir la couleur mauve qui avait ravagé toute sa figure. Lorsqu' Harry vit enfin Dudley, il ne put s' empêcher d'éclater de rire. En effet, celui-ci avait deux jolies nattes blondes sur le sommet du crâne et portait une belle petite robe rose assortie à ses chouchous. Mignon ,ou plutôt mignonne à croquer ! Sirius se retourna, les larmes aux yeux tellement il riait et dit à Harry ;
-Allez, finis le travail, et puis je remettrai tout en ordre, je crois qu' ils ont eu ce qu' il méritaient !
Harry sortit sa baguette et l' emplificatus et se mit à penser très fort au sort des champignons tout en prononçant celui des furoncles. Il joignit ensuite les deux baguettes, et un éclair jaune jaillit de sa baguette pour frapper la misérable famille de plein fouet. Le résultat n' était pas particulièrement plaisant au regard, mais néanmoins, Harry était fier de lui. Son sort avait fonctionné avec succès ! Le jeune garçon se tourna vers son parrain et il vit que celui-ci le regardait d' un air ébahi.
- M.. mais où as-tu eu cet emplificatus ?!? demanda Sirius, incrédule.
- C' est Hermione qui me l' a offert. Répondit Harry..
-Ha , et bien alors , de combien as-tu augmenter ton sort ? questionna l' homme.
-Heu, .. Harry regarda la baguette et vit un petit chiffre gravé dans le bois, qui disparaissait peu à peu. 21 ! dit celui-ci.
- Je te demande pardon ?!? dit Sirius, ébahi, 21 ?!?
-Heu oui, enfin, c' est ce qu' il était marqué pourquoi ? dit Harry d' une voix dans laquelle on percevait la curiosité.
-Et bien, tout simplement parce que le maximum jusqu' à aujourd'hui était de 15 , détenu par Voldemort et Dumbedore, répondit le parrain de l' adolescent. Tu dois être très puissant, dit -il pensivement .. Bon, c' est pas tout ça, mais il faut qu' on y aille.
Sirius fit un geste négligeant avec sa main et tout se remit en ordre dans la pièce, sauf les quelques furoncles qu' il avait « oublié » de faire disparaître. Les deux personnes sortirent alors de la maison et Sirius prit la valise de son neveu. Il fit ensuite un petit geste avec sa baguette , après s' être assuré que personne ne le regardait, et quelques secondes plus tard, une grosse détonation se fit entendre. Un énorme bus à impériale apparut sur la route. A son approche, deux boîtes à lettres s' écartèrent et allèrent se ranger un peu plus loin dans la rue. Sirius réserva ensuite deux places, hissa la valise à l' intérieur du véhicule et appela Harry à le rejoindre.
-Viens, nous irons chez moi avec le Magicobus, je n' ai pas pris ma voiture.
Harry acquiesça et regarda une dernière fois la maison où il avait passé tant d' années, aussi mauvaises les une que les autres. Il dit alors à mi- voix, un sourire perché aux lèvres ;
-Adieu les Dursley, je repasserai vous voir à l' occasion....
Sans quoi, il se retourna et grimpa dans le Magicobus, qui repartit dans une nouvelle série de pétarades et de rebonds.
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Bon voilà le troisième chapitre. Je sais que je dois m' améliorer mais bon je fais mon possible. Laissez des reviews !!!!!
Bisous, Septra Venus.
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Départ .
Harry remonta dans sa chambre, emballé par la lettre qu' il venait de lire. Il s' assit à son bureau, où quelques parchemins épars furent balayés d' un geste rapide. Il en saisit deux d' entre eux et répondit aux lettre du professeur de métamorphose ainsi qu' au directeur de Poudlard. Il donna les missives au hibou de Poudlard toujours perché sur la cage d' Hedwige et s' assit devant son bureau, en sombrant dans ses pensées .L'adolescent se demandait quels tours il pourrait bien jouer aux Dursley lorsque quelques coups secs se firent entendre à la fenêtre. Harry se dépêcha d' aller l' ouvrir et trois hiboux s' engouffrèrent dans la chambre. L' un d' entre eux n' était autre qu' Hedwige, la chouette d' Harry, mais les deux autres, eux , étaient étrangers au jeune sorcier. Il déchargea les oiseaux et ceux-ci allèrent directement assouvir leur soif dans le bol d' Hedwige. Harry saisit le paquet apporté par sa chouette et un sourire illumina son visage lorsqu' il reconnut l' écriture de son parrain, Sirius. Il ouvrit la lettre et remarqua qu' elle était particulièrement longue.
Cher Harry,
J' ai des tas de bonnes nouvelles ! Tout d' abord, j' ai été affranchi ! Les aurores ont vu Pettigrow de leurs propres yeux et ils m' ont donc déclaré innocent ! J' ai récupéré tous mes biens dont une magnifique maison située tout près de Poudlard ! Si tu le souhaites ( je sais que le choix va être extrêmement difficile,.) tu peux venir vivre avec moi ! Ensuite, je voulais te dire que le carte du maraudeur dont tu as officiellement hérité n'est pas seulement le moyen de voler de la nourriture en cachette, je t' informerai des ses utilités lorsque tu viendras à la maison . Chez toi.
Lucius Malfoy a disparu. Arthur Weasley a décidé d'aller jeter un petit coup d' ?il chez lui après son départ « imprévisible » et il a découvert une très jolie collection d' objets classées dans la catégorie « magie noir » Etrange tu ne trouves pas ?Surtout de la part d' un homme aussi respectueux que Malfoy.. Après cela, il a été récompensé par l' ordre de merlin troisième classe et lui et sa famille ont bénéficié d' une demeure digne de ce nom ! Tu peux me croire ! Cependant, en s' attaquant aux Malfoy, Arthur s' est mis, lui et sa famille , dans le pétrin. Tous les mages mangemorts sont à leurs trousses. C' est pourquoi tu ne pourras pas aller chez eux ces vacances. Mais ne t' inquiète pas trop, ils sont protégés par de nombreux sorcier et aucun accident n' a encore eu lieu. Au fait, Dumbledore viendra t' expliquer quelques choses lorsque tu viendras, c' est extrêmement important.
Essaye d' avoir une existence acceptable pendant les quelques heures où tu devras encore supporter les Dursley ( et ne te gène pas pour tester le sortilège des furoncles et des champignons - comme celui que vous avez lancé sur votre cher ami Draco qui en garde encore des cicatrices - Il suffit d' en jeter un en pensant à l' autre et les deux seront combinés ! ) Je passe te chercher ce soir à 18h00.
A tout à l' heure, Sirius.
Harry n' arrivait pas à croire tout ce qu' il avait lu, c' était merveilleux et terrible à la fois. Il s' inquiétait affreusement pour Ron malgré les dires de son parrain, mais d' un autre côté, il avaient enfin obtenu de l' argent et Harry ne connaissait personne d' autre qui aurait plus mérité de l' obtenir. Il ouvrit le paquet qui accompagnait la lettre, songeant avec ravissement à la nouvelle vie qu' il allait mener. Après avoir déchiré le dernier emballage , un petit carton décoré de la photo de Sirius lui souriant tomba sur les genoux d' Harry et commença à lui chanter un bon anniversaire. L' adolescent sourit et découvrit avec étonnement le contenu du paquet. Un minuscule miroir tomba sur le lit. Mais, celui-ci n' avait rien d' ordinaire. Il n' était pas orné d' une glace normale, mais d' un bout de cristal imbibé d' une épaisse fumée blanche. Lorsqu' Harry s' y regarda, ce ne fut pas son reflet qui apparut, mais l' image d' un grand et beau phénix au plumage rouge et aux ailes faites de flammes. En dessous de l' image, des lettres se tracèrent d' elle -même et indiquèrent « phénix de feu ». Harry se demanda qu' es-ce que cela pouvait bien signifier et il décida d' ouvrir les autres paquets. L' un venait d' Hermione , qui l' invitait à venir passer la dernière semaine des vacances chez elle. Son cadeau contenait une petite baguette magique, d' environ quinze centimètres , qui brillait d' une lueur rouge. Harry lit la lettre qui l' accompagnait.
Cher Harry,
Ceci est un « emplificatus ». Cette baguette permet d' augmenter la puissance de tes sorts. Il suffit de toucher l' extrémité de ta vraie baguette avec l' emplificatus lorsque tu jettes ton sort et , selon le sorcier, le sort est amplifié de 2 à 15 fois. Je l' ai trouvée en Bulgarie.
Amitiés, Hermione.
Harry se dit que se pourrait être utile pour son sort de furoncles et il ouvrit la dernière lettre, provenant de Ron. Le sorcier fut choqué lorsqu' il acheva sa lecture. En effet, la missive disait très froidement ;
Harry,
Comme tu le sais sûrement ,je ne suis plus pauvre maintenant, et je te rendrai les 1000 gallions que tu as donné à mes frères, à la rentrée. La pitié c' est pas mon truc. Il paraît que tu vas chez Hermione. Merci ! Cela aurait été stupide de venir chez moi ! Après tout, maintenant que je ne dois plus porter des guenilles ,c' est inutile de m' avoir pour amis ! Tu ne pourrais plus faire le riche, le beau, le célèbre à coté de moi !
Ron.
Harry saisit un morceau de parchemin avec un geste incontrôlé, tellement sa fureur était grande, et il griffonna rapidement.
Alors Weasley ! On est jaloux ! Holà, Hermione ne t' a pas invité toi ! J' ignorait que tu étais amoureux d' elle ! Alors si c' est ça l' amitié pour toi ! Ciao !!!
Harry.
Le sorcier attacha sa lettre à la patte du hibou de Ron et le jeta par la fenêtre. L' oiseau poussa un cri perçant d' indignement et s' en fut au loin le plus vite possible. Harry rejoignit ensuite son lit, sensiblement calmé, et remarqua l' évidence de l' amour de Ron pour Hermione. Un soudain sentiment de jalousie envahit alors Harry . Pour une raison inconnue d' ailleurs, car Harry n' avait rien à envier à Ron du côté d' Hermione. Mais de toute façon, Harry n' aillait tout de même pas tomber amoureux s' une de ses amies. De sa seule amie, tout bien réfléchi. Le sorcier, toujours songeur, descendit les escalier afin d' aller avertir les Dursley de la venue de Sirius le soir même. Lorsqu' il entra dans la cuisine, Les trois Dursley levèrent les yeux de leurs occupations et regardèrent Harry craintivement. Celui-ci amusé par le changement de comportement de la famille à son égard leur dit d' une vois détachée.
- Je tenais à vous annoncer une excellente nouvelle !
- Quoi donc ? demanda l' oncle Vernon avec une voix tremblante d' appréhension et de désir.
-Je pars ! répondit Harry, une grand sourire accroché aux lèvres.
-Ha. Dit Vernon, déçu. C' est ce que tu fais chaque année je te signale.
-Non, vous ne comprenez pas, je pars pour toujours, mon parrain, vous savez ,le « criminel », il vient me chercher à 18h00 tout à l' heure.
L' oncle Vernon allait exploser. Mais pas seulement de joie, il était également rouge de colère.
-COMMENT OSES -TU INVITER UN CRIMINEL SOUS MON TOIT !!!!!!!!! tonna-t-il.
-Je n' aime pas beaucoup tes manières Vernon, mais ma baguette pourrait peut-être régler cela., dit Harry, se faisant menaçant.
-JE TE CHASS.
L' oncle Vernon s' arrêta brusquement . Maintenant qu' Harry allait partir, il ne pourrait plus le chasser . Il ne possédait donc plus aucune arme contre son neveu et se contenta de s' excuser froidement, virant au cramoisi plus vite qu' un feu de signalisation . Harry, étonné, sortit de la cuisine et partit rassembler ses affaires dans son énorme valise.
Il passa le reste de la journée dans son lit , à contempler le miroir que Sirius lui avait offert, et à feuilleter l' album photo de ses parents. Sur le carton d' anniversaire qu'il avait reçu, son parrain était redevenu exactement comme lorsqu' il était le témoin de Lily et James Potter. Le même visage souriant, les mêmes yeux charmeurs et les mêmes cheveux noirs ( quoique légèrement tintés de gris sur le carton) . A 17h00, il décida de jeter un coup d' ?il à la carte du maraudeur. Lorsqu' il tapota dessus en prononçant les paroles magiques, des phrases apparurent aussitôt sur le bout de parchemin.
A Poudlard , tu n' es pas ,et nous ne connaissons pas d' autres endroits. Si tu veux accomplir autre chose qu' un mauvais tour avec cette carte faite d' intentions honorables, le mot de passe immédiat tu donneras , sinon, au revoir.
Lunard, Patmol, Queudver et Cornedrue, appelés plus communément, les maraudeurs.
Harry retira son nez de la carte et commença à citer un bon nombre de mots de passe. « maraudeurs », « animagus », « mauvais tours », « rogue tu pue », « saule cogneur » , et des dizaines d' autres encore jusqu' à ce que le réveil matin indique 17h50. Harry descendit alors, sa valise dans une main, la cage d' Hedwige dans l' autre. Il déposa le tout dans le couloir et entra dans le salon, anxieux , en se dirigeant vers le canapé en velours orange , placé dans un coin de la pièce. Il s' effondra dans celui-ci, mais, au même moment, la sonnette de la porte d' entrée retentir dans le hall d' entrée. Harry sursauta et passa devant la cuisine, où il vit les trois Dursley, terrifiés à l' idée de voir un sorcier criminel . Lorsqu' Harry se retrouva derrière la porte, il souffla un grand coup et ouvrit le battent . Là, un grand homme se tenait debout, une main dans la poche . lorsqu' il vit Harry, l' homme lui fit un énorme sourire et le serra dans ses bras, en lui disant d' une voix très émue ;
- Harry, je suis si heureux de te retrouver. Dit-il.
- Sirius, tu peux pas savoir comme je suis content ! dit Harry en riant .On part quand ? J' en ai marre de cette famille.
- Viens , on va prendre tes affaires et on s' en va. Dit Sirius en lui rendant son sourire. Je veux juste leur dire quelque mots. Tu sais, histoire de leur faire comprendre qu' on touche pas à mon neveux.
Harry sourit et se dépêcha de sortir sa chouette et sa valise de la maison . Il jeta un regard circulaire à la rue, pour savoir quel moyen de transport ils allaient utiliser, mais le sorcier ne vit rien qui puisse servir de véhicule. Il déposa alors ses valises par terre, et rentra dans la maison pour voir ce que faisait Sirius . Lorsqu' il entra dans la cuisine, la tante Pétunia était assise par terre , au bord de la crise de larme. Sa cuisine était tout à fait inondée. Les rideaux de celle-ci avaient pris une teinte rose fluo, et les éviers étaient couverts de rouille. Sans parler du papier peint qui s' était décollé et qui pendait lamentablement aux murs . L' oncle Vernon, lui, tentait en vain de faire partir la couleur mauve qui avait ravagé toute sa figure. Lorsqu' Harry vit enfin Dudley, il ne put s' empêcher d'éclater de rire. En effet, celui-ci avait deux jolies nattes blondes sur le sommet du crâne et portait une belle petite robe rose assortie à ses chouchous. Mignon ,ou plutôt mignonne à croquer ! Sirius se retourna, les larmes aux yeux tellement il riait et dit à Harry ;
-Allez, finis le travail, et puis je remettrai tout en ordre, je crois qu' ils ont eu ce qu' il méritaient !
Harry sortit sa baguette et l' emplificatus et se mit à penser très fort au sort des champignons tout en prononçant celui des furoncles. Il joignit ensuite les deux baguettes, et un éclair jaune jaillit de sa baguette pour frapper la misérable famille de plein fouet. Le résultat n' était pas particulièrement plaisant au regard, mais néanmoins, Harry était fier de lui. Son sort avait fonctionné avec succès ! Le jeune garçon se tourna vers son parrain et il vit que celui-ci le regardait d' un air ébahi.
- M.. mais où as-tu eu cet emplificatus ?!? demanda Sirius, incrédule.
- C' est Hermione qui me l' a offert. Répondit Harry..
-Ha , et bien alors , de combien as-tu augmenter ton sort ? questionna l' homme.
-Heu, .. Harry regarda la baguette et vit un petit chiffre gravé dans le bois, qui disparaissait peu à peu. 21 ! dit celui-ci.
- Je te demande pardon ?!? dit Sirius, ébahi, 21 ?!?
-Heu oui, enfin, c' est ce qu' il était marqué pourquoi ? dit Harry d' une voix dans laquelle on percevait la curiosité.
-Et bien, tout simplement parce que le maximum jusqu' à aujourd'hui était de 15 , détenu par Voldemort et Dumbedore, répondit le parrain de l' adolescent. Tu dois être très puissant, dit -il pensivement .. Bon, c' est pas tout ça, mais il faut qu' on y aille.
Sirius fit un geste négligeant avec sa main et tout se remit en ordre dans la pièce, sauf les quelques furoncles qu' il avait « oublié » de faire disparaître. Les deux personnes sortirent alors de la maison et Sirius prit la valise de son neveu. Il fit ensuite un petit geste avec sa baguette , après s' être assuré que personne ne le regardait, et quelques secondes plus tard, une grosse détonation se fit entendre. Un énorme bus à impériale apparut sur la route. A son approche, deux boîtes à lettres s' écartèrent et allèrent se ranger un peu plus loin dans la rue. Sirius réserva ensuite deux places, hissa la valise à l' intérieur du véhicule et appela Harry à le rejoindre.
-Viens, nous irons chez moi avec le Magicobus, je n' ai pas pris ma voiture.
Harry acquiesça et regarda une dernière fois la maison où il avait passé tant d' années, aussi mauvaises les une que les autres. Il dit alors à mi- voix, un sourire perché aux lèvres ;
-Adieu les Dursley, je repasserai vous voir à l' occasion....
Sans quoi, il se retourna et grimpa dans le Magicobus, qui repartit dans une nouvelle série de pétarades et de rebonds.
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Bon voilà le troisième chapitre. Je sais que je dois m' améliorer mais bon je fais mon possible. Laissez des reviews !!!!!
Bisous, Septra Venus.
