AAAAAAHHHHH, ff.net a encore décidé de changer sa police maudit… là là il a plein de petits signes incompréhensibles partout ha j'te dis…

Bon alors voici le nouveau chapitre qui s'appelle chapitre 11, comme vous le voyez plus bas…  J'avais rien à faire ce matin alors j'ai décidé d'aller voir sur ma boîte de réception si j'avais des messages et surprise, plein d'alertes de reviews !!  Donc j'ai pris l'espèce de patente que j'appelle communément chapitre 11 et je me décide à le terminer une fois pour toutes.  Voici donc comment vous avez fini par pouvoir lire ce trucbinouche…

Alors je sais que ça paraît que j'ai rien à faire, rien à dire mais bon, le voilà quand même…

Disclaimer : Tout appartient à JK Rowling sauf toutcequej'aiénumérédanslesautresdisclaimerdesautreschapitres…

Bon ben c ça et heu… bonne lecture !!!!! ( oui hein ?? non ok c beau je me tais làlàlà… )

Hp et la magie élémentaire : Chapitre 11

Le lendemain matin, Harry s'était éveillé en catastrophe : voyant qu'il était 10h30 sur la vieille horloge de Dudley, il s'était dépêché de s'habiller avant de débarquer en trombe, les cheveux encore plus mêlés qu'à l'ordinaire et les lunettes de travers, dans la cuisine où il fut accueilli par l'oncle Vernon qui lisait son journal.

-Ah tu es enfin réveillé toi, dit-il sur un ton de reproche.  Va finir de cuire l'omelette au jambon et après tu me nettoieras le living-room.

Mais Harry n'avait écouté qu'à moitié.  Ne voyant rien de nouveau ou qui pourrait trahir la visite de Maria, il ne put se retenir de pousser un long soupir.

-Pourquoi ce soupir si franc ?  Ne t'ais-je donc pas demander quelque chose ?

-Oui oui tout de suite…

Il se mit alors à l'ouvrage, espérant de tout cœur être sauvé par la sonnette.  Ce ne fut qu'une heure et demie plus tard, à l'heure du déjeuner, qu'elle retentit enfin, dérangeant apparemment le repas des Dursley.  Malheureusement, ce fut la tante Pétunia qui alla ouvrir et qui ouvrit la porte à un ramoneur de cheminée.  Après quelques minutes de discussion hâtive, elle réapparu au seuil de la salle à manger, suivie d'un jeune homme d'environ 20 ans.

-Ce monsieur nous offre de ramoner nos cheminées gratuitement en l'échange d'un peu de publicité pour sa nouvelle compagnie.

-Ça ne prendra qu'une trentaine de minutes monsieur, expliqua-t-il devant l'air investigateur de l'oncle, vous pourrez ensuite juger nos services.

-Bien, bien, alors qu'il en soit ainsi.

Le couple se dirigea alors au salon, le ramoneur sur leurs talons et Dudley qui suivait curieusement derrière.  Aussitôt qu'ils furent partis, Harry, qui était resté, le tablier autour de la taille à faire la vaisselle, senti une main agrippé son collet et le traîner dans le couloir.

-Dépêches-toi d'aller faire tes valises, le sort ne durera plus très longtemps.

Il avait reconnu la voix de la jeune fille, aussi ne se fit-il pas prier pour aller tout mettre pêle-mêle dans des sacs et sa valise.  Dès qu'il eut fini, il tenta par tous les moyens de tout descendre en même temps le plus vite possible, aussi difficile ce fut.  Malgré tout, il y arriva et arriva un peu en sueur en bas.

-Voilà, tout y est…

-Parfait, allons-y.

Ella murmura alors un sort de sa baguette, brisant une sorte de brume argentée qui s'en échappa.  Au même instant, un grand silence ce fit dans le salon de l'autre côté de la porte,  suivi par les cris de guerre de l'oncle qui s'amenait à grande vitesse.  Harry et Maria eurent beau courir la porte d'entrée s'avérant être fermée par de nombreux moyens et les nombreuses valises ralentirent  leur course.  Harry se jeta sur le cadenas pour l'ouvrir mais il se sentit soudain de nouveau très léger, fatigué.  Il n'eut même pas le temps de tendre les mains que son corps lui ordonnait de ne plus bouger, dormir, et il ne pouvait rien faire contre ça.  Il se sentit alors tomber, comme si toute sa fatigue lui tombait dessus d'un coup, comme une petite bombe à retardement.  Il voyait les couleurs s'effacer autour de lui, même s'il luttait de toutes ses forces. Attendant le choc contre le sol, il fut surpris de plutôt de sentir quelque chose de mou et chaud sous lui.  Entrouvrant les paupières, il se rendit compte que Maria l'avait rattrapé et était à moitié assise, à moitié couchée, la tête d'Harry sur ses genoux, le regard perçant et la baguette fixée sur les Dursley qui était maintenant plus apeurés qu'autre chose.  Mais soudainement, l'oncle Vernon hocha frénétiquement la tête et se dirigea d'un pas lent vers la jeune fille.

-Allons petite, tu sais bien que tu n'as pas droit faire de la magie, même si je suis sûr qu'être la petite amie d'Harry Potter a des avantages…

-Expilliarmus, murmura-t-elle d'un ton qui se voulait non seulement froid, mais aussi tranchant et sec. 

Une fois que le sort eut touché l'oncle, elle déposa Harry par terre précautionneusement avant de se diriger vers Vernon Dursley qui semblait sur le point de piquer une crise de nerfs.

-Premièrement, il ne faut jamais, au grand jamais dire le mot petite en parlant de moi deuxièmement, je ne suis pas la petite amie d'Harry troisièmement, je ferai  usage de la magie autant que je voudrai est-ce bien clair ? cracha-t-elle en rapprochant dangereusement sa baguette de l'oncle sous les yeux ébahis et intrigués de Pétunia et Dudley.

Profitant de la stupeur qui régnait dans la pièce, elle se retourna, jeta un sort aux valises qui disparurent aussitôt avant de remettre avec grand peine un Harry qui se demandait encore comment il était tombé sur ses pieds.  Le poussant dans le dos, Harry et elle montèrent jusqu'à la chambre de ce dernier où il ouvrit la fenêtre.  Après quelques secondes, un énorme étalon noir aux ailes brillantes apparut, se baissant légèrement pour qu'ils puissent monter.  Harry fut le premier à monter, suivi de près par Maria qui donna un ordre étrange dès qu'elle fut en place.  Au même moment,  les Dursley apparaissaient dans la chambre, arrivant trop tard.  Malheureusement, l'oncle Vernon ( qui est plus vite qu'il ne le paraît )  se jeta tout simplement par la fenêtre et réussit à attraper la queue de l'animal.  Ce dernier poussa un énorme hennissement et commença à se débattre pour se débarrasser du ce qui pendait derrière lui, ce qui faisait dangereusement tanguer nos deux amis.  Par la fenêtre , la tante Pétunia et Dudley criaient, hurlaient, ce qui commença à attirer des passants.  Soudain, Harry eut l'impression que la monture devenait de plus en plus excitée, de plus en plus énervée et qu'elle allait catégoriquement tous les faire tomber.

-NIGHTMARE !! Calme-toi !

Maria avait dit cela sur un ton très sec qui se voulait une fois de plus sans doute beaucoup plus qu'autoritaire.  Au même moment, la bête se tranquillisa peu à peu, ce qui surpris l'oncle qui lâcha sa prise.  Aussitôt, l'étalon  piqua une « course », si on peut appeler ça comme ça et partit se réfugier loin à l'intérieur de la couche nuageuse, sans un regard en arrière.  Une fois en sûreté, elle poussa uns soupir de soulagement.

-Ouf, c'était vraiment moins une.  Dis-moi, qu'est-ce qui t'as pris de tomber comme ça ?

-Heu… je ne sais pas en fait.  Ça fait quelques jours que je tombe comme ça dans les pommes sans prévenir.  C'est peut-être une maladie…

-Fais voir ta langue.

Après un rapide coup d'œil, elle déclara d'une voix officielle :

-Maladie mon œil.  On t'as empoisonné avec des pics somnifères des plaines mon cher.

-Et puis-je demander ce que cela fait dans la vie ?

-Ça te donne des somnolences et ça t'empêche des faire certaines choses primordiales correctement comme marcher, manger… ajouta-t-elle en faisant démarrer son cheval.  Je pourrais bien te donner un antidote, mais ça va faire mal.

-C'est quoi ton antidote ?

-Il va falloir te donner une dose de Pipiline à toutes les heures et te faire vomir à toutes les 6 heures pendant trois jours.  Tu ne dormiras pas beaucoup, mais c'est déjà mieux que de tomber endormi à 2 heures de l'après-midi pendant le reste de ta vie…

Aucun des deux ne dirent ne serait ce qu'un mot jusqu'à la fin du voyage.  Il était rendu environ 10 heures du soir lorsqu'ils descendirent enfin sur la pelouse, laissant le cheval rentrer de lui-même dans sa « maison ».  Seules quelques lumières de l'entrée du château qui se dressait devant un Harry de plus en plus éberlué par  sa semaine étaient encore ouvertes où se postait un vieil homme à l'air visiblement fâché.

-Vous avez 45 minutes de retard Miss… Qu'avez-vous donc encore fait ?

-J'ai hum… En fait, c'est Nightmare qui avait un problème à l'oreille et j'ai du m'arrêter pour le soigner…

-Et cela vous a pris 45 minutes ?

Maria devint soudain très intéressée par ses mains en continuant son histoire.

-J'ai été obligée de faire une potion avec les moyens du bord et il me manquait quelques ingrédients alors j'ai du improviser…

-Bien bien… visiblement, vous ne me dites pas toute la vérité Miss…  Sachez que vous avez beau être souveraine, toute personne digne de ce nom se doit de faire ce qu'elle dit de faire à temps.  Maintenant, retournez à votre chambre et restez-y jusqu'à nouvel ordre.

-Quoi ?????? Mais mais…

-Pas de mais.  Faites ce que je vous ai dit de faire.

-Mais je dois allez achetez de la Pipiline demain au village.

-De la Pipiline ?  Sérieusement, ne croyez-vous pas que votre cas est déjà suffisamment grave comme ça ?

-C'est… c'est pour Harry monsieur.  Il est empoisonné avec des pics somnifères des plaines monsieur.

Ce fut seulement à ce moment là que l'homme sembla s'apercevoir de la présence d'Harry aux côtés de Maria.  Après un coup d' œil dédaigneux, il termina d'un air hautain.

-Soit, vous irez acheter pour monsieur.  Mais j'exigerai que vous soyez accompagnée par une servante.  Allez vous coucher.

Maria se dépêcha alors d'entraîner Harry par la main à travers un dédale de couloirs.  Ce n'est qu'après une dizaine de minutes qu'elle s'arrêta devant une grande porte de merisier fermée par un portrait d'homme artiste-peintre datant du Moyen-Âge.

-Oh bonsoir Miss Loumanage.  Voici donc votre nouvel ami ?

-Oui Grinfield.  Soriasati.

-N'est-ce pas. ajouta-t-il avant de libérer le passage.

Ils pénétrèrent alors dans la plus belle chambre qu'Harry eut jamais vue : une grande fenêtre sur la gauche laissait entrer le clair de lune et donnait sur une vaste plaine parcourue d'arbrisseaux ; un grand lit à baldaquins bleu foncé trônait au centre de la pièce ; une grande commode sur le côté était posée juste à côté d'un bureau d'épinette noire recouvert d'un verni écaillé par l'âge.  Également, le sol était enveloppé d'un tapis moelleux s'accordant parfaitement aux rideaux du lit.  Il fut alors arraché à sa contemplation par la voix de la jeune fille.

-Est-ce que ça te vas ?

-Que dire… bien sur que ça me va !

-J'en suis contente, enfin, installes-toi à ton aise et couches-toi.  Tu as un gros été qui t'attends.

Elle avait dit ça sur une voix très douce, qui ressemblait étrangement à une voix réconfortante.

-D'accord… En passant, merci de m'avoir sauvé des Dursley.  Je ne crois pas que j'aurais réussi à vivre plus longtemps là-bas.  

-C'est rien, je sais ce que c'est d'être sans cesse mis à tort.

-L'homme de tout à l'heure ?

-Richard Figaliti.  Mon tuteur.

-Mais pourquoi tu ne lui as pas dit que c'était les Dur…Tu… tuteur ?

-Disons que… que mes parents ne sont plus en état de s'occuper de moi.  avoua-t-elle d'un air triste.

-Ah… je suis désolé, je ne savais pas…

-C'est pas grave, je m'en suis remise il y a longtemps, bonne nuit.

-Bonne nuit à toi aussi.

Elle sortit alors par l'embrasure du tableau, le laissant seul avec une tête trop remplie pour l'instant.  Jugeant l'heure trop avancée pour défaire quoi que ce soit, il se laissa tomber sur le lit sans même se déshabiller ni tirer les couvertures, espérant passer une nuit plus calme et reposante que la dernière semaine.

Line : Ha ben vois-tu, je crois que les Dursleys vont être pognés pour finir de refaire le living-room eux-mêmes parce qu'Harry retournera pas chez les Dursley… lol j'espère que tu aimes toujours autant

lyra b. : Je ne me décourages pô, mais faut dire que ces temps-cis je suis très fatiguée alors ça va moins bien pour écrire… J'espère que t'as apprécié ce chapitre !!

Pheniamon : heu… pourquoi deux fois la même review ?? bah c pô grave je me dis que tu trouvais ça vraiment super !!!! lol

Aiko : bah j'ai fais de mon mieux pour le faire au plus vite mais j'avais pô écris celui-là dans mon cahier donc y'a fallu que je me fis à ma tête et c'est pour ça en partie que c'était plus long… J'espère que t'es pas déçue par la suite.

morgane : hé non je lâche pas comme tu le vois… j'espère que tu aimes encore !!

tenshi : Et bien elle évoluera selon ce qu'elle évoluera… ( hoouu la précision lol )  Sinon, comme je suis encore qu'une novice dans l'écriture, mes chapitres iront sûrement toujours en rallongeant mais ça dépendra de mon humeur et de ce que j'ai à mettre dans le chapitre.  Pour la fréquence, je te dirais  que c presque impossible à dire , on sait jamais quand les profs vont décider de nous coller une semaine impossible de devoirs, viens vois de temps en temps tu verras bien… J'espère que tu aimes  ma fic toujours autant !!

morgane : Et bien la voilà la très vive suite ( enfin il se passe quelque chose lol ), espère que t'as bien aimé !!

Bon alors c'était le chapitre 11 que je chéris pas particulièrement mais qui est potable quand même… ( hé oui je suis très dure avec môaaa-même lol ) que ça fait une éternité que j'ai commencé…  En 2k, je souhaite une bonne année à tous (  même si dans une semaine ceux qui vont lire vont trouver ça bizarre… ) et bonne review à tous ( hhoooooo la subtilité de la demande lol )

Allez ciao tout le monde !!!!!

Thunder Light

SmIle, Be HaPpY !!!!!!!!!