Auteur : Shere Khan pour les vieux

Mail : lilou-manga@club-internet.fr

Source : Fruits basket

Titre : Je t'aime bien plus comme ça.

Chap : 5

Genre : euh..euh..Révélations, excuses, évanouissement de bishônens.OOC

Couple : on peut avoir des soupçons, mais rien de concret.

Disclaimer : On en reparlera.

Je t'aime bien plus comme ça.

Y'a personne ni rien ici.

Alors pourquoi je suis venu là ?

Bon, c'est pas grave, autant continuer la promenade, puisqu'on y est.

Oups !

Sans se casser la figure ce serait mieux..

Et d'abord c'est quoi ?

Ah..le pont.

Je songeai tout en montant dessus, ce qui me troublait dans ce pont. J'aperçois soudain une silhouette en face de moi. Reconnaissable entre milles. La tête du clan. Effrayé (la ferme),comme si j'avais pénétré un espace interdit, je m'apprête à partir en reculant, trébuche et tombe assis par terre, au pied du pont. Le derrière douloureux, je fis un geste pour me relever et réamorcer ma fuite, lorsque sa voix douce m'interromps.

-Ne part pas. Je ne vais rien te faire.

Sa voix est si basse qu'il me faudrait presque un cornet acoustique pour l'entendre. Je le regarde, stupéfait ,mais lui, ne se tourne même pas, son visage invisible dans la pénombre, obstinément tourné en face de lui. Je ne bouge toujours pas, attendant quelque chose, je ne sais pas quoi, mais attendant quelque chose. Il pencha doucement sa tête vers moi, comme un signe, et me relevant je partis le rejoindre. Je m'arrête à ses côtés, ne sachant que dire ni faire, étrangement calme malgré sa présence. Il ne dit rien durant un instant, son regard toujours caché par et perdu dans le noir.

-Yuki..murmura-t-il si doucement encore, que je dus me concentrer pour l'entendre.

Il bougea légèrement la tête de l'autre côté.

-J'ai de nombreuses choses à te dire..A commencer par de plates excuses.

Je retins ma respiration. Est-ce-qu'il va faire ce que j'attends depuis si longtemps ?

-J'ai fait pas mal de choses moches dans ma vie..je ne l'ignore pas.et j'en ai vraiment honte .C'est surtout pour Kisa que ça me fait mal d'y repenser.

. Oui, c'est vrai, la pauvre fillette s'était retrouvée à l'hôpital sous un de ses -nombreux- accès de colère.

-Je sais bien que quoi je puisse dire ça ne changera pas le cours de choses et ne m'excusera pas non plus, mais je regrette vraiment.Si je n'avais pas écoutée cette maudite.

Il s'interrompis et je pus sentir un regard furtif sur moi.

-Il faut que tu saches que..je..j'entendais.enfin, j'étais..

Voyant à quel point il peinait à le dire je lui répondis le plus doucement possible(restons sur nos gardes) :

-Je sais.

Il tourna vivement la tête vers moi ne disant rien pendant un temps. Avant de soupirer moqueuse ment.

-Je savais bien que Shiguré ne tiendrait pas sa langue.. Il se retourna de nouveau.

-Voilà qui doit achever tes pensées que je suis un fou.

-Je n'ai jamais.. !

-Je sais quand on me ment, me coupa-t-il. Par ailleurs, j'étais fou.Ca me rendait dingue cette voix qui me répétait sans cesse la même chose, encore et encore..En réalité, schizophrénie est le mot qu 'on utilise, pour ne pas faire peur aux gens. J'étais possédé.

-Possédé !?

Il hocha la tête.

-Un esprit frappeur.

-tu sais qui c'était.

Il soupira.

-Tu a vu qu'il manque un animal dans votre malédiction ?

-Oui.le coq.

-Eh bien c'était lui.n'ayant pas pu se réincarner dans l'un de vous ,il restait esprit errant..il pensait qu'on l'avait banni, trahi, lui, le chef des animaux..il voulait se venger.il m'a pris pour cible.

Il marqua une pose.

-Il restait à l'intérieur de moi, et me menaçai.sur les gens auxquels je tiens le plus.sa voix stridente était si douloureuse à attendre que je ne souhaiterai à personne de l'avoir en tête.jamais..Alors je ne voulais pas que ça arrive à ces gens là, et je supportai..sa voix peut tuer tant elle est stridente et puissante..alors j'exécutai..tout ce qu'il me demandait.j'ai dréssé sous ses directives les lois familiales.surtout celles vous concernant.j'ai fait..chacun de ses ordres.

-Il te disait..de faire du mal aux gens ?

-Oui.Et aussi qu'ils ne devaient pas s'aimer. Il ne supportait pas l'amour. Il voulait s'insinuer dans le crâne d'Hatori et le tuer.. avec sa voix... J'ai été obligé de les séparer. Je l'ai fait violemment pour être sûr qu'il ne se remettent pas ensemble.Pour que le coq n'assassine pas Hatori. J'ai fait de même pour Hatsuharu. J'ai eu encore plus peur pour lui..Ses paroles disaient des choses du genre : « ils ont désobéis aux règles que j'ai dit d'établir..bats-les ! » , « apprend lui ce que c'est que d'être insolent ! »..Et sans cesse « frappe le ! frappe frappe frappe ! »..Si bien que j'en devenais fou, et que je finissais par lui obéir, même plus conscient de ce que je faisais.Il me donnait un de ces mal de crâne..c'était insupportable..c'est comme si j'avais 40 Momiji qui me hurlaient dans les oreilles ! Je ne pus m'empêcher de sourire malgré tout à la dernière remarque, avant de repenser à..

-Et.pour..

Il se tourna face à moi. Je le regardai en face, dans ses yeux gris révélés par la lueur de la lune presque pleine. Il baissa la tête au sol.

-Pour toi ? me demanda-t-il.

-Oui ..soufflai-je.

Il garda le silence un instant, comme si ce qu'il allait dire allait lui coûter.

-Pour toi c'était le pire..murmura-t-il, il voulait sans cesse que je te batte à sang..il te détestait. Pour lui, chacun de tes gestes devait être puni.Ca me révoltait, j'essayai de me battre contre lui.Je ne voulais pas te faire ce qu'il me disait.. Mais il y'avait toujours cette menace..elle était encore plus agressive envers toi. il me disait que si je ne le faisais pas, il rentrerait dans ta tête et tuerai lentement, en prenant bien soin de te faire souffrir.Il imaginait milles stratèges pour ça..et me disait qu'il se ferai une joie de la faire si je n'exécutai pas à la demande..j'étais coincé..j'ai rusé.

En entendant ce qu'il disait je ne pouvais m'empêcher de frissonner. Alors j'étais le plus en danger ?

-Il me disait de t'enfermer dans le noir, pour te déstabiliser, et de te fouetter, pendant qu'il se reposait. Bien sûr il voulait que ce soit sur tout le corps et à sang, mais il ne me l'as pas précisé.alors j'ai fait comme tu le sais.A son réveil il était furieux, et je lui rétorquai que j'avais obéi pourtant.il se taisait, vaincu.et oubliai à chaque fois de préciser..pour chaque tortures qu'il voulait que je t'impose. Un jour seulement il y a pensé.mais je n'ai pas pu le faire, ça m'était impossible.alors il est devenu fou de rage et se mettait à hurler très fort. Je m'évanouissais, tombai malade..mais je ne le faisais toujours pas. J'ai tenu, tenu et tenu. Mais au bout de quelques années, celle-là, il a décidé de te tuer. J'ai paniqué, je ne savais pas quoi faire, alors pendant qu'il se reposait en vue de son voyage vers toi, je suis allé voir Shiguré et je lui ai tout raconté. Il m'a cru et m'a traîné dans une église pour qu'on m'exorcise. Et quand je dis traîner, c'est à traîner que je pense. Le prêtre m'a collé sur une table et m'a attaché avec des sangles, tout en psalmodiant et me faisant des tas de trucs bizarres. Je comprenais rien.Ca ressemblait plus à du SM qu'a de l'exorcisme. En plus ça marchait pas.Finalement une drôle de petite bonne femme chinoise, est entré et m'a dit de la suivre chez elle. Elle m'a appliqué une sorte de baume sur le front et je suis tombé dans les pommes. A mon réveil, Shiguré m'a fait un grand sourire et la vieille dame m'a donné un flacon ou flottait une fumée rose. Et j'ai senti, il était parti. Et il était dans ce flacon. Sous les ordres de la femme, j'ai érigé un édifice en son nom, et jeté le contenu de la bouteille au dessus de la mer. Elle m'a dit qu'ainsi, l'esprit est heureux qu'on le reconnaisse, et il ne reviendra pas.

Je le regardai d'un air apparemment bizarre, puisqu'il finit par me dire :

-Va voir. C'est là bas.

Il tendit le bras vers les profondeurs du jardin, et accessoirement, du noir. Voyant mon visage apeuré, il me prit le poignet et m'accompagna vers l'édifice. Il n'avait pas menti, un bel édifice du style Mulan pour ses ancêtres, trônait dans un coin du jardin. Nous rentrâmes et nous arrêtâmes devant la pierre de marbre rose. Il y'avait gravé un coq, magnifique, et Esprit du coq. Je me relevai de devant la pierre où je m'étais agenouillé et vis soudain une forme de fumée rose apparaître et prendre la jolie forme d'un coq aux longues plumes qui me regardait bien en face.

C'est étrange, je me sens tout bizarre..

Plus tard

J'ouvris les yeux lentement en sentant quelque chose me chatouiller le visage, pour voir le visage inquiet d'Akito penché sur moi. Ah, c'est ses deux mèches qui me chatouillaient..

-Ca va Yuki ?

-Euh.oui oui, répondis-je d'une voix pâteuse , mais qu'est ce que je fait par terre ?

-Tu t'es évanoui dans coup. Tu as bien failli te cogner la tête sur le rebord d'une marche.

-Et ?

-Je t'ai rattrapé avant que tu ne fasses un bonjour éternel au sol.

-Pas drôle.

-Jamais sur ce genre de sujet, me répondit-il placidement.

Je relevai la tête( que j'avais sur ses genoux O_o) et regardai d'un air méfiant la stèle pour voir si le coq allait pas réapparaître.

-Je l'ai vu Akito, je l'ai vu !

-Quoi ?

-Lui !

-Qui ça ?

-Tu le fais exprès ?!

-A moitié.

Mais il se fout de moi c' t 'enfoiré !

-Il était là, je te dis.

-Je te crois..laissons le. Tu es venu le voir, et pour lui c'est une sorte d'hommage. Tu ne crains rien. Plus rien.

-Tu en est sûr ?demandai-je craintivement.

-Oui. Allez, relève toi avant que les autres ne remarquent notre disparition et pensent que je t'ai enlevé pour aller te violer dans un coin.

-Akito.

-Quoi ? Tu crois qu'il le penserait pas ? Ils croient que je t'ai fait tout ça intentionnellement..

-...

-Je n'ai jamais voulu te faire tout ça..j'ai fait tout mon possible pour éviter les catastrophes..même si.parfois je n'y arrivais pas..j'ai conscience qu'on me déteste..

-Akito..

-Mais j'arrivais à tenir...grâce à ma grand mère et..

Il me regarda un instant.

-Peu importe.

Il se releva et m'aida à me remettre debout.

-Je veux juste que tu saches que je suis vraiment, vraiment désolé, même si je doute que tu ne puisse ne pas m'en vouloir. Il s'avança pour partir.

Je l'ai détesté.pire même ..haïs..j'étais effrayé en sa présence et l'évitai .si j'avais su.

-Akito !

Il se retourna, surpris.

-Je ne peux pas t'en vouloir..plus maintenant..je ne te cache pas que je t'ai haïs, mais.je ne savais pas. Tout se que je voyais, c'est que j'avais mal, et peur. Je ne sais pas si je pourrai te pardonner entièrement, mais..je pense que c'est faisable. Si tu arrives à me prouver que tu n'es pas l'homme que j'ai connu toute mon enfance.

Il resta silencieux un moment avant de dire d'un murmure à peine audible :

-Je te le promets.

-Alors ça va ! répondis-je avant de lui sourire.

Il me renvoya un pauvre sourire, et regarda en direction des lumières .

-Il vaudrait mieux qu'on y aille..Tu viens ou je te laisse dans le noir ?

En marchant à ses côtés, j'ai l'impression de découvrir quelqu'un.Et j'en suis plutôt content !

...

Quoi ?

-Eh ! cria Shiguré en nous faisant un grand signe.

Nous nous dirigeâmes vers le bouffon peu discret, m'attirant des regard hallucinés tout le long de mon chemin, qui me parut interminable. Shiguré se pencha vers Akito..

-J'espère que tu n'as rien fait à Yuki.

..s'attirant un regard noir de la part du brun.

J'entendis tout d'un coup une horde de filles s'extasier et chuchoter à toute vitesse, mais n'y prêta guère attention. Quelques questions me restaient encore au sujet d'Akito, mais les considérant plutôt bénignes, je décidai de les remettre à plus tard. Shiguré sembla regarder tout à coup quelque chose avec intérêt derrière nous.

-Coucou mon petit Akito-chan !!lanca une voix enjouée, et plutôt.sensuelle.

Nous nous retournâmes au quart de tour, pour découvrir un beau jeune homme, d'a peu près l'âge de Shiguré nous faire un grand sourire charmeur.

Je me tournai vers mon chef de clan, pour voir une expression d'horreur intense se dessiner sur son visage.

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH !!!!! hurla-t-il.

L'assemblée sursauta.

Akito tomba dans les pommes.

J'eu un sursaut et me précipitai pour le rattraper avant qu'il ne rencontre le sol.

Chacun son tour visiblement.

Le lendemain matin

Je me réveille tout doucement( tel une fleur) et ouvre les paupières. Ma chambre est baignée de lumière( je n'ai pas eu la force de fermer mes volets hier soir) et je me redresse lentement sur mon oreiller, encore un peu dans le gaz. Il fait beau. Un beau ciel bleu sans nuages et un nuage radieux( c'est, une belle journée.) s'offre ma vision, m'arrachant un sourire. Je me demande si Akito va mieux.. Quand je suis parti il n'avait même pas repris connaissance. Je m'habillai rapidement et descendis en vitesse..me prenant Tohru de plein fouet. Et merdeuuuuuh..

Kyo

-Vous croyez qu'il est assommé quelque part ?

-Kyô.me réprimanda Shiguré. Et ne souris pas comme ça. Sadique.

-Oh ! Soma ! Je suis désolée ! Où êtes vous ?paniqua Tohru.

Je résume pour vous :

Yuki, après s'être réveillé tel une fleur, à descendu l'escalier de sa démarche princière accélérée et à percuté tragiquement un de ses sujets , et s'est retrouvé transformé en un horrible rat ! Le sujet était-il une sorcière ? Heum, soyons sérieux. Non en vrai, Yuki à descendu les escaliers en vitesse et s'est pris Tohru qui passait, ce qui bien évidemment a déclenché sa transformation. Et depuis on l'a perdu . Baka Nezumi..

-Yuki Yuki Yuki ! Où es-tu?

-Kyô.

-d'accord d'accord.

J'apperçois tout d'un coup un éclair gris, minuscule dévaler dehors poursuivis par un..chat.

Oups.

-Minou minou ! viens là ! J'ai du bon poisson ! laisse le Nezumi, laisse !

Et voilà. Je me retrouve à courir après un chat pour l'empêcher d'attraper une souris. Non mais regardez ce qu'est devenu ma vie !

-BAKA NEKO ! VIENS ICI !! m'énervai-je. ..

Hmm.. Yuki ma lanca un regard narquois de là où il s'était caché pour être hors de portée du chat.

-Toi la ferme ! Je suis en position de pouvoir t'écraser à coup de talon ! Alors mets-toi à carreau !

Yuki

-J'y vais rapidement j'ai des choses à faire, dis-je en me rhabillant, je suis déjà en retard.

-Tu m'étonnes..

-Le ferme.

-ne prenez pas froid !

-N'aie crainte Tohru..A plus tard !

Je partis en vitesse jusqu'à notre résidence et n'attendis pas la permission d'Hatori pour rentrer.

-Oui...bonjour Yuki..bien sûr que tu peux rentrer .

-Epargne moi tes sarcasmes Hatori. Comment va Akito ?

-Bien sûr que je vais bien, c'est gentil de demander.

Voyant le regard peu amène que je lui lançai, il soupira et me répondit :

-Dans sa chambre. Toujours pas réveillé.

J'hochai la tête et partit en direction de la chambre de la tête du clan.

-En silence alors ! me lança le médecin.

J'ouvris la porte en silence et scruta la pénombre en silence. Seule la fenêtre est ouverte, diffusant à peine une pâle lumière. Y'a rien qui bouge. J'avance encore un peu, plus silencieux qu'un abruti de chat en tentant toujours de voir quelque chose.

-C'est bon, je ne dors pas.

J'eus un sursaut et un petit cri d'effroi. C'est là que je distingue enfin la mince silhouette se relever et se découper dans la lumière du contre jour. Il devait être affalé, comme il sait si bien le faire.

-Tu veux quelque chose ?

Son ton neutre me surpris quelque peu, lui qui me parlait hier encore avec tant de...de j'en sais rien quoi.

-Juste, savoir, si.tu va bien..

-Mieux. Mais pas bien.

Il s'avança lentement vers son lit et s' y allongea/affala avant de tapoter à ses côté d'en un signe que s'y vous ne comprenez pas, c'est que vous êtes lent d'esprit. Je m'installai à ses côtés et prit un temps avant de lui demander :

-Pourquoi...T'es tu évanoui en voyant ce garçon ?

Il ne me répondit pas. De plus, son bras, posé en travers de son visage, m'empêchait de voir quelconque émotion qui pourrait traverser son visage. Je me risquais à poser une autre question.

-Et...Qui était-ce ?

Il se releva et me regarda droit dans les yeux, me laissant plonger dans son océan gris vert.

-Mon frère.

A suivre

Lorenzo : Très bonne excuse que tu as trouvé là...

Shere : N'est-il pas ?

Lorenzo : Frappe frappe frappe...Akito sado ?

Shere : Visiblement. Dieu qu'il est humain là dedans..Enfin, on est entré dans le commencement de tout..l'élément perturbateur est arrivé.

Kyô : Il à PAS de frère.

Shere : Et toi t'as une grande gueule..

Lorenzo : Moi je le trouve toujours tordu..

Shere :...

Lorenzo : Oh non...

Kyô*format PPDA version jeune et beau gosse* : Et pour finir la guerre entre l'Italie et..euh..disons la France, prend une position beaucoup plus..charnelle..My god..

Lorenzo : Je finis tous les chapitres comme ça ?!

Des commentaires pitiiééééééé... !!!!!!