Bon ben remerci pour vos reviews, je continue le plus vite possible !
Ce chapitre vous apprendra ce qui va se passer Harry et Hermione.
Bisous, Septra Venus.
*****************
Bonne nuit ...
La semaine qui suivit fila comme le vent et Harry avait hâte de se rendre chez Hermione. Non pas que Sirius, l' ennuyait, au contraire, mais ce dernier n' étais pas très présent. Il passait son temps à soigner les aurores et autres personnes qui se faisaient blesser lors des nombreux combats contre les forces du mal . Pour passer le temps, Harry avait travaillé des sorts qu' il avait trouvés dans un vieux livre de sa chambre. Ceux- ci s' avéraient être très utiles. En effet, ces sortilèges permettaient de faire disparaître des objets, de les rendre invisibles, de les transformer en liquides, ou même de les faire changer de couleur. Après s' être entraîné une bonne heure, Harry décida de faire sa valise. Il y fourra vite quelques affaires, et ne manqua pas prendre un maximum de livres concernant les animagus. Il descendit ensuite voir Sally , et lui demanda de préparer un bouquet de lis, qu' il pourrait donner aux parents d' Hermione. Quant à elle, il remonta quatre à quatre dans sa chambre, et il saisit un paquet sur son lit. Il le rangea ensuite précieusement dans sa valise, en le recouvrant d' un morceau de tissu. Il passa le reste de la journée à se balader dans les champs, où il découvrit un petit bosquet semblable à celui des Weasley. Mais penser aux Weasley lui était douloureux. Et non seulement parce qu' il s' était disputé avec Ron, mais aussi parce que cette brave famille était poursuivie par des mangemorts. Il passa encore quelques minutes à effleurer des fleurs de lis du bout des doigts, jusqu'à ce que quelqu'un l' appelle depuis la maison, le priant de rentrer. Franchissant le pas de la porte majestueuse qui donnait sur les champs, Harry vit Sirius, au fond du couloir, parlant à deux adultes , sans doute des moldus, qu' Harry n' eut aucun mal à reconnaître. C'étaient les parents d' Hermione. Sans savoir pourquoi, Harry se mit à rougir , et il se ressaisit avec les plus grandes peines du monde lorsqu' il aperçut enfin la jeune fille. Tout d' abord, Harry ne la reconnut pas, il l' avait prise pour une des nombreuses infirmières de la maison. D' ailleurs, il la regarda avec l' insistance d' un garçon lorsqu' elle passa et détourna subitement les yeux de ses parties inférieures lorsqu'il repéra ses yeux noisettes toujours aussi sévères, mais légèrement maquillés cette fois. Un sourire radieux illumina le visage de l' adolescent et il lui dit sans tarder :
- Hermione ! Tu as .. comment dire.... Heu....changé...merveilleusement changé !
Au fur et à mesure qu' il avait prononcé ces stupides mots, sa voix avait diminué, contrairement à ses joues qui étaient de plus en plus rouges. Mais il y avait de quoi. Hermione avait en effet changé, c' était le moins qu' on puisse dire. Elle avait pris des formes sublimes et son visage était survolé d' une beauté encore jamais éclore au paravent.
- Merci, répondit la jeune fille, toi aussi, dit-elle, rougissant à son tour.
Les deux amis restèrent encore quelques instants à se fixer, jusqu'à ce que Sirius les sorte de leur discours muet.
-Il est temps d' y aller , dit- il, et Harry, je dois encore te dire deux ou trois choses..
Hermione se dirigea, encore rêveuse, vers ses parents ébahis par les lieux, et Sirius tendit quelque chose , un cristal lui semblait-il, à son neveu.
-Heu, c' est .. heu, un petit quelque chose, au cas où, enfin tu vois, avec Hermione, au cas où..
Harry sourit, il avait très bien compris ce que signifiait le « au cas où « de son parrain .
- Il te suffit de le porter au cou, et si tu en veux d' autres, ils sont dans une petite boîte en verre, en haut, que tu avais sûrement remarquée..., et avec un petit sourire, il ajouta ; un cristal, un coup, puis il s' en alla vers la cage d' escalier.
Harry observa le petit cristal dans sa main, et y lit, « cripréstal » . Il sortit alors sa baguette magique et murmura « accio cripréstal » avant d' en avoir une bonne dizaine dans les mains. Après quoi il sortit de la maison et s' engouffra dans la voiture des parents d' Hermione , persuadé que rien ne pourrait gâcher les moments si parfaits qu' il était en train de vivre Il avait tort..
Au soir, Harry avait appris beaucoup sur les parents d' Hermione. Sa mère, Diane, était fille unique et raffolait des lis qu' Harry lui avait offerts. Son père, Sandro, était d' origine Espagnole et était passionné de chevaux. Il avaient touts deux beaucoup entendu parler d' Harry, et , à cette déclaration, Hermione rougit jusqu'à la racine des cheveux. La maison dans laquelle ils vivaient tous les trois était très chaleureuse, bien que minuscule. Les parents d' Hermione avaient leur cabinet de dentiste au premier étage, et les deux derniers étaient consacrés à la petite famille. Hermione saisit Harry par le bras, et l' entraîna dans sa chambre, qui , à la grande joie de ce dernier, se trouvait juste à côté de celle de la jeune fille. Après lui avoir raconté tout ce qu' il avait appris pendant l' été, il lui posa enfin la question qu' il avait voulu lui poser pendant près de cinq heures.
- Et dis-moi, avec Viktor, heu. vous êtes toujours ...proches.. je me trompe, fit- il avec un sourire forcé.
L' expression d' Hermione, détendue jusqu'à présent, se métamorphosa subitement . Elle était maintenant tendue, comme lorsqu'on est prêt à avouer quelque chose qui depuis longtemps était resté secret.
- Hé bien, en fait, ça n' a jamais vraiment été sérieux. Je ne l'ai jamais réellement aimé. C' était , hé bien en fait, c' était
- C' était quoi ? lui demanda Harry, voyant qu' elle rougissait à nouveau.
- C' était pour te rendre jaloux.
Si Harry s' attendait à une réponse quelconque, cela n' était sûrement pas à celle là. Il ouvrit tout d' abord la bouche, pour répondre quelque chose, mais , s' abandonnant à ses envies, il s' approcha doucement d' Hermione, sentant son souffle sur sa peau, et posa ses lèvres sur les siennes, se mêlant à la seule fille qu' il avait jamais aimée, pleurant intérieurement de joie, comme lorsqu' un rêve se réalise. Il sentait ses lèvres sucrées comme si ce fussent les siennes, les adorant , les vénérant sans fin . Hermione prit sa main, et la posa sur elle, continuant à se mêler au jeune garçon comme elle l' avait toujours voulu. Harry, perdu dans un brouillard épais de bonheur glissa sa main à l' avant de la fine chemise de toile que portait Hermione sentant qu' elle l' invitait à la découvrir, à la connaître, à l' aimer. Il déboutonna un a un ses boutons en sentant chaque membre de son corps brûler un peu plus , à chaque fois que lui même découvrait la splendeur de cette fille qu' il avait si longtemps négligée. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Harry sentit comme un déchirement. Mais cette brève interruption suffit pour qu' ils puissent enfiler les cristaux et refermer la porte. Après quoi , Hermione se coucha sur le lit, attirant Harry à elle, folle , elle aussi d' un désir incontrôlable, elle caressa sa poitrine nue , il fit de même, et leurs corps se mêlèrent, ne comprenant pas comment une telle chose put arriver . Et pendant un instant qui leur parut encore plus magique que tout ce qu' ils avaient pu voir jusqu'à présent, ils ne firent plus qu' un , visitant l' autre continuellement à la recherche de nouvelles saveurs , de nouvelles sensations, se connaissant plus petit à petit.
Le lendemain matin, Harry se réveilla de bonne heure, sentant le souffle chaud d' Hermione, encore endormie à côté de lui. Il lui caressa doucement le dos, se rappelant de ce qu' ils avaient vécu la veille. Elle entrouvrit les yeux, et , souriant ,elle l' embrassa tendrement.
Trois jours passèrent lorsque l' heure vint d' aller acheter leurs fournitures scolaires. Les deux adolescents se rendirent au chemin de Traverse, après avoir dit au revoir à Mr et Me Granger. En effet, les deux derniers jours des vacances, ils devaient les passer à Poudlard. Dumbledore leur avait écrit en leur disant de venir plus tôt car les test devaient avoir lieu avant le début de l' année scolaire.
Harry et Hermione avaient presque fini de faire leur achats lorsqu'ils rencontrèrent Ron chez Fleury & Bott. Ce dernier , lorsqu'il les aperçu main dans la main , éteignit son regard en un battement de cils. Lorsqu' Harry se rappela que lui aussi était amoureux d' Hermione, il ne put s' empêcher de ressentir un pincement au c?ur , car Ron avait tout de même été son meilleur amis depuis la première année qu' il avait passée à Poudlard. Il avait presque toujours été là pour lui, et lui, il n' avait rien trouvé de mieux à faire que de lui prendre la fille qu' il aimait . Néanmoins, il n' alla pas lui parler, et , après avoir acheté leurs derniers livres, Harry et Hermione allèrent louer une chambre au Chaudron Baveur.
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Bon l' est nul à chier et très court, mais je n' avais rien d' autres à faire. Si ça vous a pas trop dégoûté, envoyez vos reviews !!!
Bisous, Septra Venus !!!!!!
Ce chapitre vous apprendra ce qui va se passer Harry et Hermione.
Bisous, Septra Venus.
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Bonne nuit ...
La semaine qui suivit fila comme le vent et Harry avait hâte de se rendre chez Hermione. Non pas que Sirius, l' ennuyait, au contraire, mais ce dernier n' étais pas très présent. Il passait son temps à soigner les aurores et autres personnes qui se faisaient blesser lors des nombreux combats contre les forces du mal . Pour passer le temps, Harry avait travaillé des sorts qu' il avait trouvés dans un vieux livre de sa chambre. Ceux- ci s' avéraient être très utiles. En effet, ces sortilèges permettaient de faire disparaître des objets, de les rendre invisibles, de les transformer en liquides, ou même de les faire changer de couleur. Après s' être entraîné une bonne heure, Harry décida de faire sa valise. Il y fourra vite quelques affaires, et ne manqua pas prendre un maximum de livres concernant les animagus. Il descendit ensuite voir Sally , et lui demanda de préparer un bouquet de lis, qu' il pourrait donner aux parents d' Hermione. Quant à elle, il remonta quatre à quatre dans sa chambre, et il saisit un paquet sur son lit. Il le rangea ensuite précieusement dans sa valise, en le recouvrant d' un morceau de tissu. Il passa le reste de la journée à se balader dans les champs, où il découvrit un petit bosquet semblable à celui des Weasley. Mais penser aux Weasley lui était douloureux. Et non seulement parce qu' il s' était disputé avec Ron, mais aussi parce que cette brave famille était poursuivie par des mangemorts. Il passa encore quelques minutes à effleurer des fleurs de lis du bout des doigts, jusqu'à ce que quelqu'un l' appelle depuis la maison, le priant de rentrer. Franchissant le pas de la porte majestueuse qui donnait sur les champs, Harry vit Sirius, au fond du couloir, parlant à deux adultes , sans doute des moldus, qu' Harry n' eut aucun mal à reconnaître. C'étaient les parents d' Hermione. Sans savoir pourquoi, Harry se mit à rougir , et il se ressaisit avec les plus grandes peines du monde lorsqu' il aperçut enfin la jeune fille. Tout d' abord, Harry ne la reconnut pas, il l' avait prise pour une des nombreuses infirmières de la maison. D' ailleurs, il la regarda avec l' insistance d' un garçon lorsqu' elle passa et détourna subitement les yeux de ses parties inférieures lorsqu'il repéra ses yeux noisettes toujours aussi sévères, mais légèrement maquillés cette fois. Un sourire radieux illumina le visage de l' adolescent et il lui dit sans tarder :
- Hermione ! Tu as .. comment dire.... Heu....changé...merveilleusement changé !
Au fur et à mesure qu' il avait prononcé ces stupides mots, sa voix avait diminué, contrairement à ses joues qui étaient de plus en plus rouges. Mais il y avait de quoi. Hermione avait en effet changé, c' était le moins qu' on puisse dire. Elle avait pris des formes sublimes et son visage était survolé d' une beauté encore jamais éclore au paravent.
- Merci, répondit la jeune fille, toi aussi, dit-elle, rougissant à son tour.
Les deux amis restèrent encore quelques instants à se fixer, jusqu'à ce que Sirius les sorte de leur discours muet.
-Il est temps d' y aller , dit- il, et Harry, je dois encore te dire deux ou trois choses..
Hermione se dirigea, encore rêveuse, vers ses parents ébahis par les lieux, et Sirius tendit quelque chose , un cristal lui semblait-il, à son neveu.
-Heu, c' est .. heu, un petit quelque chose, au cas où, enfin tu vois, avec Hermione, au cas où..
Harry sourit, il avait très bien compris ce que signifiait le « au cas où « de son parrain .
- Il te suffit de le porter au cou, et si tu en veux d' autres, ils sont dans une petite boîte en verre, en haut, que tu avais sûrement remarquée..., et avec un petit sourire, il ajouta ; un cristal, un coup, puis il s' en alla vers la cage d' escalier.
Harry observa le petit cristal dans sa main, et y lit, « cripréstal » . Il sortit alors sa baguette magique et murmura « accio cripréstal » avant d' en avoir une bonne dizaine dans les mains. Après quoi il sortit de la maison et s' engouffra dans la voiture des parents d' Hermione , persuadé que rien ne pourrait gâcher les moments si parfaits qu' il était en train de vivre Il avait tort..
Au soir, Harry avait appris beaucoup sur les parents d' Hermione. Sa mère, Diane, était fille unique et raffolait des lis qu' Harry lui avait offerts. Son père, Sandro, était d' origine Espagnole et était passionné de chevaux. Il avaient touts deux beaucoup entendu parler d' Harry, et , à cette déclaration, Hermione rougit jusqu'à la racine des cheveux. La maison dans laquelle ils vivaient tous les trois était très chaleureuse, bien que minuscule. Les parents d' Hermione avaient leur cabinet de dentiste au premier étage, et les deux derniers étaient consacrés à la petite famille. Hermione saisit Harry par le bras, et l' entraîna dans sa chambre, qui , à la grande joie de ce dernier, se trouvait juste à côté de celle de la jeune fille. Après lui avoir raconté tout ce qu' il avait appris pendant l' été, il lui posa enfin la question qu' il avait voulu lui poser pendant près de cinq heures.
- Et dis-moi, avec Viktor, heu. vous êtes toujours ...proches.. je me trompe, fit- il avec un sourire forcé.
L' expression d' Hermione, détendue jusqu'à présent, se métamorphosa subitement . Elle était maintenant tendue, comme lorsqu'on est prêt à avouer quelque chose qui depuis longtemps était resté secret.
- Hé bien, en fait, ça n' a jamais vraiment été sérieux. Je ne l'ai jamais réellement aimé. C' était , hé bien en fait, c' était
- C' était quoi ? lui demanda Harry, voyant qu' elle rougissait à nouveau.
- C' était pour te rendre jaloux.
Si Harry s' attendait à une réponse quelconque, cela n' était sûrement pas à celle là. Il ouvrit tout d' abord la bouche, pour répondre quelque chose, mais , s' abandonnant à ses envies, il s' approcha doucement d' Hermione, sentant son souffle sur sa peau, et posa ses lèvres sur les siennes, se mêlant à la seule fille qu' il avait jamais aimée, pleurant intérieurement de joie, comme lorsqu' un rêve se réalise. Il sentait ses lèvres sucrées comme si ce fussent les siennes, les adorant , les vénérant sans fin . Hermione prit sa main, et la posa sur elle, continuant à se mêler au jeune garçon comme elle l' avait toujours voulu. Harry, perdu dans un brouillard épais de bonheur glissa sa main à l' avant de la fine chemise de toile que portait Hermione sentant qu' elle l' invitait à la découvrir, à la connaître, à l' aimer. Il déboutonna un a un ses boutons en sentant chaque membre de son corps brûler un peu plus , à chaque fois que lui même découvrait la splendeur de cette fille qu' il avait si longtemps négligée. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Harry sentit comme un déchirement. Mais cette brève interruption suffit pour qu' ils puissent enfiler les cristaux et refermer la porte. Après quoi , Hermione se coucha sur le lit, attirant Harry à elle, folle , elle aussi d' un désir incontrôlable, elle caressa sa poitrine nue , il fit de même, et leurs corps se mêlèrent, ne comprenant pas comment une telle chose put arriver . Et pendant un instant qui leur parut encore plus magique que tout ce qu' ils avaient pu voir jusqu'à présent, ils ne firent plus qu' un , visitant l' autre continuellement à la recherche de nouvelles saveurs , de nouvelles sensations, se connaissant plus petit à petit.
Le lendemain matin, Harry se réveilla de bonne heure, sentant le souffle chaud d' Hermione, encore endormie à côté de lui. Il lui caressa doucement le dos, se rappelant de ce qu' ils avaient vécu la veille. Elle entrouvrit les yeux, et , souriant ,elle l' embrassa tendrement.
Trois jours passèrent lorsque l' heure vint d' aller acheter leurs fournitures scolaires. Les deux adolescents se rendirent au chemin de Traverse, après avoir dit au revoir à Mr et Me Granger. En effet, les deux derniers jours des vacances, ils devaient les passer à Poudlard. Dumbledore leur avait écrit en leur disant de venir plus tôt car les test devaient avoir lieu avant le début de l' année scolaire.
Harry et Hermione avaient presque fini de faire leur achats lorsqu'ils rencontrèrent Ron chez Fleury & Bott. Ce dernier , lorsqu'il les aperçu main dans la main , éteignit son regard en un battement de cils. Lorsqu' Harry se rappela que lui aussi était amoureux d' Hermione, il ne put s' empêcher de ressentir un pincement au c?ur , car Ron avait tout de même été son meilleur amis depuis la première année qu' il avait passée à Poudlard. Il avait presque toujours été là pour lui, et lui, il n' avait rien trouvé de mieux à faire que de lui prendre la fille qu' il aimait . Néanmoins, il n' alla pas lui parler, et , après avoir acheté leurs derniers livres, Harry et Hermione allèrent louer une chambre au Chaudron Baveur.
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Bon l' est nul à chier et très court, mais je n' avais rien d' autres à faire. Si ça vous a pas trop dégoûté, envoyez vos reviews !!!
Bisous, Septra Venus !!!!!!
