Chapitre 1 : Un anniversaire pas comme les autres :
- Quelle rue ?
- Privet Drive.
- Numéro ?
- 6.
- Vous avez le parchemin ?
- Oui, je l'ai.
- Parfait. Allons-y.
Un petit groupe de sorcières - dont on ne pouvait distinguer le visage - arrivèrent au coin de Privet Drive. Vêtues d'une longue robe et d'une cape noires, elles avançaient lentement en chuchotant de peur de réveiller les Moldus. L'une d'elles - qui semblait être le chef - sortit un petit briquet en argent semblable à l'Eteignoir et dit :
- Très joli cadeau, Dumbledore. Vraiment très utile.
Elle l'actionna une douzaine de fois et Privet Drive fut soudain plongé dans l'obscurité. On ne distinguait plus à présent qu'une lueur - celle de la baguette d'une sorcière - et on entendait le bruissement des capes de ces mystérieuses personnes.
Non loin de là, Harry était dans sa chambre. Comme tous les soirs, il faisait ses devoirs sous sa couette. Pour le moment, il travaillait sur son devoir de métamorphose : rédiger deux rouleaux de parchemin sur les Animagus. Ce n'était pas trop difficile pour lui qui en avait déjà vu un (Sirius) et avait déjà poser d'innombrables questions à ce sujet à son parrain. Il se demandait où se trouvait Sirius et ce que faisaient Ron et Hermione de leurs vacances. « Hermione est sûrement en Bulgarie avec Krum » pensa-t-il. Le jeune sorcier regarda son réveil : 11h45. Bientôt son anniversaire : il allait avoir 15 ans. Aux vacances prochaines, il pourrait utiliser la magie en dehors de l'école - à condition de ne pas en abuser. Il serait maintenant élève du second cycle. Des vacances prometteuses. Harry décida de ranger ses livres et ses parchemins. Il entendit soudain un bruit venant de l'extérieur. Il se précipita à la fenêtre et vit - à la lueur d'une baguette - une demi-douzaine de sorcières se diriger vers la maison voisine. Elles semblaient être inquiètes. De quoi ? Harry ne le savait pas mais il s e demandait pourquoi elles allaient chez Mme Figg. Le chef sonna à la porte et quelques secondes plus tard, la porte s'ouvrit sur Mme Figg. Harry entrouvrit alors la fenêtre pour écouter ce qu'elles se disaient :
- Ah, vous voilà enfin.
- Oui, on a eu un léger problème pour transplaner. Dumbledore vous a mis au courant ?
- Oui, bien sûr. Mais entrez-donc !
- Désole mais nous sommes en mission, nous devons faire vite. Voici le parchemin, vous avez l'objet ?
- Le voilà.
Harry vit quelque chose ressemblant à une boule de cristal glisser des mains de Mme Figg vers celles de la sorcière.
- Merci. Lisez attentivement le parchemin, il est très important.
- Faites attention au Voyoscope, il est très fragile.
- D'accord. Au revoir.
- Au revoir.
La porte se referma. Harry laissa échapper un cri : il avait voulu fermer la fenêtre mais c'était coincer un doigt. Les sorcières se tournèrent alors vers la fenêtre juste après que Harry ait fermer précipitamment le rideau. Ne voyant rien, elles traversèrent Privet Drive en sens inverse. Au coin de la rue, le chef sortit son Eteignoir et ralluma les réverbères. Harry eut juste le temps de distinguer une dernière fois les sorcières avant que celles-ci ne disparaissent en transplanant.
- Quelle rue ?
- Privet Drive.
- Numéro ?
- 6.
- Vous avez le parchemin ?
- Oui, je l'ai.
- Parfait. Allons-y.
Un petit groupe de sorcières - dont on ne pouvait distinguer le visage - arrivèrent au coin de Privet Drive. Vêtues d'une longue robe et d'une cape noires, elles avançaient lentement en chuchotant de peur de réveiller les Moldus. L'une d'elles - qui semblait être le chef - sortit un petit briquet en argent semblable à l'Eteignoir et dit :
- Très joli cadeau, Dumbledore. Vraiment très utile.
Elle l'actionna une douzaine de fois et Privet Drive fut soudain plongé dans l'obscurité. On ne distinguait plus à présent qu'une lueur - celle de la baguette d'une sorcière - et on entendait le bruissement des capes de ces mystérieuses personnes.
Non loin de là, Harry était dans sa chambre. Comme tous les soirs, il faisait ses devoirs sous sa couette. Pour le moment, il travaillait sur son devoir de métamorphose : rédiger deux rouleaux de parchemin sur les Animagus. Ce n'était pas trop difficile pour lui qui en avait déjà vu un (Sirius) et avait déjà poser d'innombrables questions à ce sujet à son parrain. Il se demandait où se trouvait Sirius et ce que faisaient Ron et Hermione de leurs vacances. « Hermione est sûrement en Bulgarie avec Krum » pensa-t-il. Le jeune sorcier regarda son réveil : 11h45. Bientôt son anniversaire : il allait avoir 15 ans. Aux vacances prochaines, il pourrait utiliser la magie en dehors de l'école - à condition de ne pas en abuser. Il serait maintenant élève du second cycle. Des vacances prometteuses. Harry décida de ranger ses livres et ses parchemins. Il entendit soudain un bruit venant de l'extérieur. Il se précipita à la fenêtre et vit - à la lueur d'une baguette - une demi-douzaine de sorcières se diriger vers la maison voisine. Elles semblaient être inquiètes. De quoi ? Harry ne le savait pas mais il s e demandait pourquoi elles allaient chez Mme Figg. Le chef sonna à la porte et quelques secondes plus tard, la porte s'ouvrit sur Mme Figg. Harry entrouvrit alors la fenêtre pour écouter ce qu'elles se disaient :
- Ah, vous voilà enfin.
- Oui, on a eu un léger problème pour transplaner. Dumbledore vous a mis au courant ?
- Oui, bien sûr. Mais entrez-donc !
- Désole mais nous sommes en mission, nous devons faire vite. Voici le parchemin, vous avez l'objet ?
- Le voilà.
Harry vit quelque chose ressemblant à une boule de cristal glisser des mains de Mme Figg vers celles de la sorcière.
- Merci. Lisez attentivement le parchemin, il est très important.
- Faites attention au Voyoscope, il est très fragile.
- D'accord. Au revoir.
- Au revoir.
La porte se referma. Harry laissa échapper un cri : il avait voulu fermer la fenêtre mais c'était coincer un doigt. Les sorcières se tournèrent alors vers la fenêtre juste après que Harry ait fermer précipitamment le rideau. Ne voyant rien, elles traversèrent Privet Drive en sens inverse. Au coin de la rue, le chef sortit son Eteignoir et ralluma les réverbères. Harry eut juste le temps de distinguer une dernière fois les sorcières avant que celles-ci ne disparaissent en transplanant.
