A l'instinct. Un saiyen trouve toujours l'endroit où il allait se battre ! Même contre des faibles ! Mais l'endroit où je me trouvais semblait... Malsain... Une petite place sale, encadrée par quelques ruelles lugubres... Des sirènes retentissaient dans tout les coins, le mauvais quartier de la ville. Ça ne m'impressionnais pas mais j'étais étonné que la p'tite Pan fréquente ce genre d'endroit... Mais c'était bien ici. Un bonhomme mal fagoté était assit à une petite table à l'entrée...

" T'es paumé ? " demanda-t-il en me voyant regarder partout autour de moi. je me tournai vers le bonhomme et hochai lentement la tête négativement. Je m'approchai d'un pas lent et je déposa la feuille bleue devant lui. " Tu viens pour t'inscrire à la compet ? " j'hochai la tête. " Tiens... " il me donna un autre papier. Nom, âge, taille, poids... Je passai la première ligne et écris vingt-sept sur la deuxième, complétai le reste de la feuille puis je remontai au nom... J'hésitai à écrire 'Bardock'...

" Est-ce que Pan sera là ? " demandai-je à mi-voix.

" Tu parles, pas trop tôt... Ouais, normalement elle sera là... Ouais... Je sais qu'elle est bien, on veut tous la même chose... "

Je grognai légèrement et je froissai un peu la feuille. Je relevai la tête et abattis mon poings sur la table en disant. " Sache espèce de gros lard que je ne suis ici que pour le combat t'as compris ? ? ? J'ai demandé ça parce que c'est le seul adversaire valable que j'aurais certainement ici au milieu de ta bande de minables !... "

" Eh ! Calme tes nerfs, vieux !... Tu te défoulera sur le ring ! Bon, tu te grouille à écrire ton nom ou tu réfléchis encore dix minutes ? " L'homme ne put s'empêcher de frissonner face à mes yeux glacés...

" Alors elle sera là... " fis-je froidement.

" Oui "

Je soupirai discrètement. " Elle doit me détester " Je ne savais pas trop pourquoi je pensais ça mais j'en étais quasiment sur, même si notre séparation s'était plutôt bien terminée...

" Dans ce cas... " J'écris un T, puis un O, un M et enfin un A, du bout du stylo, Toma en imprimé...

" Toma ?... C'est la première fois que je vois écrit ce prénom dans cet orthographe là... Allez... Entre... Toma... On t'appellera quand ce sera ton tour... " j'entrai dans la pièce. " Eh, attends ! ! " Je m'arrêtai.

" Qu'est-ce qu'il y a encore ?... "

" T'as oublié de payer les frais de participation ! " Je soupirai et revins à la table. Il faut payer partout sur cette planète ! Sur Végéta, il n'y avait jamais rien à payer de notre poche, tout l'argent revenait au roi qui s'en servait pour nous nourrir... " 1500 zénis... " un sourire hypocrite sur le visage, je payai et j'entrai... C'était un grand bar, quelques tables rondes éparpillées, un comptoir... Il y avait un espace vide, pour le public éventuel, devant une espèce de... Cage... ça devait être l'aire de combat ! En effet, cela devait être violent ! ça me fit sourire... J'avais beau avoir changé, j'aimais toujours la violence... Sans le ring et en mettant un peu plus de lumière, l'atmosphère était presque comme chez moi... Presque... Chez moi, il n'y avait pas cette odeur nauséabonde qui me rendait presque malade ! ça venait, des machins, des espèces de petit bâtons brûlés que les terriens portaient dans leur bouche. je grimaçai et je commençai à battre l'air devant mon nez pour avoir un peu d'air frais, mes poumons allaient s'enflammer. J'arrêtai en me rendant compte que deux ou trois terriens se moquaient de moi... Si jamais ils recommençaient, je les tuaient !...
Plus tard, je repéré Pan, au bar. Je voulus y aller, mais la compétition commençait. De toutes façons, je devais l'affronter en finale...
Le premier match fut en effet très violent !... Du sang tachait le sol et l'un des deux adversaire avait le bras brisé... Maintenant c'était mon tour.

" Et maintenant un nouveau venu dans notre compétition, il s'appelle Toma, il a vingt-sept ans, acclamez-le bien fort ! " tout le monde s'exécuta, sauf Pan qui ne regardait même pas les matchs.

Bardock.

Encore, se dit-elle, elle soupira et tira une nouvelle fois sur sa cigarette. Elle entendit une réaction du public quand 'Toma' frappa l'autre à la nuque du pied. Je ne savais pas bien pourquoi j'avais choisi le nom de mon ami... Je ne voulais peut-être pas que Pan me reconnaisse tout de suite... Et je voulais rendre hommage à Toma aussi !... Enfin... Rendre hommage, c'est beaucoup dire... Il avait été mon meilleur ami et là il n'existait plus. Je frappai de nouveau mon adversaire, qui réussit miraculeusement à rester debout en s'accrochant au grillage. Il sortit un couteau et bondit sur moi qui l'évita sans aucun problème... Il pensait vraiment pouvoir m'avoir avec son petit cure-dents ? Bientôt, je l'achevai... Je lui prit son couteau des mains et je lui enfoncé dans le ventre ! Ce n'était pas un point vital... Je ne voulais pas retourné en enfers ! La foule m'acclama. Je n'y pris pas attention, j'avais autre chose en tête... Je pris ma respiration et je traversai le nuage de fumée avec peine et m'assit lourdement à côté de Pan qui ne se tourna même pas pour me regarder.

" Je te sers quelque chose ? " demanda le barman. Avant que je ne réponde, il me servit un liquide orangé dans une petit verre... du whisky. " Tiens, offert par la maison !... "

" Vous êtes pas radin... " répondis-je, en voyant les deux misérables centilitre dans le verre.

" C'est très fort, on en sert jamais plus... " fit Pan, sans se tourner vers lui. " Si t'es vraiment un saiyen, ne boit pas ça, tu ne le supportera pas... "

" Ah ouais... " je reniflai une odeur pire que tout ce que j'avais pus sentir à mon arrivé... je me mit à tousser encore plus fort. Un cigare à ma droite... Quelle bande de malades ces terriens ! Je pâlis puis je passai au vert. " Anh non... Allez, Pan, on se casse ! " Dans un mouvement brusque, je tirai la fille Gohan qui se laissa faire mollement en laissant tomber sa cigarette dans le cendrier.

" Attends... " marmonna-t-elle, la voix ensommeillée. " Je dois... " elle se retourna vers le bar.

" T'inquiète ma p'tite, je met ça sur la note ! " le serveur avait compris. Je bousculai tout le monde et sortis avec la jeune femme qui se laissait traîner, je ne le savais pas, mais les clients du bar avaient des idées biscornues à notre sujet... Une femme, un homme impatient... nous sortâmes et je pris une grande inspiration puis j'inspirai bruyamment.

" Eh ! C'est d'jà fini... Heureusement que tu venais pour le combat, mon pote... " répliqua malicieusement le mec à l'entrée en me voyant avec Pan... Je grognai, il commençait à m'énerver ! Je me tournai vers lui, un œil mauvais, soutenant le bras de Pan qui vacillait. Soudain, je remontai d'un geste bref deux doigts sortit de ma main. Le sol se fendit et des ondes de choc sortirent du sol, fissurant le béton tout autour du stand du gros bonhomme et je partis, traînant encore la jeune femme. L'autre n'en revenait pas, il n'avait bien évidemment pas à répliquer.

Pan me regardait la traîner, se demandant si j'étais bien Bardock... Elle en était sur, mais elle était saoule, elle devait prendre ça en compte... Elle dormait aussi peut-être...

" Bardock... ? " murmura-t-elle, nonchalante.

" Quoi ? " je me tournai brièvement vers elle puis je regardai tout autour de nous, elle continuait à me fixer... Bêtement. " Bon ! Keuf, keuf ! ! " Je continuais de tousser.

" ça va ? " demanda lentement Pan.

" Oui... Bon... Tu vis toujours chez Végéta... ? "

" Non. "

" Alors t'habites où ?... "

" Par là... " répondit-elle en pointant l'opposé.

" Ah... T'aurais pas pus le dire plus tôt ? On arrivait sur Himalia ! " répliquai-je, sarcastique. Je fis demi-tour en continuant de tirer mon boulet. " Mais qu'est-ce que t'as ? ? ? " j'en avais marre de la traîner et j'était malade ! J'avais envie de vomir !...

Elle mit un peu de temps à répondre. " Je... Je suis saoule... "

Je soupirai, ça je l'avais remarqué ! " Ouais... T'es pas dans ton état normal. Tu vis où ? "

" J'crois que d'ici, c'est la troisième à gauche... "

" T'es sure ?... " nous nous fixâmes un moment, et elle hocha la tête positivement. Alors je la portai. Je passai la première, la deuxième puis je pris la troisième rue à droite. Pan me fit remarquer qu'on avait passer l'immeuble, je grognai encore en faisant demi-tour pour me retrouver devant le bon bâtiment. La porte ne s'ouvrait pas !... Elle me dis le code... Un code pour ouvrir une porte... N'importe quoi... Enfin, je la déposai devant chez elle.

" Défonce la porte... Au point où elle en est... J'ai déjà pété la clef... " Je ne me fis pas prier : d'un bref coup de pied, la porte s'ouvrit à la volée. J'entra et la clapai en déposant Pan au sol.

" Ahhh... J'ai cru que j'allais crevé dans cette puanteur ! Bien qu'ici ce ne soit pas le grand air pur... " Elle titubait devant moi, se tenant au mur. " Mais comment ça se fait que tu sois dans un tel état ?... "

" J'ai bu trois blanc-coca... J'en était à mon quatrième quand t'es venu... Et l'alcool est pas le truc que je supporte le mieux... Je déraille... "

Je trouvai la chambre. " Nom de Dieu... " j'allais vraiment vomir ! Je réussis à me retenir. " Merde... ça fait pas vingt-quatre heures que je suis là et j'ai cru que j'allais déjà crever !... " je me laissai tomber sur le lit. Je retirai mes chaussures et je me couchai, les bras derrière la tête, puis je soufflai longuement et fermant les yeux, ils me piquaient. " J'peux ouvrir la fenêtre ?... "

" Ouais... " Je me levai et j'atteignis la fenêtre, je l'ouvris et je restai trois bonne minutes à respirer l'air de l'extérieur.

" Mais qu'est-ce que tu fais là ? " réussit-elle à demander après m'avoir regarder pendant longtemps... Elle venait seulement de réagir que c'était moi ! Bardock ! Qui l'avait ramenai chez elle !... Elle répéta sa question, sur le même ton mort. Je me tournai vers elle, j'étais pale et même un peu vert... Nous nous regardâmes un moment, puis j'hochai la tête négativement en m'asseyant encore sur le lit.

" Je vais dégueulé... " répliquai-je, c'était la première chose qui me passa par la tête... Je me couchai. " Et j'ai pas envie d'en parler !... Faut que je dorme pour récupérer un peu... Alors... A demain !... " je me laissai aller dans un soupir et fermai les yeux. Mes muscles se relâchèrent et ma queue de singe se laissa tomber sur le matelas. Peu de temps plus tard, ma respiration était d'une régularité remarquable... Je dormais. Pan déposa le sac qu'elle portait sur son épaule et soupira.

" C'est Bardock... " fit-elle dans un murmure à peine perceptible.

Zarina attendait Yann. Ce dernier salua ses amis - surtout ses amies - et rejoignit la fille de Trunks.

" Elles ont été sages ? Tu leur à promit un enfant chacun ?... " fit-elle, sarcastique. Et elle partit en avant. Le fils de Goten roula les yeux et se mit aussi en route.

" Qu'est-ce qui te fait dire ça ?... "

" Rien... " elle accéléra le pas. Il en fit de même.

" T'es jalouse... ? " ironisa-t-il.

" Puh ! Je suis aussi populaire que toi !... "

" Non, pas jalouse de ma popularité... "

" Va te faire foutre ! " elle accéléra encore. Yann lui fit une grimace de derrière ensuite partit pour chez lui. Une fois dans sa maison, il tira sur l'encolure de son t-shirt devant un miroir et regarda son suçon rouge dans le cou.

" Wah... Elle n'y a pas été de main morte... Elle a une sacrée force, j'ai la peau dure... " il sentit sa tête se faire tirer sur le côté.

" Qui t'as fait ça ?... " demanda sa mère en inspectant le cercle ovale de la nuque de son fils.

" Heu... J'en sais rien... "

" Tu te moque de moi ? Goten ! Viens voir ! Ton fils s'est fait faire un suçon ! ! "

" Montre ! ! ! " Goten sortit du couloir où se trouvait son bureau et se précipita vers sa femme et Yann et tira encore plus son t-shirt.

" Arrête ! ! Tu l'élargis ! " rouspéta Yann.

" Anh... C'est pas le plus important... Ohhh... Ton premier suçon ! ! C'est un grand jour ! "

" Faut faire une photo souvenir ! ! " ajouta Mady.

" Oh oui ! ! On la mettra à côté de tes premières dents ! " Yann rit jaune à la réplique de son père et se libéra de lui. " Non ! Tu restes ici mon p'tit fiston ! Faut faire la photo ! ! "

" Non, non, non ! ! ! " Goten le serrant contre lui en le tenant par le cou. " Lâche-moi, papa ! ! ! " il se débattit. " Eh ! ! Tu sais maman, papa il a dus s'être fait des dizaines et des dizaines de suçons avant toi ! ! Par d'AUTRES filles !... " Mady cessa un peu de sourire et grimaça.

" Ben oui je m'en doute... Y'en a eut beaucoup ? " demanda-t-elle à son mari qui hocha négativement la tête.

" Eh, papa, te sent pas coupable, elle aussi elle en a fait à plein d'autres types ! ! Des gros, des rouges, tout baveux ! ! Et elle prenait du plaisir à les faire ! ! ! Gniiii ! ! !... " Les deux parents se regardèrent, ils n'avaient pas l'air heureux... " Vous allez divorcer ? ?... " il avait l'air content !
Mady sourit.

" Goten... Si on lui faisait un petit frère ? Il en a tellement envie. "

" Ohh ! ! Excellente idée ! ! Ou une petite fille ! ! Avec de jolies boucles blondes !... Ohhh... Mon rêve va se réaliser, voir mes enfants jouer gaiement devant un feu ouvert... " ajouta Goten.

" Ohhh... Chéri, tu lis dans mes pensées... "

" NONNN ! ! ! ! Pas de p'tit frère et encore moins une p'tite sœur ! ! !... Et puis on a pas de feu ouvert ! ! ! Bon... Qu'est-ce que vous voulez ?... Que je ne touche plus aucune fille et que plus aucune fille ne me touche ?... Je peux même devenir homosexuel si vous voulez vraiment... "

" Non ! ! ça ira... Nous n'avons rien contre les suçons... "

" Alors lâche moi ! ! "

" Mais on veut faire une photo ! ! "

Mady avait été chercher l'appareil, elle revint. Yann ferma la yeux à cause du flash. Son père le lâcha enfin, il remit son t-shirt en place.

" Bon, je me casse... J'ai des trucs encore à faire... "

" C'est ça... " soupira Goten. Et Yann quitta la maison. Goten s'assit dans le divan et sa femme vint le rejoindre. Il lui entoura les épaules et la colla contre la sienne.

" Il va revenir ?... " demanda Mady en détachant trois boutons de la chemise de son mari.

" Heu... Non... On a gagné cette fois... "

" Il est génial quand même... Je l'adore... On a de la chance d'avoir un fils comme ça, il est très intelligent, tout le monde l'aime... Il n'a pas honte de nous... "

" Ah oui... " Il la pencha et lui caressa le bras. " Si je comprends bien, il m'a volé la vedette... "

" ça fait plus de quatorze ans et c'est seulement maintenant que tu t'en rend compte... ? " plaisanta-t-elle en poussant sur son nez.

" Alors il va falloir que je te conquière à nouveau... Alors... Heu... Bonjour mademoiselle... Je... Je me sens seul... Et pour tout vous dire, la première fois que je vous ai vu, je suis tombé follement amoureux de vous... " Ils s'embrassèrent langoureusement.

" Rhumhum... " fit Yann en se penchant vers eux. Son père tomba nez à nez avec lui en relevant la tête.

" Oui... ? "

" Je viens de comprendre. Ça fait trois fois que je reviens... Et je vais repartir pour la troisième fois... Vous me chassez ?... Vous voulez que j'aie à l'orphelinat ? Vous regrettez de ne pas m'avoir abandonné sous un pont quand j'étais bébé ? "

" Quelle idée t'as eut de te lever à six heures !... " répliqua Goten en se rasseyant convenablement.

" Je ne vous ai pas obligé à vous lever "

" Ah ! Mais faut dire qu'il faut vraiment avoir le sommeil profond parce que toi quand tu te lèves, tu fous ta musique à fond, mais tellement fort qu'un sourd l'entendrait ! "

" Sur de ça... ? "

" Oui ! ça va tellement fort que la maison vibre ! ! !... Et puis en plus, on t'entends gueuler de ta douche ! ! Mais maintenant on ne s'inquiète plus !... "

" C'est pour me réveillé ça, j'aime bien prendre une douche écossaise le matin... Et je met la musique fort pour entendre de sous la douche... " expliqua le jeune.

" Ce n'est pas fini, on se dit, pas grave ! C'est fini !... Mais non, on t'entends encore gueuler, un éléphant enragé passe dans les escaliers... Faisant un saut périlleux à la dernière marche... "

" Oui mais ça c'est parce que je suis pressé... "

" Puis tu fais irruption dans notre chambre et tu gueules bien fort que t'es à la bourre et que tu trouves pas tes chaussures, on te sort dans le W-C, tu vas voir dans le W-C !... Tu reviens disant que tes chaussures ne sont pas dans le W-C, mais tu les en main, t'es revenu disant que tu les avais retrouvé dans l'armoire à chaussures !... "

" Mais vous m'aviez pas dit que vous les aviez changer de place !... "

" Et pour finir, tu te barre en claquant la porte ! "

" Mais faut pas m'en vouloir, je suis fils unique... "

" Ah non ! ! Voilà qu'il recommence... " se plaignit sa mère.

" Mais Miiky revient dimanche... Alors ça ira mieux !... "

" Ne remet pas tout sur ton cousin ! Même quand il était là, t'étais aussi déganter ! Bon, pourquoi es-tu encore rentré ? " demanda encore son père.

" J'avais oublié mon pull !... " il prit son pull en coton, à capuchon et l'enfila.

" Au fait où as-tu encore été si tôt de bonne heure ?... " demanda sa mère avant qu'il ne reparte.

" Prendre un p'tit déj' avec quelques copines ! " répondit-il en se dirigeant vers la porte.

" Ah... Je me disait bien qu'il faisait trop propre dans la cuisine pour que t'aie rangé... "

Il ne répliqua pas et sortit. Les deux parents pouffèrent de rire.