Note de l'auteur : Voila la suite ! J'espère que j'ai pas été trop longue pour mettre la suite, mais je ne peux pas vraiment aller plus vite ! Soyez indulgents pour les fautes !!!

Et rewiew, SVP !!! C'est motivant !!!

Merci au rewiewers :

Malissandre : Merci ma poule ! Et la suite, elle est là ! Et STP, tu pourrais me traduire le message en anglais, parce que, mon truc c'est plutôt l'allemand...
« The could all have been killed, or worse, expelled. Now, if you don't mind, I'm going to bed. » A part le "je vais dans mon lit", c'est pas trop ça !!!

Majandra : Merci beaucoup et je continue, c'est sans problème !!!

Juliepotter : Merci, et je continue !!!

Yoann : Ne t'inquiète pas, je continue.

Et pour simplifier : OUI, JE CONTINUE !!! Mais c'est pas une raison pour arrêter les rewiews !!!

4 La Maladie... imaginaire ?

Après avoir passé quelques jours tous ensemble chez les Weasley, Harry, Elisabeth, Hermione et Ron étaient prêts pour attaquer une nouvelle année. Le 1er septembre au matin, ils étaient prêts à partir pour la gare en voiture. Harry demanda :

« C'est votre nouvelle voiture ?

- Non, c'est une voiture du ministère. Il me l'ont prêté juste pour aujourd'hui, lui répondit Mr Weasley.

Ils chargèrent leurs valises dans le coffre, ce qui leur prit une bonne demi-heure. Ils mirent par-dessus Hedwige, le hibou d'Elisabeth et une autre chouette. Hermione, étonnée, demanda :

- Ron, à qui est cette chouette ?

- A moi ! C'est Fred et Georges qui me l'ont acheté, d'ailleurs je ne sais pas avec quel argent. Mais toi, tu ne saurais pas pourquoi, par hasard ? Dit-il à Harry avec un regard plein de sous-entendus.

- Je n'en sais rien ! Bon, on y va. »

Ils s'engouffrèrent dans la voiture, mettant fin à la discussion. Arrivés à la gare, ils prirent des chariots et se dépêchèrent d'aller vers les voies 9 et 10, tous les moldus les regardant d'un air étrange à cause des hululements des trois hiboux. Harry prit les trois oiseaux et passa le plus vite possible entre les voies 9 et 10 vers la voie 9 3/4, pour ne pas trop attirer l'attention. Une fois de l'autre coté, il se dépêcha de se pousser, pour ne pas gêner les autres qui arrivaient derrière d'abord Hermione et Elisabeth, puis les jumeaux, et enfin Ron, Ginny et Mr Weasley. Après avoir dit au revoir à ce dernier, tous montèrent dans le Poudlard Express. Harry chercha un compartiment libre et il en trouva un au milieu du train. Elisa, Hermione et Ron le rejoignirent. Ils installaient leurs valises dans les filets, quand la dame avec le chariot de bonbons passa pour leur demander s'ils voulaient quelque chose. Harry prit la moitié du chariot, qu'il étala sur la table qu'avait fait apparaître Hermione, grâce à un sort qu'elle avait appris dernièrement. Ce sort permettait de faire apparaître un objet pendant cinq heures maximum, ce qui fut bien utile. Ils bavardèrent quelques instants. Seamus Finnigean passa pour leur dire quelques mots. Neville resta aussi, mais pour leur demander s'ils n'avaient pas vu son crapaud. Au milieu du voyage, Malefoy, Crabbe, Goyle et un autre garçon vinrent les voir : 

« Tiens tiens... Potter ! Quelle surprise ! Bonjour Elisabeth...

- T'en as mis du temps à comprendre, Malefoy...

- Tu permets, quelqu'un voudrait parler à Elisabeth...

Le garçon qui était resté derrière s'avança :

- Antoine ! Qu'es-ce que tu fais là ! Tu ne devais pas rester à Durmstang ? Dit Elisabeth à jeune homme brun, qui était grand, avec des yeux tellement bleus qu'on se perdait dedans.

- Tu le connais, demanda Harry, sceptique.

- Oui, je le connais.

- Bonjour Elisabeth. Mon père a décidé de m'envoyer à Poudlard, comme tu peux le voir, répondit le concerné.

- Désolé de vous interrompre, mais qui est-ce ? Demanda Hermione

- Il s'appelle Antoine, il a le même âge que nous et il était à Durmstang les quatre dernières années, comme moi. Et comme tu l'as entendu, il va venir à Poudlard avec nous. C'est une bonne nouvelle pour moi, je ne serais pas totalement paumée !

- Si tu le dis, murmura Harry.

Cet Antoine ne lui inspirait rien de bon. Il était avec Malefoy, et aussi l'ami d'Elisabeth. C'était presque impossible. Les quatre garçons s'éclipsèrent, laissant Harry perplexe. Une seconde après être sortis, ils entendirent un bruit qui venait de l'extérieur du compartiment. Ils se précipitèrent et ils ouvrirent la porte. Malefoy était par terre, pâle comme la mort, ses mains étaient étrangement rouges. Des boutons verts commençaient à apparaître, et ils éclataient dès qu'ils avaient la taille d'un petit pois. Malefoy paraissait tout raide.

- Beurk ! C'est dégoûtant ! Observa Harry, qu'est ce qui s'est passé ?

- Il marchait derrière nous, et d'un coup il est tombé. Crabbe, Goyle, allez chercher un prof, je ne tiens pas à le toucher.

Les deux appelés coururent lentement dans le couloir à la recherche d'un professeur. Ils foncèrent têtes baissées dans un grand homme baraqué, qui les arrêta :

- Eh la ! Où comptez vous aller, comme ça ?

- On cherche un prof !

- Ca tombe bien, je suis professeur. Que se passe-t-il ?

- Notre copain est tombé par terre, il est pâle et plein de boutons verts qui éclatent !

- Calme toi. Où est-il ?

Pour toute réponse, les deux garçons filèrent lourdement vers l'endroit où était tombé Malefoy. Quand l'homme aperçut le garçon, il le prit dans ses bras, et il disparut en direction de l'infirmerie du train. Antoine et les deux autres retournèrent dans leur compartiment, tout comme Harry et les autres. Une fois rentré, il s'aperçut qu'Elisabeth était très pale :

- Pourquoi est tu si blanche ? Si c'est pour Malefoy, il ne mérite pas qu'on s'inquiète pour lui !

- Je te rappelle qu'il est l'ami d'Antoine, s'énerva t'elle, et que ça pourrait être grave ! Mais compatir n'a pas l'air de faire partie de ton vocabulaire.

Sur ces mots, elle sortit et se dirigea vers le compartiment de leurs visiteurs. Harry ne comprit pas tout de suite. Mais finalement, ça ne l'étonnait pas tant que ça :

- Vous savez quoi, elle m'a déçu. Ou alors c'est moi qui l'avais trop bien jugée. Elle n'est que la fille de Rogue, après tout. Un fidèle mangemort ! Elle et Malefoy amis, ce n'est même pas étonnant.

- Harry, demanda timidement Hermione, tu penses vraiment ce que tu viens de dire ? Parce que...

- Oui, dit-il, tout en sachant que ce n'était pas tout à fait vrai, oui, je pense ce que je dis.

- Harry, tu ne crois pas que tu y vas un peu fort ? Tu devrais aller la voir, elle a été touchée et elle ne connaît que le bon coté de Malefoy, quand elle le connaîtra mieux, elle changera vite d'avis. Et puis de toute mani...

- Aller la chercher ! Jamais ! Elle préfère Malefoy, Crabbe, Goyle et cet Antoine à nous, tant mieux ! Ce n'est qu'une fille de mangemort ! Cria t'il.

- C'est vraiment ce que tu penses, lui dit Elisabeth, qui était dans le compartiment depuis le début, presque en pleurs. Harry ?

- Oui. Et va t'en ! Va rejoindre tes chers copains et va pleurer Malefoy, mais loin de nous !

Elisabeth, en larmes, sortit du compartiment. Harry, énervé, se réfugia dans le couloir. Il repensa à toute cette journée, qui avait pourtant bien commencé. Une fois calmé, il retourna auprès des autres. Il s'attaqua rageusement aux bonbons sans adresser la parole ni à Ron, ni à Hermione. Soudain, il dit :

- Vous savez quoi, elle fait ce qu'elle veut, mais ce n'est pas mon problème. Et si quelqu'un veut aller la rejoindre, qu'il y aille. Mais ce n'est pas la peine de revenir.

Ron et Hermione hochèrent la tête en silence. Hermione était déçue, mais c'était comme ça. Quand à Ron, il demanda à Harry :

- Harry... Je peux te piquer quelques bonbons ? C'est pas qu'ils me font envie, mais presque.

- Sers toi ! »

Ron ne se gêna pas. Il plongea sa main généreusement dans le tas de bonbons, puis il enfourna une bonne partie dans sa bouche Hermione éclata de rire Ron n'avait même pas prit la peine d'enlever les papiers et il avait failli s'étouffer avec l'un d'entre eux. Elle en voulait un peu à Harry, mais elle ne voulait le perdre, comme en première année, où ils ne s'étaient pas tout de suite compris. Le voyage se poursuivit sans autres visites, les trois amis continuant de parler comme si de rien était, mais avec quelques sous-entendus. Ils arrêtèrent tout de suite quand ils aperçurent les regards noirs que leur lançait Harry. Arrivé à Poudlard, ils montèrent tout les trois dans une calèche sans chevaux qui flottait au dessus du sol. Leur traversée accomplie, ils entrèrent dans le hall de Poudlard, puis se dirigèrent vers la grande salle. Ils étaient dans les derniers, ils purent donc s'installer non loin de la table des professeurs, où l'homme du train qui avait emmener Malefoy s'était installé, discutant « joyeusement » avec Rogue. Ron le regarda et dit :

« Vous croyez que c'est le nouveau professeur des DCFM ?

- Evidement ! Qui est-ce, sinon ? Remarqua Hermione.

- Le nouveau prof de potions, peut-être que Rogue a décroché le poste !

- Arrête de parler de malheur !

- Qu'est ce que tu as, Harry ? Tu n'as pas dit un mot !

- Je réfléchis. Et arrêtez de parler de Rogue.

A ce moment-là, Rogue croisa le regard de Harry. S'ils avaient été seuls dans la salle, il aurait tué son élève. Il le regarda méchamment, mais il avait aussi l'air déçu, et le jeune sorcier pensa qu'il y était allé un peu fort, même beaucoup trop fort. Pourquoi avait t'il dit qu'il était un ancien mangemort, pourquoi avait t'il dit toutes ces horreurs ? Il s'en voulait terriblement, et il se décida à parler à Elisabeth dès qu'il pourrait.

La répartition commença, après le petit discours de Dumbledore :

« Chers élèves, Je vous souhaite la bienvenue à Poudlard, école de sorcellerie. Avant que la Répartition ne commence, je vous demande d'accueillir chaleureusement les premières années et deux nouveaux élèves de 5ème année, sans prendre compte de leurs noms. »

Il avait insisté sur ses derniers mots, dévisageant Harry de manière étrange. Ils se fixèrent quelques instants, puis ils détournèrent leurs regards et ils écoutèrent la chanson du chapeau, puis vers le professeur McGonagall :

« Quand je vous appellerais, vous prendrez le Choixpeau, vous le mettrez sur votre tête et vous vous asseyez sur le tabouret. » Dit-elle aux premières années. « Aloone Marie ! » La fillette prit le chapeau, le mit sur sa tête et s'assit sur le siège. « Poufsoufle ! » Cria le Choixpeau. Elle fut acclamée par sa maison. Après quelques autres noms, vint celui de « Johnson Laura ! » La petite sœur d'Angelina Johnson avait l'air terrifié, mais quand le Choixpeau hurla : « Griffondor ! », la petite fut toute de suite rassurée et elle courut vers sa sœur qui l'accueillit, heureuse qu'elles soient ensembles. Hermione demanda à Harry s'il avait prit de nouvelles options, et il lui dit que non, qu'il n'aurait jamais le temps. Quand le dernier élève fut passé « Vector Mark ! » qui allait à « Serdaigle ! », le professeur McGonagall appela les deux 5ème années : « Jedusor Antoine » Un murmure s'éleva dans la salle. Qui était ce garçon au même nom que Voldemort ? Sauf quelques élèves chez les Serpentards, Crabbe et Goyle par exemple, ne furent pas du tout étonnés. Pendant quelques instants, le Choixpeau et l'élève parlaient :

- Oh, un Jedusor...

- Si tu m'envoies à Serpentard...

- Mais ta place est à Serpentard, tu le sais autant que moi. Et je ne vois pas où tu pourrais aller, sûrement pas à Griffondor.

- Et pourquoi pas, hein ?

- Pour que tu tues Potter, et que tu suives les traces de ton père, parce que c'est ton père, c'est ça ? Je ne suis pas idiot. Tu iras à...

- Griffondor. Tu m'envoies à Griffondor, où je te promets qu'ils devront trouver un autre chapeau l'année prochaine

Le chapeau n'avait pas l'air ravi, puis, il cria : « Serp...Griffondor ! » Antoine se leva et il vint s'asseoir à coté d'Harry. Puis, ce fut au tour d'Elisabeth : « Rogue Elisabeth ! » Des pouffements s'élevèrent, mais elle fit comme si de rien était et elle monta sur le tabouret :

- Elisabeth Rogue. Hum... Tu mériterais d'aller à...

- Pitié, pas à Serpentard !

- Non, je ne pensais pas à ça... Griffondor !

Elisabeth fut étonnée, ravie, et elle eut légèrement peur de revoir Harry. Elle se leva et de dirigea vers sa table. La seule place libre était à côté d'Hermione. Ca commence bien, pensa t'elle. Mais à son grand étonnement, Hermione lui demanda :

- Le voyage s'est bien passé ?

- Oui. Et vous ?

- Ca allait. Et comment va Malefoy ?

- Je n'en sais pas plus que toi !

Harry les regarda, puis il fixa Antoine. Le jeune homme regardait les deux filles, sans dire un mot. Ils mangèrent tous en silence, personne n'osant parler. Après avoir dîné, Elisabeth se leva et se dirigea vers l'escalier. Harry jeta un coup d'oeil à Ron, il la suivit et arrivé dans l'escalier, il lui prit le bras et il lui dit :

- Elisabeth ? 

- La fille de mangemort, tu sais ce qu'elle te dit ?

- Je suis désolé, je ne pensais pas du tout ce que je disais, j'étais énervé, égoïste et...

- Et quoi ? Idiot ? Oui, c'est vrai, dit elle très énervée

- Idiot, si tu le veux, mais surtout... jaloux.

- Jaloux ? Pourquoi ? Parce que je m'inquiète pour un bon ami d'Antoine, ou bien es-tu jaloux d'Antoine ? Ou alors tu es jaloux tout simplement de Malefoy ?

- Mais...

- Non, tais-toi. Je ne veux rien entendre. Quand tu sauras pourquoi, et quand tu te sauras rendu compte de ce que tu as dit, à quel point tu m'as déçue, et surtout, à quel point tu m'as fait mal, tu reviendras me voir, mais pas avant. Bonne nuit Harry.

Elle le laissa seul et elle monta les marches. Malefoy arriva, et dit :

- Alors, Potter, qu'es-ce qui se passe ? Elle ne veut plus te voir ? Quel dommage !

- Malefoy, ferme-la. Et au fait, tu va mieux ?...

- Ca, c'est pas tes affaires. Bon, il faut que je te laisse, je dois aller me reposer, je n'ai pas envie de me retrouver par terre...

Il partit derrière Elisabeth. Harry se dit qu'il avait simulé sa maladie, il avait l'air en pleine forme. Mais pourquoi aurait il fait ça ? Ce n'était pas en son honneur de s'être évanoui et recouvert de boutons verts ! Mais il devait bien avoir une bonne raison. Hermione et Ron arrivèrent. Harry leur dit :

- Elle n'a pas voulu me parler. Mais ça ne m'étonne pas, j'ai vraiment été idiot. Mais pourquoi j'ai dit ça ?

- Si toi tu ne le sais pas, comment pourrait-on le savoir ? Dit Hermione.

-Vous savez quoi, j'ai vu Malefoy, et il allait très bien. Je crois qu'il a simulé sa maladie, ce n'est pas possible qu'il aille aussi bien !

- Oh, tu sais, avec lui on peut s'attendre à tout. Bon, bonne nuit les garçons ! A demain.

- Bonne nuit Hermione.

Les deux garçons montèrent dans leur dortoir. Toutes leurs affaires avaient été montées. Harry ouvrit la cage d'Hedwige et la fenêtre pour qu'elle puisse se dégourdir les ailes. Ensuite il rangea ses vêtements, ses livres et tout le reste. Quand il tomba sur les deux livres que lui avait offert Elisabeth, il repensa à elle et culpabilisa encore plus. Qu'il avait été bête ! Il comprenait bien pourquoi elle n'avait pas voulu lui pardonner. Il se promit d'aller la voir le lendemain.

Note de l'auteur :

Alors, c'était bien ? Et pour Malefoy, ne m'en voulez pas, il le méritait ! Que ses fans ne s'inquiète pas, je serai peut-être plus sympa avec lui, si j'ai envie !!!

Petit coup de pub : Aller voir : « Harry Potter et le manoir des ombres » de Malissandre                  

« Harry Potter et le miroir sans fin » de Maya

« Le frère d'Harry Potter » et « Sirius est il le vrai parrain de Harry » de Yoann.

« Harry Potter et les cours de DCFM », « HP et le retour de Cornedrue » et

« Les aventures de » de JuliePotter

« Le retour de Harry Potter » de Majandra

Ils sont supers géniaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et puis bien sur, REWIEWS, Please !