Et voilà le dernier Chapitre… J'espères que ça vous a plu… mais pour plus drôle encore, je vais sûrement en éditer un autre fait il y a un an et demi par moi et mon amie… vraiment, là, s'en est décourageant… bref. Je suis aussi au travail d'une fic sur Lily et James Potter… toujours aussi romantique.. aaah….
Bref. Donnez moi vos commentaires, ça m'encourages !
@+ !
Marie-Eve
L'aveu
Pendant le séjour de Shaolan chez Sakura, ils apprirent tous deux à se connaître de mieux en mieux. Kero en était jaloux. Il était constamment mis à part mais avec raison. Ce dernier n'arrêtait pas de critiquer Shaolan sans raisons et devant lui. Cela mettait Sakura en colère.
Bref, tout allait bien à part ce détail, de plus que Shaolan s'était totalement remis de ses 'blessures'. Il était temps pour lui de retourner chez soi et cela le désolait car il adorait la compagnie de Sakura et l'aimait plus que tout.
Ceci dit, il n'en avait jamais fait part à personne, sauf à Tomoyo…
-Ding Dong !
s : Oui ? Oh ! Tomoyo ! entre, je t'en prie !
t : Bonjour ma chérie ! Comment vas notre blessé ?
s : oh, très bien , même de mieux en mieux, je dois dire !
t : je vois… Tiens ! Je vous ai apporté un gâteau et ma compagnie, étant donné que ta famille ne reviens que dans quelques jours…
k : DES GÂTEAUXXX ! ! ! ! !
t : hi hi… sacré Kero…
sh : Oh ! bonjour Tomoyo… Excuses moi, je sors de la douche.
t : ça vas, je te remercie …
s : allez vous installer dans le salon, je vais faire du thé.
Au salon…
sh : euh, Tomoyo …
t : oui ?
sh : j'ai… hm… j'ai un problème…et je crois que tu peux m'aider…
t : ah bon… ?
sh : oui, hm…euh… je suis amoureux de Sakura et…
t : OH ! excuses moi… donc tu ne sais pas comment lui avouer, c'est ça ?…
sh : oui, c'est ça…
t : Mon cher Li…Tu sais, Sakura est une fille formidable et je suis sûre qu'elle le prendra peu importe l'endroit, le moment et la manière dont tu lui avouera. Fais moi confiance…
sh : Je te remercie … et il rougit.
s : me voici !
sh, t et k : ohhhh !
Sakura avait non seulement ramené le thé mais s'était vêtue tout autrement, car elle était encore en pyjama à l'arrivée de Tomoyo. Elle portait une robe à jupon noire accompagné d'un tablier blanc et d'une cornette de même couleur.
Shaolan et même Kero en rougirent.
Durant le goûter, Lionel ne parla presque pas. Il était constamment rouge et en avait même chaud. Plus tard, Tomoyo aida Sakura et Lionel à faire les bagages de celui-ci .Il était maintenant en pleine forme et sa maison réparée.
s : tu est sûr de devoir partir ?
sh : oui, certain…
s :ohh…comme c'est dommage… Mais je ne te laisserai tout de même pas emmener tout tes bagages tout seul !
sh : hihi…je te remercie… et ils se sourirent.
sh : Tu veux quelque chose à boire ? Je te dois bien ça après tout les services que tu m'a rendus… et il lui sourit.
s : n… non merci, rougit cette dernière en se rappelant qu'elle ressentait quelque chose pour Shaolan.
Ils étaient assis l'un en face de l'autre sur les sofas du salon et pensaient à ce qu'ils allaient se dire. Mais cette fois, Sakura prit vraiment conscience de ce qu'elle ressentait pour celui qui la dévisageait, se remémora ce combat final contre Eriol qu'elle avait gagné grâce à LUI, celui qui la contemple en silence depuis toutes ces années et qui reste fidèle à tout ses appels, la soutenant dans tout ce qu'elle entreprends. Elle l'aime… Oui, elle a trouvé la raison de toutes ces appréhensions nouvelles, de ces sentiments nouveaux. Elle aura dorénavant un regard neuf sur la vie qui l'entoure.
C'est le moment idéal.
s et sh : tu…
sh : hm… euh… tu voudrais bien aller au parc avec moi ? Il fait chaud, tu ne trouves pas ?
s : Mh, oui, c'est vrai, hihi ! Je veux bien…
Au parc, il s'assied sur des balançoires. Chacun ne sait par quoi commencer, alors ils ferment les yeux et prononcent leur verdict ensembles…
s :Shaolan, je ne sais comment te dire… sh : Sakura, je ne sais comment te dire..
mais… mais…
Je suis amoureuse de toi… Je suis amoureux de toi…
JE T'AIMES, SHAOLAN ! JE T'AIME, SAKURA !
Et ils ouvrirent leurs yeux en même temps
s'élancèrent et se serrèrent l'un contre l'autre
tels des amants séparés depuis toujours,
depuis trop longtemps…
Ils avaient douze ans et s'étaient redécouverts l'un l'autre, comme des enfants à la fleur de leur âge, des enfants qui n'en étaient plus mais qui gardèrent ce souvenir jusqu'à la fin des temps…
FIN