DEDICACES

Et bien j'ai pas trop de dédicaces à faire... Je remercie mahée qui est venue faire un petit tour ici et je souhaite de tout c?ur que ma mère revienne vite des course pour que je puisse prendre mon goûter !!! LOL Ben oui quoi il est déjà 17h15 et j'ai pas encore pris mon goûter, c'est pas juste ! Ce moment de la journée est le plus important car c'est là où on peut s'engraisser ! LOL Bon j'arrête avec mes conneries...

Sfavillante.

Chapitre 3 : Etrange

Au dîner, ils eurent un festin! Molly avait préparé divers petits plats. Harry se resservit plusieurs fois de pâté en croûte, de pommes de terre et de salade. Ils parlèrent de tout et de rien. Lorsque le repas fut terminé, chacun monta dans sa chambre. En entrant dans la chambre, Harry aperçut un hibou à la fenêtre. Il l'ouvrit et le hibou s'engouffra dans la pièce pour se poser sur son lit. Il referma la fenêtre et rejoignit Ron qui avait déjà pris la lettre. Celui-ci la lue à voix haute :

« Chers Ron et Harry, j'ai appris par Dumbledore que tu étais là Harry et que tu étais partit sans le consentement de ton oncle. Tu n'aurais pas dû faire ça, même s'ils ne sont pas toujours agréables avec toi, ils doivent s'inquiéter... »

-Elle veut dire qu'ils ne sont jamais agréables et eux, s'inquiéter pour moi est carrément impossible !, ironisa Harry.

« ...J'espère que vous vous amusez bien et que vous n'oubliez tout de même pas de faire vos devoirs de vacances et de réviser car cette année nous allons passer nos BUSE ! Ron, j'espère que ton père n'a pas trop de travail au ministère avec le retour de Vous-Savez- Qui ! Amitié, Hermione. »

-Tu as vu ça Harry, elle pense déjà aux BUSE alors que l'année n'a même pas encore commencé!,s'exclama Ron.

-Mmmm.....

-Qu'est-ce que tu as, Harry?, s'inquiéta Ron.

-Ton père t'a dit s'ils avaient des nouvelles de Voldemort ?

Ron frissonna en entendant le nom du mage noir.

-Il m'a dit qu'ils faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour éviter les accidents mais qu'il n'y avait pas encore eu de morts.

-Mmmm...

-Harry, je déteste quand tu fais ça !!

-Quand je fais quoi ?, s'étonna Harry, retiré de ses pensées par son ami.

-Quand tu réponds par un « mmm... ». Je sais que tu penses à quelque chose, alors dis le moi ! Après tout, je suis ton meilleur ami, non ?

-Oui bien sur mais je préfère garder ça pour moi, si tu veux bien.

-Mais...

-On devrait se coucher, demain nous devons faire notre devoir de divination., coupa Harry.

-Mouai, t'as raison., grommela Ron.

Ils se couchèrent sans même se souhaiter bonne nuit. Ron dormait déjà depuis longtemps lorsqu' Harry s'endormit. Il fit le même cauchemar qu'il avait fait la nuit de son anniversaire. Il se trouvait dans un cimetière avec Cedric Diggory. Peter Pettigrow s'approchait, portant quelque chose dans les bras qu'il posa sur une tombe. Soudain Harry se tordit de douleur. Sa cicatrice allait exploser. Il lâcha sa baguette et prit sa tête dans ses mains. Il avait l'impression que sa tête allait se fendre en deux. Une voix aiguë et glaciale s'éleva du tas posé sur la tombe et ordonna à Peter de tuer Cedric. Celui-ci lança « Avada Kedavra » avant que Cedric puisse comprendre ce qui lui arrivait et dans un bruit sourd, il tomba sur le sol.

-Nonnnnnnn!!!

Harry se réveilla en sursaut et réveilla tout le monde. Avant que Ron est pu dire un mot, la porte s'ouvrit et tous les autres membres de la famille déboulèrent dans la chambre et les questions fusèrent :

-Qu'est-ce qui se passe ?, s'exclamèrent- ils.

-Qui a crié ?, demandèrent Fred et George d'une même voix.

-Harry que s'est-il passé ?, s'inquiéta

-Pourquoi as-tu crié ?, demanda M. Weasley.

Harry était submergé par les questions et elles le sonnèrent.

Harry ouvrit les yeux, il était allongé sur son lit et il entendait Molly et Arthur Weasley :

-J'ai prévenu Dumbledore ce matin par hiboux express., dit Arthur.

-Je me demande bien ce qui a bien pu se passer ? Pourquoi s'est-il évanouit ?

-On le saura lorsqu'il se réveillera et qu'il sera près à en parler. Il ne faudra rien demander avant. J'espère que je pourrai compter sur vous ?

-Oui chérie. Je vais immédiatement prévenir les enfants.

Molly descendit les escaliers tandis que M. Weasley s'approchait d'Harry. Il s'aperçut que celui-ci était éveillé :

-Tu te sens mieux Harry ?

-Oui mais j'ai encore mal à la tête.

-Très bien... Tu veux encore te reposer ou tu préfères nous rejoindre dans la cuisine? C'est comme tu veux.

-Merci mais je préfère rester ici.

-Pas de problème. Tu veux que je t'apporte quelque chose ?

-Oui volontiers, j'ai très faim et j'aimerais que Ron monte me tenir compagnie, s'il accepte.

M.Weasley sortit de la chambre et quelques minutes plus tard, Ron entra apportant le repas sur un plateau. Ron le déposa et s'assit à côté de lui. Pendant qu'Harry mangeait, Ron ne sut pas quoi dire.

-Alors...,quand tu te sentiras mieux on fera notre devoir de divination ?

-C'est comme ça depuis le début des vacances....., répondit Harry avec la bouche pleine.

-Je te demande pardon ?, s'étonna Ron.

-Je fais toujours le même cauchemar. Je revis les derniers instants où Cedric était encore vivant.... Le cimetière, Peter Pettigrow, la voix de Voldemort, ma cicatrice, Cedric mort et puis...je me réveille en sueur.

-Harry.....

-Je n'arrive plus à dormir, j'ai besoin de parler. Mais seulement 3 de ces personnes ne sont plus de ce monde et la dernière doit avoir envie de parler avec n'importe qui, tant que ce n'est pas moi.

Ron ne savait pas quoi faire face aux paroles de son ami. Mais se fut Harry qui parla le premier.

-Et si on faisait une partie d'échecs ? -Co...comment ?

-Une partie d'échecs., répéta-t-il.

-Oui, avec grand plaisir.

Ils étaient à leurs troisièmes partis lorsqu'un hibou marron clair volait devant la fenêtre. Ron se leva et ouvrit la fenêtre. C'était le même hibou qui était venu lui apporter la lettre e son parrain. Il libéra le hibou de son courrier et la lue pour lui seul :

« Harry, Dumbledore m'a dit que ce matin il s'était passé une chose étrange. J'espère que tout va bien et que si tu veux en parler je suis là pour ça. Après tout je suis ton parrain. Je m'inquiète beaucoup pour ta santé et ton moral. Je ne voudrais pas qu'il t'arrive quelque chose, tu es la seule famille qui me reste et je t'aime plus que tout. Sirius. »

Harry avait les larmes aux yeux et son ami qui l'avait remarqué lui demanda de qui était la lettre :

-C'est Sirius, il s'inquiète pour moi et il dit que je suis la personne qui compte le plus pour lui.

-Tu devrais peut-être lui répondre., suggéra Ron.

-Oui, c'est ce que je vais faire.

Il prit un parchemin et écrivit :

« Chère parrain, je vais mieux et ta lettre m'a beaucoup touché. Je ne pensais pas que je comptais autant pour toi. En tout cas saches que c'est réciproque. Merci pour ta proposition mais je ne souhaite pas t'en parler, tu t'inquièterais trop pour moi et je ne veux pas que tu risques ta vie pour moi. Je ne supporterai pas un mort de plus dans mes proches. Harry.»

Il envoya le hibou marron clair qui était resté là, à Sirius. A 2h de matin, Harry ne dormait toujours pas. Il en profita pour examiner plus attentivement le médaillon. Il chercha le moyen de communiquer avec Sirius à l'aide de ce médaillon. Peut-être fallait-il penser très fort à son destinataire ? Peut-être fallait-il appuyer sur la boule correspondant à la personne choisit ? Ou alors fallait-il prononcer une formule magique ? Rien de tout ce qu'il avait essayé ne fonctionna. Il se résigna et repris le livre des fondateurs. Pour la première fois, Harry lut l'histoire de Godric Gryffondor.

« Godric était le plus vaillant des quatre fondateurs et était toujours prêt à se battre pour défendre ses amis. C'était un animagus, il pouvait se transformer en phénix. Sa baguette mesurait 27,5 cm, elle était souple et puissante, en bois de saule et contenait une plume de phénix. Et d'après une légende, il avait créé une confrérie mais jamais personne ne l'a découverte donc nous supposons qu'elle n'a jamais existé. »

Harry s'arrêta de lire. Godric aurait créé une confrérie tout comme son père. Il lut et relut plusieurs fois le texte. Il nota que lui aussi avait une plume de phénix dans sa baguette. Il lui vint une idée, et posa le bout de sa baguette sur le médaillon. Il entendit résonner dans sa tête la voix de son parrain en pleine discussion avec Remus. Harry se mit à parler tout bas pour ne pas réveiller Ron. A cet instant les voix cessèrent et Harry dit bonsoir aux deux confrères :

-Harry ?,s'étonna Sirius.

-Oui c'est moi. Mais comment as-tu trouvé ?

-Eh bien en.....en me creusant la tête !, mentit-il à moitié. Il ne voulait pas révéler sa possession d'un tel livre.

-Harry tu m'étonneras toujours ! Mais attends une seconde..., tu es où là ?

-Ben dans la chambre de Ron.

-Quoi ?! Imagine s'il se réveille et qu'il te voit parler avec le médaillon dans les mains !, s'exclama Sirius. Personne ne doit le voir !!

-Ne t'inquiètes pas, je sais ce que je fais., dit Harry en tentant de le rassurer. Sinon vous deux ça va ?

-Oui Harry, merci de le demander., répondit Remus d'une voix calme.

-C'est plutôt à toi que l'on devrait demander ça !, reprit Sirius, toujours inquiet pour son filleul.

-Je vais bien. Je te l'ai déjà dit dans la lettre...Au fait, tu l'as reçu ?

-Hein ?.........Euh, oui.

-Bon je vais vous laisser car à ce train là, on va finir par s'énerver. Au revoir Sirius, au revoir professeur Lupin.

Harry lâcha le médaillon et rangea sa baguette dans sa valise. Il était bientôt 4h. Il s'allongea sur son lit et ferma les yeux. Le sommeil ne venait pas à lui et au bout de 2h, il en eut assez et se leva. Personne ne devait être debout à cette heure ci. Harry prit son balais et descendit sans faire de bruit. Il alla sur un terrain où personne ne pourrait le voir. Il enfourcha son Eclair de Feu et s'envola. Il ressentit un profond soulagement lorsque la brise vint lui caresser le visage et oublia tout ce qui avait bien pu le tracasser. Il s'entraîna à faire la feinte de Wronski et à faire des accélérations de 0 à 240 km/h en 10 secondes. Au bout de 2h, Harry revint au Terrier et en entrant dans la cuisine , il fut surpris de voir Dumbledore :

-Professeur !?

Tout le monde se retourna.

-Oui Harry, c'est moi., répondit-il de sa voix paisible et chaleureuse.

-Où étais-tu, on t'a cherché partout ?!, s'exclama mme Weasley.

-J'étais partit me changer les idées.

-Tu te rends compte de la peur que tu nous as faite !!, reprit-elle.

-COMBIEN DE FOIS DEVRAIS-JE REPETER QU'IL NE FAUT PAS S'INQUIETER POUR MOI ?! JE VAIS TRES BIEN ! CE N'EST PAS PARCE QUE JE ME REVEILLE EN SURSAUT QUE JE NE SAIS PLUS CE QUE JE DOIS FAIRE !!!, s'insurgea-t-il.

Et il monta dans sa chambre en courant. Quelques minutes plus tard, il se rendit compte du ton qu'il avait prit face à Molly. Elle ne lui avait rien fait, au contraire. Mais trop de personnes s'inquiétaient pour lui et cette fois-ci fut celle de trop. Et malheureusement s'était tombé sur Molly. Il redescendit dans la cuisine où Dumbledore, Ron et, M. et Mme Wealsey s'y trouvaient encore. Il se tournèrent tous vers Harry.

-Euh...je m'excuse pour tout à l'heure. Je...je ne voulais pas...mais...

-Harry, ne t'en fais pas, c'est déjà oublié., répondit mme Weasley en lui adressant un sourire.

-Puis-je te parler Harry ?, intervint Dumbledore.

-Euh oui, bien sur.

Ils sortirent dans le jardin et marchèrent quelques temps avant que le directeur prenne la parole :

-Harry, si tu veux me parler je serais toujours disposé à t'écouter, saches- le.

-Merci professeur, mais cette fois-ci ce n'est pas à vous que je dois en parler, s'en vous offenser.

-Je comprends Harry. Bon, je vais repartir., conclut-il.

-Professeur... Vous êtes venu ici juste pour ça ?, demanda Harry.

-Non en effet, je devais parler à Arthur.

-Et de quoi ?

-Tu le sauras à Poudlard, Harry.

Ils revinrent dans la cuisine et Dumbledore partit juste après. Harry était pensif ; décidément il apprendrait beaucoup de choses à Poudlard cette année. La fin des vacances passa très vite. Ron et Harry s'amusèrent à inventer toutes sortes de malheurs pour leurs devoirs de divination et passèrent le reste de leur temps sur leurs balais.