Chapitre huit : Pourquoi?
Alors qu'il pleurait encore sur le corps de Sarah, il sentit une main qui lui touchait son épaule droite. Il leva les yeux et vit que Sarah bougeait! Elle avait recommencé à respirer par elle-même! En un éclair, Jareth la ramena au château où il demanda un docteur.
Le docteur n'en revenait absolument pas que Sarah soit encore vivante malgré toutes les blessures qui lui ont été infligées. Elle a eu un saignement intracrânien, ce qui fait que la pression dans sa tête avait énormément augmenté, provoquant un arrêt cardio-respiratoire. Il est relevait du miracle qu'elle ait survécue. Jareth pouvait maintenant utiliser sa magie pour la guérir, étant donné que ses blessures étaient maintenant superficielles. Il commença le traitement pour aider Sarah à guérir. Malgré cela, elle était incroyablement faible. Elle ne reprenait pas ses forces rapidement, ce qui est normal après ce qu'elle a vécu.
Jareth était assis dans son trône et attendait que Sarah se sente mieux. Il n'attendait que cela. Il s'en voulait tellement. Il commençait à désespérer car même si cela faisait deux semaines, Sarah ne guérissait pas aussi vite qu'espéré. Il entendit un bruit venant du corridor qui donnait sur la salle où il était. Il vit apparaître Sarah dans la porte. Il courut à sa rencontre. Ils se faisaient face. « Jareth pourquoi tu m'as fait ça? » « Je ne sais pas Sarah! En t'amenant dans le labyrinthe, je voulais que tu te rendes compte que tu m'aimes. Chose qui ne doit plus être vrai. Je savais que tu t'ennuyais de moi. Tu rêvais souvent à moi, sans même que j'aille à provoquer ces rêves. Tu pensais à moi. Je m'ennuyais tellement de toi, et je voulais tellement que tu m'aimes que tu fasses partis de ma vie à nouveau! » Il dit cette phrase en tremblant, car il savait qu'il avait été trop loin. Il allait la perdre pour toujours. « Jareth, regarde-moi. Tu n'avais pas à me faire subir cela. Tu as vu comment j'ai bien réagis dans le rêve que tu avais créé pour m'amadouer. J'aimais cela quand tu étais doux et gentil avec moi. C'est tout ce que je demandais. Je savais que je t'aimais et en voici la preuve : j'ai souhaité que tu viennes me chercher en prononçant la formule. Je savais que je n'allais probablement jamais revenir dans mon monde, mais je l'ai fait quand même car je t'aime assez pour cela. » « Oh....Sarah, je ne sais pas quoi dire ni faire....je.... » Sur ce, Jareth éclata en sanglot.
Sarah n'avait jamais vu Jareth pleurer devant elle et elle vit qu'il avait énormément de peine. Elle ne put résister et le serra dans ses bras. Jareth, surpris, se laissa faire. Il se pencha et lui donna un bec sur le front. Sarah, qui se sentait mieux, dit à Jareth : « Viens avec moi ». Elle l'entraîna dans sa chambre, se coucha sur le lit et invita Jareth à faire de même. Il se demandait ce qui allait se passer. Sarah lui dit tout simplement : « Jareth montre-moi que tu peux être une bonne personne et je vais t'aimer aussi fort et aussi longtemps que je peux. » Sur ce, ils passèrent la nuit à parler. Il s'endormirent enlacés, sachant très bien que cette nuit n'allait pas être la première, ni la dernière, qu'ils allaient passer ensemble.
Alors qu'il pleurait encore sur le corps de Sarah, il sentit une main qui lui touchait son épaule droite. Il leva les yeux et vit que Sarah bougeait! Elle avait recommencé à respirer par elle-même! En un éclair, Jareth la ramena au château où il demanda un docteur.
Le docteur n'en revenait absolument pas que Sarah soit encore vivante malgré toutes les blessures qui lui ont été infligées. Elle a eu un saignement intracrânien, ce qui fait que la pression dans sa tête avait énormément augmenté, provoquant un arrêt cardio-respiratoire. Il est relevait du miracle qu'elle ait survécue. Jareth pouvait maintenant utiliser sa magie pour la guérir, étant donné que ses blessures étaient maintenant superficielles. Il commença le traitement pour aider Sarah à guérir. Malgré cela, elle était incroyablement faible. Elle ne reprenait pas ses forces rapidement, ce qui est normal après ce qu'elle a vécu.
Jareth était assis dans son trône et attendait que Sarah se sente mieux. Il n'attendait que cela. Il s'en voulait tellement. Il commençait à désespérer car même si cela faisait deux semaines, Sarah ne guérissait pas aussi vite qu'espéré. Il entendit un bruit venant du corridor qui donnait sur la salle où il était. Il vit apparaître Sarah dans la porte. Il courut à sa rencontre. Ils se faisaient face. « Jareth pourquoi tu m'as fait ça? » « Je ne sais pas Sarah! En t'amenant dans le labyrinthe, je voulais que tu te rendes compte que tu m'aimes. Chose qui ne doit plus être vrai. Je savais que tu t'ennuyais de moi. Tu rêvais souvent à moi, sans même que j'aille à provoquer ces rêves. Tu pensais à moi. Je m'ennuyais tellement de toi, et je voulais tellement que tu m'aimes que tu fasses partis de ma vie à nouveau! » Il dit cette phrase en tremblant, car il savait qu'il avait été trop loin. Il allait la perdre pour toujours. « Jareth, regarde-moi. Tu n'avais pas à me faire subir cela. Tu as vu comment j'ai bien réagis dans le rêve que tu avais créé pour m'amadouer. J'aimais cela quand tu étais doux et gentil avec moi. C'est tout ce que je demandais. Je savais que je t'aimais et en voici la preuve : j'ai souhaité que tu viennes me chercher en prononçant la formule. Je savais que je n'allais probablement jamais revenir dans mon monde, mais je l'ai fait quand même car je t'aime assez pour cela. » « Oh....Sarah, je ne sais pas quoi dire ni faire....je.... » Sur ce, Jareth éclata en sanglot.
Sarah n'avait jamais vu Jareth pleurer devant elle et elle vit qu'il avait énormément de peine. Elle ne put résister et le serra dans ses bras. Jareth, surpris, se laissa faire. Il se pencha et lui donna un bec sur le front. Sarah, qui se sentait mieux, dit à Jareth : « Viens avec moi ». Elle l'entraîna dans sa chambre, se coucha sur le lit et invita Jareth à faire de même. Il se demandait ce qui allait se passer. Sarah lui dit tout simplement : « Jareth montre-moi que tu peux être une bonne personne et je vais t'aimer aussi fort et aussi longtemps que je peux. » Sur ce, ils passèrent la nuit à parler. Il s'endormirent enlacés, sachant très bien que cette nuit n'allait pas être la première, ni la dernière, qu'ils allaient passer ensemble.
