Note de l'auteur : La suite est là !!! Et Rewiew SVP ! Sinon, ça me démotive !!!
Et merci aux rewiew ers :
Maya : Je continue, ne t'inquiète pas ! Et
des rewiews, je vais t'en envoyer, pour l'allemand,
va voir tes e-mails !
Yoann : Merci ! Et je continue, c'est sûr !
3 Le Terrier
Le lundi matin, les deux adolescents étaient prêts. Ils avaient préparés leurs valises la veille au soir. Quand les Weasley et Hermione arrivèrent, Elisabeth était très nerveuse. Harry lui souffla à l'oreille que tout allait bien se passer et qu'ils allaient l'adorer. Elle hocha la tête. La sonnette retentit. Rogue alla ouvrir la porte. C'est Mr. Weasley qui entra le premier, suivi des jumeaux, Fred et Georges, d'Hermione et de Ron qui entra bon dernier... :
- Bonjour, monsieur Rogue. Vous aller bien ? demanda Mr Weasley
- Oui, merci. Et vous ?
- Ca va, ça va. Bonjour, Elisabeth.
- Bonjour. Venez ! On va dans ma chambre, pendant qu'ils papotent.
Tous la suivirent. Dès qu'ils furent dans la pièce, Ron se jeta sur Harry :
- Eh, qu'est-ce que tu fais ?
- Je vérifie si tu es toujours vivant. Tu n'as pas dit un mot depuis qu'on est là ! Ca ne te ressemble pas.
- Je vais bien, je te jure. Ah oui, bonjour quand même !
- C'est ça, bonjour. Et bonjour Elisabeth.
- Bonjour. Tu es Ron, c'est ça ?
- Oui, et lui c'est Fred, et l'autre c'est Georges, ou l'inverse, je sais pas et elle, c'est Hermione.
- Salut ! Lui dit cette dernière.
- Bon, maintenant que tout le monde a dit bonjour à tout le monde, il faut qu'on parle, mais avant, j...
- Elisabeth, ça te dit qu'on les laisse tranquille, entre garçons...
- Quand tu veux ! Je commençais à douter qu'il y avait des filles sur terre ! Aller ! Du balai, vous filez dans la chambre d'Harry ! Et vous nous laissez !
- Vous vous rendez compte que j'ai du passer deux mois avec ce monstre ! »
Les quatre garçons filèrent, évitant les coussins lancés par les deux filles. Ils rentrèrent dans la chambre d'Harry, et ils parlèrent de son séjour chez Rogue, des cadeaux qu'avait reçu Harry. Quand Ron demanda qui était la mère d'Elisabeth, il lui fit part de ce qu'il savait. Les trois frères furent aussi intrigués que le jeune sorcier avait pu l'être, lorsqu'elle lui avait dit qu'il ne le saurait pas. Pour les jumeaux, ce n'était qu'une plaisanterie, d'ailleurs pour eux tout était drôle ou amusant. Par contre, Ron regarda Harry, d'un regard intrigué, qui voulait tout dire. Mais ils ne voulaient pas y croire, ni l'un ni l'autre. Un éclat de rire interrompit leurs pensées. Il venait de la chambre d'Elisabeth, suivi rapidement par une porte qui claque. Elles venaient dans la chambre. Quand elles ouvrirent la porte, toutes rouges et essoufflées, encore à moitié mortes de rire, les garçons ne comprenaient plus rien. Hermione riait ? C'était si rare ! Mais tellement beau Harry fut submergé par la beauté qui l'enveloppait elle était...différente. Quand il vit qu'elle le regardait, il détourna son regard d'elle. Il était légèrement gêné et elle aussi...
Il fut soulagé quand Rogue vint les chercher, pour leur dire qu'ils allaient retourner au Terrier. Ils sortirent tous de la chambre d'Harry, pour rejoindre Mr Weasley. Après avoir dit au revoir à Rogue, toute la troupe sortit du manoir. Les jumeaux aidèrent le jeune sorcier à porter ses valises et Hermione aida Elisabeth. Elles étaient devenues très proches, après quelques minutes de conversation. Harry était content pour ses deux amies, elles s'entendaient si bien ! Mais tout au fond de lui, le jeune homme était... jaloux, oui, c'était ça, de la jalousie... Il oublia ses quelques pensées et il monta dans la voiture, qui partait en trombe vers le Terrier. Arrivés là-bas, ils déchargèrent leurs bagages, puis ils rentrèrent dans la maison des Weasley, où Molly les accueillit chaleureusement :
« Bonjour vous deux ! Vous allez bien ?
- Bonjour ! Dirent-ils en chœur.
- Venez !
Elle les emmena à l'intérieur, où ils trouvèrent Percy en train d'écrire.
- Percy ! Tu pourrais te lever et dire bonjour à Harry et à Elisabeth !
- Qui ?
- Harry et Elisabeth !
- Ah oui, bonjour.
Il ne leva même pas la tête et se replongea aussitôt dans sa feuille.
- Ne faites pas attention à lui il très pris par son travail au Ministère de la magie. Bon, allez dans vos chambres et préparez vous pour cet après-midi.
- D'accord, on y va.
Ils montèrent dans les chambres, Hermione et Elisabeth dans celle de Ginny, et les garçons dans celle de Ron. Quand les deux filles entrèrent, Ginny était là, assise derrière son bureau. En les voyant, elle se leva et dit bonjour à Elisabeth, mais avec un léger mouvement de peur. Hermione jeta un regard à sa nouvelle amie, puis elle dit à Ginny :
- Ecoute Ginny, ce n'est pas parce que c'est la fille de Rogue qu'elle lui ressemble forcément et puis je te rappelle qu'ils ont accueillis Harry, et qu'il a passé un excellent séjour, c'est lui qui me l'a dit.
- Désolé, Elisabeth. Mais je juge souvent les gens trop vite. Tu me pardonnes ?
- Mais oui ! A Poudlard, je sais que, à part les Serpentard, personne n'apprécie vraiment mon père, et que je vais en payer les conséquences.
- Bon, on arrête de parler de ça, et on se prépare à faire notre petit tour au Chemin de Traverse !
- Dis-moi à quoi ressemble ce lieu dont tout le monde parle !
Pendant ce temps, les garçons parlaient, de Quidditch, entre autres. Lorsque Mme. Weasley les appela pour déjeuner, ils étaient tous prêts. Ils descendirent dans la cuisine. Percy était toujours en train d'écrire sa lettre et Harry lui demanda ce qu'il écrivait, question à laquelle il ne lui répondit qu'un « je travaille » pas très agréable. Fred lui lança :
- Percy est très absorbé, tu comprends ? Il fait un rapport sur... quoi déjà, Georges ?
- Sur la longueur des balais. Il hésite entre deux tailles. L'une étant plus grande d'environ... 4 millimètre, c'est ça Fred ?
- Tout à fait ! Et c'est très import...
- Fred, Georges, arrêtez, coupa leur mère. Maintenant, à table.
Après avoir mangé, Harry, Ron, Fred, Georges, Hermione, Ginny et Elisabeth allèrent chercher leurs affaires, puis ils passèrent par la cheminée, et grâce à la Poudre de Cheminette, ils se retrouvèrent dans l'Auberge du Chaudron Baveur, Harry se releva et il pensa une fois de plus qu'il détestait ce moyen de transport, ensuite, ils passèrent par le mur et ils pénétrèrent dans le Chemin de Traverse. Elisabeth était fascinée :
- Waouh ! C'est génial ici ! On commence par quoi ?
- Nous allons faire des groupes : Ron, Harry, Hermione et Elisabeth vous restez ensemble, Fred et Georges vous ferez le deuxième groupe, et Percy, Ginny et moi nous allons de notre coté. Rendez-vous ici dans trois heures. Et ne vous perdez pas !
- Oui ! A tout à l'heure !
Les groupes se dispersèrent. Harry emmena les autres chez Gringotts, la banque de sorcier, pour qu'ils prennent leur argent. Ensuite, ils filèrent chez Fleury et Botts, pour acheter leurs livres, ensuite ils passèrent chez l'Apothicaire pour prendre les ingrédients de leurs potions et ils rachetèrent des robes de sorcier, chez Mme. Malkin's, les leurs étant trop courtes de plusieurs centimètres Ron les emmena vers un magasin de Farces et Attrapes, où ils dépensèrent une bonne partie de leur argent. Ils croisèrent Neville Londubat, Seavus Finnigean, et après avoir fait présentations et explications, ils bavardèrent quelques instants. Ils firent aussi une mauvaise rencontre, Malefoy accompagné de Crabbe et Goyle :
- Oh, Potter, quelle bonne surprise ! Et c'est qui, celle-là ? demanda t'il avait dédain.
- Celle-là, lui répondit la concernée, c'est la fille de Rogue.
- Très drôle. Rogue n'a pas de fille et elle ne serait jamais avec Harry Potter, ils se détestent.
- C'est là où tu te trompes, Malefoy. J'ai passé deux mois chez eux, et c'était un excellent séjour. Et si tu ne me crois pas, tu n'auras qu'à lui demander. Maintenant, si ça ne te dérange pas, on s'en va. Vous venez ?
Ils laissèrent Malefoy et ses deux acolytes, hébétés. Quant ils furent assez loin pour qu'ils ne puissent pas les entendre, ils éclatèrent de rire. :
- Vous avez vu leurs têtes ? »
Dès qu'ils furent à peu près calmés, Elisabeth leur demanda s'ils pouvaient aller dans une boutique d'animaux, elle voulait s'acheter un hibou. Hermione proposa de l'emmener, pendant que les garçons faisaient un tour dans le Magasin d'Accessoires de Quidditch, où elles les rejoindraient. Les filles partirent, et les deux autres entrèrent à l'intérieur du magasin, qui était déjà bondé. Ils se frayèrent un passage pour aller jusqu'au rayon des nouveaux balais. Rien de spécial, cette année . Rien qui pourrait arriver à la cheville de l'Eclair de Feu que possédait Harry.
Ensuite, ils firent le tour du magasin, passant par le coin des livres, le rayon des articles en vrac, où ils trouvèrent des objets aussi chers qu'inutiles, mais aussi quelques articles assez intéressants, comme un mini terrain de Quidditch avec des petits joueurs, parfaits pour les entraînements, des lots de Cognard qui faisait moins mal que les normaux, des Souafles, et même des Vifs d'or réglables, qui pouvaient être plus ou moins rapides, selon le niveau des joueurs. Harry en acheta un, pour qu'il puisse s'entraîner dès qu'il le voulait et à la vitesse qu'il désirait.
Au moment où les deux filles les rejoignaient, ils n'avaient même pas fait la moitié du magasin. Elisabeth avait son hibou dans sa cage à la main, un animal noir, mais de toute beauté. Ils firent ensemble le tour du magasin, et la fille de Rogue s'acheta un lanceur de Souafle automatique, fourni avec cinq balles. Elle leur dit qu'elle avait économisé de l'argent pour s'acheter un nouveau balai, mais que finalement le sien pouvait encore tenir un moment, et qu'elle préférait largement prendre ce gadget. Harry lui demanda si elle jouait au Quidditch, et Elisabeth lui dit qu'elle jouait au poste de Gardien dans son ancienne école. Soudain, Harry repensa que Olivier Dubois était parti, et que les Griffondor avaient besoin d'un nouveau gardien, mais il ne dit rien. Après tout, ce n'était pas lui le capitaine, pour l'instant... Ils sortirent chargés du magasin. Hermione prit la cage d'Elisabeth, qui ne voyait même plus où elle allait. Elle lui demanda :
« Au fait, tu va l'appeler comment ?
- Pour l'instant, je n'en sais rien.
- Il nous reste encore une demi-heure, observa Harry, ça vous dit d'aller boire un coup ?
- Bonne idée ! On va chez Florian Fortarôme, tu le connais bien.
- C'est qui ? demanda Elisabeth
- Le glacier. J'allais chez lui assez souvent pendant les vacances, il y a deux ans. Je m'étais enfui de chez mon oncle, parce que sa sœur, qui me déteste avait dit des choses pas vraiment sympas sur mes parents et je ne l'ai pas supporté. On est resté en bon contact avec Florian. Bon, on y va ?
Tous le suivirent. Arrivés dans la boutique du glacier, ils s'installèrent dehors. Un serveur apparut et prit leurs commandes, qu'il apporta quelques minutes après. Elisabeth dévora sa glace, et Harry ironisa :
- Ron, tu as du souci à te faire. Elle mange plus vite que toi, et ce n'est rien de le dire.
- Ha ha ! Très drôle. Alors, comment as tu trouvé cette journée ? demanda t'il à Elisabeth.
- Très bien. J'ai adoré ! Surtout le magasin de Quidditch. Euh... C'est pas que je voudrais nous presser, mais on est peut-être rester un peu trop longtemps. Ron, ta mère arrive, et elle a l'air furieuse...
- Aie ! Cachez-moi !
- Ha ha ! Et en plus tu m'as cru ! Tu es assez naïf, Ron.
- Hé ! C'est moi qui fais des blagues, ici !
- C'n'est pas fini vos gamineries ! Ajouta Hermione, Elisa à raison, on devrait y aller.
- Tu l'as appelé comment ?
- Elle m'a appelé Elisa. C'est mon surnom, c'est tout. Maintenant, on y va.
- Bien, chef ! » Plaisanta Ron
Ils partirent en direction du point de rendez-vous. Tout le monde était déjà là, et Molly avait l'air rassuré qu'ils arrivent enfin. Ils repartirent tous ensemble au Terrier, chacun emmenant ses multiples sacs. Arrivé là-bas, Harry, Ron, Hermione et Elisabeth montèrent dans la chambre de Ron. Chacun déballa ses affaires, et tout ce petit monde bavarda, puis, les filles allèrent dans leur chambre où elles rangèrent leur matériel et leurs derniers achats. Le lanceur de Souafle ne voulait pas rentrer dans la valise d'Elisabeth, et Hermione lui apprit un sort de rétrécissement et un sort d'agrandissement, pour pouvoir le faire tenir, et qu'elle puisse s'en servir sans problème. Elisabeth la remercia, et elles sortirent de la pièce pour aller voir ce que faisaient les garçons. A peine entrées, elles aperçurent Harry, volant sur son balai, foncer à tout allure dans leur direction. D'un coup, il se jeta par terre. Affolée, Hermione se rua sur Harry, pendant qu'Elisabeth demanda :
« Qu'es ce qu'il faisait sur son balai ? Et pourquoi s'est-il jeté par terre ?
- On verra ça après ! Harry d'abord !
Ils se rapprochèrent de lui. Il venait de se réveiller et apparemment, il allait bien, à part son bras. Hermione demanda à Ron, furieuse :
- Que s'est-il passé ?
- On a voulu essayer le vif d'or, et on l'a mis sur une vitesse vraiment rapide, juste pour voir, mais on ne pensait pas qu'il pouvait aller aussi vite. Et pour le rattraper Harry est monté sur son balai, et il se dirigeait vers la porte quand vous êtes arrivés. La suite, vous la connaissez. Ca va, Harry ?
- Oui, sauf mon bras. Mais, je l'ai eu !
Il brandissait la petite balle dorée dans sa main gauche, qui était en sang. Hermione s'affola :
- Harry ! Tu saignes ! Ne bouges pas, je vais chercher Mme. Weasley !
Il la retint par le bras :
- Tu n'y vas pas. Tu veux vraiment qu'on se fasse tuer ? Non. Alors tu peux essayer de le faire toi-même ?
- Oui, je peux toujours essayer, mais je ne garantis rien. Et si c'est trop sérieux, je vais la chercher. Elisabeth, tu peux m'amener de l'eau et du savon, pour désinfecter, et toi Ron, va me chercher des pansements et des bandes. Vite !
Pendant que les deux autres étaient partis, elle resta auprès de lui :
- Tu sais que tu m'as fait peur ! Ne refais plus jamais ça ! Je tiens à toi...
- C'est vrai ?
- A ton avis...
- Voilà, j'ai la bassine d'eau et le savon. Et Ron arrive avec le reste.
Hermione lui rinça sa plaie. Il s'était bien entaillé sur la moitié de l'avant-bras et la blessure était profonde. Une fois désinfecté, Elisabeth aida Hermione à lui bander le bras. Ensuite Harry changea de maillot, celui-là étant plein de sang. Il mit un tee-shirt à manches longues pour camoufler ses bandages. Quant il descendit pour manger, Mme. Weasley s'exclama :
- Harry, tu n'as pas chaud avec ça ?
- Non, pas du tout ! Il fait frais ici, je n'ai pas l'habitude.
- Si tu le dis !
Ils mangèrent en bavardement joyeusement de leur balade au Chemin de Traverse. Ensuite ils montèrent se coucher. Hermione changea le pansement d'Harry, qui était prêt de tacher son tee-shirt. Elle lui dit qu'il devra aller voir Pomfresh dès qu'ils seront à Poudlard. Après leur avoir dit bonne nuit, elle retourna dans sa chambre, où Elisabeth avait occupéGinny le temps qu'elle s'occupe d'Harry. Elles se dirent bonne nuit, et elles s'endormirent paisiblement.
Note de l'auteur :
Petit coup de pub : Aller voir « Harry Potter et le manoir des ombres » de Malissandre et « Harry Potter et le miroir sans fin » de Maya et « Le frère d'Harry Potter », « Sirius est il le vrai parrain de Harry » de Yoann.
Ils sont géniaux !!!
Et rewiew S.V.P. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
