Disclaimer : Faut juste que je vous prévienne que tous les personnages (et
les objets aussi) ne sont pas à moi mais à mon écrivain préférée :
J.K.ROWLING.
Nda : Salut à vous tous ! Merci de choisir ma toute première fic (eh oui quelle honneur !!!) pour patienter jusqu'à la sortie du 5e tome tant attendu par les fans d'Harry Potter. Soyez sympa et indulgent dans vos reviews (j'espère que vous en metterais.) mais vous pouvez aussi me dire mes défauts. Je reconnais que le premier chapitre est nul (normal c'est chez les Dursley !!!) mais je promet de vous réserver une suite géniale. Sur ce, je vous laisse et vous envoie pleins de gros Ziboux !! Bonne lecture @+
Chapitre 1 : Pauvre Coq !
« C'était un portoloin...quelqu'un vient...tue l'autre...nooooooon Cédric ! »
Harry se réveilla soudain tout tremblant de sueur. Sa cicatrice le brûlait fortement, il aurait voulu écrire à Sirius mais quand il s'était résigné au fait que son cauchemar devenait plus une habitude qu'un danger, cela le fit changer d'avis dès le début des vacances. Harry prit d'une main ses lunettes et de l'autre il barra un nouveau jour sur son calendrier constatant qu'un nouveau jour loin de Poudlard venait de passer, et enfin il déposa ses lunettes sur son nez. A présent il contemplait sa petite chambre et constata avec joie qu'il était bien au 4 Privet Drive. mais à vrai dire, « joie » était un bien grand mot quand on sait que Harry Potter vit un enfer depuis ses 1 ans grâce à sa tante Pétunia, son oncle Vernon et son cousin Dudley. Il était 9h06 précise et Harry essayait de reprendre ses esprits mais il ne cessait de penser au rêve ou plutôt au cauchemar qui le hantait chaque nuit. Il se rendait coupable de la mort de son ami, Cédric Diggory, depuis qu'il l'avait incité à prendre le « trophée » en même temps que lui. Le tapage de Dudley indiquant sa faim le fit sortir de ses rêveries. Harry voulait descendre rapidement les escaliers pour se rendre dans la cuisine afin de préparer le petit-déjeuner de la famille Dursley quand un petit hibou pénétra le couloir en hululant fièrement devant harry qui s'exclama :
« Coq ! »
Il saisit l'animal et décrocha avec patience la lettre de sa patte. L'oncle Vernon attiré par tous ces bruits que faisaient Coq, se précipita dans le couloir et son teint rose vira en une couleur violet prune :
« Potter ! »
Puis Vernon tira Harry par l'oreille et le ramena devant sa chambre en s'exclamant :
« Tu seras privé de repas les deux prochains jours pour avoir communiqué avec ces.avec les gens comme TOI ! »
Il cria ces mots comme une claque. Il regarda Harry avec un air de dégoût et claqua la porte. Harry n'en avait que faire des sanctions de Vernon, sachant que de toute manière, le peu de nourriture fournis à chaque repas , pour cause de régime de Dudley (qui pourtant n'avait pas perdu 1 gramme), ne lui aurait pas suffit et qu'il se serait de toute façon empressé de se nourrir grâce aux délicieux mets que ses amis lui avaient envoyé durant les vacances et qu'il avait dissimulé sous une lame de parquet branlante cachée par son lit. Mais de toute façon, il n'avait pas faim, il était plutôt pressé de lire la lettre de son ami :
Cher Harry,
Comment vas-tu ?Moi je vais bien ! Dumbledore est d'accord pour que tu viennes au Terrier jusqu'à la fin des vacances et que tu y fêtes ton anniversaire ! Tu pourras inviter autant de monde que tu voudras ! Tu pourra le fêter à l'extérieur : le métro moldu indique qu'il va faire beau ! Et nous viendrons te chercher ce soir à 22h30 ! On récupérera Coq en même temps ; j'ai peur que 2 voyages l'épuisent de trop ! A bientôt !
Ron
Harry n'en revenait pas : il allait fêter son anniversaire pour la première fois avec tous ses amis ! Et il pourra quitter cette maison dès ce soir. en même qu'il verrait Ron, il pourrait lui expliquer la différence entre le métro et la météo ! Il était si content qu'il relut la lettre au moins cinq fois jusqu'à ce que des cris stridents de la tante Pétunia lui parvinrent suivis de la voix colérique de l'oncle Vernon :
« Potter !
Oh non ! Coq, se souvint le jeune garçon »
Il se précipita hors de sa chambre pour arriver devant une tante horrifiée, un oncle violet et un cousin qui courrait dans tous les sens avec les mains sur ses fesses. L'oncle Vernon prit un balai tandis que sa femme, littéralement paniquée, ouvrait une des fenêtres du petit salon. Coq, lui, virevoltait dans tous les sens jusqu'à ce que l'oncle Vernon le frappe violemment avec le balai et qu'il atterrisse directement dans les bras de Harry.
« Jette moi cette chose abominable par la fenêtre, tonna Vernon.
Mais il est à. réfléchit Harry
A qui ? A un de tes amis qui sont comme toi ?
A mon parrain, cria soudain Harry »
Vernon devint livide tandis que Dudley pressa plus que jamais ses mains sur son derrière :
« A.A.ton parrain ?! Il n'est pas trop abîmé ? Tu veux le ramener chez un vétérinaire ? Tu penses pouvoir le soigner dans ta chambre ? Et tu.tu veux des toasts ?
Non merci, ça ira ! Je n'ai pas faim, répondit Harry fier de sa man?uvre »
Il remonta dans sa chambre en serrant Coq dans ses bras et le déposa sur son bureau à côté de la cage d'Hedwige. Harry regarda le petit hibou complètement immobile et son regard se joigna à celui d'Hedwige tout aussi inquiète. Tout à coup, à peine Harry avait-il eut le temps d'éffleurer le volatile, que celui-ci se leva d'un bond et essaya de tenir sur ses petites pattes. Après quelques petits pas nonchalants et de petites chutes, Coq réussit à se tenir droit. Mais lorsqu'il déploya ses petites ailes pour voler comme à son habitude autour de la tête de Harry, une des deux resta immobile comme si elle était restée « collée » au petit corp de l'oiseau :
« Mon pauvre Coq ! Ce fichu Vernon a réussit à te casser une aile ! Que va donc dire Ron ?! Et surtout qu'est-ce que je vais dire à Ron ? pensa Harry ».
Il alla fouiller dans le tiroir de sa table de chevet et en sortit une petite bandelette blanche qu'il alla soigneusement nouer autour de l'aile de Coq. Celui-ci poussa un faible cri lorsque Harry lui déplia l'aile. Il le plaça dans la grande cage, en compagnie d'Hedwige qui le mordilla en signe d'affection. Puis Harry alla chercher son livre de Soin aux créatures magiques sous la lame de parquet et essaya en vain de trouver un chapître qui parlait des ailes. Il donna des morceaux de biscuits de Mrs Weasley à Coq et donna des graines à Hedwige. Celle-ci fit la tête en voyant bien que Coq avait un traitement de faveur jusqu'à ce que le petit oiseau décline les biscuits et que Harry les laisse à sa propre chouette, qui elle aussi finit par les laisser après les avoir goûté. Harry se souvint alors que Mrs Weasley avait essayé de réaliser les biscuits sans l'aide de la magie ! Voyant le regard de dégout exprimé par Coq et Hedwige résignée à manger ses graines, il tenta de goûter les petits gâteaux en question :
« Ils ne doivent pas être si mauvais que ça tout de même ?! »
Mais après un morceau de biscuit avalé avec peine, Harry approuva l'avis des deux oiseaux. Le reste de la journée, Harry était resté dans sa chambre et il s'était occupé avec son nécessaire à balai. Il avait astiqué soigneusement son éclair de feu. Mais il avait aussi lu des livres sur les sorts et potions magiques. Peut-être que cela lui serait bénéfique auprès de Rogue, mais il ne pouvait pas s'entraîner et cela lui était insuportable. Il était environ 22h et il décida d'aller prévenir son oncle et sa tante qu'il allait partir une demi heure plus tard ! Quand il arriva dans le salon, toute la famille Dursley était assis devant la télé : Dudley avec un énorme paquet de chips dans les mains et des canettes de soda vides étaient posées sur la table basse. A la télé, il y avait les informations et une photo de Lord Voldemort y apparut ! La reporter qui présentait l'émission disait qu'il ne fallait pas approcher cet homme si on le voyait et qu'il fallait immédiatement appeler le numéro spécial qui s'affichait à l'écran ! L'oncle Vernon dit alors :
« Quel horrible homme ! Il ressemble à un serpent ! On voit bien que c'est un vandale ! Il a du se faire de la chirurgie esthétique pour être un bon chef de bande ! Il doit avoir un clan qui s'appelle « les serpents vicieux » ou quelque chose de semblable. Pourquoi nous disent-ils d'appeler à un autre numéro que celui de la police ?! Ils.
Peut-être est-il tellement dangereux que même la police n'en vient pas à bout ! C'est peut-être un sor..enfin quelqu'un comme moi ! interrompit Harry.
Oh, je ne t'avais pas vu ! Ton oiseau enfin celui de ton parrain. il va bien ?
Tu lui as cassé une aile !
Vraiment ?! Je ne voulais pas ! Tu vas prévenir ton parrain reprit Vernon ?
Sûrement ! Mais je pourrais peut-être le soigner si tu me laisses partir chez Ron ! tenta Harry.
Oh..mais. ! C'est entendu ! Tu pars quand ? Vite j'espère !
Oui dans 5 minutes, remarqua Harry, je vais aller préparer mes affaires ! »
Harry se précipita dans sa chambre et prit toutes ses affaires ! Soudain, une voiture s'arrêta devant la maison puis claxona.
« Une voiture ! s'étonna Harry »
Il gravit les marches avec tous ses bagages et sortit dehors suivit de son oncle ! A la surprise générale, une voiture tout à fait normale et brillante était garée devant la porte avec à l'intérieur Arthur, Fred, George et Ron Weasley. Harry sans regarder son oncle se précipita vers le coffre de la voiture qui s'ouvrit dès qu'il s'approcha. Il y mit ses affaires tandis que l'oncle Vernon claquait la porte de la maison après y être entré. Harry pénétra à l'intérieur de la voiture avec la cage de Hedwige.
« Salut Harry, content de te revoir ! lancèrent Fred et George d'une même voie.
Bonsoir Harry, voici ma nouvelle voiture volante qui m'a été prétée par le ministère ! Je suis content que tu es pu te libérer et que tu viennes passer le reste des vacances chez nous ! N'oublie pas que tu es toujours le bienvenue au Terrier ! dit Mr Weasley d'une voie joyeuse pendant qu'il démarrait la voiture !
Harry, je suis content que tu sois là ! C'est formidable ! Tu vas avoir un super anniversaire. On va bien rigoler ! finit Ron.
Oui je l'espère ! Je suis si content de quitter cette maison ! Au fait Ron. voilà Coq. Il a eut un petit accident ! Mon oncle l'a frappé avec un balai ! Il a une aile cassée ! Je suis vraiment désolé Ron. !
Pauvre Coq !dit Ron, pourquoi a-t-il frappé...
Ouah, montre nous voir, interrompirent Fred et George,..eh Harry, ton oncle ferait un bon batteur !! » Tout le monde éclata de rire pendant que la voiture (arrivée dans un endroit désert, bien sûr) prenait son envol en direction du Terrier.
-FIN DU CHAPITRE 1-
Nda : J'attends vos reviews avec impatience.Ca m'encouragera à faire la suite quoique elle est déjà faite (mais pas en entier), il reste seulement à la taper. parce que ça sert à rien de taper la suite si vous aimez pas le début.
Nda : Salut à vous tous ! Merci de choisir ma toute première fic (eh oui quelle honneur !!!) pour patienter jusqu'à la sortie du 5e tome tant attendu par les fans d'Harry Potter. Soyez sympa et indulgent dans vos reviews (j'espère que vous en metterais.) mais vous pouvez aussi me dire mes défauts. Je reconnais que le premier chapitre est nul (normal c'est chez les Dursley !!!) mais je promet de vous réserver une suite géniale. Sur ce, je vous laisse et vous envoie pleins de gros Ziboux !! Bonne lecture @+
Chapitre 1 : Pauvre Coq !
« C'était un portoloin...quelqu'un vient...tue l'autre...nooooooon Cédric ! »
Harry se réveilla soudain tout tremblant de sueur. Sa cicatrice le brûlait fortement, il aurait voulu écrire à Sirius mais quand il s'était résigné au fait que son cauchemar devenait plus une habitude qu'un danger, cela le fit changer d'avis dès le début des vacances. Harry prit d'une main ses lunettes et de l'autre il barra un nouveau jour sur son calendrier constatant qu'un nouveau jour loin de Poudlard venait de passer, et enfin il déposa ses lunettes sur son nez. A présent il contemplait sa petite chambre et constata avec joie qu'il était bien au 4 Privet Drive. mais à vrai dire, « joie » était un bien grand mot quand on sait que Harry Potter vit un enfer depuis ses 1 ans grâce à sa tante Pétunia, son oncle Vernon et son cousin Dudley. Il était 9h06 précise et Harry essayait de reprendre ses esprits mais il ne cessait de penser au rêve ou plutôt au cauchemar qui le hantait chaque nuit. Il se rendait coupable de la mort de son ami, Cédric Diggory, depuis qu'il l'avait incité à prendre le « trophée » en même temps que lui. Le tapage de Dudley indiquant sa faim le fit sortir de ses rêveries. Harry voulait descendre rapidement les escaliers pour se rendre dans la cuisine afin de préparer le petit-déjeuner de la famille Dursley quand un petit hibou pénétra le couloir en hululant fièrement devant harry qui s'exclama :
« Coq ! »
Il saisit l'animal et décrocha avec patience la lettre de sa patte. L'oncle Vernon attiré par tous ces bruits que faisaient Coq, se précipita dans le couloir et son teint rose vira en une couleur violet prune :
« Potter ! »
Puis Vernon tira Harry par l'oreille et le ramena devant sa chambre en s'exclamant :
« Tu seras privé de repas les deux prochains jours pour avoir communiqué avec ces.avec les gens comme TOI ! »
Il cria ces mots comme une claque. Il regarda Harry avec un air de dégoût et claqua la porte. Harry n'en avait que faire des sanctions de Vernon, sachant que de toute manière, le peu de nourriture fournis à chaque repas , pour cause de régime de Dudley (qui pourtant n'avait pas perdu 1 gramme), ne lui aurait pas suffit et qu'il se serait de toute façon empressé de se nourrir grâce aux délicieux mets que ses amis lui avaient envoyé durant les vacances et qu'il avait dissimulé sous une lame de parquet branlante cachée par son lit. Mais de toute façon, il n'avait pas faim, il était plutôt pressé de lire la lettre de son ami :
Cher Harry,
Comment vas-tu ?Moi je vais bien ! Dumbledore est d'accord pour que tu viennes au Terrier jusqu'à la fin des vacances et que tu y fêtes ton anniversaire ! Tu pourras inviter autant de monde que tu voudras ! Tu pourra le fêter à l'extérieur : le métro moldu indique qu'il va faire beau ! Et nous viendrons te chercher ce soir à 22h30 ! On récupérera Coq en même temps ; j'ai peur que 2 voyages l'épuisent de trop ! A bientôt !
Ron
Harry n'en revenait pas : il allait fêter son anniversaire pour la première fois avec tous ses amis ! Et il pourra quitter cette maison dès ce soir. en même qu'il verrait Ron, il pourrait lui expliquer la différence entre le métro et la météo ! Il était si content qu'il relut la lettre au moins cinq fois jusqu'à ce que des cris stridents de la tante Pétunia lui parvinrent suivis de la voix colérique de l'oncle Vernon :
« Potter !
Oh non ! Coq, se souvint le jeune garçon »
Il se précipita hors de sa chambre pour arriver devant une tante horrifiée, un oncle violet et un cousin qui courrait dans tous les sens avec les mains sur ses fesses. L'oncle Vernon prit un balai tandis que sa femme, littéralement paniquée, ouvrait une des fenêtres du petit salon. Coq, lui, virevoltait dans tous les sens jusqu'à ce que l'oncle Vernon le frappe violemment avec le balai et qu'il atterrisse directement dans les bras de Harry.
« Jette moi cette chose abominable par la fenêtre, tonna Vernon.
Mais il est à. réfléchit Harry
A qui ? A un de tes amis qui sont comme toi ?
A mon parrain, cria soudain Harry »
Vernon devint livide tandis que Dudley pressa plus que jamais ses mains sur son derrière :
« A.A.ton parrain ?! Il n'est pas trop abîmé ? Tu veux le ramener chez un vétérinaire ? Tu penses pouvoir le soigner dans ta chambre ? Et tu.tu veux des toasts ?
Non merci, ça ira ! Je n'ai pas faim, répondit Harry fier de sa man?uvre »
Il remonta dans sa chambre en serrant Coq dans ses bras et le déposa sur son bureau à côté de la cage d'Hedwige. Harry regarda le petit hibou complètement immobile et son regard se joigna à celui d'Hedwige tout aussi inquiète. Tout à coup, à peine Harry avait-il eut le temps d'éffleurer le volatile, que celui-ci se leva d'un bond et essaya de tenir sur ses petites pattes. Après quelques petits pas nonchalants et de petites chutes, Coq réussit à se tenir droit. Mais lorsqu'il déploya ses petites ailes pour voler comme à son habitude autour de la tête de Harry, une des deux resta immobile comme si elle était restée « collée » au petit corp de l'oiseau :
« Mon pauvre Coq ! Ce fichu Vernon a réussit à te casser une aile ! Que va donc dire Ron ?! Et surtout qu'est-ce que je vais dire à Ron ? pensa Harry ».
Il alla fouiller dans le tiroir de sa table de chevet et en sortit une petite bandelette blanche qu'il alla soigneusement nouer autour de l'aile de Coq. Celui-ci poussa un faible cri lorsque Harry lui déplia l'aile. Il le plaça dans la grande cage, en compagnie d'Hedwige qui le mordilla en signe d'affection. Puis Harry alla chercher son livre de Soin aux créatures magiques sous la lame de parquet et essaya en vain de trouver un chapître qui parlait des ailes. Il donna des morceaux de biscuits de Mrs Weasley à Coq et donna des graines à Hedwige. Celle-ci fit la tête en voyant bien que Coq avait un traitement de faveur jusqu'à ce que le petit oiseau décline les biscuits et que Harry les laisse à sa propre chouette, qui elle aussi finit par les laisser après les avoir goûté. Harry se souvint alors que Mrs Weasley avait essayé de réaliser les biscuits sans l'aide de la magie ! Voyant le regard de dégout exprimé par Coq et Hedwige résignée à manger ses graines, il tenta de goûter les petits gâteaux en question :
« Ils ne doivent pas être si mauvais que ça tout de même ?! »
Mais après un morceau de biscuit avalé avec peine, Harry approuva l'avis des deux oiseaux. Le reste de la journée, Harry était resté dans sa chambre et il s'était occupé avec son nécessaire à balai. Il avait astiqué soigneusement son éclair de feu. Mais il avait aussi lu des livres sur les sorts et potions magiques. Peut-être que cela lui serait bénéfique auprès de Rogue, mais il ne pouvait pas s'entraîner et cela lui était insuportable. Il était environ 22h et il décida d'aller prévenir son oncle et sa tante qu'il allait partir une demi heure plus tard ! Quand il arriva dans le salon, toute la famille Dursley était assis devant la télé : Dudley avec un énorme paquet de chips dans les mains et des canettes de soda vides étaient posées sur la table basse. A la télé, il y avait les informations et une photo de Lord Voldemort y apparut ! La reporter qui présentait l'émission disait qu'il ne fallait pas approcher cet homme si on le voyait et qu'il fallait immédiatement appeler le numéro spécial qui s'affichait à l'écran ! L'oncle Vernon dit alors :
« Quel horrible homme ! Il ressemble à un serpent ! On voit bien que c'est un vandale ! Il a du se faire de la chirurgie esthétique pour être un bon chef de bande ! Il doit avoir un clan qui s'appelle « les serpents vicieux » ou quelque chose de semblable. Pourquoi nous disent-ils d'appeler à un autre numéro que celui de la police ?! Ils.
Peut-être est-il tellement dangereux que même la police n'en vient pas à bout ! C'est peut-être un sor..enfin quelqu'un comme moi ! interrompit Harry.
Oh, je ne t'avais pas vu ! Ton oiseau enfin celui de ton parrain. il va bien ?
Tu lui as cassé une aile !
Vraiment ?! Je ne voulais pas ! Tu vas prévenir ton parrain reprit Vernon ?
Sûrement ! Mais je pourrais peut-être le soigner si tu me laisses partir chez Ron ! tenta Harry.
Oh..mais. ! C'est entendu ! Tu pars quand ? Vite j'espère !
Oui dans 5 minutes, remarqua Harry, je vais aller préparer mes affaires ! »
Harry se précipita dans sa chambre et prit toutes ses affaires ! Soudain, une voiture s'arrêta devant la maison puis claxona.
« Une voiture ! s'étonna Harry »
Il gravit les marches avec tous ses bagages et sortit dehors suivit de son oncle ! A la surprise générale, une voiture tout à fait normale et brillante était garée devant la porte avec à l'intérieur Arthur, Fred, George et Ron Weasley. Harry sans regarder son oncle se précipita vers le coffre de la voiture qui s'ouvrit dès qu'il s'approcha. Il y mit ses affaires tandis que l'oncle Vernon claquait la porte de la maison après y être entré. Harry pénétra à l'intérieur de la voiture avec la cage de Hedwige.
« Salut Harry, content de te revoir ! lancèrent Fred et George d'une même voie.
Bonsoir Harry, voici ma nouvelle voiture volante qui m'a été prétée par le ministère ! Je suis content que tu es pu te libérer et que tu viennes passer le reste des vacances chez nous ! N'oublie pas que tu es toujours le bienvenue au Terrier ! dit Mr Weasley d'une voie joyeuse pendant qu'il démarrait la voiture !
Harry, je suis content que tu sois là ! C'est formidable ! Tu vas avoir un super anniversaire. On va bien rigoler ! finit Ron.
Oui je l'espère ! Je suis si content de quitter cette maison ! Au fait Ron. voilà Coq. Il a eut un petit accident ! Mon oncle l'a frappé avec un balai ! Il a une aile cassée ! Je suis vraiment désolé Ron. !
Pauvre Coq !dit Ron, pourquoi a-t-il frappé...
Ouah, montre nous voir, interrompirent Fred et George,..eh Harry, ton oncle ferait un bon batteur !! » Tout le monde éclata de rire pendant que la voiture (arrivée dans un endroit désert, bien sûr) prenait son envol en direction du Terrier.
-FIN DU CHAPITRE 1-
Nda : J'attends vos reviews avec impatience.Ca m'encouragera à faire la suite quoique elle est déjà faite (mais pas en entier), il reste seulement à la taper. parce que ça sert à rien de taper la suite si vous aimez pas le début.
